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Légionnaire toujours...

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2018




Camerone. 155e anniversaire de la bataille, lundi

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https://www.letelegramme.fr/

Publié le 26 avril 2018

Autour de leur président, le général de corps d'armée (2S) Bertrand Clément-Bollée, étaient présents : Alain Robert, vice-président, Branko Ostojin, trésorier, et Christian André, secrétaire.

Autour de leur président, le général de corps d'armée (2S) Bertrand Clément-Bollée, étaient présents : Alain Robert, vice-président, Branko Ostojin, trésorier, et Christian André, secrétaire.


L'Amicale des anciens de la Légion étrangère du Morbihan invite la population à assister à un événement inédit à Larmor-Plage : la cérémonie de commémoration du 155e anniversaire du combat de Camerone qui se tiendra le lundi 30 avril. Pour que le public comprenne mieux la symbolique de cette commémoration, les traditions et l'esprit légionnaire, l'Amicale propose, ce vendredi, une conférence gratuite, à 19 h 30, salle des Algues.

La cérémonie du 30 avril


Plus d'une centaine d'anciens légionnaires des amicales du Grand Ouest, d'anciens de l'Amicale des fusiliers marins et commandos de Lorient et plus d'une quarantaine d'associations patriotiques du département se réuniront autour du monument aux morts de la ville pour honorer la mémoire des grands anciens qui se sont illustrés à Camerone de Tejeda, il y a 155 ans. Cette commémoration débutera, ce lundi, par une messe à la mémoire des légionnaires morts pour la France. La messe sera célébrée par l'aumônier militaire des écoles de Saint-Cyr-Coëtquidan, dès 10 h, à l'église Notre-Dame. Suivra, dès 11 h, le cortège qui se dirigera vers le monument aux morts pour la cérémonie du souvenir. À 11 h 20, cérémonie au monument aux morts, accompagnée par la musique des sapeurs-pompiers du Morbihan. Remises d'une médaille militaire et d'une médaille de la Défense nationale, lecture du récit du combat de Camerone et dépôt d'une gerbe, puis un vin d'honneur à la salle des Algues.


Alan Seeger, ce poète américain tombé pour la France auquel Emmanuel Macron a rendu hommage

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https://www.la-croix.com/

Jean-Yves Dana , le 26/04/2018

 

 

Au cours de son discours devant le Congrès américain, mercredi 25 avril, le président de la République a fait référence aux sacrifices communs dans le cadre des relations historiques entre la France et les États-Unis.

À titre d’exemple, il a évoqué et fait applaudir le nom du poète new-yorkais Alan Seeger, tombé à 28 ans le 4 juillet 1916 dans la Somme, avant même l’entrée en guerre des États-Unis.

Le président de la Chambre des représentants Paul Ryan(à droite), le vice-président américain Mike Pence (au centre), des membres du Congrès applaudissent après que le président français Emmanuel Macron se soit adressé au Congrès le 25 avril 2018 au Capitole à Washington.

Le président de la Chambre des représentants Paul Ryan(à droite), le vice-président américain Mike Pence (au centre), des membres du Congrès applaudissent après que le président français Emmanuel Macron se soit adressé au Congrès le 25 avril 2018 au Capitole à Washington. / Eliot Blondet / Abaca Press / Sipa USA via AP

Né à New York le 22 juin 1888. Mort à Belloy-en-Santerre, dans la Somme, en 1916, le 4 juillet, jour de fête nationale. Alors que les États-Unis ne sont entrés dans la Première Guerre mondiale qu’en 1917, il y a eu des victimes américaines de ce conflit avant cette date. Le poète américain Alan Seeger, dont le président Emmanuel Macron a fait ovationner le nom par l’ensemble du Congrès américain – 100 sénateurs et 435 représentants – mercredi 24 février, lors de son discours, est de ceux-là. Il incarne à lui seul le sacrifice des jeunes combattants américains qui ont donné leur vie pour la liberté pendant la Première guerre mondiale.

Arrivé à Paris en 1912

Fils d’un industriel new-yorkais ayant passé sa prime enfance dans une maison sur Staten Island, juste en face de la statue de la Liberté, il se tourne jeune homme vers la littérature, et décide dès 1912 de se rendre à Paris où il gagne de quoi subsister en rédigeant des articles, notamment pour Le Mercure de France, ainsi que des poèmes.

Lorsque le conflit éclate, il s’engage comme volontaire dans la Légion étrangère, pour se battre aux côtés de son pays d’accueil, et défile à la tête des Américains de Paris, brandissant la bannière étoilée. Il combat le 4 octobre 1914 à la Bataille de la Marne, puis jusqu’en juin 1915 sur le Chemin des Dames et à nouveau en Champagne, avant de tomber malade et d’être hospitalisé.

Il rejoint finalement le Régiment de marche de la Légion étrangère en juillet 1916 lorsque celui-ci se trouve engagé dans la Somme.

Sa statue à Paris, place des Etats-Unis

C’est là qu’il meurt le 4 juillet, à Belloy-en-Santerre, où la place du village porte désormais son nom et où une plaque commémorative a été apposée sur le mur de la mairie. Ses restes ont été inhumés dans la Nécropole nationale de Lihons, dans la Somme.

Comme l’a également rappelé le président de la République, une statue à son effigie se trouve à Paris, place des Etats-Unis, sur le Monument aux Volontaires américains de la Grande Guerre.

Ses écrits de guerre, eux, constitués de son journal, de correspondances et d’une vingtaine de poèmes, ont été publiés en français chez Payot il y a exactement cent ans, en 1918.

Emmanuel Macron a notamment fait référence à son poème le plus célèbre, intitulé Rendez-vous avec la mort (« I have a rendezvous with Death »), l’un des poèmes préférés du président John Fitzgerald Kennedy. « Nous avons eu de nombreux rendez-vous avec la mort car nous sommes constamment attachés à la liberté et à la démocratie », a déclaré ce 25 avril le président français


Sud-Aveyron : les honneurs militaires rendus samedi pour le légionnaire décédé en mission

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https://www.midilibre.fr/

Publié le 26 avril 2018

Sud-Aveyron : les honneurs militaires rendus samedi pour le légionnaire décédé en mission

Le sergent Anthony Paiba Valverde, de la 13e demi-brigade de la Légion étrangère, et décédé accidentellement la semaine dernière à Mayotte.

Une semaine après le décès accidentel, en opération extérieure à Mayotte, du sergent Anthony Paiba Valverde, de la 13e demi-brigade de la Légion étrangère, une cérémonie officielle aura lieu samedi à La Cavalerie.

La journée sera divisée en deux temps. Le matin, une messe aura lieu en l'église de La Cavalerie, où les habitants sont invités à partir de 10 h 30. L'après-midi, une cérémonie militaire est programmée dans le camp du Larzac, en présence de la compagne et des deux enfants du défunt. Le général Jean Maurin, commandant de la Légion étrangère sera également présent.

Le sergent  Anthony Paiba Valverde est décédé vendredi dernier à Mayotte. Agé de 24 ans, le militaire, d'origine équatorienne, était déployé dans la région du cratère du lac Dziani lorsqu'il a fait une chute accidentelle d'une falaise.


Francis Ruiz. Honoré par la Légion étrangère, « ma famille »

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https://www.letelegramme.fr/

Publié le 25 avril 2018


Francis Ruiz, ancien légionnaire, a été choisi pour accompagner le porteur de la main du capitaine Danjou à l'occasion de la cérémonie traditionnelle de la Légion Etrangère à Aubagne

 

Une place de choix sera réservée à un Rennais, Francis Ruiz, lundi, lors de la traditionnelle cérémonie de la Légion, à Aubagne (Bouches-du-Rhône).

1863, réfugié dans une hacienda, un détachement de 60 hommes commandés par le capitaine Danjou affronte 2 000 Mexicains, avec un mot d’ordre : se battre jusqu’au bout. Chapitre glorieux de l’histoire de la Légion étrangère, le mythe de Camerone est né. Depuis 1930, ce fait d’armes et tous les morts de la Légion sont célébrés par le prestigieux corps de l’Armée de Terre. En particulier à Aubagne, où sont installés le 1er régiment étranger et le commandement de la Légion.

Au pays de Marcel Pagnol, la cérémonie revêt un caractère particulier. La prothèse de main du Capitaine Danjou, conservée précieusement, est ressortie pour l’occasion et remonte l’allée d’honneur, appelée « Voie sacrée », jusqu’au monument aux morts. Un moment fort des légionnaires permettant aussi d’honorer l’un des leurs encore en vie. Et cette année, c’est un Breton d’adoption qui a été choisi. Ce lundi 30 avril, Francis Ruiz, installé à Rennes depuis plus de cinquante ans, accompagnera le porteur de la main du capitaine Danjou.


En captivité en Indochine


« Quand j’ai reçu un appel du commandant de la Légion étrangère Jean Maurin pour me dire que j’avais été désigné, je suis resté sans voix. C’est un honneur. Je n’en espérais pas tant. Ça m’a secoué », avoue Francis Ruiz. Car à 91 ans, cet ancien militaire n’est pas du genre à se mettre en avant. Plutôt discret, il n’aime pas non plus ressasser le passé. Et pourtant, sa vie est un roman et le petit bureau de son appartement, dans le centre de Rennes, un musée. Natif de Nemours près d’Oran, lorsque l’Algérie était française, il s’engage dans la Légion à 16 ans. Nous sommes en mars 1944.

Débarquement en Provence, remontée jusqu’en Autriche, le gamin qu’il est encore est déjà repéré par ses chefs : « Esprit vif, bon radio de section, bon tireur, solide physiquement, à suivre ».

Au fil des années, il gravit les échelons des képis blancs, jusqu’au grade d’adjudant-chef. Un haut niveau chez les légionnaires. Plusieurs citations, titulaire de la Croix de guerre, Officier de la Légion d'honneur, Francis Ruiz accumule les médailles. Avec plusieurs batailles à son actif, dont une en particulière qui le marquera à vie : l’Indochine. Sergent-chef au 1er Bataillon étranger de parachutistes, il verra mourir au combat de la RC4 (Route Coloniale 4) la totalité de son unité en octobre 1950. Puis vivra l’expérience de la captivité dans les camps Viêt Minh pendant quinze mois.


« J’ai eu de la chance »


« J’en ai bavé. Il y a eu des bons et des mauvais moments », résume simplement le légionnaire près de soixante-dix ans après. Jamais blessé physiquement - « j’ai eu de la chance » - l’homme a toutefois vécu un enfer psychologique. « On essayait de nous changer. Depuis ma captivité, je suis stressé en permanence ». Sans pour autant rien regretter. « J’ai combattu pour la France par l’intermédiaire de la Légion, ma famille ». Il ne se considère pas pour autant comme un héros. Juste « un homme qui a fait son travail ». Même si ce « job » consistait aussi à tuer. « Si je ne l’avais pas fait, ce sont eux qui auraient enlevé ma vie ». Mais pas question pour Francis Ruiz de s’apitoyer sur son sort : « Hier ne m’intéresse pas, aujourd’hui tout juste. Ce qui m’intéresse c’est demain ». Et demain, justement, ce sera Aubagne et la cérémonie auprès des siens.


« Dans la légion étrangère, il n’y a pas que des gangsters »

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https://www.ouest-france.fr/

Publié le 23 avril 2018

Francis Ruiz, 90 ans, est un ancien légionnaire.  Il sera aux premiers rangs de la grande cérémonie de Camerone, à la maison mère de la Légion étrangère, à Aubagne (Bouches-du-Rhône).

Francis Ruiz, 90 ans, est un ancien légionnaire. Il sera aux premiers rangs de la grande cérémonie de Camerone, à la maison mère de la Légion étrangère, à Aubagne (Bouches-du-Rhône). | Linda Benotmane

Francis Ruiz, Rennais âgé de 90 ans est un ancien légionnaire. Il sera aux premiers rangs de la grande cérémonie de Camerone, à la maison mère de la Légion étrangère, à Aubagne (Bouches-du-Rhône).

Francis Ruiz, 90 ans, a quitté la Légion étrangère depuis longtemps, mais les douze années de sa vie passées au sein de ce corps de l’Armée ne le quittent pas. Lundi 30 avril, il participera à la grande cérémonie nationale de tradition à la maison mère de la Légion étrangère, à Aubagne (Bouches-du-Rhône).

Ce jour-là, comme chaque année depuis 1906, sera commémorée Camerone, la bataille fondatrice de la légende, de l’esprit d’engagement total de la Légion et de sa devise : « Honneur et fidélité ». C’est avec le défilé du 14 juillet sur les Champs-Élysées, l’une des cérémonies militaires les plus populaires. Chaque année, plus de 10 000 personnes y assistent. « La bataille de Camerone c’est une ligne de conduite, la fraternité, le respect des gens et du drapeau tricolore. Toute ma vie de légionnaire sera résumée », confie Francis Ruiz.

« C’est confidentiel »

Créée en 1831, à l’époque de la conquête de l’Algérie, la Légion était engagée au Mexique, en 1863, lorsque, le 30 avril, les trois officiers et 62 légionnaires de la compagnie du capitaine Danjou résistèrent toute une journée à 2 000 adversaires en refusant de se rendre. Après un combat épique, les cinq derniers survivants chargèrent baïonnette au fusil. Rituellement, le temps fort est la présentation de la main de bois du capitaine Danjou, la plus précieuse relique de la Légion, retrouvée sur le champ de bataille où l’officier fut tué d’une balle en pleine poitrine, le 30 avril 1863.

En 1944, alors qu’il a 16 ans et neuf mois, Francis Ruiz décide de s’engager dans la légion étrangère. Pour quelle raison ? « On ne demande jamais pourquoi on devient légionnaire, c’est confidentiel », répond-il. La question de l’anonymat se pose lors de l’engagement. « Il y a beaucoup de fantasmes. La Légion offre une deuxième vie. Mais ce ne sont pas que des repris de justice ou des gangsters. »

« Des combats violents »

Les guerres, Francis Ruiz en a connu plusieurs. Peu après son engagement en 1944, il rejoint un régiment pour l’opération débarquement à Cogolin. « On a remonté le Rhône pour finir le combat en Autriche en 1945. Les combats étaient violents. » Quelques mois plus tard, le légionnaire part en Indochine. En 1950, il est porté disparu au cours des combats. Il ne sera libéré qu’en 1952. « J’étais dans un camp de prisonniers qui travaillait sur les routes. » Il confie en garder encore aujourd’hui des séquelles physiques et morales. « Trois fois par jour, on avait des leçons de communisme. Ils essayaient de nous changer. J’en suis sorti très affaibli. »

Au service de la France

Pour autant, le légionnaire est attaché à ce corps très particulier. « La vie de légionnaire, ce sont des valeurs au service d’une certaine exigence. On nous envoie là où les autres ne vont pas. Vivre au service de la France durant cinq ans, c’est très difficile. On ne vit que pour cela, on ne se mélange pas à la population. Le légionnaire doit être réservé, les histoires ne doivent pas sortir du cercle. »


Il quitte la légion en 1956 pour aller dans les unités sahariennes pendant sept ans. De retour à la vie civile en 1963, il est devenu responsable logistique à Rennes, dans l’entreprise de transport Prost. Lundi 30 avril, il retrouvera ses anciens collègues. « Et ce sera le plus bel honneur de ma vie. »


Le courage chevillé au corps de la Légion

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https://www.jhm.fr/

Publié le 23 avril 2018

Venus de Haute-Marne, de l’Aube, de Côte-d’Or, de Franche-Comtéet de Meurthe-et-Moselle, de nombreux membres des amicales de la Légion étrangère ont participé, hier, devant le monument aux morts à la cérémonie commémorant la bataille de Camerone, qui s’est déroulée au Mexique, le 30 avril 1863.


Camerone dans l’intimité, portes ouvertes reportées

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https://www.midilibre.fr/

23 avril 2018


Camerone dans l’intimité, portes ouvertes reportées

Les légionnaires sont en mission à l’étranger. Archives M. A.

À la Légion étrangère, le 30 avril est d'habitude synonyme de journée portes ouvertes, de kermesse et du bal de...

À la Légion étrangère, le 30 avril est d'habitude synonyme de journée portes ouvertes, de kermesse et du bal de miss Képi Blanc. C'est également la date de commémoration de la bataille de Camerone, qui, en 1863, opposa légionnaires aux troupes mexicaines. Cette année, le 1er Reg va déroger à la tradition, indique son service communication. “Fortement engagé en opérations extérieures au Sahel, au Liban, en République de Côte d'Ivoire ou au Sénégal..., le 1er Reg de génie se voit dans l'obligation de reporter ses journées portes ouvertes aux 7 et 8 juillet, afin de continuer à favoriser ce lien qui unit le régiment aux habitants des communes avoisinantes.” La cérémonie de Camerone se déroulera quant à elle bien le 30 avril, mais dans l'intimité.


Les «fortes têtes» préparent les festivités de Camerone

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https://www.ladepeche.fr/

Publié le 18/04/2018

Une prise d'armes pour  Camerone le 30 avril et la kermesse sur deux jours . / Photo DDM, Gladys

Une prise d'armes pour Camerone le 30 avril et la kermesse sur deux jours . / Photo DDM, Gladys

 

Le 30 avril 1863, dans le village de Camerone, au Mexique, soixante-trois légionnaires français, sous les ordres du capitaine Danjou, ont vaillamment résisté face à une armée mexicaine de plus de deux mille hommes. Un haut fait d'armes que l'on commémore chaque année, à la Légion étrangère. Au quartier Capitaine-Danjou, les festivités de Camerone ont toujours lieu sur deux jours.Cette année ne dérogera pas à la règle et les hommes du colonel de Roffignac accueilleront le public pour la prise d'armes et la kermesse qui suivra. La prise d'armes, à 11 heures, comme à l‘accoutumée, sera ouverte au public. Sous condition, toutefois – plan Vigipirate oblige — d'un seul point d'entrée pour le public avec contrôle systématique des sacs. Sont interdits d'accès les visiteurs présentant un comportement ou une tenue pouvant porter atteinte au bon ordre et à la dignité, les mineurs non accompagnés, les animaux même en laisse, les visiteurs munis de colis, bagage ou sac de voyage. On devra, par ailleurs, être susceptible de justifier de son identité à tout instant. Voilà pour les modalités. A noter que le public est accueilli au quartier, à partir de 9 h 30. Pendant la cérémonie, les portes du régiment seront fermées et rouvriront à la fin. Cette année, c'est le général Pierre Liot de Nortbecourt qui présidera la prise d'armes. Cet ancien chef des forces spéciales est aujourd'hui général de division, il commande la formation de l'armée de terre et est adjoint au directeur des ressources humaines de l'armée de terre.

Pas de remise de képis blancs pour cette édition 2018, mais, en revanche, des remises de médailles et de décrets de naturalisation. Côté musique, les «fortes têtes» accueilleront pour cet événement la fanfare du 27e bataillon de chasseurs alpins d'Annecy.

À partir de 12 heures, la kermesse ; à 21 heures, élection de «Miss Képi blanc» et bal en suivant ; fermeture des portes à 2 heures. Le lendemain, ouverture de la kermesse, de 11 heures à 20 h 30.La kermesse, ce sera douze stands civils. Les forains, fidèles, proposeront des manèges pour les petits et les grands enfants. Le reste, ce sont les stands proposés par nos légionnaires qui connaissent, chaque année, un succès inégalé : paintball, sarbacane, jeu de force, jeux gonflables, petits commandos… Il y aura des démonstrations de tioc, combat rapproché, par les légionnaires, et d'autres par les gendarmes, les sapeurs-pompiers et les fusiliers marins, ainsi qu'une exposition de véhicules militaires anciens.

Gladys Kichkoff


Nouvelle association

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Publié le 14/04/2018

 

Montgivray

La commune accueille l’Amicale de la Légion étrangère de l’Indre, présidée par Éric Lambert.


Paris : trois légionnaires secourent une jeune fille... et terminent en garde à vue

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https://www.valeursactuelles.com/

Mercredi 4 avril 2018

 

 

Justice. Trois légionnaires ont terminé en garde à vue après avoir récupéré le téléphone d'une jeune fille qui avait été volé quelques instants auparavant.

« Si c’est pour se retrouver en garde à vue, la prochaine fois, on n’interviendra pas pour défendre une victime. » Les trois légionnaires ne décolèrent pas... et il y a de quoi. Nos confrères du Parisien rapportent que trois légionnaires devaient être présentés à un juge d'instruction après une garde à vue prolongée. Le motif ? La justice reproche aux trois légionnaires d'avoir eu « la main un peu lourde » contre un voleur qu'ils avaient rattrapé. Le voleur, mineur, avait dérobé le téléphone portable d'une jeune fille. Une course-poursuite s'engage alors dans le XIe arrondissement de Paris, et les trois légionnaires rattrapent le brigand. Avec un peu trop de force, selon la justice, car le jeune voleur a eu... une dent cassée.

Un motif suffisant pour mettre les trois hommes en garde à vue et les juger, selon le substitut du procureur. Le voleur, précise le Parisien, n'avait ni adresse, ni papiers d'identité.


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