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Légionnaire toujours...

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2018




Du 26 janvier au 4 février 2018 à Cassis – Exposition « Le Légionnaire Cavalier »

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https://www.medias-presse.info/

11 janvier 2018

Le colonel Olivier Baudet, chef de corps du 1er régiment étranger de cavalerie, organise une exposition « légionnaire cavalier » regroupant les photographies réalisées par Sabine Filibertho.

Rendez-vous aux Salles Voûtées de la mairie de Cassis (place Baragnon. Ouvert du vendredi 26 janvier au dimanche 4 février 2018, tous les jours de 10h à 17h (entrée libre).

Légionnaires cavaliers, anciens Russes blancs

Le 1er REC est créé en 1921 à Sousse, en Tunisie, à partir de Russes blancs du 2e REI. Le régiment s’est battu à cheval, en Syrie puis au Maroc. Il se motorise partiellement à partir de 1929, avant de passer sur automitrailleuses et chars légers pendant les campagnes de France, en 1940, de Tunisie, en 1943, et de libération de la France en 1944-1945. Le 1er REC s’illustre notamment à Colmar, puis pénètre en Allemagne et en Autriche. Après la guerre d’Indochine, où le régiment brille par sa capacité d’adaptation en adoptant les fameux Crabes et Alligators, puis celle d’Algérie, où il se remotorise sur EBR, le régiment s’installe à Orange le 22 octobre 1967.

 

Cassis, ville de garnison

Le 11 juillet 2014, il déménage d’Orange à Carpiagne, après 47 ans dans la cité des Princes. Bénéficiant d’une superficie de 1500 hectares, au cœur du Parc national des Calanques, le camp offre un potentiel remarquable pour les activités de préparation opérationnelle du régiment : champs de tir, zones de manœuvre à pied et en engin blindé, zones dédiées à l’instruction. Il est de plus idéalement situé à proximité de la plateforme aérienne d’Istres et de la plateforme maritime de Toulon. Implanté sur trois communes (Marseille, Aubagne et Cassis), le chef de corps s’attache a nouer avec les élus de proximité des relations amicales. Dans ce cadre, la ville de Cassis a offert cette belle opportunité de partenariat, en mettant une salle d’exposition à la disposition du régiment.


Opération Barkhane : les légionnaires du Larzac sur le départ pour une mission au Mali

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https://www.centrepresseaveyron.fr/

11 janv. 2018

Opération Barkhane : les légionnaires du Larzac sur le départ pour une mission au Mali

Environ 400 hommes vont s’envoler pour le Mali dans les semaines à venir. ()

Quelque 450 légionnaires s’apprêtent, dans les semaines qui viennent, à quitter le Larzac et ses températures négatives, pour le Sahel et ses 30 °C à l’ombre. Destination le Mali où pour la première fois depuis son retour sur le plateau en 2016, la Légion étrangère part en opération extérieure (Opex) rejoindre le contigent français de la force Barkhane.

Si les dates exactes ne seront pas communiquées, on sait que cependant que trois compagnies vont s’envoler pour le Mali dans le courant du semestre. « La compagnie de commandement et de logistique et deux compagnies de combat se rendront au Mali, explique le colonel Percie du Sert. Il s’agira de la dix-huitième relève programmée depuis le lancement de l’opération. Là-bas se joue une partie de notre sécurité nationale, qui se traduit par la lutte contre les groupes terroristes dans cette bande Sahélo-Saharienne. »

« Pour le régiment, c’est un aboutissement »

Le responsable de la 13e DBLE, qui assure que ses hommes sont « enthousiastes » à l’idée de partir en mission, reconnaît que les choses ne seront pas évidentes. Dix Français ont d’ailleurs déjà perdu la vie, depuis 2014, dans le cadre de l’opération Barkhane chargée de lutter contre le terrorisme et les organisations criminelles.

« Ce sera dense et intense. Pendant quatre mois, ce sera du non-stop. 24 h/24. Il n’y a pas de dimanche, pas de jours de repos. On sera dans une période ou il fera 30 °C dehors et à la fin, 45 °C. Dans les véhicules, ça peut monter à 70 °C. Ce sont des conditions extrêmement difficiles. Mais on est prêt pour réussir la mission. On ne cherche pas à briller, mais à donner la meilleure image de la 13e DBLE. Pour le régiment, c’est un aboutissement. On a à cœur de réussir. »

Opération Barkhane : les légionnaires du Larzac sur le départ pour une mission au Mali

4000 hommes engagés

L’opération Barkhane vient dans la continuité de Serval, l’intervention armée au Mali en janvier 2013. En 2014, celle-ci s’est étendue au Sahel (Mauritanie, Mali, Burkina Faso, Niger et Tchad) et a donc été renommée. C’est une lutte permanente contre les groupes terroristes locaux. 4 000 hommes sont engagés par l’armée française sur un territoire grand comme l’Europe. Il s’agit pour les troupes françaises de lutter contre les groupes armés salafistes djihadistes installés dans la région et d’apporter un soutien aux populations. Ce travail est mené en partenariat militaire avec les groupes militaires du G5 Sahel. Les troupes françaises apportent également un appui à l’armée Malienne.

EN CHIFFRES

100. C’est le nombre d’hommes qui, depuis l’installation de la Légion sur le Larzac à l’été 2016, ont participé, en permanence, à l’opération Sentinelle, installée après les attentats de Charlie Hebdo en France et qui vise à la protection des citoyens français contre la menace terroriste. Si les hommes se sont évidemment relayés, la 13e DBLE a été sollicitée tout le temps. Les Légionnaires qui ne sont pas concernés par les opérations extérieures de 2018, au Mali, à Mayotte et au Liban, continueront de participer au dispositif Sentinelle.

750. C’est le nombre d’hommes que le colonel Percie du Sert va diriger au Mali pendant toute la durée de l’intervention de son régiment dans l’opération Barkhane. Il s’agit d’un groupement tactique inter-arme d’infanterie. « Parmi ceux-là, il y a environ 400 hommes de la 13e DBLE et 350 autres soldats, venant d’autres régiments. L’objectif est de répondre à un spectre de missions le plus large possible. » Ce sera le dernier objectif du colonel avec les militaires du Larzac puisqu’il va quitter son poste en 2018. « Le commandement d’un régiment dure deux ans. C’est la règle. » La date n’est pas encore arrêtée, mais la passation avec son successeur, qui n’a pas encore été nommé, devrait se faire au cours de l’été.


Formation : « On a tous le droit à une seconde chance ! »

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https://www.ouest-france.fr/

Christian VEYRE Publié le 09/01/2018

L'actuelle promotion "jeunes diplômés" de l’Institut de Locarn, un centre de prospective économique fondé en 1991 par Joseph Le Bihan, professeur à HEC, et Jean-Pierre Le Roch, créateur d'Intermarché.

L'actuelle promotion "jeunes diplômés" de l’Institut de Locarn, un centre de prospective économique fondé en 1991 par Joseph Le Bihan, professeur à HEC, et Jean-Pierre Le Roch, créateur d'Intermarché. | DR

Depuis plus de 25 ans, l’Institut de Locarn (Côtes-d’Armor), au cœur du Centre-Bretagne, à la fois centre de prospective économique, cercle de réflexion et lobby au service de la promotion de la culture et de l’économie bretonnes, dispense des formations pour les managers de TPE/PME… mais également pour les jeunes diplômés. Une sorte d’école de la deuxième chance !

Ce n’est parce qu’on a une tête bien faite, qu’on est bardé de diplômes, et qu’on est disponible, qu’on va obligatoirement trouver du travail. Surtout quand on est jeune et que l’on vient de terminer ses études. Depuis le temps, ça se saurait ! Il est aussi question de réseaux, de rencontres et aussi, il faut bien le reconnaître, d’un tout petit peu de chance.

Ce qu’on dit moins, en revanche, c’est que la difficulté à trouver un premier emploi et l’échec pour s’insérer dans la vie active peut parfois se transformer en drame personnel et avoir des répercussions familiales.

Un constat qui a conduit l’Institut de Locarn à développer, en partenariat avec l’Agefos-PME, la Région Bretagne et Pôle emploi, un cursus de formation spécifique à destination de ce public pas comme les autres. « Terminer ses études, explique Alain Glon le président de l’Institut Locarn, c’est aussi pour certain le moment où ils commencent à s’interroger sur le sens qu’ils souhaitent donner à leur futur. Ce n’est jamais trop tard ! »

« Remettre debout et redonner confiance »

L’Institut Locarn accueille donc trois fois par an des promotions de 15 à 20 jeunes aux profils variés. « Il y a des BTS, des CAP. Certains ont des licences ou des masters. Tous ces jeunes ont en commun d’avoir vécu des échecs ou des expériences traumatisantes à leur arrivée dans le monde du travail. Notre travail c’est de les remettre debout et de leur redonner confiance, » détaille Alain Glon.

Pour eux, la formation « jeunes diplômés » de l’Institut de Locarn devient alors une véritable école de la seconde chance. En un temps record certes, mais au bout d’un travail sur soi et son projet très intensif (300 heures en 3 mois). « Le groupe est en totale immersion à Locarn. Les journées commencent tôt. Finissent tard. Tout le monde loge sur place. Les repas se prennent en commun. C’est ce que l’on appelle le résidentiel. Ils vont se reconstruire ensemble et retrouver leur place dans un groupe grâce à la cohésion. »

Sur le papier ça donne trois jours de « crapahutage en compagnie d’anciens officiers de la Légion étrangère », des ateliers méthodologiques pour définir leur projet professionnel et de préparation au processus de recrutement. Le tout complété par des rencontres avec des professionnels issus du monde de l’entreprise.

Un paternalisme bretonnant bienveillant

La plupart des intervenants sont bénévoles. Tous ont la même vocation : être utile à la jeunesse en transmettant son expérience et son savoir-faire. Parfois même en ouvrant si besoin soin carnet d’adresses. Mais il ne faut pas s’y tromper, l’Institut de Locarn ne forme pas à un nouveau métier. C'est un accompagnement destiné uniquement à permettre aux participants de redéfinir leur projet et de « retrouver l’envie ».

Alain Glon assume la dimension expiatoire de cette mission quasi sacerdotale, lui, l’ancien grand patron autrefois aux manettes du groupe alimentaire Sanders (chips Bret’s, les œufs Matines, les emballages Ecofeutres, etc.) : « Ma génération doit assumer ses erreurs. Nous avons échoué à donner du travail à notre jeunesse. L’ambition de notre région, de notre pays, c’est notre jeunesse et rien d’autre. La pénurie de main-d’œuvre ne doit pas être vécue comme une fatalité. Il faut se retrousser les manches. »

Intuition prémonitoire ou bon sens paysan, Alain Glon est persuadé que la solution est à portée de main : « Je crois dans notre territoire. Il faut reconnecter nos entreprises et notre jeunesse. C’est notre obligation ! »

Pour en savoir plus sur l’Institut de Locarn c’est par .


Le destin tragique des frères Clark

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https://www.estrepublicain.fr/

Le 06/01/2018

Jean Marie, président cantonal du Souvenir français, a retracé le parcours de deux frères américains morts pour la France en 1918, l’un sous l’uniforme français, l’autre sous l’uniforme américain.

En avril 1916, Coleman Tileston Clark, étudiant en 2e année à Yale, quitte New-York comme membre du service américain des ambulances. Il débarque à Bordeaux en mai et participe aux combats de Verdun et Bois-le-Prêtre près de Pont-à-Mousson. De retour à Paris, il embarque en octobre pour Salonique en Macédoine et sert l’armée française pendant 8 mois autour de Monastir. De retour en France, il continue au sein de la légion étrangère. En janvier 1918 il sort diplômé de l’école d’artillerie de Fontainebleau. Nommé aspirant à la 5e batterie du 28e régiment d’artillerie de campagne, il prend son service à Leuilly et Juvigny sur le front de l’Aisne. Grièvement blessé le 28 mai au-dessus du Chemin des Dames, il est massacré le lendemain lors du bombardement puis de l’attaque allemande de l’hôpital de Fontenoy. Coleman Clark est décoré de la croix de guerre avec étoiles d’argent et de bronze, « preuve d’un dévouement exemplaire, digne de courage », avec deux citations à cet ordre.

Son frère Salter Clark s’engage dans l’armée américaine début 1918 et combat en France au sein du 311e Infantry Regiment. Il est tué le 19 octobre autour de Grandpré.

Après la guerre, leurs corps sont transférés au cimetière de Romagne où ils reposent côte à côte.


De Mogadiscio à Orthez, les mille et une vies de l’anesthésiste Jean-Claude Adam

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https://www.larepubliquedespyrenees.fr/

Par Benoît rouzaud, publié le 6 janvier 2018

 

Jean-Claude Adam a quitté l’armée après 25 ans de service avec les galons de médecin-chef. Il a été décoré de la Légion d’honneur pour son action lors de la crise de Mogadiscio, portée à l’écran par Ridley Scott dans le film « La Chute du faucon noir ».

 

Anesthésiste à la clinique Labat, Jean-Claude Adam, 55 ans, revient sur sa carrière atypique de médecin militaire, riche en aventures palpitantes.

Bataille de Mogadiscio, opérations en Côte d’Ivoire, reconstruction de visages au Bangladesh, passage par la Légion étrangère, distinction de la Légion d’honneur… et pour finir un poste de directeur adjoint à la clinique Labat...


Cécile de Ménibus à la Légion étrangère pour C8

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https://tvmag.lefigaro.fr/

Élisabeth Perrin Publié le 02/01/2018

Cécile de Ménibus

Cécile de Ménibus. Crédits photo : © Aurelien FAIDY/AutoFocus-prod

Forte des bonnes audiences sur C8 de son émission Les Mystères de…, Cécile de Ménibus a partagé pendant un mois à Aubagne, à Castelnaudary et à Calvi une partie du quotidien des légionnaires et des candidats (entre 17 et 40 ans) à ce corps de l’armée française dont les conditions de recrutement depuis quelques années se sont durcies. «Non seulement les candidats doivent faire leurs preuves physiquement et mentalement, mais ils doivent avoir un casier judiciaire exempt de tout crime de sang», précise l’animatrice qui, pour les besoins de ce reportage (diffusion en février 2018), a même sauté en parachute! En attendant sa prochaine enquête, chez les douaniers, elle reprendra le 3 février à Deauville son spectacle Showbuz et elle poursuit activement son engagement auprès de Mécénat chirurgie cardiaque. Récemment, elle participait dans l’Ain à la Boule de Bresse, qui soutient l’association fondée par Francine Leca.


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