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Légionnaire toujours...

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2010


Fatiha El Hadi expose à la Galerie 113 09122010

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Édition du 09 12 2010

 

 

Vendredi dernier, durant le vernissage de l'exposition de peinture de Fatiha El Hadi, sur les 37 tableaux exposés, 10 ont été vendus. C'est la meilleure « performance » de la Galerie 113 en ce domaine, depuis sa création en 2009. (*)

Fatiha El Hadi, riche d'une grand-mère tunisienne d'origine chinoise, a grandi à Castelnaudary où son père a fait carrière dans la Légion étrangère. Fatiha a dessiné très tôt, transportée par une maman maître tapissier, qui créait des tapis persans. «   Elle m'a transmis beaucoup de choses, comme le goût des couleurs, des couleurs qu'elle inventait pour réaliser ses tapis. C'est elle qui faisait nos vêtements, qui brodait, qui jouait magnifiquement des percussions, qui m'a aussi appris la danse classique égyptienne… ».


Les créations multiples.
Le cadeau de cette « passation » porte aujourd'hui Fatiha, qui, désormais ne peut «   s'empêcher » de multiplier les directions dans la création. «   J'ai créé des chaussures (**),   des bijoux, des vêtements en cuir. Lorsque j'ai eu les machines pour travailler cette matière, j'ai inondé mon entourage de sacs ! Je veux bien-sûr continuer à dessiner, car c'est là le véritable sens de ma créativité mais, j'avoue que je ne peux m'empêcher de poursuivre dans la conception d'objets... ». Au point de réveiller l'angoisse face à la richesse de ses envies créatrices…

 
Le beau.
Fatiha n'est pas véritablement étonnée du succès qui pointe, en raison principalement de son travail acharné. «   Ce qui me rassure, c'est que lorsque l'on ne triche pas, les gens s'en aperçoivent ». L'artiste avoue être «   une voyeuse qui sélectionne ». Fatiha El Hadi : «   Parfois, il y a des choses que je regrette d'avoir vues. Je trouve que l'on a raison de dire aux enfants qu'il ne faut pas regarder certains évènements, ça marque le cœur ». Parce qu'elle se dit très lucide sur le monde, Fatiha cherche à retrouver son équilibre «   par le beau ». Le beau ? «   Par exemple, je suis consciente que les fringues c'est le côté superficiel de la personne, et je suis moi-même étonnée de ma propre attirance. Ce n'est pas parce que quelqu'un est bien habillé qu'il est globalement   bien. Mais les habits sont cependant révélateurs de la personnalité de ceux qui les portent. Le beau, ça fait du bien. Dans la peinture, j'aime ce qui est gai, ce qui, lorsque vous le regardez, vous fait du bien. Comme une chose que l'on ne se lassera jamais de parcourir du regard ».
 

La peinture.
Après sa formation aux Beaux-arts, Fatiha a travaillé à Paris comme designer sur textile, puis comme styliste dans le prêt-à-porter pour femme, enfin au musée des automates de La Rochelle dans la restauration des costumes, avant de revenir à Castelnaudary. Aujourd'hui, la Galerie 113 fait office de révélation : «   Cette exposition est en train de me prouver qu'il ne faut pas que je m'éparpille, qu'il faut me concentrer sur la peinture. Certainement ce que je fais de mieux ».
 
J.-C. S

Trente sept engagés intègrent la Légion 09122010

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Édition du 09 12 2010


Un officier, trois sous officiers, deux caporaux-chefs, quatre caporaux.

Mardi, 15 h, sur la plate-forme de la Tour Magdala à Rennes-le-Château, trente-sept engagés volontaires de la 2e section de la 3e compagnie du 4e régiment étranger de Castelnaudary s'apprêtent à coiffer le képi blanc.   « On devient légionnaire qu'une seule fois dans sa vie et pour vous, c'est maintenant », affirmait le lieutenant Saint-Denis, chef de section instruction, au cours des répétitions qui précédaient la cérémonie officielle.
 

Un passé prestigieux.
Après trois semaines de sélection à Aubagne, les engagés passaient quatre semaines en ferme d'instruction à Castelnaudary.   « Ils y ont appris les rudiments du français, les bases de la tactique, ils ont fait du sport, du tir de combat ». Une marche clôturait la ferme. Cinquante kilomètres en un jour et demi, de Chalabre à Puivert, jusqu'à Rennes-le-Château, où se déroulait la remise des képis blancs.

La légion étrangère a été créée en 1831 par Louis Philippe.   « Elle représente un passé prestigieux », déclarent les gradés.

Une cérémonie solennelle.
Les volontaires promettaient de servir avec   « honneur et fidélité ». Les gradés félicitaient les tout-nouveaux képis blancs et leur souhaitaient   « la bienvenue dans la famille des légionnaires ». Des légionnaires qui devront respecter les sept articles d'un code d'honneur qui   « guide notre action au quotidien », insiste le lieutenant Saint-Denis.

Le chef de section poursuivra une formation qui dure, en tout et pour tout, seize semaines. Au programme : toujours du français, du tir de combat et du tir réel.   « L'objectif : que les légionnaires soient aptes à être ventilés dans des régiments étrangers de combat ».

La section actuelle compte quarante et un engagés (quatre se trouvaient, mardi, à l'infirmerie) de vingt et une nationalités. Tous les quatre mois, le lieutenant Saint-Denis forme entre quarante et soixante engagés volontaires et doit livrer, à terme, des légionnaires, engagés pour cinq ans et plus   « si affinité ».
 
C. V.

Salle comble au Forum pour le concert de la Légion 07122010

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07.12.2010

La Musique de la Légion Etrangère (MLE) a donné son traditionnel concert de la sainte Barbe au Forum de Laudun-L'Ardoise. Comme les années précédentes les quelques mille places assises étaient occupées pour écouter ce concert musical de deux heures.

Il était dirigé par le commandant  Emile Lardeux, chef de musique militaire principal, avec l'adjudant chef Jean Philippe Dantin, chef adjoint et l'adjudant chef Jérôme Dumont, tambour major (C'est lui qui tous les 14 juillet ouvre le défilé de la musique de la légion Etrangère).

Le chef de corps le Colonel Eric Nachez, entouré de son état major,  a adressé un mot de bienvenue à toute l'assistance. A ses côtés on notait la présence du maire Patrice Prat.  

La première partie de ce concert a débuté par un morceau de musique militaire «  Nos képis blancs. ». Ensuite  ce fut Georges Bizet qui fut à l'honneur avec une remarquable 2e Suite de l'Arlésienne ;  une danse hongroise de Brahms permit au nombreux public de vibrer à la virtuosité du soliste violoniste le caporal chef Dumbraya. La fin de cette première partie consacrée à des hymnes militaires de circonstance pour découvrir  en final la dernière création de Jean Philippe Dantin : La marche du Groupement de Recrutement de la Légion Etrangère.

A la reprise ce fut huit nouvelles compositions musicales interprétées avec brio où tous les pupitres de l'ensemble orchestral ont été à l'honneur. Celui des tambours a reçu une particulière ovation, surtout dans leur improvisation avec des batteries de cuisine de campagne.

La marche du 1er Régiment Etranger de Génie du quartier Général Rollet de Laudun-l'Ardoise a précédé le célèbre « Boudin » en conclusion de ce remarquable concert.

Anciens combattants d'Afrique du Nord 07122010

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Hirson. En mémoire des victimes de guerre

Publié le mardi 07 décembre 2010

Robert Lemaire a été décoré de la médaille d'honneur des porte-drapeaux.

La cérémonie nationale, organisée à la mémoire des anciens combattants d'Afrique du Nord s'est déroulée sous un déluge de flocons de neige, dimanche matin, devant le monument érigé à leur mémoire, avenue Joffre.
23 000 morts
Les élus, anciens combattants et porte-drapeaux étaient présents.
Bernard Richet a lu message d'Alain Juppé, ministre des Anciens combattants, qui rappelait le sacrifice des 23 000 soldats français tombés en Afrique du Nord. Jean-Jacques Thomas, entouré de deux de ses adjointes, Annick Poulet et Josette Gambaro, a déposé une gerbe au pied de la stèle, avant de procéder à l'appel aux morts.
Le maire a ensuite remis à Robert Lemaire, ancien légionnaire, le diplôme et la médaille nationale d'honneur des porte-drapeaux.
Tous se sont ensuite réunis dans la maison de quartier du Champ Roland, afin de partager le verre de l'amitié. 

A l'église Notre Dame la Neuve, Un nouveau vitrail aux couleur de la Légion 06123010

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06.12.2010

C'est en présence de l'évêque de Nîmes Mgr Robert Wattebled que s'est déroulée la messe de bénédiction du nouveau vitrail de la Légion Etrangère installé dans une chapelle latérale de l'église Notre Dame la Neuve.

Depuis vendredi soir, en effet, un vitrail porte les couleurs du régiment. « C'est l'aboutissement de plusieurs années de projets, de travaux aussi, lançait non sans fierté Philippe Jullien, le curé du district paroissial de Laudun... C'est surtout une première en France que de voir un vitrail être réalisé en l'honneur de la Légion. »

Dans l'assistance, le colonel Éric Nachez, chef de corps du 1er Reg était installé aux côtés de Dominique Pellaton et Philippe Pécout, adjoints au maire Patrice Prat. Les représentants de la gendarmerie et des sapeurs-pompiers avaient également fait le déplacement tout comme les élus du conseil municipal, majorité et opposition et une foule d'anonymes.

L'honneur de présenter son travail est évidemment revenu à Danielle Plasse-Rambaud, maître verrier dont les ateliers sont installés à Rochefort-du-Gard et Caveirac (près de Nîmes). « Je suis très émue. Ce vitrail, quand je l'ai installé, j'avais l'impression qu'il prenait vie. » L'artiste a, pour ce faire, respecté, trois éléments imposés : « le symbole de la Légion, la grenade à sept flammes, les deux saints, les couleurs (le rouge pour sainte Barbe, le vert pour saint Antoine-du-Désert).


Patrice Prat, le maire de Laudun-L'Ardoise, a tenu à rendre hommage au père Pierre Gauzy, ancien curé de la paroisse, à qui « l'idée d'un vitrail honorant le 1er Reg de L'Ardoise doit être rendue ». Il y a quelques années, il avait travaillé sur ce projet avec les autorités militaires et l'aumônier militaire, le Père Christophe Benoits, sans pour autant le concrétiser. L'arrivée du père Jullien, associée à la volonté municipale, a permis, en 2009, de budgétiser la réalisation d'une nouvelle verrière sur ce thème. Aussi, sainte Barbe est accompagné de sa tour, tenant la palme des martyrs, et saint Antoine, d'un cochon. Un vitrail, qui désormais, permet d'illuminer l'église Notre-Dame-la-Neuve et de mettre en lumière les couleurs du 1er Reg.

 A la fin de l'office religieux l'évêque de Nîmes a procédé à la bénédiction officielle de ce nouveau vitrail aux couleurs de la Légion Etrangère.

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Un vitrail de l'église aux couleurs de la Légion 04122010

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Édition du samedi 4 décembre 2010


C'est officiel. Les légionnaires du premier Régiment étranger de génie (Reg) pourront désormais aller prier leurs deux patrons, sainte Barbe et saint Antoine-du-Désert, à l'église Notre-Dame-la-Neuve de Laudun. Depuis vendredi soir, en effet, un vitrail porte les couleurs du régiment. « Ce soir (jeudi, Ndlr), c'est l'aboutissement de plusieurs années de projets, de travaux aussi, lançait non sans fierté Philippe Jullien, le prêtre de la paroisse laudunoise. C'est surtout une première en France que de voir un vitrail être réalisé en l'honneur de la Légion. »

Jeudi soir, la communauté chrétienne était donc invitée à se joindre à la grande famille militaire, pour inaugurer et bénir cette verrière autour d'une célébration eucharistique présidée par l'évêque de Nîmes, Mgr Robert Wattebled.
« Ce qui nous est proposé ce soir, c'est finalement une expérience de l'église », lançait-il en préambule. Dans l'assistance, le colonel Éric Nachez, chef de corps du 1er Reg était installé aux côtés de Dominque Pellaton et Philippe Pécout, adjoints au maire Patrice Prat. Les représentants de la gendarmerie et des sapeurs-pompiers avaient également fait le déplacement tout comme une foule d'anonymes.

L'honneur de présenter son travail est évidemment revenu à Danielle Plasse-Rambaud, maître verrier dont les ateliers sont installés à Rochefort-du-Gard et Caveirac (près de Nîmes). « Je suis très émue. Ce vitrail, quand je l'ai installé, j'avais l'impression qu'il prenait vie. » L'artiste a, pour ce faire, respecter, trois éléments imposés : « le symbole de la Légion, la grenade à sept flammes, les deux saints, les couleurs (le rouge pour sainte Barbe, le vert pour saint Antoine-du-Désert). Après, j'ai pu laisser libre cours à mon imagination. »

Après avoir déjà réalisé voilà quelques mois, la restauration du vitrail de la chapelle nord de l'église, c'est tout naturellement que la commune s'est une nouvelle fois tournée vers Danielle Plasse-Rambaud pour la création de la verrière. Patrice Prat, le maire de Laudun-L'Ardoise, a tenu à rendre hommage au père Pierre Gauzy, ancien curé de la paroisse laudunoise, à qui « l'idée d'un vitrail honorant le 1er Reg de L'Ardoise doit être rendue. Il y a quelques années, il avait travaillé sur ce projet avec les autorités militaires, sans pour autant le concrétiser. L'arrivée du père Jullien, associée à la volonté municipale, a permis, en 2009, de budgétiser la réalisation d'une nouvelle verrière sur ce thème, en y associant le père Benoit, ex-aumônier du régiment. »

Le maître verrier s'est attachée à reproduire le plus fidèlement possible les deux protecteurs des légionnaires. Aussi, sainte Barbe est accompagné de sa tour, tenant la palme des martyrs, et saint Antoine, d'un cochon. Un vitrail, qui désormais, permet d'illuminer l'église Notre-Dame-la-Neuve et de mettre en lumière les couleurs du 1er Reg.    
Jennifer FRANCO

Les morts d'Afrique du Nord honorés 04122010

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04/12/2010

Brêve mais émouvante cérémonie dimanche vers 11h30 quand une gerbe de fleurs a été déposée au pied du monument aux morts par le maire, le président de la section locale des Anciens Combattants et M.Richard Smyth, Ingénieur Airbus et légionnaire de 1re classe honoraire de la Légion étrangère. Ce dernier est domicilié depuis peu dans le village. Le public n'a pas eu la densité habituelle mais a assisté dans le recueillement à la minute de silence et à l'allocution du maire, dédiées à tous ceux qui ont donné leur vie dans les combats en Afrique du Nord. Tous les participants ont ensuite partagé le pot amical.

Pas de fausses notes pour le concert de musique 04122010

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Édition du samedi 4 décembre 2010

 

 

Après l'inauguration du vitrail,   les convives ont convergé vers le Forum pour écouter la Musique de la Légion étrangère à l'occasion du traditionnel concert de la Sainte-Barbe. Et pour ne pas faillir à la tradition, les quelque mille places assises étaient occupées.

Les musiciens étaient dirigés par le commandant Émile Lardeux, chef de musique militaire principal, avec l'adjudant-chef Jean-Philippe Dantin, chef adjoint et l'adjudant-chef Jérôme Dumont, tambour major. Ce dernier est d'ailleurs lui, qui tous les 14 juillet, ouvre le défilé de la musique de la Légion étrangère.

La première partie du concert a débuté par un morceau de musique militaire   Nos képis blancs. Ensuite, ce fut Georges Bizet qui fut mis à l'honneur avec une remarquable deuxième suite de l'Arlésienne. Une danse hongroise de Brahms permit au nombreux public de vibrer à la virtuosité du soliste violoniste, le caporal chef Dumbraya. La fin de cette première partie fut consacrée à des hymnes militaires de circonstance pour découvrir en final la dernière création de Jean-Philippe Dantin : la marche du groupement de recrutement de la Légion.


Après la pause, huit nouvelles compositions musicales ont été interprétées où tous les pupitres de l'ensemble orchestral ont joué. Le pupitre des tambours a d'ailleurs reçu une ovation particulière, surtout dans son improvisation avec les batteries de cuisine de campagne. Enfin, la marche du 1er Reg a précédé le célèbre   Boudin.  

  J. C.

Remise de képis blancs 04122010

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Édition du samedi 4 décembre 2010

Une cérémonie protocolaire a eu lieu en présence d'un détachement de la compagnie du capitaine Franck Alliot du 4e régiment étranger basé à Castelnaudary.

Cette compagnie d'engagés volontaires qui a fait l'événement sur le petit écran et à laquelle France Télévision F2 a consacré quelques reportages, a montré discipline, honneur et fidélité. Ces jeunes engagés de la promotion « Lieutenant Charles » viennent d'effectuer un séjour d'instruction d'un mois et demi à la ferme du Couin près de Saint-Gaudéric.

A cette cérémonie très officielle présidée par le colonel Mistral où l'avaient accompagné officiers et sous-officiers en présence de l'adjudant de gendarmerie Dominique Compoint, du maire et conseiller général Christian Rebelle, le président des anciens combattants Joël Fresnois et d'une bonne frange de la population locale, manquait le major et conseillère municipale Simone Guibaud.

Après la sonnerie, les jeunes engagés pouvaient enfin se couvrir du Képi Blanc. Le capitaine Alliot maître de cérémonie donnait le ton   « le képi blanc est le symbole du soldat d'élite, et représente le devoir de sacrifice qui a vu se sacrifier depuis 1831 pas moins de 31 000 soldats ! ». La légion évoquait le code d'honneur pour la remise des insignes et des serments d'honneur   « devoir, servir, honneur et fidélité ! ». Ces nouveaux légionnaires compléteront leur formation pendant trois mois au quartier Danjou de Castelnaudary avant d'être affecté en France Métropole et en Corse. Ensuite, les soldats, officiers, maire et conseillers municipaux et population se retrouvaient à la salle des fêtes pour la collation d'usage.

A noter que pour ces 34 engagés, 17 nations sont représentées de même une petite unité d'un régiment d'exploration de Suisse était venu assister à cette cérémonie. Les anciens combattants de Montréal ont montré qu'ils voulaient garder leur relation privilégiée avec le service d'actifs.

Les jeunes engagés se sont coiffés avec fierté de leur képi blanc.   MONTREAL

Moi... pas francophone... 04122010

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Édition du samedi 4 décembre 2010

REPOS !...

Froid, eux, jamais

Les légionnaires du 1er Régiment étranger de génie, bravant la température ambiante, ont dormi la nuit (courte) de jeudi à vendredi dans les halles de Bruèges sans chauffage.

Preuve que ces soldats d'élites dans leur duvet n'ont pas froid aux yeux ni ailleurs...

Circulez...

Un légionnaire place de la mairie en charge d'accueillir les VIP, le doigt sur la couture du pantalon, saluait hier matin une voiture avec chauffeur conduisant un officier en uniforme.

A la Légion on se met toujours au garde à vous devant des uniformes. Kakis mais pas bleus. Le colonel Christian Simonet commandant des pompiers gardois était aussitôt prié manu militari d'aller se garer ailleurs. Il fallut en appeler au sous-préfet pour éviter l'incident diplomatique.

2,05 m sous le képi blanc

Avec 2,05 m sous le képi blanc, ce soldat d'origine moldave est le plus grand des légionnaires, apprenait-on de source autorisée hier matin.

Il suffisait de croiser le gaillard de loin au-dessus de tous les autres, pour se remémorer le conseil de Michel Audiard : «  Quand les types de 130 kilos disent certaines choses, les types de 60 les écoutent. »

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