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2014


La Légion sur les routes du pays cathare

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Publié le 01/07/2014

Devant les Bains du Couloubret, départ pour la dernière étape, Ax-Castelnaudary./Photo DDM, C. Gasc.

Pour la cinquième année consécutive, le 4e régiment étranger, de Castelnaudary, centre de formation et creuset de la Légion étrangère, a organisé une activité caritative sous la forme d'une épreuve cyclosportive baptisée la Solidaire Légion étrangère. Elle a pour but de récolter des fonds afin de venir en aide à l'Institution des invalides de la Légion étrangère (Ille), située à Puyloubier (13). Parrainée par Bernard Thévenet (double vainqueur du Tour de France ,1975 et 1977), la Solidaire de cette année a conduit les coureurs (80 légionnaires et 20 civils) sur les routes des Pyrénées, du 23 au 26 juin, avec une devise forte et valorisante pour ce corps d'élite : «Chaque jour une étape, chaque étape un exploit, un exploit pour les anciens».Chapeau les képis blancs! Le commandant Lorent nous a parlé de l'épreuve : «La Solidaire met en œuvre l'article

2 du code de l'honneur, qui commande : chaque légionnaire est ton frère d'armes, quelle que soit sa nationalité, sa race, sa religion. Tu lui manifestes toujours la solidarité étroite qui doit unir les membres d'une même famille». Et de poursuivre : «Chaque coureur accepte de rouler pour un ancien et ses frais d'inscription à la course sont un don librement consenti, qui vient s'ajouter à la somme offerte par les généreux donateurs et amis de la Légion étrangère, sans oublier notre partenaire local, Intersport». Pourquoi donner ? Très impliqué et bavard, c'est encore le commandant Lorent qui précise : «La Légion a édifié un système de solidarité spécifique. Il a pour mission la réinsertion professionnelle et sociale de ces anciens réformés par suite de blessures contractées en service ou par maladie ou de ceux qui, de retour dans le monde civil, n'ont simplement pas réussi à y retrouver leur place».

Jeudi, à 8 heures précises, après une bonne nuit passée au gymnase du collège, devant les Bains du Couloubret, Valérie Gayet, adjointe au maire, est venue les saluer pour la dernière étape, qui devait les conduire de la cité thermale en pays chaurien... Castelnaudary, tout le monde descend!

La Dépêche du Midi

Castelnaudary: La Légion étrangère solidaire de ses anciens

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Le 27 juin

Après une ultime étape de 113 kilomètres, les participants ont trouvé un peu de réconfort auprès du public et des stands installés tout spécialement par le 4e RE chaurien. PHOTO/© D.R

Partie le 23 juin, la rando cycliste de solidarité organisée pour la 5e année par le 4e RE chaurien est arrivée hier, place de la République.

Responsable du devenir de ses anciens et invalides depuis les années cinquante, via son Fonds d'entraide (FELE), la Légion étrangère multiplie les actions afin de récolter des fonds pour ses 'anciens'. Ils sont ainsi une centaine à être hébergés au sein de l'Institution des invalides de la Légion étrangère (IILE), sur le domaine du Capitaine d'Anjou à Puyloubier, en Provence.

Une centaine de cyclistes sur les routes

Afin de participer à cette solidarité le 4e Régiment Etranger chaurien organisait la semaine dernière sa cinquième édition de 'La Solidaire'. Une randonnée cycliste sur quatre jours permettant, lors des étapes, de mener des opération de communication à destination du public, comme ce fut le cas, hier, place de la République à l'occasion de l'arrivée de la centaine de coureurs participant à cette rando cycliste. Partis lundi de Castelnaudary en direction de Couiza, les coureurs ont également traversé Prades, Quérigut, Puivert… La dernière étape parcourue hier, longue de 113 kilomètres, les a conduits d'Ax-les-termes au plateau de Sault, avant de rejoindre Castelnaudary par la route de Fendeille, avec une arrivée échelonnée à partir de 15 h.

Animations et opération de communication

Ayant pour but de récolter des fonds par des dons ou la vente de produits tels que le vin des légionnaires de Puyloubier, casquettes et autres tee-shirts, la journée d'hier était également l'occasion pour la Légion d'informer par divers stands comme celui de l'office national des anciens combattants (ONAC) et de communiquer sur ses actions, et pourquoi pas de susciter des vocations. Démonstrations de combat au corps à corps, fanfares et groupe de rock du 4e RE ont donc animé cette journée, avant les prises de parole de Patrick Maugard et du général de division de St-Chamas, commandant de la Légion étrangère, venu d'Aubagne pour l'occasion. Par cette campagne de solidarité 2013-2014, les fonds récoltés permettront, notamment, la réfection des chambres de l'IILE de Puyloubier.


La Solidaire de la Légion Etrangère fait étape à Ax les Thermes

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Laurence Cabrol | 25/06/2014


La Solidaire de la Légion Etrangère fait étape à Ax les Thermes

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Laurence Cabrol | 25/06/2014

© midinews 2014

Ce mercredi les routes de montagne des Vallées d’Ax accueillaient «la Solidaire», une course Cyclosportive caritative organisée par le 4ème Régiment étranger basé à Castelnaudary.

Cette 3e étape au départ de Prades prévoyait notamment l’ascension du désormais mythique col de Pailhères et une arrivée à Ax où des stands et des animations ont permis au public de découvrir la légion sous différents angles.
Chaque jour une étape, chaque étape un exploit, un exploit pour nos anciensCréée en 2010 par le 4e Régiment étranger de Castelnaudary, la Solidaire met en œuvre l’article 2 du code d’honneur du légionnaire qui commande: «Chaque légionnaire est ton frère d’arme, quelle que soit sa nationalité, sa race, sa religion. Tu lui manifestes toujours la solidarité étroite qui doit unir les membres d’une même famille»

Ce projet est l’occasion d’entretenir et développer ces valeurs de solidarité en levant des fonds au profit exclusif de l’institution des invalides de la légion étrangère (IILE) de Puyloubier à côté d’Aix en Provence.

Pour cette épreuve cycliste de 400km en trois étapes précédée d’un prologue de 70km, les rouleurs sont répartis en groupes de forces homogènes, et chacun donne le maximum en fonction de ses capacités et de son entraînement.

Il n’est pas obligatoire de faire les trois étapes. Il n’y a ni classement, ni chronométrage. Chaque coureur accepte de rouler pour un ancien et ses frais d’inscription à la course sont un don librement consenti, qui vient s’ajouter à la somme offerte par les généreux donateurs et amis de la Légion étrangère.

La totalité du soutien logistique est assurée par les légionnaires du 4e Régiment étranger, et dans les villes-étape, les coureurs logent dans des gymnases ou salles des fêtes sur des lits de camp. La logistique permet de servir des ravitaillements pendant la course et des repas chauds à tous les participants.

L’édition 2014, parrainée par Bernard Thévenet, a plus particulièrement pour objectif de récolter des fonds pour finaliser la réfection des chambres des pensionnaires de l’I.I.L.E, initiée l’an dernier.

Elle est partie de Castelnaudary et elle a traversé les villes de Couiza, Prades et Ax-les-Thermes, où les coureurs locaux se sont associés à la centaine de cyclistes de la Légion pour franchir le célèbre col des Pailhères.

«Il faisait 9 degrés et il tombait des cordes là-haut mais tous les coureurs étaient ravis de faire ça pour les anciens» précise le Capitaine Hervé Bazin officier de communication qui orchestre la médiatisation de cette opération.

Sur la place du Casino le 4ème Régiment de Castelnaudary avait installé son barnum: démonstration de combat à main nue, orchestre du 4, VAB, stands… invitant les autochtones à échanger, découvrir cet univers et ce régiment d’élite.

«Le général Rollet dans les années 30 a consacré les dernières années de sa carrière à l’organisation moderne de la légion étrangère, il a beaucoup œuvré pour le social au profit de légionnaires actifs comme des anciens. C’est dans cet esprit qu’a ouvert en 1954 l’I.I.L.E, poursuit le Capitaine. C’est surtout redonner une dignité à ces «blessés de la vie» qui ont tout donné et rencontrent des difficultés à se réinsérer dans la vie civile.

En fonction de leurs capacités physiques, l’institution les accueille et les remet dans un cadre «familial» connu, leur donne une occupation et facilite leur suivi médical si nécessaire. Le foyer en leur confiant des responsabilités leur permet de retrouver une dynamique de progrès pour se reconstruire: travail dans les vignes, céramique ou reliure de livres»

Demain pour la dernière étape reliant Ax à Castelnaudary, le colonel en second fera parti du peloton et «mouillera lui aussi son maillot» pour les anciens. Une action de solidarité qui s’inscrit dans l’esprit de la grande famille de la légion.

Pour en savoir plus sur la course de la Solidaire:
https://la-solidaire.legion-etrangere.com
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04-68-23-76-02 ou 06-14-01-73-26


Mourèze : grave accident de parapente dans le col du Vissou

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22 juin 2014

Deux hommes ont été hélitreuillés dans état grave à la suite d'un coup de vent.

Un accident de parapente biplace s'est produit ce samedi après-midi peu après 16 h, sur la commune du Mourèze, non loin du lac du Salagou, dans le col du Vissou.

La voile s'enroule

Les deux parapentistes ont été victimes d'un coup de vent au cours d'un baptême de l'air, organisé par l'association Cabri'Air. Le pilote n'a semble-t-il pas pu récupérer la voile qui s'est enroulée avant que les deux hommes, dont les âges ne sont, pour l'heure, pas connus, ne s'écrasent au sol.

Le pronostic vital engagé

Selon les premiers éléments des gendarmes, le pilote et le client sont dans un état très grave et ont été secourus car la chute s'est produite dans un endroit escarpé. Ils ont été hélitreuillés vers l'hôpital Lapeyronie. Le pronostic vital reste engagé.

Le matricule 198 479 va mieux.


Mont-Saint-Éloi: Les honneurs autour de la tombe restaurée du soldat américain Kenneth Weeks

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Publié le 23/06/2014

Au cimetière du hameau d’Écoivres, la tombe du soldat Kenneth Weeks, ancien légionnaire du 1er régiment étranger qui tomba au champ d’honneur le 17 juin 1915 au nord d’Arras, vient d’être restaurée.

Quelques écrit du soldat Weeks ont été lus en présence des enfants des écoles.

Ce soldat, qui était un auteur de littérature et de théâtre passionné par la France, a été mis à l’honneur vendredi par des délégations de la Légion étrangère, du Souvenir français, des associations France Louisiane et The American overseas mémorial day, des anciens combattants et par les enfants des écoles.

Tout a commencé quand Christian Cappon, qui répertorie les tombes de soldats ayant besoin d’une rénovation, a repéré celle du soldat Weeks en piteux état, en place depuis 1916. Avec Augustin Flippe, son collègue du Souvenir français du comité Artois Saint-Pol, il a entrepris alors de trouver les financements pour sa restauration. C’est auprès de la Légion étrangère d’Aubagne qu’il a trouvé les 1 600 € nécessaires en seulement trois jours.

Lors de la cérémonie, la courte vie de Kenneth Weeks a été relatée. Né en 1889 à Boston, il a fait, enfant, de nombreux séjours en France pour ensuite s’installer à Paris en 1911 et entreprendre des études d’architecture. Mais c’est à la littérature qu’il se consacrera. Il publiera une biographie d’Édouart Louis Victor Belbe, du 23e RC, un volume d’esquisses et d’essais ainsi que trois volumes de pièces de théâtre dont il n’aura pas le temps de corriger les épreuves. Car engagé dans la Légion étrangère, il tombera peu après au combat. « Au nord d’Arras, on le vit pour la dernière fois courir en avant face à l’ennemi. Il allait au-devant de la mort, de cette mort dont il avait tant aimé louer le repos et la douceur. Il avait 26 ans ». Un moment de recueillement a suivi sur la tombe du sous-lieutenant Edmond Gabriel Gabet, lui aussi du 1er Régiment étranger, mort le 10 juillet 1915.


Cyclo : la Solidaire de la Légion étrangère passe le 23 juin

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Publié le 19/06/2014


Cette épreuve cyclosportive caritative sera à Couiza le lundi 23 juin. Cette course prendra son départ officiel le mardi 24 juin à 8 h 30 devant le château des ducs de Joyeuse. Mais auparavant, le lundi 23 juin, un prologue amènera les cyclistes au parc de Couiza. À cette occasion, le parc municipal Édouard-Pech se transformera en véritable village d'arrivée. Tout au long de l'après-midi, la centaine de cyclistes participant à la course arrivera au parc par groupes de 20. Un camion de la Légion servira de podium, un ou deux points seront dédiés à des démonstrations d'activités de la Légion, le quinquette de cuivres de la Légion sera également là ainsi qu'un stand de gendarmerie et un stand du SDIS. Un marché gourmand sera positionné dans le parc. Vers 18 h 30, une remise des prix aura lieu autour d'un vin d'honneur, mettant un terme à cette journée. Rappelons que ces cyclistes roulent pour les anciens légionnaires pensionnaires de l'institution des Invalides de Puyloubier. Les fonds récoltés grâce à cette course permettront la rénovation des chambres des pensionnaires.

La Dépêche du Midi

Il ricordo della Legione straniera nel 70′ anniversario della liberazione

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17 giugno 2014

Legionari a Radicofani

Il corpo speciale liberò la cittadina il 18 giugno ‘44

All’ombra della fortezza di Radicofani, settant’anni fa, venivano giustiziati sommariamente due partigiani, Vittorio Tassi e Renato Magi. L’indomani si sarebbe scatenata una battaglia molto cruenta, che vide protagonista la Legione straniera e che sarebbe costata la vita a un centinaio legionari (e circa duecento tedeschi). Eventi così drammatici, che hanno segnato la storia del piccolo Comune della val d’Orcia, sono stati ricordati solennemente MARTEDI 17 GIUGNO, alla presenza di picchetti di carabinieri e dei militari del famoso corpo speciale che raccoglie militi da tutto il mondo, oltre a esponenti dell’Anpi, ai sindaci della zona e alle autorità militari italiane e francesi: tra questi, il vicecomandante generale dell’Arma dei carabinieri Tullio Del Sette, e il comandante della Legione carabinieri Toscana Alberto Moscai. Toccanti sono state la presenza e le testimonianze, dei figli e dei nipoti dei personaggi coinvolti in quei tragici fatti.

Per Francesco Fabbrizzi, giovane sindaco di Radicofani, si è trattato della prima e commossa uscita pubblica, durante la quale ha ringraziato, a nome della comunità, i liberatori della Legione straniera, e l’Arma dei carabinieri. “Finché Vittorio Tassi e Renato Magi continueranno a rimanere presenti nel nostro ricordo – ha osservato – avremo la sicurezza di vivere ancora nella libertà e nella democrazia”.

Tre i momenti fondamentali della commemorazione: alla località la Mossa (ore 9,00) sono stati tributati gli onori ai caduti, al monumento dedicato a questo corpo speciale dell’esercito francese. Carabinieri e legionari si sono poi diretti, insieme agli amministratori pubblici, al cimitero dove è avvenuta una deposizione di corone, con gli onori alle tombe dei due partigiani. Dopo la messa, a fine mattinata, è c’è stata la visita al cippo dove furono ritrovati i corpi dei Tassi e Magi, in un bosco a poca distanza da Radicofani, in direzione nord.

Nato nel 1903, il carabiniere Vittorio Tassi (medaglia d’oro al valor militare) prestava servizio in provincia di Arezzo. Per non aderire alla repubblica di Salò, dopo l’armistizio si diede alla macchia. Raggiunto il suo paese natale, organizzò un gruppo di partigiani e ne assunse il comando. Durante un rastrellamento, Tassi ordinò ai suoi partigiani di sganciarsi e cercò di ritardare, con altri cinque compagni di lotta, l’avanzata del nemico. Catturato dai tedeschi, smentì che gli altri arrestati facessero parte della formazione partigiana. Fu solo parzialmente creduto e i tedeschi lo fucilarono con Renato Magi (medaglia di bronzo), un muratore di 19 anni, anche lui nato a Radicofani. Un messaggio di quest’ultimo ai genitori e alla fidanzata è riprodotto nel volumeLettere di condannati a morte della Resistenza italiana. A Vittorio Tassi è stata intitolata, a Firenze, la caserma dei carabinieri ospitata nell’antico monastero di Santa Maria di Candeli.

La battaglia per conquistare Radicofani vide altri atti di eroismo, come quello del sottotenente Poirel che riuscì, insieme a sei commilitoni, a penetrare in un edificio adibito a fortino, stanando i nemici stanza per stanza. Alla fine, i superstiti della guarnigione catturati furono un centinaio. Superato questo ostacolo, il sottotenente Jullian si arrampicò con sei legionari nel sentiero roccioso, riuscendo a penetrare nel torrione, dove catturò sette tedeschi. Fu espugnata, così, una fortezza considerata imprendibile. La pioggia cadeva incessante, e continuò anche il giorno seguente. Ma, nonostante il fango, l’avanzata continuò fino all’Orcia. A Radicofani restavano lutti e distruzioni.

Un momento della cerimonia Legionari a Radicofani Un momento della cerimonia Un momento della cerimonia Un momento della cerimonia Un momento della cerimonia Un momento della cerimonia Un momento della cerimonia Un momento della cerimonia Un momento della cerimonia

Leggi questo articolo su: https://www.gonews.it/2014/06/17/il-ricordo-della-legione-straniera-nel-70-anniversario-della-liberazione/
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Guerre 14-18 : Le Puy du Fou commémore les Vendéens morts pour la France

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Samedi 07 juin 2014

Renée Bossard, présidente de la fondation Puy du Fou Espérance, a fait un don de 2000 € à la Légion étrangère. © Philippe Bertheau

Samedi, le Puy du Fou a rendu hommage aux aïeux des Puyfolais, tombés sur le front pendant la Grande Guerre. Puy du Fou Espérance a fait un don à la Légion étrangère.

C'est un double hommage que le Puy du Fou a rendu samedi, dans la cour de son château.

Hommage aux 144 aïeux de ses bénévoles, morts pour la France lors de la Première Guerre mondiale. Une stèle comportant les noms des combattants, et une statue représentant une femme portant dans ses bras le corps d'un soldat, ont été dévoilés. Elles trouveront place près de la gare du Bourg 1900, dans le Grand parc. Le Puy du Fou entend là continuer à remplir la mission qu'il s'est confiée : "Faire vivre l'histoire de France", selon Philippe de Villiers, son créateur.

Second hommage. À la Légion étrangère cette fois, dont les engagés d'origine étrangère défendent le drapeau tricolore. "La Légion est un mythe, sa Musique est un symbole, a souligné Philippe de Villiers. Elle a participé à tous les grands conflits sur tous les champs d'honneur." La cérémonie a été l'occasion pour la Fondation Puy du Fou Espérance d'apporter son soutien aux œuvres de la Légion avec un don de 2 000 €. "Beaucoup d'anciens légionnaires n'ont pas de famille, c'est la Légion qui veille sur eux", a relevé Renée Bossard, présidente de la Fondation.

Ouest-France  

«Le bastion» pris d'assaut par la Légion étrangère... Lavelanet défendue vaillamment par des soldats aguerris

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édition du 6 juin 2014

© midinews 2014
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Dès 8h ce matin, la population de Lavelanet a vibré au son des armes de guerre.

Assiégée par un hypothétique ennemi tenant le haut de la vieille ville, la population n'a dû son salut qu'aux hommes du Colonel Marc Lobel, commandant le régiment de Castelnaudary. Ambiance garantie pour fans de jeux de guerre...
Un exercice grandeur nature en Pays d'Olmes: l'exercice DénivelexOn le sait, le 4ème régiment étranger, basé à Castelnaudary, régiment d'instruction de la Légion étrangère, manœuvre depuis lundi entre Aude et Ariège.

Un exercice nommé Dénivelex et ayant pour objectif, durant quatre jours, l'entraînement au combat à pied et l'aguerrissement dans un cadre rustique, en milieu ouvert et urbain.

Partant de Quillan, le régiment a été confronté à un terrain particulièrement accidenté avant d'aborder Lavelanet dès ce matin: «la prise de la ville, et de l'ancienne maison de retraite, constituant le point d'orgue de l'exercice» selon le Colonel Marc Lobel.

Mais avant cette prise de guerre, les 700 soldats, en grande majorité de Castelnaudary, à qui se sont joints différents régiments (Corse, Aubagne, Nîmes ou Saint-Christol), et le 1er RTS (parachutistes) de Toulouse ont traversé le plateau de Sault.

50 kms, entre 3 et 4 mille mètres de dénivelés, pour des hommes aguerris au combat, en autonomie complète et ne subsistant que grâce à leurs rations.

Premier exercice grandeur nature pour une cinquantaine de jeunes légionnaires, faisant ici leurs premiers pas (ils ont signé voici un mois et demi leur engagement), sous les ordres des plus anciens.

Ainsi que nous l'a confié le Colonel Marc Lobel, «2 buts essentiels participent à cet exercice. Le premier, la mise en pratique de ce qu'ils apprennent à l'école, et ensuite, l'aguerrissement (physique et mental, NRDL) de nos hommes»
L'ancienne maison de retraite, bastion de la rébellionC'est au cœur de la ville, que les combats les plus importants se sont déroulés.

Dans la trame de cet exercice grandeur nature, «l'ancienne maison de retraite aux mains des insurgés. Le bastion de la rébellion (tenu par les parachutistes du 1er RTS, NRDL) devait être repris, coûte que coûte»

«Si on ne tient pas le centre de l'agglomération, il nous sera impossible de circuler et d'envoyer renforts militaires et humanitaires» a expliqué le colonel, rajoutant que ce synopsis renvoyait à la guerre du Mali. «Une zone tenue par des rebelles, avec au milieu une population civile, où il faut maitriser l'alliance afin de préserver la population»

Le militaire de carrière, soulignant, «la ville avec ses 3 axes, se prête bien à ce genre d'exercice, d'autant que la montagne environnante tient lieu de verrou»
Lavelanet: «un accueil extraordinaire»Quand le 4ème régiment est passé à l'offensive, les Lavelanétiens n'ont pas boudé leur plaisir. D'autant, que l'information avait été largement diffusée auparavant par la municipalité.

De leurs fenêtres, massés dans les rues ou installés confortablement le long des artères, tous se sont pressés pour «regarder le spectacle»

Un spectacle avec effet sonore garanti: attention aux âmes sensibles. Mais à Lavelanet, pas de soucis. Pour les enfants de l'école Lamartine, le 14 juillet était même en avance cette année. A chaque slave de tirs, les enfants en récréation, répondaient par des hourras et des applaudissements.

Quant aux adultes, chacun avec le sourire (comme ce monsieur qui s'est retrouvé avec un légionnaire planqué sous sa voiture), tous soulignaient: «c'est dingue, sans les voitures qui continuent à circuler, on s'y croirait...»

Pour le Colonel Marc Lobel, c'est sûr, «Marc Sanchez, sa municipalité et les Lavelanétiens nous ont réservé un accueil extraordinaire» Le militaire rajoutant, «ces exercices en milieu urbain nous permettent aussi de démystifier la Légion étrangère, de rencontrer la population française, ce que nous avons peu l'occasion de faire»

L'exercice Dénivelex s'est terminé vers 16h30 à Lavelanet par une cérémonie sur l'Esplanade au cours de laquelle de jeunes légionnaires, une cinquantaine, se sont vus remettre leur «Képi blanc», symbole de leur entrée dans la Famille Légion.


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