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Légionnaire toujours...

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2017




Noël, la fête de la famille Légion

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https://www.ladepeche.fr/

Publié le 25/12/2017

L'esprit de Noël, à la Légion, est ancré dans les traditions. Où qu'ils soient, à Noël, tous les légionnaires font leur crèche pour la fête de la famille Légion, formidable exemple de cohésion et d'intégration.

«Chaque légionnaire est ton frère d'armes, quelle que soit sa nationalité, sa race, sa religion. Tu lui manifestes toujours la solidarité étroite qui doit unir les membres d'une même famille…» C'est inscrit dans le code d'honneur que tout légionnaire récite haut et fort quand il coiffe son képi blanc. La Légion étrangère est une grande famille, une famille qui se retrouve à Noël autour des traditions de l'institution et, parmi elles, les crèches que tous les légionnaires, où qu'ils soient dans le monde, fabriqueront de leurs mains. Au «4», régiment école de Castelnaudary, commandé par le lieutenant-colonel de Roffignac, on sacrifie à la tradition. Pour les jeunes engagés volontaires, c'est leur premier Noël à la Légion. Ici, quelque 120 nationalités et des jeunes gens venus des quatre coins du monde, qui ont choisi de servir la France et ses valeurs, se retrouveront loin de chez eux et de leurs proches. Ils fêtent Noël avec leur nouvelle famille. Les cadres sont là, qui,eux, ont passé la veillée avec leurs hommes. «Ce soir-là, la parole se libère, les cœurs s'ouvrent», rapporte ce lieutenant de la compagnie de commandement et des services (CCS). Lui, c'est son vingt-huitième Noël à la Légion. Son premier, il s'en souvient comme si c'était hier. «C'est gravé à tout jamais, et cela vous suit», confie-t-il. «Aujourd'hui, je transmets ce que j'ai reçu. C'est aussi notre devoir d'être auprès des jeunes. Noël, c'est être ensemble pour la famille Légion». La CCS a fait sa crèche. Elle évoque le centenaire de la Grande Guerre. La section de fortes têtes a mis l'accent sur un son et lumière et misé sur la simplicité. Il faut séduire le jury qui passera le 24. On joue notamment sur l'émotion, mais pas seulement. De nombreux critères sont retenus.
À la seconde compagnie, c'est le premier Noël du jeune lieutenant arrivé en août dernier, de l'école d'application de l'Infanterie au «4». «Il est de tradition que la conception de la crèche soit confiée au lieutenant de première année», souligne-t-il, expliquant avoir proposé le thème de la Grande Guerre au commandant d'unité, qui l'a validé. «Nous les faisons avec ce que nous avons sous la main. Le légionnaire est un combattant et un bâtisseur. Nous sommes tous un peu charpentier, maçon et même informaticien», explique l'officier de la CCS. Dans chacune des compagnies du 4e régiment étranger, tous les talents ont été mis à contribution. la Légion en est une source inépuisable. «L'instruction continue, il y a les challenges sportifs, mais ils s'investissent à fond sur leur temps libre», confie le jeune lieutenant de la seconde compagnie, soulignant comment tout a été réalisé avec du matériel de récupération. Ici, on a travaillé tous les plus petits détails des deux tableaux, où l‘on racontera les tranchées, en 1917, et Noël, cinquante ans plus tard. Là aussi, racontée avec infiniment de délicatesse. Parce que sous l'uniforme de ces soldats d'élite, bat un cœur d'homme…
Une tradition qui remonte aux origines

Noël, c'est la fête de la famille légionnaire, dont le but est de renforcer les liens entre les plus jeunes et les anciens. Chacun recevra un cadeau, le soir de la veillée, moment fort de la fête, au repas, entrecoupé de saynètes où, souvent, les cadres sont mis en scène et taquinés. Très vite après sa création en 1831, la Légion étrangère adopta Noël. Pour la Légion, famille d'accueil pour tous ces hommes venus du monde entier, il semblait naturel d'intégrer cette fête à son patrimoine. Ces jeunes gens, qu'ils soient en rupture familiale, professionnelle, psychologique ou autre, trouvent ici une nouvelle chance. C'est l'Espérance, symbole de Noël.


Gladys Kichkoff


Susan Travers, la « Miss » de la 13e DBLE

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https://www.journaldemillau.fr/

Le 18 mars 2010, Simone Veil a été reçue à l’Académie Française pour occuper le fauteuil laissé vacant par Pierre Messmer. Selon la tradition, elle a fait l’éloge de son prédécesseur.

En retraçant le parcours de l’ancien premier ministre, elle a évoqué ses exploits à Bir-Hakeim en se référant aux écrits d’un témoin de la bataille. Simone Veil en cite un passage : « Notre calvaire commença une nuit de pleine lune, en mai, quand retentirent des tirs d’armes lourdes, juste avant l’aube. Au nord le ciel flamba brusquement et on entendit des salves sporadiques et des explosions ». Elle poursuit : « Ces lignes sont signées de l’adjudant Travers, Susan Travers. Oui, vous avez bien entendu : Susan Travers, légionnaire matricule 22.166. Une femme à la Légion étrangère ? Vous le savez mieux que quiconque, il arrive que des institutions soient créées et vivent longtemps, composées exclusivement d’hommes. Un jour une femme survient, et le visage de cette institution s’en trouve subitement modifié. C’est ce qui est arrivé à la Légion, quand Susan Travers, jeune Britannique engagée dans la France libre, devint chauffeur du général Kœnig ».

Lire la suite dans le Journal de Millau du 22 décembre


Larzac : la Légion invite à découvrir ses crèches demain

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https://www.centrepresseaveyron.fr/

24 déc. 2017

Larzac : la Légion invite à découvrir ses crèches demain

C’est la deuxième année consécutive que ce rendez-vous est proposé aux Aveyronnais.

 

Le 25 décembre, de 14 h 30 à 17 h 30, les cadres et légionnaires de la Phalange magnifique présenteront aux Aveyronnais, les crèches qu’ils ont confectionnées à l’occasion des festivités de Noël.

Pour la deuxième année consécutive, le public pourra découvrir les trésors d’imagination et de créativité qui caractérisent les légionnaires dans la réalisation de ces « petits théâtres », symboles de cohésion et de fraternité. Cette année, dix crèches seront présentées.

L’occasion de passer un agréable moment en famille, le jour de Noël, en partageant la chaleur humaine d’une tradition incontournable de la Légion étrangère.


Les Baux-de-Provence : il était une fois la bûche calisson de Baumanière

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https://www.laprovence.com/

Jeudi 21/12/2017

Pour les fêtes, le chef pâtissier de l'établissement deux étoiles au Michelin propose une création inédite, hommage à la gourmandise de Provence

Les Baux-de-Provence : il était une fois la bûche calisson de Baumanière

Entouré de sa seconde Julie Le Gall (à g.), de Luna Degioanni (apprentie) et de Thomas Maison (commis), le chef pâtissier de l'Oustau de Baumanière, Brandon Dehan. Photo Valérie Farine

 

La haute couture a la fashion week, la pâtisserie a la bûche de Noël. Cela pourrait quelque peu surprendre les néophytes mais c'est bien la métaphore qu'il convient. Chaque année, les pâtissiers rivalisent de créativité et d'originalité pour revisiter la traditionnelle bûche de Noël et sortir de l'ordinaire. "Tous les grands pâtissiers créent une bûche de Noël. C'est en quelque sorte leur signature." La présentation de leurs créations restant toujours un moment très attendu. Un événement même.

À quelques jours du réveillon du 24 décembre, l'Oustau de Baumanière, deux étoiles au guide Michelin, nous a ouvert les portes de sa cuisine où officie, depuis deux ans, Brandon Dehan. À tout juste 24 ans, ce chef pâtissier au CV impressionnant -- il a commencé la pâtisserie à 14 ans -- est déjà passé par nombre d'adresses aussi prestigieuses les unes que les autres. Avant d'être appelé au Val d'Enfer, Brandon Dehan a fait ses armes, entre autres, à l'auberge de Pont-L'Évêque (son village natal), à l'auberge du Jeu de Paume à Chantilly, au Relais Bernard Loiseau à Saulieu ou bien encore à l'auberge des Glazicks à Plomodiern.

Aujourd'hui, visiblement très heureux de travailler "dans l'une des maisons les plus réputées au monde", Brandon Dehan ne cache pas son ambition : "aller chercher la troisième étoile avec le chef Glenn Viel". "Il y a une véritable ligne conductrice entre sa cuisine et ma pâtisserie, nous sommes réellement complémentaires", lâche-t-il avant d'insister sur "l'identité". Celle d'une carte, celle d'un lieu.

Et aussi Baux-de-Provence : la boulangerie de Baumanière ou les coulisses de l'excellence

Pour ce Picard, fils et petit-fils de légionnaire (ça donne le ton) issu d'une grande famille, "un repas de Noël ne s'imagine pas sans une bûche". Mais pas question de se laisser aller à la facilité. Après avoir créé l'an dernier une bûche olive (chocolat noir, huile d'olive et citron), le chef pâtissier de Baumanière réitère cette année avec la bûche calisson, une création inédite et en édition limitée qui rend hommage à cette gourmandise de Provence.

À l'extérieur, un calisson (version grand format) aux lignes douces. À l'intérieur, ou plus précisément au coeur, un calisson aussi. Du pain de Gênes (amande et melon confit), de la crème de calisson, une fine gelée à l'orange (légèrement acidulée pour donner du peps à ce dessert), une mousse à l'amande amère, une mousse calisson et fleur d'oranger, le tout reposant sur un croustillant aux amandes de Provence. Des accords savoureux à déguster à l'assiette au restaurant de l'Oustau de Baumanière ou chez soi puisqu'il est possible de commander cette bûche calisson.

Réservations au 04 90 54 56 54 ou Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir. . Tarif : 70€ pour 6 personnes.

Un peu d'histoire

La bûche de Noël en pâtisserie aurait été "inventée" au milieu du XIXe siècle, mais ce n'est que vers les années 1950 qu'elle aurait figuré au menu de nombreuses familles, quand les moyens de chauffage ayant changé, les poêles ont pris de plus en plus la place des cheminées. La bûche de Noël glacée est beaucoup plus récente.

Autrefois, en Provence (et, avec des variantes, en général dans toutes les régions de France), le soir de Noël, une bûche provenant d'un arbre fruitier, symbole de la famille, était solennellement portée dans la cheminée par l'aïeul et le plus jeune de la famille. Après avoir fait trois fois le tour de la cuisine ou de la maison, arrivés devant la cheminée, le grand-père versait par trois fois du vin cuit (à Arles, de l'huile d'olive) sur la bûche en disant : "Alègre ! Alègre ! Alègre ! Que Noste-Segne nous alègre ! S'un autre an sian pas mai, moun Diéu, fuguen pas mens !" ("Allégresse ! Allégresse ! Allégresse ! Que Notre-Seigneur nous comble d'allégresse ! Si une autre année,nous ne sommes pas plus, ô mon Diéu, que nous ne soyons pas moins !")

Puis, le grand-père mettait la bûche sur les chenêts, et, au premier jet de flamme, en faisant le signe de croix, il disait : "Cacho-fiò, Bouto fiò ! À la bûche Boute feu !" Quand le feu brûle bien, cela annonçait une bonne année.

La bûche portait un nom différent selon les régions. Ainsi, dans le Territoire de Belfort, elle s'appelait trontcho ; en Aunis et Saintonge : cosse de Nau ; en Auvergne et Velay : souco ; en Béarn : catsaou ; en Gascogne : Turro de Nadal ; en Rouergue : souquo naudolenquo ; en Pays chartrain : tréfué (elle devait brûler trois jours); en Picardie : choque ; à Lodève : Souc de Noué ; à Fours, dans les Alpes : charendon, etc..


A la Légion étrangère, gare à celui qui voudrait faire disparaître les crèches de Noël !

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https://www.medias-presse.info/

par 20 décembre 2017

Malgré les controverses entretenues par quelques ayatollahs de la laïcité, il subsiste au moins un endroit où la crèche de Noël fait l’unanimité. C’est au sein de la Légion étrangère !

La Légion étrangère accueille pourtant des hommes de nations et de croyances différentes. Mais tous prennent un véritable plaisir à se retrouver autour des crèches de Noël qui, dans chaque régiment, font l’objet d’un concours. Chrétiens ou non, les légionnaires ne se font pas prier pour participer à la confection de ces crèches de Noël.

La Légion étrangère est une famille et les crèches de Noël font partie de ses traditions. « Sur une caisse de munitions, sous un arbre du voyageur, à l’abri d’une dune, ou dans les caves du régiment… » Bien fou celui qui voudrait y mettre fin !


Cent dix convives au Lagon

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https://www.nicematin.com/

Publié le 20/12/2017

Viviane Passeggi Gibert (Ordre national du Mérite, présidente du Comité de Cannes), Marc Durst (représentant Mougins), Guy Villalonga (adjoint Mandelieu), Sébastien Leroy, Jean-Pierre Bontoux, Jean-Louis Bianchi.

Viviane Passeggi Gibert (Ordre national du Mérite, présidente du Comité de Cannes), Marc Durst (représentant Mougins), Guy Villalonga (adjoint Mandelieu), Sébastien Leroy, Jean-Pierre Bontoux, Jean-Louis Bianchi. Gilles Massé


L'Amicale des Anciens de la Légion étrangère du bassin cannois a organisé son repas de Noël au Lagon.


À la Légion, la crèche met tout le monde d’accord

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https://www.ledauphine.com/

Publié le 19/12/2017

Le colonel Guillaume Dujon, chef de corps du 2 e régiment étranger d’Aubagne, explique que « la crèche est la symbolique communautaire et familiale.» Photo Le DL / Patrick ROUX

À la Légion étrangère, la crèche de Noël n’est pas une affaire de religion.  Mais de tradition et de fraternité familiale.  Chrétiens, musulmans, juifs, orthodoxes, ou athées, tout le monde s’y colle.

et si la Légion étrangère était une école de la tolérance et du bien vivre ensemble ?  Voilà qui peut surprendre tant cette unité combattante est peuplée de costauds prêts à défendre chèrement le drapeau français.  De grands soldats.

Il n’empêche qu’ils pourraient donner bien des leçons.  Le code d’honneur du légionnaire est riche d’enseignements. Sur la solidarité, sur la fraternité, au-delà des confessions… Alors le débat qui depuis quelques années nourrit les positions dogmatiques des uns et des autres sur la présence des crèches dans le hall des mairies, passe au-dessus du képi blanc des légionnaires.

Partout où ils sont, ils font la crèche.  Mohammed fait la crèche, Simon fait la crèche, Adesh fait la crèche, Jean fait la crèche.  Sur une caisse de munitions, sous un arbre du voyageur, à l’abri d’une dune, ou dans les caves du régiment…

À lire en dernière page des éditions de ce mercredi


Une classe défense sécurité globales créée au collège

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https://www.ladepeche.fr/

Publié le 16/12/2017

Les élèves de 3e A du collège ont échangé avec M. le colonel Aubry et le capitaine Pepe, de la 13e DBLE du Larzac./  Photo DDM

Les élèves de 3e A du collège ont échangé avec M. le colonel Aubry et le capitaine Pepe, de la 13e DBLE du Larzac./ Photo DDM

 

Sous le sigle CDSG (classe défense sécurité globales) s'exprime partout en France un lien renouvelé entre le monde de l'éducation et celui de la défense nationale.

En Aveyron, où cette structure n'existait pas, l'installation de la 13e DBLE (demi-brigade de légion étrangère) sur le Larzac a permis d'aboutir en octobre 2017 à la signature d'une convention entre M. Gilbert Cambes, DASEN, le chef de corps le colonel Percie du Sert et le principal du collège M. Perez.

Une leçon d'histoire contemporaine

Ne nous y trompons pas, il s'agit dans le cadre de la réforme du collège d'actions à visée pédagogique en liaison étroite avec les programmes d'histoire et d'éducation civique, Mme Sophie Amans-Gisclard, professeur d'histoire en charge de ce projet, cite ainsi les thèmes de la défense nationale et de l'action internationale de la France, de la géopolitique mondiale.

Trois temps forts au long de cette année scolaire, tout d'abord avec la venue au collège, jeudi 7 décembre, du colonel Aubry de la 13e DBLE et du capitaine Pepe afin d'échanger avec les élèves. Il fut principalement question d'histoire, rappelons que la 13e DBLE fut fondée en 1940, date à laquelle elle s'entraînait déjà sur le Larzac, et qu'elle constitua le premier noyau des Forces françaises libres.

La 13e DBLE compte actuellement 1 300 hommes sur le Larzac, 400 partiront de janvier à mai 2018 en opération extérieure dans le cadre de l'opération «Barkhane» au Mali.

Durant cette période, et sous contrôle des militaires, les élèves auront la possibilité de communiquer avec les soldats sur le terrain. Une vaste carte de l'Afrique de l'Ouest déjà affichée dans la salle permet aux collégiens d'appréhender la réalité du G5 Sahel, cette union de cinq états luttant contre les groupes terroristes.

En juin 2018 enfin, la classe de troisième se rendra sur le Larzac et pourra échanger avec les soldats de retour de mission.

Cette structure pérenne permettra ainsi chaque année à une classe de troisième du collège d'Onet-le-Château d'appréhender différemment l'histoire contemporaine.


Un Rémois de 94 ans, survivant de Monte Cassino

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https://www.lunion.fr/

Par Marie-Christine Lardenois | Publié le 16/12/2017

Le premier béret vert fut porté par la 13 e  demi brigade de légion étrangère de 1940 à 1945. Ildebrando Pelloni est fier d’avoir porté ce couvre-chef. Après la guerre, il est venu à Reims parce qu’on lui avit dit que les Américains embauchaient pour garder les prisonniers. Il est devenu peintre en bâtiment.

Le premier béret vert fut porté par la 13e demi brigade de légion étrangère de 1940 à 1945. Ildebrando Pelloni est fier d’avoir porté ce couvre-chef. Après la guerre, il est venu à Reims parce qu’on lui avit dit que les Américains embauchaient pour garder les prisonniers. Il est devenu peintre en bâtiment.

Qui peut encore évoquer les batailles de Monte Cassino, début 1944 en Italie, en y ayant participé ? Ildebrando Pelloni.

À 94 ans, ce monsieur vit dans son petit appartement de la maison de retraite de Montchenot, entouré d’archives, de photos de famille, de médailles symbolisant son courage. Les souvenirs de son engagement tournent encore dans sa tête.

«Il n’y en avait pas beaucoup qui sortaient vivants»

Né dans un...


Les légionnaires de Castelnaudary ont reçu leurs képis au Luc

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https://www.varmatin.com/

Publié le 15/12/2017

Les nouvelles recrues ont reçu leur marque d'entrée dans la famille de la Légion.
Les nouvelles recrues ont reçu leur marque d'entrée dans la famille de la Légion. A. B.

 

Mercredi matin, sur la place de la Liberté, Pascal Verrelle, maire du Luc, Daniel Mennegand, président du comité d'entente des associations patriotiques, et l'adjudant Arthur Maquet, président de l'Amicale des anciens de la Légion étrangère, avaient convié la population, les associations patriotiques, les sapeurs-pompiers, les autorités civiles, représentées par plusieurs élus du Centre Var, et les autorités militaires, représentées par le général Pichon, à la remise du képi Blanc aux nouvelles recrues actuellement en cours d'instruction au 4e régiment Étranger à Castelnaudary (Aude)...


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