Publié le 19/10/2016

Un nouveau drapeau pour la section des anciens combattants de Muret

La Dépêche du Midi

Publié le 14/10/2016

Remise de képi blanc pour la 1^re compagnie./Photo DDM

Mardi 4 octobre, à 17 heures, le village a eu l'honneur de recevoir la Légion étrangère. Il s'agissait pour vingt-cinq engagés volontaires (de quinze nationalités différentes) de recevoir leur précieux képi blanc. Après les quatre semaines traditionnelles passées sur le terrain, ces nouveaux légionnaires de la 1re compagnie du 4e régiment étranger du capitaine Axel Bianchi ont ainsi coiffé leur képi blanc, après avoir pris solennellement et fièrement l'engagement devant le chef...

Publié le 13/10/2016

Jean-Yves Le Drian devrait venir rendre visite aux militaires du Larzac dans les semaines à venir./Photo DDM

OCÉANE LAPARADE

Publié le 06/10/2016

Après y avoir étudié, Éric Nachez revient au Prytanée en tant que chef de corps. | Ouest-France

Le 04 octobre 2016

De gauche à droite : le Caporal chef Pedro et le sergent chef Knotek recruteurs pour la Légion étrangère. - La Manche Libre

Un camion imposant a fait son apparition sur le parking de la mairie depuis lundi 3 octobre 2016. Il appartient à la Légion étrangère, un corps de l'armée de terre française qui en mission recrutement à Saint-Lô (Manche) pendant deux jours.

"Nous avons besoin de Français"

"Nous avons principalement besoin de Français, car il en manque dans nos effectifs", indique le sergent-chef Knotek. "A ce jour, il n'y a qu'environ 10% des personnes francophones au sein de La Légion étrangère. Il nous en faut plus pour faciliter l'apprentissage de la langue de nos recrues étrangères".

A partir de 17 ans

Ce corps d'armée compte entre actuellement entre 7500 et 8000 soldats de 150 nationalités différentes. Il peut intervenir sur les mêmes missions que l'armée de terre.
La Légion étrangère recrute des personnes à partir de 17 ans et demi sous réserve d'accord parental et jusqu'à 40 ans.
Les personnes intéressées peuvent rencontrer les recruteurs ce mardi 4 octobre jusqu'à 18h et mercredi 5 octobre de 9h à 18h.

Par Robert Lefebvre | Publié le 07/10/2016

La découverte, fin septembre, du corps d’un Tourquennois de 66 ans dans son appartement du boulevard d’Halluin a ému une partie de ses voisins. Ces derniers ne comprennent pas comment l’homme a pu mourir seul sans que personne ne donne l’alerte alors qu’un de ses voisins prenait soin de lui depuis plus d’un an.

«  C’était un homme renfermé, timide mais sympathique. Jusqu’à il y a quelques années, cet ancien légionnaire faisait ses courses lui-même. Il sortait régulièrement. On le croisait tout le temps. » Puis le Tourquennois a perdu sa fille et vécu la descente aux enfers. «  Il s’est mis à boire, s’est isolé. Son état s’est dégradé. » Mais un de ses voisins aurait continué à le fréquenter assidûment : «  Il y a un voisin qui lui faisait ses courses. Ils se voyaient régulièrement, chez l’un, chez l’autre. » Puis la victime n’a plus quitté son appartement.

Un voisin lui faisait ses courses

«  Au printemps, ça sentait mauvais au rez-de-chaussée. On a vu l’apparition de grosses mouches dans le hall. Nous avons prévenu Vilogia et le service de nettoyage. » Mais à cet instant les voisins de la victime n’imaginent pas que l’homme qui vit au rez-de-chaussée, puisse être décédé. «  On pensait que le monsieur qui lui faisait ses courses prenait toujours soin de lui. »

Durant l’été, une partie des habitants de l’immeuble est partie en vacances. Fin septembre, l’odeur pestilentielle est encore plus prégnante dans le bâtiment. «  Jusqu’alors, on ne s’était pas inquiété de l’odeur plus que ça car il avait trois chats. Et ça puait de manière générale. » Mais lorsque les voisins ont découvert un chat mort, bloqué dans l’embrasure d’une fenêtre, à l’arrière de l’immeuble, ils ont à nouveau sollicité le service de nettoyage. Lequel est intervenu le 28 septembre et a alerté la police.

Les corps du sexagénaire et de ses trois chats étaient découverts sans vie dans l’appartement. «  Sur la table, il y avait du pain. »

Dans la boîte aux lettres, ont été retrouvés des journaux datant de fin mai. Divers éléments corroborant l’hypothèse selon laquelle l’homme serait décédé à cette période. Pour les habitants de l’immeuble, c’est un choc : «  Pourquoi celui qui lui faisait ses courses n’a pas signalé son absence ? La dégradation de son état de santé ? Pourquoi Vilogia et le service de nettoyage ne se sont-ils pas inquiétés dès le mois de mai ? »

Évidemment, les voisins qui n’ont rien vu venir se sentent aussi coupables mais assurent qu’ils n’étaient pas les mieux placés pour alerter. «  Nous étions persuadés que celui qui lui faisait ses courses gardait un œil sur lui. » Le voisin en question, que nous n’avons pu joindre, n’était visiblement plus en état de prendre soin du sexagénaire.

Publié le 04/10/2016

Au départ de la précédente édition.

Le semi-marathon de la Légion étrangère à Castelnaudary, c'est ce samedi 8 octobre, une édition traditionnellement dédiée au capitaine Massines, un peu particulière, cette année, puisque c'est celle du 40e anniversaire de présence du régiment dans la capitale du Lauragais. Mesures de sécurité obligent, les inscriptions se feront uniquement par internet, sur le site du 4e régiment étranger. Pas de changement toutefois quant à l'itinéraire.En revanche, il sera impossible...

Publié le 02/10/2016

(AFP) - La saharienne, les épaulettes, les boutons dorés... autant de détails empruntés par les couturiers au vestiaire militaire et présentés jusqu'au 15 janvier 2017 dans la double exposition "Mission mode" au musée Borély à Marseille et au musée de la Légion étrangère à Aubagne.

"L'expression +se mettre sur son 31+ vient de l'armée, elle fait référence à la tenue de gala de l'armée de terre qui est la numéro 31. Les univers de l'armée et de la mode semblent très éloignés, et pourtant ils ne cessent de dialoguer", explique l'adjudant-chef Antonio Correia Estradas, qui appartient à la division patrimoine de la Légion étrangère.

Les deux expositions mettent en valeur les principaux éléments du vestiaire militaire repris par les couturiers depuis la fin du XIXe siècle. Ainsi la saharienne, vêtement militaire fonctionnel par excellence, d'abord conçue pour faire face aux climats chauds de l'Afrique avant d'être popularisée en 1968 par Yves Sant-Laurent, qui en a fait le symbole de la femme urbaine et aventurière.

"Les tendances dans la mode sont toujours liées aux contextes particuliers, on l'a vu par exemple avec un retour du militaire dans les défilés après les attentats du 11-Septembre. Par le passé, jouer avec les codes militaires était subversif, mais aujourd'hui les références sont débarrassées de leur symbolique contestataire", estime Laurence Donnay, conférencière au musée Borély des arts décoratifs et de la mode.

Au fil des silhouettes exposées dans le château Borély, on voit apparaître la couleur kaki chez Sonia Rykiel ou Dior, l'imprimé camouflage chez Jean-Paul Gaultier ou Bensimon, l'utilisation des ornements militaires chez Coco Chanel.

A Aubagne, dans le musée d'histoire militaire, l'approche est inversée et les les tenues choisies retracent l'évolution du style des uniformes de la Légion étrangère.

"Les couturiers ont beaucoup puisé dans notre garde-robe, mais l'armée aussi a toujours été à l'affut des innovations de la mode civile, pour rendre nos tenues toujours plus pratiques et confortables", explique M. Correia.

On y retrouve par exemple une étonnante malle de Louis Vuitton de 1885, dont surgit un lit de camp dépliable, repris par l'armée pour sa fonctionnalité.

"Les uniformes des troupes coloniales, et notamment de la Légion étrangère, se sont adaptés aux différentes conditions climatiques selon les missions, le désert de l'Afrique subsaharienne, les forêts tropicales d'Indochine... Et ces missions ont exercé une fascination exotique sur l'imaginaire de la mode civile", estime M. Correia.

RelaxNews

Publié le 01/10/2016

Aimé Raynier et Jean-Louis Rode.

Depuis la rentrée, notre chorale masculine compte deux chanteurs de plus. Aimé Raynier, catalan d'origine résidant à Prades et retraité de la gendarmerie, est arrivé à Pexiora en 1994 après y avoir aménagé sa maison. Il s'est vite intégré dans les associations locales, la chasse et les Joyeux Pexioranais. C'est tout naturellement qu'il a rejoint les Joyeux Cantaïres puisqu'il chantait déjà dans la chorale de Vernet-les-Bains. Il avait pu rencontrer notre chef de chœur lors d'un échange avec la...

Publié le 30/09/2016

La saharienne, les épaulettes, les boutons dorés... autant de détails empruntés par les couturiers au vestiaire militaire et présentés jusqu'au 15 janvier 2017 dans la double exposition "Mission mode" au musée Borély à Marseille et au musée de la Légion étrangère à Aubagne.

"L'expression +se mettre sur son 31+ vient de l'armée, elle fait référence à la tenue de gala de l'armée de terre qui est la numéro 31. Les univers de l'armée et de la mode semblent très éloignés, et pourtant ils ne cessent de dialoguer", explique l'adjudant-chef Antonio Correia Estradas, qui appartient à la division patrimoine de la Légion étrangère.

Les deux expositions mettent en valeur les principaux éléments du vestiaire militaire repris par les couturiers depuis la fin du XIXe siècle. Ainsi la saharienne, vêtement militaire fonctionnel par excellence, d'abord conçue pour faire face aux climats chauds de l'Afrique avant d'être popularisée en 1968 par Yves Sant-Laurent, qui en a fait le symbole de la femme urbaine et aventurière.

Une création de Marc Jacobs et un uniforme sahélien de la Légion étrangère, le 22 septembre 2016 au musée Borély à Marseille © BERTRAND LANGLOIS AFP/Archives

"Les tendances dans la mode sont toujours liées aux contextes particuliers, on l'a vu par exemple avec un retour du militaire dans les défilés après les attentats du 11-Septembre. Par le passé, jouer avec les codes militaires était subversif, mais aujourd'hui les références sont débarrassées de leur symbolique contestataire", estime Laurence Donnay, conférencière au musée Borély des arts décoratifs et de la mode.

- 'Fascination exotique' -

Au fil des silhouettes exposées dans le château Borély, on voit apparaître la couleur kaki chez Sonia Rykiel ou Dior, l'imprimé camouflage chez Jean-Paul Gaultier ou Bensimon, l'utilisation des ornements militaires chez Coco Chanel.

A Aubagne, dans le musée d'histoire militaire, l'approche est inversée et les les tenues choisies retracent l'évolution du style des uniformes de la Légion étrangère.

"Les couturiers ont beaucoup puisé dans notre garde-robe, mais l'armée aussi a toujours été à l'affut des innovations de la mode civile, pour rendre nos tenues toujours plus pratiques et confortables", explique M. Correia.

On y retrouve par exemple une étonnante malle de Louis Vuitton de 1885, dont surgit un lit de camp dépliable, repris par l'armée pour sa fonctionnalité.

"Les uniformes des troupes coloniales, et notamment de la Légion étrangère, se sont adaptés aux différentes conditions climatiques selon les missions, le désert de l'Afrique subsaharienne, les forêts tropicales d'Indochine... Et ces missions ont exercé une fascination exotique sur l'imaginaire de la mode civile", estime M. Correia.

30/09/2016 11:03:12 -  Marseille (AFP) -  © 2016 AFP