AALEME

Légionnaire toujours...

  • Plein écran
  • Ecran large
  • Ecran étroit
  • Increase font size
  • Default font size
  • Decrease font size

2012


Castelnaudary. Confrérie : un chapitre exceptionnel aux Cheminières

Envoyer

Publié le 19/06/2012

Ce vendredi soir, nouveau chapitre/ Photo DDM, archives

Le colonel Talbourdel, du 4e RE, a proposé à la Confrérie du cassoulet d'être partenaire de la «Solidaire» initiée par la Légion et le 4e RE. Le 22 juin, à partir de 19h30, se déroulera le 152e chapitre de la confrérie dans le cadre prestigieux du château des Cheminières. Cette manifestation sera rehaussée par la présence de la musique de la Légion étrangère qui animera la première partie de la soirée et sera suivie d'une soirée dansante avec disc jockey.Ce chapitre sera dédié aux actions de la Légion et les intronisations des futurs dignitaires concerneront uniquement des officiers et sous-officiers de la Légion étrangère.Les Chauriens et les Lauragais auront à cœur de participer à cette manifestation.Philippe Solovieff, de l'auberge La Calèche à Peyrens, et Serge Villanueva, de La Crêpe, aux Crozes, seront les maîtres d'œuvre.

Mont-Blanc : mort d'un légionnaire

Envoyer

AFP Publié le 16/06/2012

Un légionnaire de 33 ans a fait une chute mortelle aujourd'hui à 3.600 mètres d'altitude dans le couloir du Goûter, une pente particulièrement dangereuse, menant au sommet du Mont-Blanc, a-t-on appris auprès de la gendarmerie.

La victime appartenait au 2e régiment étranger de génie de Saint-Christol (Vaucluse). Il effectuait cette sortie seul et à titre privé et a dévissé pour une raison inconnue, a précisé le peloton de gendarmerie de haute-montagne (PGHM) de Chamonix. Un guide de haute-montagne, qui empruntait ce couloir et a aperçu la chute, a donné l'alerte aux secours.

Passage obligé pour accéder par la voie normale au sommet du Mont-Blanc, le couloir du Goûter, baptisé "couloir de la mort", est un passage particulièrement dangereux en été en raison des nombreuses chutes de pierres. Dimanche dernier, sur le même itinéraire, un alpiniste de 65 ans qui venait de quitter le refuge du Goûter, était décédé à la suite d'une chute lors de la descente.


Castelnaudary. Fête de la musique et métissage de talents

Envoyer

Publié le 15/06/2012

Les responsables des associations qui organisent la fête de la musique avec les élus photo DDM L. K

Diversité de genre, de public, d'âge dont le plus jeune musicien a 14 ans telle sera la fête de la musique cette année couplée le 23 juin avec la traditionnelle fête de la St Jean.

Pour tous les goûts, pour tous les âges, le programme est dense et éclectique et la fête s'annonce belle

Elle débutera le 15 juin à 21h à la collégiale St Michel par un concert de Chœurs du Lauragais avec pour la 1ère fois l'»Ensemble des Musiques de l'Aude». Entrée 2€ pour les jeunes de moins de 18 ans.

Jeudi 21 juin, belle distribution de talents. Halle de Verdun de 18h à 22h, l'école intercommunale de Castelnaudary et du Bassin Lauragais sous la direction de Bernard Grimaud commencera par du jazz. 20h15 batterie puis l'orchestre instrumental et la chorale. Place de la République dès 19h, une scène ouverte à la diversité: concerts Rock et Reggae avec «The Bricks», «Green Zone», «One Way» et le «11 Commandement» (musique actuelle, performances vocales), démonstration de danse Hip-Hop avec les jeunes du service enfance et jeunesse et du FJEP, danse orientale et danses polynésiennes.Jardins de la mairie, repas couscous par l'association Jasmin (inscription 06 21 55 47 27)

Vendredi 22 juin ,21h, nocturne cycliste de la St Jean avec le Cyclo Lauragais Castelnaudary

Samedi 23 juin,

la Solidaire de la Légion et la fête de la Saint Jean,

Place de la République de 14h à 18h: présentation de l'épreuve cyclo-sportive caritative de la Légion suivie du grand concert gratuit de la musique de la Légion étrangère. La fête de la Saint- Jean commencera place de la Liberté à 11h30 par le repas des Sympathisants du Faubourg (réservation pour le midi et le soir 04 68 23 11 38) suivi d'une animation musicale. A 18h, nos amis rejoindront le comité des fêtes place de la République pour une grillade géante (apporter sa viande) suivie du feu de la St Jean et d'un bal avec Epsylon. Halle de Verdun à partir de 21h concert des groupes de musique actuelle.

Dimanche 24 juin, sous la halle de Verdun 16h30 tango, valse et milonga, folklore argentin et bal par l'association Tangueros. 17H à la collégiale concert de chant, trompettes, orgues avec la soprano M. L. Rivière, l'organiste D. Baube et le trompettiste H. Feraud


Sans son médaillon, le légionnaire Accou serait tombé dans l'oubli

Envoyer

Publié le 13/06/2012

Il y a trois ans, au pied d'une croix du carré militaire d'Emmerin, Sébastien Denneulin a trouvé un médaillon en faïence présentant le portrait d'un légionnaire, celui de René Accou, Emmerinois qui n'a plus aucune famille. Parce que la tradition veut que leur corps d'armée « n'abandonne jamais les siens », les légionnaires de Lille sont venus eux-mêmes lui réaménager une véritable sépulture. 

Une cérémonie voulue intime par le maire et

les responsables lillois de la Légion étrangère.

« Cela me faisait mal de voir cette tombe du carré militaire abandonnée depuis si longtemps », commence Sébastien Denneulin, conseiller municipal d'Emmerin, délégué au devoir de mémoire, mais surtout passionné d'histoire. Particulièrement la Première Guerre mondiale, au point de consacrer ses vacances d'été à fouiller le sol de champs de bataille dans les Ardennes françaises sous la houlette d'Yves Desfossés, conservateur régional de l'archéologie de Champagne-Ardenne. Alors bien sûr, lorsqu'il a découvert à fleur de terre ce qui ressemblait à un médaillon de faïence sur lequel on devinait un portrait... « Cela n'était pourtant pas la preuve qu'il s'agissait bien de celui du soldat Accou  », alerte l'Emmerinois. Ce nom était inscrit sur la croix, mais « le médaillon pouvait bien avoir été jeté là par hasard  ».

Une chose était sûre : « l'homme qui figurait sur ce médaillon portait bien la coiffe blanche caractéristique du légionnaire  ». Sébastien Denneulin a alors recherché sur le site internet du ministère de la Défense, mémoiredeshommes, les traces d'un légionnaire nommé René Accou. Il en a retrouvé un, né à Liévin et le 18 avril 1923, et mort le 4 juillet 1947 en Cochinchine, à l'hôpital Mytho, des suites d'une maladie. Le rapprochement pouvait être fait.

Malgré de multiples recherches, y compris à Liévin, Sébastien Denneulin ne lui a retrouvé aucune famille encore vivante. Il a simplement appris que son père, mort à Emmerin dans les années 60, vivait seul, et qu'il avait demandé le rapatriement du corps de son fils dans la commune. Mais cela n'a pas arrêté Sébastien Denneulin : « Ce soldat mort à 22 ans méritait une vraie sépulture. »

Mouiller la chemise

Après avoir pris conseil auprès de l'adjudant Jean-Pierre Buyse commandant le bureau du recrutement lillois de la Légion, l'élu emmerinois a fait une demande auprès du Service du moral et foyer d'entraide de la Légion, tout en écrivant au général Louis Pichot de Champfleury, à Aubagne. Il reçut une réponse, presqu'un engagement de financement, s'il s'avérait que le soldat Accou se trouve réellement sans famille.

Mais il a fallu attendre l'an dernier pour que les choses se débloquent. Sébastien Denneulin est retourné au bureau de recrutement lillois avec tous les documents démontrant que le soldat Accou était effectivement orphelin. Le nouveau responsable du bureau de recrutement, l'adjudant Dimitri Leloup, s'est alors senti dans l'obligation de respecter l'engagement... au point de participer lui-même, et avec ses hommes au chantier. « Ils sont venus creuser, faire le béton, peindre l'entourage », s'étonne encore Sébastien Denneulin, qui n'a pas pu faire autrement que de mouiller lui aussi la chemise.

En toute intimité, les quatre membres du bureau de recrutement, les élus et les porte-drapeau du secteur sont venus se recueillir vendredi, devant cette toute nouvelle sépulture.

La légion étrangère prend d'assaut les batteries de Maisy - Grandcamp-Maisy

Envoyer

samedi 09 juin 2012 


Exercice grandeur nature pour deux cents légionnaires de Castelnaudary sur les sites du Débarquement. Après avoir participé aux cérémonies officielles à Ranville et Hermanville mercredi, le 4 e régiment étranger a réalisé différentes missions d'entraînement. « Cette opération se déroule sur 24 heures aux batteries de Maisy et de Longues-sur-Mer. Ici c'est un site exceptionnel, il est resté dans l'état. Surtout, c'est une structure défensive, un lieu militaire qui a un intérêt tactique, très difficile à prendre », explique le capitaine Dartoux.

Le groupe est constitué de jeunes légionnaires qui sortent du civil et ont obtenu leur képi blanc voici quelques semaines. Les autres sont en instruction des cadres. « Ils ont déjà deux à trois ans de service mais sont en formation pour monter en grade jusqu'aux sous-officiers ». Dès l'après-midi, un groupe de 26 légionnaires a investi les batteries de Maisy et mis en place des défenses et des postes d'observation. « Dix-neuf autres sont actuellement mission d'observation et de renseignement ».

Évacuation des civiles

Dissimulés dans la végétation, les légionnaires sont discrets et réalisent une approche sans se faire repérer. « Soixante légionnaires vont ensuite donner l'assaut pour prendre les bunkers et le poste de commandement ». De la tombée de la nuit jusqu'au matin les militaires ont défendu et repris les batteries. Le bilan de l'opération a été comparé avec la prise des batteries par les Rangers en juin 1944. « Il y a aussi des missions d'évacuation des blessés. L'opération se fait avec des tirs à blanc, dans des conditions réelles de combat ». Des hélicoptères devaient apporter un appui tactique mais les conditions météo n'y étaient pas favorables. Pour les légionnaires, de cinquante nationalités différentes dans le 4 e régiment, cette opération en Normandie est aussi l'occasion de connaître l'histoire du pays pour lequel ils se sont engagés.

C'est une autre mission qui leur est assignée vendredi avec l'évacuation du lycée de Carentan. « C'est une de nos spécialités que nous sommes amenés à réaliser assez régulièrement. L'évacuation de civile est un entraînement complexe qui nous met face à la réaction des gens ». Cette semaine passée en Normandie est terminée, les conclusions seront revues et analysées pour service dans la formation des légionnaires.


Bir Hakeim Victoire contre le destin

Envoyer

Publié le 08/06/2012

C'était il y a soixante-dix ans. La victoire des Français libres contre les troupes de Rommel, dans le désert de Libye, marquait un tournant. Stratégique, mais aussi psychologique.

Je remercie le messager, le congédie, ferme la porte. Je suis seul. Oh! coeur battant d'émotion, sanglots d'orgueil, larmes de joie.» Voilà en quels termes le général de Gaulle décrira, dans les Mémoires de guerre, sa réaction à la visite d'un officier de liaison britannique venu l'informer qu'après quinze jours d'un siège infructueux, mené par les forces dix fois plus nombreuses du général Rommel, la 1re brigade française libre du général Pierre Koenig était parvenue à évacuer, par surprise, la position fortifiée de Bir Hakeim. Quinze jours de combat sans merci entre la matinée du 27 mai et la nuit du 10 au 11 juin 1942. Et donc, il y a soixante-dix ans, une victoire arrachée de haute lutte qui allait résonner, au-delà de ses conséquences militaires, comme le symbole d'une résurrection. Jusqu'à cette terrible bataille en plein désert libyen, à 65 kilomètres de la Méditerranée et à 85 au sud-ouest de la forteresse de Tobrouk, prise aux Italiens par les Anglais en janvier 1941, beaucoup croyaient, en effet, la France engloutie à jamais dans les tourmentes de la Seconde Guerre mondiale ; or, voilà qu'elle ressurgissait au travers d'un fait d'armes particulièrement glorieux.Hitler lui-même ne devait d'ailleurs pas s'y tromper, qui déclarait aussitôt à son entourage: «Il nous faudra absolument, après la guerre, nouer une alliance capable de contenir un pays capable des prouesses militaires qui étonnent le monde comme à Bir Hakeim.»Bir Hakeim: un plateau de calcaire plat, des ondulations, quelques cuvettes peu profondes. Pas d'eau, même si s'y trouvaient encore les restes desséchés d'une vieille citerne probablement romaine (bir signifie puits ou citerne souterraine). Mais un emplacement stratégique à l'extrême sud du dispositif de la VIIIe armée britannique - les fameux Rats du désert - pour protéger Tobrouk et barrer à Rommel la route du canal de Suez, artère vitale de l'Empire britannique.

Koenig contre Rommel: deux généraux face à face

Erwin Rommel, un stratège encore contesté aujourd'hui, mais un tacticien hors pair, entraîneur d'hommes sans pareil. Et en face de lui, Pierre Koenig, né en Normandie, le 10 octobre 1898, fils d'un facteur d'orgues alsacien. Koenig, dont le biographe Dominique Lormier, membre de l'Institut Jean-Moulin (1), rappelle qu'élevé dans le culte des valeurs patriotiques il s'était engagé, en avril 1917, dans le 36e régiment d'infanterie et que, de simple soldat, ce volontaire sorti du rang allait atteindre le grade de sous-lieutenant, quelques jours avant ses 20 ans. Autant dire que, ancien de la Grande Guerre, le chef des défenseurs de Bir Hakeim comprenait la nécessité d'un système fortifié efficace. Ce système qu'un officier du génie injustement oublié, le capitaine André Gravier, allait bâtir à base de points d'appui judicieusement répartis, de champs de mines et de consignes données aux hommes: creuser, creuser encore, creuser toujours le calcaire dur, gris ou jaunâtre... La rage et le courage des soldats, leur volonté d'affronter l'Allemand pour la première fois depuis 1940, l'énergie des chefs et l'inévitable sens français de la débrouillardise (ces vénérables pièces de 75 arrimées derrière les bâches de camions transformés en canons automoteurs!) allaient faire le reste.Les combattants? Le futur Premier ministre Pierre Messmer, qui fut des leurs à la tête d'une compagnie de la Légion, les décrira ainsi dans ses Mémoires: «Français et étrangers au service de la France, tirailleurs de l'Oubangui et d'Afrique du Nord, marsouins de Tahiti et de Nouvelle-Calédonie, artilleurs, tringlots libanais, syriens, malgaches.»

Des soldats qui refusaient de baisser la tête

Pourquoi se battent-ils? Parce que la France n'est pas morte, qu'elle ne demande qu'à revivre. Parce qu'ils refusent de baisser la tête, comme l'exige le gouvernement de Vichy. «Pour la liberté», résumera sobrement le légionnaire croate Mamuric, avant d'aller mourir pour elle aux côtés de son copain républicain espagnol, Dominguez. Voilà comment 3 700 soldats français, aidés par 100 de leurs camarades britanniques (sans oublier les aviateurs de la RAF et les servants des convois de ravitaillement), vont tenir tête, dans des conditions dignes de la bataille de Verdun, à un corps d'armée composé des meilleures troupes allemandes, mais aussi italiennes. Trois mille sept cents combattants, dont 2 800 seulement parviendraient à regagner les lignes anglaises, à l'issue d'une charge nocturne héroïque et désordonnée. Et une moisson d'exploits, mais aussi de traits d'humour - restons Français! -, dont François Broche rend compte dans son récit minutieux de la bataille (2). Un texte étonnamment précis et dépassionné, quand on sait que le propre père de l'auteur, le lieutenant-colonel Félix Broche, commandant du bataillon du Pacifique, y trouva une mort glorieuse.Ces hommes ne s'étaient pas battus pour rien. Conjugué à l'entêtement plus politique que militaire de Rommel d'en finir avec ces «diables de Français», leur sacrifice allait donner aux Britanniques le temps nécessaire pour rameuter des troupes fraîches. Et malgré leur effondrement des 20 et 21 juin à Tobrouk (33 000 prisonniers anglais en quelques heures!), les Rats du désert allaient arrêter, une fois pour toutes, les forces de l'Axe à el-Alamein. Consacrant de manière éclatante la renaissance française, Bir Hakeim imposait aussi, après les combats contre les Italiens menés par Leclerc ou ses camarades d'Erythrée, une armée en voie de reconstitution aux côtés des Alliés. De Gaulle le savait qui, dès le 12 juillet 1942, transformait les Forces françaises libres en France combattante. Sur le chemin encore long de la Libération, une page se tournait. - (1) Koenig, l'homme de Bir Hakeim, de Dominique Lormier, Editions du Toucan, 358 p., 22 ü. (2) Bir Hakeim, de François Broche, Perrin, «Tempus», 230 p., 8,50 ü.


Exercice de lutte contre la piraterie

Envoyer

Jeudi 07 juin 2012

La coopération entre les armées malgaches et françaises reprend avec une manœuvre militaire d'une semaine. La lutte contre les pirates écumant la zone est un thème tout trouvé.
La capitale du Nord est en effervescence depuis le samedi 2 juin, jour où le bâtiment de transport léger (Batral) La Grandière, de la marine nationale française, a fait une magnifique entrée dans la rade.
Le navire militaire est venu débarquer des éléments du détachement de la Légion étrangère stationnée à Mayotte, en vue de participer à l’exercice bilatéral, avec les forces armées malgaches, de lutte contre la piraterie. D’autres militaires de La Réunion des FAZSOI (Forces armées de la zone sud de océan Indien), transportés par avion transall sont aussi arrivés.
La Grandière sera appuyée par un avion, un hélicoptère, des véhicules, et hébergera 132 militaires jusqu'au vendredi 8 juin.
Action menée conjointement par l'Armée nationale et les FAZSOI, des officiers malgaches seront intégrés au commandement et à la conduite des opérations.
« Plus de 300 soldats malgache et français sont mobilisés à cet exercice d'une semaine », a indiqué le capitaine de corvette Patrice Martin, commandant de La Grandière lors de sa rencontre avec le chef de la région Diana, Romuald Bezara, samedi.
Échanges tactiques
Cet exercice d’ampleur, baptisé « La Buse » concrétise la reprise de la coopération et des relations bilatérales et interarmées entre les deux pays, coopération mise en veilleuse depuis plus de trois ans. En fait, c’est le premier exercice organisé après « Sava » en 2004, « Saphir » en 2005, « Makalioka » en 2006, et « Diana » en 2007.
La manœuvre militaire propose « plusieurs activités de coopération, notamment dans le domaine de la lutte contre la piraterie, les moyens de communication de crise, la capacité à projeter une force en intervention ».
La Grandière rejoindra alors son port d’attache, Port-des-Galets sur l'île de La Réunion, lundi prochain, au terme d’une semaine d’échanges tactiques, techniques et humains fructueux.
Ainsi, les militaires français des FAZSOI et les forces armées malgaches étoffent leurs connaissances, renforcent leurs liens de coopération et fortifient leur partenariat, surtout dans la lutte contre la piraterie dans l’océan Indien.
Raheriniaina

Niyonizigiye assure le doublé

Envoyer

Par LAURENT BODET Publié le 04/06/2012

Partis sous la pluie battante, Abel Ndemi, futur 2e, Josephat Muraga, 3e, et Jean-Claude Niyonizigiye, vainqueur, choisissent une course d'équipe

prudente pour assurer le triplé devant Nicolas Fernandez. © L. BODET

COURSE A PIED Semi-marathon d'Oloron

Le départ s'effectue sous une pluie battante et refroidit les velléités de performance des leaders. Sachant que le record est inaccessible (1h01'57), les trois athlètes de la légion étrangère, Jean-Claude Niyonizigiye, le Burundais, Abel Ndemi et Josephat Muraga, les Kenyans, décident de jouer la prudence. « La route était glissante et il fallait faire attention dans les virages, explique Niyonizigiye. Nous avons décidé de courir ensemble et de nous départager dans la ligne droite finale ».

De fait, le temps est loin des standards habituels à Oloron avec les trois coureurs qui finissent en 1h08. Niyonizigiye, qui dépose Ndemi et Muraga, empoche sa 2e victoire consécutive. Il a même promis aux organisateurs de revenir l'an prochain pour chercher le triplé...

Derrière, Nicolas Fernandez s'accroche. Le Toulousain a déjà couru en 1h07. Pour lui, le rythme n'est pas trop rapide mais « comme ils imprimaient des à-coups, j'ai préféré courir à ma main à partir du 7e ». Passé au sommet de la côte de Bidos avec 15 secondes de retard, il a gardé les Africains en ligne de mire et passe au final sous les 1h10. L'Aveyronnais Damien Bévenot du Team12 prend la 5e place juste devant... des Béarnais !

« Très déçu du Petit Aussalès la semaine dernière », André Arricau s'est décidé à participer la veille, pour prendre une revanche sur lui-même. Le Mourenxois mène le bal des locaux avec Raphaël Iglésias, qui abandonne au 6e, victime de crampes. En 1h13mn51s, Arricau termine 6e et 1er vétéran. Suivent, dans l'ordre et sous les 1h16, Maxime Cazajous, Eric Larripa, Laurent Traille et Philippe Lambin.


Cross : l'équipe de la Légion étrangère d'Aubagne va être dissoute

Envoyer

Publié le mercredi 30 mai 2012

L'équipe de cross de la Légion étrangère d'Aubagne va être dissoute. Le recrutement étant en fait stoppé, l'effectif de l'Athleg est voué à disparaître petit à petit. Une grande déception pour ce club archi dominateur au niveau national ces dernières années.


Escorte navale: la firme Typhon prête à déployer trois navires au large de la Somalie

Envoyer

30.05.2012


Les dirigeants de la société l'avaient annoncé en novembre dernier: la firme britannique Typhon va prendre livraison de trois navires rapides qui assureront des escortes de bâtiment marchands dans l'océan Indien. 

Pour l'anecdote, à la tête du conseil d'administration de Typhon, on trouve Simon Murray, un ancien de la Légion étrangère!

Typhon contre Convoy Escort Program, la société mise en place par Jardine Lloyd (cliquer ici pour lire le post que je leur ai consacré fin 2011)): la compétition va être chaude. Qui sera le premier à offrir les prestations promises? Des prestations qui n'impliquent pas l'embarquement d'équipes de protection, option jugée périlleuse pour les équipages marchands, mais le déploiement d'embarcations rapides pour escorter les navires vulnérables.


Typhon, société immatriculée aux EAU et qui emploie d'ex-Royal Marines, est dirigée par Anthony Sharpe, un homme d'affaires touche à tout qui a réussi un tour de table initial de 15 millions de livres, avant de réussir à rallier à son projet une poignée d'anciens militaires de haut rang: le général Dannat (ancien CEM britannique), l'amiral américain Ulrich, le général britannique Deverell qui a commandé la zone Nord de l'Otan... A ces galonnés s'ajoute un ex-caporal-chef de la Légion (voir photo ci-dessus): Simon Murray, 72 ans dont 5 sous le képi blanc (de 1960 à 1965), PDG de Glencore et désormais président du CA de Typhon.

Page 16 sur 34

Traduction

aa
 

Visiteurs

mod_vvisit_countermod_vvisit_countermod_vvisit_countermod_vvisit_countermod_vvisit_countermod_vvisit_countermod_vvisit_countermod_vvisit_counter
mod_vvisit_counterAujourd'hui1898
mod_vvisit_counterHier3882
mod_vvisit_counterCette semaine32836
mod_vvisit_counterSemaine dernière61927
mod_vvisit_counterCe mois74452
mod_vvisit_counterMois dernier189579
mod_vvisit_counterDepuis le 11/11/0920123367

Qui est en ligne ?

Nous avons 1287 invités en ligne

Statistiques

Membres : 17
Contenu : 14344
Affiche le nombre de clics des articles : 43056972
You are here PRESSE XXI° 2012