05/05/2012

Jusqu’à la fin juillet, le musée du sous-officier accueille une exposition des peintres officiels de l’armée. Une originalité à découvrir.

Kwon Yong-Man présente le tableau qui a reçu le prix du gouverneur de Paris.

Le général Thuet présidait le vernissage de l'exposition « Peintres Soldats ». - (dr)

Publié le samedi 05 mai 2012

CHAQUE année, pour la Légion étrangère, la date du 30 avril est l'occasion de rendre un hommage appuyé à la soixantaine de soldats qui, il y a maintenant 149 ans, sous le commandement du capitaine Danjou, ont laissé leur vie lors de l'expédition française au Mexique.
Une cérémonie s'est déroulée lundi après-midi aux monuments aux morts, près de la cathédrale Saint-Étienne, organisée par Bernard Haleux, président de l'amicale autonome de la Légion et amis de la Légion étrangère de Chalons, en présence de nombreux porte-drapeaux et de présidents d'associations d'anciens combattants.
Après le récit officiel des faits qui se sont déroulés dans le petit village mexicain de Camaron de Téjéda par le vice-président de l'association James Hariot, Bruno Bourg-Broc, Bernard Haleux ainsi que Serge Helleringer, conseiller municipal délégué aux fêtes et cérémonies patriotiques et aux anciens combattants, sont allés déposer une gerbe au pied du monument.
A l'issue de cette commémoration, les participants se sont rendus à la Maison du Combattant à la cité administrative Tirlet pour déguster le tradionnel boudin.

Américo Da Silva est un spécialiste de la formation aux gestes de défense. (© D.R) 

Il est calme. Étrangement serein. Sa voix est douce. Ses gestes calculés. Des mots précis viennent ponctuer des propos forgés sur l'enclume de l'expérience. Modeste, à tous les sens du terme, tel est Américo Da Silva.

Presque au détour d'une conversation, il avoue, sous la torture du dialogue, avoir, il y a quelques jours, avoir reçu la médaille de bronze de la Défense nationale, avec l'agrafe de la Légion étrangère, dont il est membre de l'unité spécialisée de la réserve opérationnelle.

Et ce n'est pas la première distinction qui pourrait fleurir à sa boutonnière. Il possède également, dans l'art et la manière d'utiliser les moyens de défenses, comme le fameux bâton, le tonfa, des diplômes de moniteurs, comme celui des techniques d'interventions opérationnelles rapprochées délivré par le centre national des sports de défense.

Il enseigne d'ailleurs, à de nombreux corps de police, de gendarmerie et de militaires, en France comme à l'étranger, des techniques pour mieux faire respecter l'ordre, dans toutes les règles prescrites par la loi. Il s'occupe, également des remises à niveau des polices municipales d'Agde et de l'Agglo.

Il ne tire cependant pas gloriole de ses nombreuses facettes pédagogiques. Mais il n'est pas peu fier de son parcours sur le territoire national : "Je souhaiterais faire passer un message d'intégration aux jeunes..." Il est vrai qu'Américo Da Silva est arrivé en Agde dans les années 80 à l'âge de 15 ans. Venu avec sa famille du Portugal, son père avait trouvé un travail de maçon à l'époque où le Cap d'Agde sortait de terre.

"Je ne parlais par un mot de français, et la France, dont j'ai adopté la nationalité, m'a tout appris et beaucoup donné. Voilà pourquoi, dès que j'ai pu, j'ai décidé de lui rendre en me mettant à son service et en cultivant ses valeurs. Grâce au sport, j'ai appris le respect de soi et des autres et tant d'autres choses, qui, aujourd'hui me permettent d'évoluer dans la société française."

À une époque où le mot 'intégration' est presque devenu une gageure et parfois un enjeu politique, Américo Da Silva souhaite en dénouer les méandres en proposant le parcours "d'un petit Portugais" qui a tracé son chemin.

Et il joue sur la corde de la reconnaissance en proposant à ses stagiaires une image de son nouveau pays : "Je suis heureux de pouvoir porter ses couleurs à l'étranger, c'est pour moi un honneur que je souhaite faire partager."

Et, avec ses deux fils, il cultive la même exigence d'effort et de respect.

Publié le 04/05/2012

Durant la lecture du récit du combat.

C'est sous une pluie diluvienne que la cérémonie s'est déroulée le 30 avril, devant le monument aux morts, dès la sortie de l'office religieux célébré par l'abbé Barrère. Auprès des autorités militaires, Christian Dubertrand, maire de Lafitole, et Jean Guilhas, maire de Maubourguet et conseiller général. Les héros de ce combat - ils étaient moins de 60 face à une armée mexicaine entière - ont été honorés par tous les présents ainsi que le capitaine Danjou en charge des hommes.

La cérémonie, placée sous l'autorité du colonel Jean-Paul Huber, démarre par la lecture du récit du combat de Camerone par l'adjudant-chef Werner Berg, commandeur de la Légion d'honneur. S'ensuivront le dépôt de gerbe et les moments de recueillement. La « Marche de la Légion étrangère » sera ensuite diffusée mais juste audible puis les autorités salueront les porte-drapeaux. Le vin d'honneur était servi sous le préau de l'école.

Janine Noguez

Le 4/05/2012

Bernard Chenevez et Siegfried Cires.

Fidèle au "Devoir de mémoire", l'association départementale des cadres de réserve de l'Aude (ADCR 11) représentée par deux Sigeanais, le lieutenant (honoraire) Bernard Chenevez et le sergent (Légion étrangère) Siegfried Cires ont assisté, le 28 avril, à la première commémoration du "Bombardier oublié" organisée par le lieutenant (réserviste citoyen) Marc Debou (Port-Leucate) et la ville de Leucate.

Après les allocutions faites par les personnalités et le récit de l'histoire de ce "bombardier oublié", fait par l'historien local Jacques Hiron, c'est au pied d'un tableau représentant un "Halifax" que furent déposées les gerbes de fleurs. Geste symbolique, puisqu'une stèle rappelant l'événement sera prochainement érigée. Simultanément, une gerbe était déposée en mer, par un bateau de la SNSM, à l'endroit présumé du crash de l'avion. En début d'après-midi, le photographe Siegfried Cires, remettait au colonel de la RAF, au représentant de la municipalité et à quelques invités d'honneur, un CD et quelques agrandissements photographiques des moments forts de cette commémoration. Geste qui fut très apprécié.

Miércoles, 02 Mayo 2012

Imelda Melchor
El Mundo de Córdoba

Representantes de la embajada Francesa y autoridades locales revivieroneste lunesla Batalla de Camarón del30 de abrilde 1863 con motivo del 149 aniversario.
En representación del gobernador, estuvo presente, Gerardo Buganza Salmerón, Secretario de Gobierno, quien en compañía de Joaquín Talavera Sánchez, presidente de la Asociación Camerone y Gerald Martin, Cónsul general de Francia en México, así como el alcalde de este municipio, Luis H. Palacios Ortega rindieron una guardia de honor en el monumento Franco Mexicano y colocaron cuatro ofrendas florales en memoria de quienes lucharon por sus ideales y perdieron la vida en esta batalla.
La batalla de Camarón opuso a las tropas francesas y mexicanas en 1863, en los alrededores de Palo Verde, Veracruz. Mientras los franceses sitiaban Puebla, unos 60 hombres de la 3ra Compañía del Regimiento Extranjero fueron enviados para asegurar la llegada de un convoy militar desde Veracruz. Al ser atacados por tropas mexicanas, los franceses se replegaron en una hacienda ubicada en el pueblito de Camarón de Tejeda, la cual fue rápidamente sitiada, hoy después de 149 años, la Legión Extranjera de Francia continúa con los lazos que existen de fraternidad entre ambos países , debido a que oficiales mexicanos que participaron al hecho de armas y se distinguieron después del combate por el trato humanitario que reservaron a los 5 legionarios heridos y prisioneros.
Gerardo Buganza Salmerón, Secretario del Estado, señaló que “ desde 1863 Francia y México , mantenemos vivo el valor de la patria, entrega y el sentido humanitario de quienes defendieron la nación”
Destacó que hoy después de 149 años, la Legión Extranjera de Francia, y nuestro Ejército Mexicano son instituciones valuarte de nuestras libertades“.
En Veracruz apreciamos la alianza con Francia, de sabiduría generosa, Francia de raíces latinas de ideas universales de culturas sin tiempo ni fronteras, una nueva época de amistad y de asociación, esta cercanía de amistad y soluble de los pueblos son muestra de desarrollo y progreso”.
A las 9:00de la mañana en la escuela primaria Francisco de Paula se celebró un acto cívico y posteriormente los presentes rindieron una guardia de honor en el monumento Franco Mexicano donde al igual que en la tumba del coronel Francisco Talavera colocaron ofrendas florarles. Posterioemente caminaron hacia la calle principal, al frente, un Francés portaba la bandera de Francia y México.
En el evento estuvieron presentes, el Coronel Manuel Guillamo agregado de defensa de la embajada de Francia en Mexico, Gral. BGDA D.E.M , Efrén Soriano Aguirre comandante de la 26 zona militar, Gerald Martín, Cónsul gral. de Francia en México, y en representación del gobernador de estado, Gerardo Buganza Salmerón, Amparo Molina Vela, presidenta del DIF Municipal de Camarón, así como los alcaldes, José Luis Anguheven Rincón, alcalde del municipio de Comapa, Adolfo Jesús Ramírez Arana, alcalde de Paso de Ovejas, Marcos Mollinedo de Atoyac.

FRASE
Legión Extranjera de Francia continúa con la fraternidad entre ambos países, debido a que oficiales mexicanos que participaron al hecho de armas y se distinguieron después del combate por el trato humanitario que reservaron a los 5 legionarios heridos y prisioneros.

Publié le 30/04/2012 par " Raphaël Moran "

L’hebdomadaire Proceso publie cette semaine un passionnant récit de la bataille de Camerone (ou Camarón) que se livrèrent les armées française et mexicaine en 1863. L’histoire est racontée par le général mexicain à la retraite Luis Garfías Magaña et glorifie l’esprit de sacrifice des soldats français et mexicains qui périrent au combat.

De nos archives (25 avril 2011)

Le magazine indépendant Proceso propose cette semaine un dossier sur la bataille de Camarón -ou Camerone- qui a eu lieu en 1863 dans l’Etat de Veracruz lorsque la France tentait d’envahir le Mexique.

Environ 60 légionnaires étrangers ont combattu pour la France, dans une bataille perdue d’avance aux vues de la supériorité numérique des Mexicains. Mais aujourd’hui, cette bataille donne lieu chaque année à une reconnaissance mutuelle du courage de l’autre ! Si ce fait d’armes a pu donner de l’eau au moulin nationaliste (tant du côté mexicain que du côté français), il est intéressant d’y revenir d’une manière plus distanciée.

Rappel historique:

Nous sommes en 1861, profitant de la passivité des États-Unis -empêtrés dans la guerre de Sécession- Napoléon III décide d’instaurer au Mexique “un grand empire catholique” qui serait l’allié de la France. Le non-paiement d’une dette contractée par le gouvernement libéral de Benito Juarez fournit aux français le prétexte idéal pour envahir “légitimement” le Mexique.

Son armée subissant de cuisantes défaites et étant constamment harcelée par la guérilla mexicaine, Napoléon III accède à la pétition formulée par des officiers de la légion étrangère lui demandant “l’honneur d’aller se faire tuer” pour la France au Mexique.

Le régiment dépêché sur place le 25 mars 1863 se voit alors confier la mission –ô combien dangereuse !- d’escorter des convois entre Veracruz et Puebla. Ce qui devait arriver arriva… Le 30 avril 1863 une poignée de légionnaires, reclus dans une hacienda de Camarón,  mènent une résistance désespérée contre près de 3000 mexicains.

La fin sera tragique. Après toute une journée de combats, submergés par le nombre des assaillants, les quelques survivants se rendent.

Chaque année le 30 avril, la France et le Mexique se livrent à une cérémonie pour commémorer le courage des soldats des deux nations qui ont combattu dans cette bataille. Une professeure locale, Amparo Molina, explique à Proceso que Camerone est l’un des seuls lieux où une armée étrangère vient célébrer une déroute, et où les deux pays partagent un fait militaire sans rancœur”. Un bel (et plutôt rare!) exemple d’amitié franco-mexicaine que nous donnent les militaires.

Pour aller plus loin : A voir: notre vidéo de la commémoration de cette célèbre bataille franco-mexicaine

Attention, ne pas confondre la bataille de Camerone et celle de Puebla, qui a eu lieu le 5 mai 1862. Le “cinco de mayo” est également célébré chaque année pour commémorer la bataille de Puebla au cours de laquelle les troupes de Zaragoza ont mis en déroute les envahisseurs français… Momentanément puisqu’en 1864 l’armée française a pris le Mexique, et maximilien de Habsbourg est devenu empereur.

30.04.2012

La ceremonia estuvo encabezada por el Secretario de Gobierno; asistió también el cónsul general de Francia en México, Gerald Martin

Camarón de Tejeda, Ver., 30 de abril de 2012.- Al encabezar la ceremonia del 149 aniversario de la Batalla de Camarón, el secretario de Gobierno, Gerardo Buganza Salmerón, señaló que el Gobierno del Estado es un convencido de la democracia como camino hacia la paz.

La mañana de este lunes, el funcionario estatal acompañado por el cónsul general de Francia en México, Gerald Martin, autoridades municipales e invitados especiales, depositó ofrendas florales y montó guardias de honor ante los monumentos erigidos a la memoria del coronel Francisco de Paula Millán, del coronel Francisco Talavera y en el Mausoleo Franco Mexicano.

En esta conmemoración, destacó la participación de elementos del Ejército y Marina mexicanos y cadetes de la Heroica Escuela Naval Militar, que dieron realce al desfile alusivo a este suceso histórico.

Al pronunciar un breve mensaje, el encargado de la política interna del estado destacó la alianza que hay entre Francia y Veracruz y la gran proximidad en los ámbitos educativo, comercial, turístico, cultural, artístico y científico.

“En Veracruz apreciamos la alianza con Francia, de sabiduría generosa y espíritu libre. Juntos sumamos esfuerzos a fin de consolidar una economía del conocimiento para crear empleos y competir con éxito”, dijo.

Además, puntualizó, se ha extendido el catálogo de empresas galas que invierten en Veracruz en sectores como petróleo, transportes, turismo y la tecnología de punta.

El Secretario afirmó que Veracruz se enriqueció con la aportación a la vida productiva de muchas familias francesas que inmigraron a estas tierras.

“Este fortalecimiento de relaciones entre Francia y Veracruz es un paso congruente con la historia, la cultura y la fraternidad”, dijo Buganza Salmerón, durante la ceremonia en la que estuvo el presidente municipal, Luis Hildeberto Palacios Ortega.

El funcionario estatal destacó la disposición de los gobiernos de Francia y México para ampliar los espacios de colaboración y el desarrollo de las relaciones entre ambas naciones.

“Juntos sumamos esfuerzos a fin de consolidar una economía del conocimiento para crear empleos y competir con éxito”, aseveró, y dijo que en colaboración han fortalecido el intercambio académico y cultural para formar ciudadanos con una educación de excelencia.

“Dentro de los hechos históricos que unen a la nación europea con el estado veracruzano, fue la creación de la Primera Alianza Francesa fuera de los límites del país y el respaldo para que se asentaran ciudadanos franceses en territorio veracruzano hace 177 años, lo que hoy se llama San Rafael”, subrayó el secretario.

Los asistentes a esta ceremonia recordaron que el 30 de abril de 1863 tropas mexicanas se enfrentaron a una brigada de la Legión Extranjera del Ejército francés durante la invasión a territorio mexicano.

Publié le mercredi 02 mai 2012

Le porte-drapeau Marcel Trouy a été médaillé lors de cette cérémonie

qui a rassemblé toutes les associations patriotiques du département,

ainsi que nombre d'officiels.

Parvis de la mairie paré de bleu-blanc-rouge, lundi matin dernier.
Représentant l'ensemble des associations patriotiques des Ardennes, une quarantaine de porte-drapeaux avait pris place tout autour du monument aux Morts de Vouziers, au cœur de la commémoration des combats de Camerone (Mexique), qui avaient vu « 60 légionnaires résister à plus de 2.000 Mexicains ».
À cette occasion, le lieutenant-colonel Roland Canivenq, délégué départemental du Souvenir français, a remis La Croix du combattant, à Marcel Trouy, porte-drapeau de l'association de Légion étrangère.

Publié le mercredi 02 mai 2012

Camerone : La pluie n'a pas empêché la foule d'admirer le défilé de la légion

La discipline et l'ordre aussi bien dans les gradins du Théâtre antique que

dans les rues d'Orange avant de rejoindre la base en traversant une foule

dense qu'il pleuve ou qu'il vente. Photo J-C.T.

enfants que les légionnaires guident et renseignent avec patience.

Photos b.s.

parcours du combattant adapté.

Cela faisait 4 ans que les 6 escadrons du Royal Étranger de Cavalerie n'avaient pas été rassemblés autour de leur chef de corps, le colonel Jean-Christophe Béchon, pour célébrer Camerone, ce haut fait d'arme au cours duquel, le 30 avril 1863, 65 hommes de 14 nationalités différentes, placés sous les ordres du capitaine Danjou, ont résisté, retranchés dans une auberge, jusqu'à la mort, à une armée Mexicaine de plusieurs milliers d'hommes. Ce combat fondateur pour la Légion Étrangère donne tout son sens à l'engagement des étrangers au service de la France et porte les valeurs des légionnaires.

20 décorations remises

La prise d'arme qui s'est déroulée dans le Théâtre Antique sous une fine pluie a été présidée par le Général de Corps d'armé Margueron, major général de l'Armée de Terre, en présence de nombreux invités civils et militaires parmi lesquels on reconnaissait plusieurs anciens chefs de corps du 1^er REC. Le Général de Corps d'armée Margueron et le colonel Jean-Christophe Béchon ont passé en revue les troupes mises en place dans un impeccable alignement sur les gradins du Théâtre après avoir rendu hommage à l'étendard du régiment porté par le lieutenant Pierre Néron-Bancel, chef de peloton au 2^e escadron et écouté le récit du combat de Camerone par lieutenant Hadrien Simonnet, chef de peloton au 3^e escadron. Le Général de Corps d'armé Margueron a ensuite procédé à la remise de décorations à 20 légionnaires avant que les légionnaires, tout grades confondus, d'actives, de réserve ou retraités n'entonnent le chant du 1 Royal Étranger de Cavalerie.

Cette célébration s'est terminée par le traditionnel défilé des troupes qui regagnent au pas cadencé leur quartier pour le plus grand plaisir des Orangeois une fois de plus très nombreux le long du parcours et ce malgré la pluie qui ne les a nullement découragé.

BSORBIER