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2013




Ambassade de France au Burkina: Emmanuel Beth s’en va

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Post 20 juin 2013

Emmanuel Beth, ambassadeur de France au Burkina Faso, quittera son poste au mois de juillet, sa mission n’ayant pas été prorogée, selon La Lettre du continent.

Officier parachutiste français de la Légion étrangère, général de corps d'armée, Emmanuel Beth a été nommé ambassadeur au Burkina le 25 août 2010. Il devrait être remplacé par Jean Chanson, jusque-là attaché de coopération chargé du développement social, de la décentralisation et de la coopération non gouvernementale du Service de coopération et d'action culturelle (SCAC) de l'ambassade de France à Madagascar.


Blaise Cendrars dans la Pléiade

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14 juin 2013

 

Son entrée dans la prestigieuse Pléiade ne peut que réjouir les inconditionnels de cet aventurier de la plume.

Septembre 1887 - Janvier 1961

Avec sa tête de baroudeur, sa cigarette vissée aux lèvres, Frédéric-Louis Sauser, devenu Blaise Cendrars en poésie, allait magnifier son existence de façon telle qu'elle deviendra une symphonie étonnante où le vécu et l'imaginé seront indissociables l'un de l'autre. Cendrars inventera tout : sa famille, ses voyages, son enfance, si bien qu'il faut prendre cet affabulateur, créateur de mythe, tel qu'il s'est rêvé, car là se trouve sa part la meilleure. Tout jeune, il préférait les frasques et les dissipations à l'école. Bientôt, l'aventure vagabonde et les livres vont ouvrir à son imaginations des perspectives enthousiasmantes. Il est vrai qu'il aime s'étonner et étonner, vivant en constante rupture avec la vie ordinaire. Impensable de le voir entre quatre murs noircir du papier. Ce poète-là a également ... des semelles de vent. De ceux de sa génération, il sera le plus libre et le plus libre dans sa façon d'écrire. Avec lui, la poésie prend le large, de préférence par train. Ce sont, en effet, les trains qui le séduisent, des trains comme le Transsibérien qui traversent les pays perdus. Il ira en Arménie, en Chine, en Perse, se perdra dans la toundra sibérienne alors qu'il n'est encore qu'un jeune homme et semble avoir déjà vécu plusieurs vies.

A New-York, en 1912, il est un vagabond exténué et s'apprête à vivre un éblouissement mystique qu'il relatera dans l'un de ses plus beaux poèmes " Pâques à New-York ". En 1914, il s'engage dans ce qui sera la future Légion étrangère et part sur le front. Blessé, il sera amputé d'un bras et rédigera "La main coupée", ce qui ne l'empêchera nullement de pratiquer le sport et de piloter des voitures rapides. Avec Cendrars, la vie ne s'envisage jamais qu'avec excès.

De 1917 à 1923, il travaille à la fameuse Anthologie de la poésie nègre et avec Abel Gance au film "La roue", car il se passionne pour le 7e Art, les éclairages, les ralentis et accélérés de la pellicule, l'accompagnement musical et le jeu des acteurs et, comme d'habitude, gagne de l'argent et s'empresse à le perdre, pris de court par les univers requin.

Après une longue vie, où il aura tout vu, tout envisagé et tout écrit, il se retire à Villefranche-sur-Mer, collaborant à des revues en véritable franc-tireur des lettres françaises. Affamé du monde, homme d'action, poète orpailleur, il reste l'image parfaite de l'homme libre, précurseur et découvreur, délimitant avec sa plume un nouveau continent aussi étrange que fascinant, peuplé d'une humanité humiliée dont il se sentait proche et qui était prête à le suivre ailleurs.

Son entrée dans la Pléiade n'étonnera pas ses nombreux admirateurs. Poète des immigrants et des malchanceux, des prostituées et des vagabonds, usant pour cela d'un langage inemployé avant lui, construit à partir de matériaux bruts, sans nonchalance, ni attendrissement, cet aventurier nous convie à son odyssée à la fois baroque, tragique et mystique, en errant émerveillé qui pressent de prochaines apocalypses et se range toujours aux côtés des gueux, des larrons et des va-nu-pieds.

 

En ce temps-là j'étais en mon adolescence
J'avais à peine seize ans et je ne me souvenais déjà plus de mon enfance
J'étais à 16.000 lieues du lieu de ma naissance
J'étais à Moscou, dans la ville des mille et trois clochers et des sept gares
Et je n'avais pas assez de sept gares et des mille et trois tours
Car mon adolescence était si ardente et si folle

Que mon coeur, tour à tour, brûlait comme le templs d'Ephèse ou comme la Place Rouge de Moscou
Quand le soleil se couche.

(...)

Le Kremlin était comme un immense gâteau tartare
Croustillé d'or,
Avec les grandes amandes des cathédrales toutes blanches
Et l'or mielleux des cloches ...

(...)

Puis tout à coup, les pigeons du Saint Esprit s'envolaient sur la place
Et mes mains s'envolaient aussi, avec des bruissements d'albatros.

(...)

Je pressentais la venue du grand Christ rouge de la révolution russe.
Et le soleil était une mauvaise plaie
Qui s'ouvrait comme un brasier.

( Prose du transsibérien et de la petite Jehanne de France )

 

Blaise Cendrars - La Pléiade - Gallimard 2 volumes - Prix de lancement : coffret 105 euros

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Blaise Cendrars peint par Modigliani

La Musique de la Légion étrangère fait un carton avec "Héros"

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Publié le 13/06/2013

Le chœur de la Légion étrangère © France2/culturebox

La Musique de la Légion étrangère est en train de mener une campagne assez inattendue. Dans la foulée de son album "Héros" sorti fin avril et vendu à 50 000 exemplaires, elle donne des concerts qui affichent complet. Les spectateurs de la cathédrale Saint-Louis des Invalides ont pu apprécier le registre très élargi de ces hommes de combat.

Cela pourrait apparaître comme un succès improbable.
Mais voilà les français restent attachés à leur armée et à la Légion étrangère.
Résultat le disque "Héros" sorti le 22 avril est quasiment disque d'or.
Il faut dire que ses "promoteurs" ont eu la bonne idée de ne pas cantonner les légionnaires à leurs chants traditionnels.
Certes on y trouve l'incontournable "Boudin" mais aussi  ""Lily Marlène" ou "Sous le Ciel de Paris".
Et il faut bien le dire, entendre ce chœur d'hommes interpréter "Je ne regrette rien" d’Édith Piaf, ne laisse pas insensible.

Reportage: A.Bouleis, D.Da Meda, P.Auger, B.de Saint-Jore


Les milles vies de la comtesse du Luart

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vendredi 07 juin 2013

Résumé : Le destin de Leila du Luart, née Gali Hagondokoff dans une famille princière du Caucase et devenue l’une des héroïnes françaises de la Seconde Guerre Mondiale.

 

Il est des vies qui sont comme des romans. À travers cette biographie bien documentée, Guillemette de Sairigné retrace celle de Gali Hagondokoff, devenue Leila du Luart. Au fil du récit, elle raconte une épopée qui mènera la jeune aristocrate russe née au tournant du siècle de Petrograd à Shanghai, en passant par l'Amérique, pour finalement arriver jusqu’à Paris. En filigrane, il s'agit aussi d'analyser l'engagement de Gali Hagondokoff dans le secours aux bléssés de guerre, un engagement presque humanitaire qui commence pour elle à partir de la Guerre d'Espagne.

L’enfance de Hala – surnommée Gali – Hagondokoff, née en 1898, d’un père officier issu de la plus vielle aristocratie Khabarde dans le Caucase Nord et d’une mère appartenant à une vielle dynastie militaire pétersbourgeoise d’origine allemande, laisse présager bien des voyages entre la Mandchourie où son père est en charge de la protection du chantier du Chemin de fer de l’Est Chinois, Saint-Pétersbourg, la Montagne Sainte Geneviève, et les terres familiales de Kamenomost, près de Kislovodsk dans le Caucase.

Une enfance qui bascule, comme beaucoup, avec les troubles du début du XXème siècle. Durant la première guerre mondiale, dans le Caucase, Gali, à peine sortie de l’adolescence, et sa sœur ainée offrent leurs services comme infirmières à l’hôpital militaire. C’est là que Gali rencontre son premier mari, Nicolas Petrovitch Bajenoff, un jeune officier grièvement blessé. Elle le suit à Saint-Pétersbourg, rebaptisée Petrograd au début de la guerre, où ils se marient sur fond de révolution. En janvier 1918, le couple fuit la ville dans laquelle la famine ne va pas tarder à faire rage. Tandis que son époux rejoint l’Armée des Volontaires, Gali retourne à Kislovodsk où se retrouve le tout Petrograd, et donne naissance à un fils, lui aussi prénommé Nicolas, sur les terres familiales. Elle reprend la route fin 1919 pour rejoindre son mari, et tous deux repartent, non vers Constantinople comme beaucoup des réfugiés russes, mais vers l’Est. Leur voyage, véritable épopée de plusieurs mois, les mènera jusqu’à Harbin, la ville chinoise que Gali a vu, enfant, se construire sur le tracé du Transmandchourien. De Harbin, où Nicolas travaille pour la Banque russo-asiatique et où Gali fait ses premiers pas dans le milieu de la mode, le couple gagne bientôt Shanghai, plus sûre. Gali y fréquente le cercle français et est embauchée comme mannequin chez Paris Couture, qui présente les modèles de Chanel. Mais leur mariage bat de l’aile. Divorcée, Gali finit par s’embarquer en 1922 avec son fils pour Paris, via l’Amérique où elle retrouve un admirateur rencontré à Shanghai qui léguera à son fils de quoi vivre à l’abri du besoin.

Dans le Paris des Années folles, la "touche russe" est à l’honneur. Gali, qui a à peine 25 ans, y retrouve sa famille, réfugiée en France. Forte de son expérience shanghaienne, elle est, comme d’autres aristocrates russes, embauchée comme mannequin chez Chanel. Elle devient ensuite parfumeuse à Deauville pour Paul Poiret, avant de retourner à Paris où elle ouvre sa propre boutique de mode et acquiert la nationalité française. En 1934, après s’être convertie au catholicisme et se prétendant veuve, elle épouse un jeune aristocrate, le comte Ladislas du Luart. Elle adopte le prénom d’Irène, très vite remplacé par celui de Leila qu’elle gardera jusqu’à sa mort, comme pour signifier qu’une nouvelle vie s’ouvre devant elle.

Et en effet, avec la guerre d’Espagne, Gali Hagondokoff, devenue Leila du Luart, entre dans une nouvelle phase de son existence. Marquée par le souvenir de la révolution russe, elle s’engage du côté des nationalistes, mobilisant des fonds pour équiper et distribuer des ambulances qu’elle conçoit dans le but d’opérer les soldats les plus gravement touchés au plus près des zones de combats et de multiplier ainsi leurs chances de survie, et participant elle-même aux soins des blessés. Une aventure qu’elle évitera de mentionner par la suite puisqu’elle n’y était pas du "bon côté" mais qui jette les bases de la formation chirurgicale mobile qu’elle crée avec l’aide de donateurs – y compris américains – à l’approche de la Seconde Guerre Mondiale. Formation qui participe à la "drôle de guerre" puis aux campagnes de Tunisie, d’Italie et de France, et va jusqu’en Autriche. Après la Libération, Leila du Luart ne reste pas inactive bien longtemps. Anéantie par la mort tragique de son fils, elle reprend du service en Algérie, organisant un centre de repos pour les jeunes appelés en permission qui ne peuvent rentrer en métropole. Ni l’âge, ni la fin des hostilités ne la feront quitter totalement cette vie-là : marraine du 1er Premier Régiment Etranger de Cavalerie dès 1943, elle se consacrera à ses filleuls jusqu’aux dernières années de sa vie.

Décédée en 1985, Leila du Luart, l’une des femmes les plus décorées de France, "icone de la Légion étrangère", reçoit les derniers honneurs aux Invalides.

Personnage aux multiples facettes et au caractère bien trempé, dotée d’une volonté de fer, élégante, un peu tyrannique aussi sans doute, certainement non exempte de défauts mais incontestablement courageuse, Gali Hagondokoff – Leila du Luart ne peut laisser indifférent. Pas plus que son destin, "tissée aux soubresauts du XXème siècle" entre les montagnes du Caucase et les déserts africains, la révolution russe et les guerres qui ont ensanglanté l’Europe, les ors de Saint-Pétersbourg, les lumières de Shanghai et les salons de la noblesse française;
 
Virginie BOUYX

Mali : retrouvons nos petits de l'opération Serval

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04/06/2013

Avec la relève entreprise progressivement il y a plus d'un mois et le désengagement partiel, il était devenu compliqué de suivre l'évolution exacte et régimentaire du dispositif français au Mali.

Voici un point, non exhaustif, des actuels régiments servant la brigade Serval, arrivés peu à peu en mai au Mali. Pour les forces terrestres, c'est la 6e BLB de Nîmes qui a pris le commandement des opérations.

Ici, cette photo de l'armée de terre, prise en pleine tempête de sable au cours de l'opération Ceuze les 26 et 28 mai entre Gao et In Zekouan, montre les conditions climatiques délicates en cours pour un hélicoptère du 1er RHC et un VBCI probablement du 1er RTir...


Après la 3e brigade mécanisée de Clermont-Ferrand, c'est la 6e BLB (brigade légère blindée) de Nîmes, commandé par le général Laurent Kolodziej, qui arme principalement la brigade Serval. Celle-ci est d'ailleurs passée de trois groupements tactiques interarmes (GTIA) et d'un groupement aéromobile (GAM), au plus fort du déploiement, à un GTIA "Désert" et un GAM, armé par le 1er RHC (hélicoptères de combat) de Phalsbourg et divers éléments de l'ALAT.

Au sol, au nord du Mali et autour de Gao, la force Serval s'articule en majorité avec le 2e REI (étranger infanterie) de Nîmes et le 1er REC (étranger cavalerie) d'Orange, le seul régiment de cavalerie de la légion étrangère.

Le GTIA "Désert" est d'ailleurs commandé par le chef de corps du 2e REI, le colonel Eric Ozanne (le transfert d'autorité avec le GTIA n°2 commandé par le colonel Bruno Bert du 92e RI a eu lieu le 20 mai).

La brigade "Désert" compte un état-major tactique et une compagnie d'infanterie sur VAB du 2e REI. On ajoute une compagnie VBCI du 1er RTir (tirailleurs) d'Epinal, dont on dit souvent qu'il est l'un des régiments le plus projeté de France. Le 1er REG (étranger génie) de Laudun dans le Gard arme un élément de Fouille opérationnelle spécialisée et une équipe opérationnelle de déminage. Le 1er REC est présent avec un escadron blindé d'AMX 10-RC. Enfin, on ajoute un groupement artillerie CAESAR de 155 mmm et mortiers de 120 mm, armé par le 3e RAMA (artillerie de marine) de Canjuers, l'habituel appui-feu et renseignement de la 6e BLB.

Du côté des transmissions et du ravitaillement, ces missions essentielles sur le difficile terrain malien sont assurées par le 48e RT (transmissions) d'Agen et le 515e RT (train) de La Braconne en Charente.

Evidemment, on passe sous silence les forces spéciales qui continuent probablement à naviguer dans le nord, entre Gao, le Niger et l'Algérie, à la recherche de jihadistes...

Pour l'armée de l'air, Serval compte trois Mirage 2000D à Bamako et six Rafale à N'Djamena. Sans compter les Atlantique-2 pour le renseignement, les C130 Hercule et les C160 Transall (et même les petits Pilatus du 9e BSAM, soutien aéromobile, de Montauban) qui assurent sans relâche des missions de transport. Ces deux dernières semaines, l'aviation a assuré de 240 missions.


Musique de la Légion Étrangère - Sous le ciel de Paris (2013)

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En faveur des blessés: un concert à Bordeaux le 29 mai

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22.05.2013

Le 29 mai 2013, un concert de solidarité au profit des blessés en service des trois armées et de la gendarmerie sera donné en la cathédrale Saint-André (place Pey-Berland, à Bordeaux).

La Musique de la Légion Etrangère, ainsi que la Musique des Forces aériennes de Bordeaux, se produiront à partir de 20h30. Le concert, dont l’accès est libre et gratuit, contribue à soutenir les blessés en récoltant des dons directement versés à l’association ADO (Association pour les oeuvres d'entraide dans les armées).

L'accès au concert est libre et gratuit. Compte-tenu du succès de la manifestation en 2012, il est toutefois recommandé de retirer une contre-marque auprès du kiosque Bordeaux Culture sur les allées de Tourny ou par courrier électronique à l'adresse suivante :
Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir.

En parallèle du concert, une exposition photographique sur le thème "De la blessure au sport" sera proposée au centre Jean-Moulin, musée de la Résistance de Bordeaux, du 24 mai au 7 juin. Le parcours des blessés en opération y sera retracé.


XXXe Congrès de la Fédération des Sociétés d'Anciens de la Légion étrangère

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A AMIENS ZENITH LE VENDREDI 28 JUIN 2013 - 20H30

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Pied-noir, chef de harka et sans état d’âme

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Jean-Jacques Hanriot

  • Discipline : temoignages

  • Parution : 10-04-2013

  • Auteur : Jean-Jacques Hanriot

  • ISBN : 978-2-312-00866-0

  • Format : 150x230 mm

  • Nombre de pages : 428

  • Série / Collection : Les Editions du Net

 

Resumé

L’auteur raconte son histoire et celle de sa famille :

– La légende familiale constituée des souvenirs racontés par les parents et qui résument l’aventure humaine d’une famille de pied noir arrivée en Algérie vers 1850.

– De sa naissance avec ses souvenirs vécus et les choses qu’il a vues et auxquelles il a participé jusqu’à son départ pour le service militaire.

– Sa guerre d’Algérie comme chef de harka dans le Constantinois, ses joies, ses peines, ses peurs, et surtout l‘amour qu’il a éprouvé pour ces hommes qui ont servi sous ses ordres ainsi que pour leur famille, et leur abandon par l’armée.

C’est aussi l’évocation de petites histoires qui décrivent la vie d’un chef de section de 20 ans, perdu dans la montagne et qui doit tout résoudre seul. C’est en résumé la synthèse de 21 mois à beaucoup marcher, à beaucoup observer, à beaucoup chercher, à se battre un peu mais avec intensité et à aiguiser la patience.

C’est le retour à Alger en janvier 1962 avec tous ces morts et ces violences, puis c’est la fin d’une vie en Algérie heureuse, l’autre va commencer en métropole en juillet 1962.

Auteur

L’auteur est né le 18 juin 1939 en Algérie d’une famille arrivée là-bas vers 1850. De 1939 à 1959, une vie heureuse et insouciante dans une Algérie tranquille. En 1954, les « événements ». Le début d’une vie difficile mais toujours insouciante. Les études pour passer un baccalauréat, les préparations militaires. En 1959, le service militaire avec l’entrée à l’École Militaire d’infanterie de Cherchell, et 27 mois comme chef de harka dans le constantinois. En 1962 c’est le début d’une carrière militaire en métropole dans l’infanterie, le génie et la légion qui s’achève en juin 1995 après 36 ans de service comme lieutenant-colonel chef de corps du Centre Mobilisateur n° 27 à TARASCON. En 1995 la retraite passée en études à l’université pendant 7 ans pour se terminer en 2002, par un doctorat « d’histoire militaire et d’étude de défense » à l’Université Paul Valéry de Montpellier. Il est marié, avec quatre enfants et six petits-enfants, et est domiciliés en Avignon.


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