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Légionnaire toujours...

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2011

« Légionnaires », de Henri Weill

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04/05/11

 

« En mémoire de mon père »

En consacrant le 1er chapitre de « Légionnaires » à son père originaire de Marmoutier, Henri Weill se livre à un devoir de mémoire empreint de souvenirs familiaux. Gros plan sur cette évocation d'Oscar Weill, fils de bouchers, engagé dans la Légion étrangère de 1935 à 1951.

Au fils des décennies, la bibliographie de Henri Weill s'est étoffée de divers ouvrages : « Opération Victor, GIGN et services secrets dans le Pacifique » ; « Tahiti France Libre » ; « Les valeurs de la Résistance » S'y ajoutent deux livres plus personnels : l'un sur les coulisses du pouvoir («Trente ans, deux mois, du journalisme au cabinet d'Eric Besson ») et l'autre sur son métier («Journalistes, des mots et des doutes »). Engagé dans la marine nationale de 1929 à 1935 avant de devenir ...

Légionnaires, par Henri Weill, 236 pages, Pascal Galodé Éditeurs.


A Orange, la Légion étrangère fête Camerone

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01/05/2011

Orange a célébré le 148e anniversaire du combat de Camerone et le 90e anniversaire de la création du Royal étranger, ce samedi matin. Plus de 400 militaires en armes, tous grades confondus et représentant six des sept escadrons du 1er REC (Régiment étranger de cavalerie) étaient disposés dans les gradins du théâtre antique. La cérémonie était placée sous la présidence du général de brigade Antoine Windeck, commandant la 6e Brigade légère blindée (BLB) basée à Nîmes.

Miss Képi blanc est Cavaillonnaise

La musique du 1er régiment de hussards parachtuistes de Tarbes interprétait les sonneries réglementaires. Après la remise d'une dizaine de décoration et la lecture du récit du combat par le lieutenant Laigle, le régiment se mit en place pour un défilé, jusqu'au quartier Labouche, son QG. Place ensuite à une journée et demi de kermesse et de fête, ponctuée samedi soir, par le concours de Miss Képi Blanc, remporté cette année par Silvia, une jeune Cavaillonnaise.

Bertrand Dumuis et Jean-Luc Coulon


Castelnaudary. Miss Képi blanc 2011

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Publié le 02/05/2011

Castelnaudary. Miss Képi blanc 2011

Le commissaire lieutenant Pritschkad, grand ordonnateur de l'élection de Miss Képi blanc 2011, avait bien fait les choses. Le deuxième passage des candidates, en uniforme, sous forme de tableaux représentant les divers régiments ou les diverses spécialités de la légion étrangère, fut une grande réussite. Une future miss en parachutiste, une autre en plongeur, une troisième en tenue de brousse, une avec le brassard de la « PM », faisant travailler les punis, une autre en médecin, etc. Une belle mise en scène, des accessoires, des figurants, il ne manquait rien. Et pour couronner le tout (avant de couronner la reine de la soirée et ses dauphines), toutes les candidates étaient sublimes. C'est Krystell qui est montée sur la plus haute marche, elle qui se destine à une carrière militaire en devenant gendarme. Sa première dauphine, la blonde Marion et la deuxième Marie, la brune.


Laudun-l'Ardoise La Légion fête Camerone

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02/05/2011

Le 30 avril est devenu la fête traditionnelle de la Légion et, ce jour-là, toutes les unités, où qu’elles soient, se regroupent pour assister à la lecture du récit du combat de Camerone. Lors d’une expédition au Mexique, une soixantaine de légionnaires ont résisté pendant plus d’une journée à l’assaut de 2 000 soldats mexicains.

Cette bataille de Camerone, petit village mexicain, reste comme un des plus importants fait d’armes des légionnaires. Chaque année, le 1er Régiment de génie de Laudun-L’Ardoise la commémore. "Le respect de la parole donnée jusqu’au sacrifice suprême", comme le rappelait le chef de corps Éric Nachez, samedi, lors de la cérémonie.


Castelnaudary. « Les héros ne meurent jamais »

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Publié le 02/05/2011

Le pas de plus lent de toutes les armées, une cohésion quasi parfaite, bien dans la lignée des grands combats comme celui de Camerone./Photos DDM

Ceux qui sont tombés à Camerone au Mexique, le 30 avril 1863, ne mourront jamais parce que la légion étrangère, depuis 1906, entretient le souvenir de ces 63 héros qui ont résisté face à une armée de 2000 hommes. Chaque année depuis cent cinq ans, les légionnaires commémorent avec faste cette bataille au cours de laquelle ses membres luttèrent, leur chef le capitaine Danjou en tête, jusqu'au sacrifice suprême. Il n'y eut que huit survivants qui obtinrent du colonel mexicain Milan, de conserver leurs armes et de faire soigner leurs blessures : « On ne refuse rien à des hommes comme vous », répondit l'officier supérieur. Ce sont ces hommes-là que la légion a choisi de prendre comme exemple, et ce depuis cent quarante-huit ans. Rien d'étonnant que la place d'armes du quartier Danjou ait affiché complet lors de la cérémonie qui s'est déroulée samedi 30 avril, en ce jour anniversaire de cette bataille qui constitue la référence historique de ce corps d'élite. Une prise d'armes impeccable comme toujours, réglée dans ses moindres détails, comme un concert de musique classique, une remise de képis blancs à des jeunes recrues (voir encadré), quelques remises de décorations et un magnifique défilé, bien dans la tradition (ce n'est pas pour rien que tous les 14-Juillet, la légion bat tous les records d'applaudissements sur les Champs-Élysées). Cette année, la cérémonie était placée sous le commandement du patron du « 4 », le colonel Mistral, et présidée par l'amiral Verwaerde, adjoint à l'inspecteur des armées et fils du dernier officier du 4e RE tombé au combat, en 1961, en Algérie. Tout un symbole. Autre symbole pour ce prestigieux anniversaire, trois légionnaires se sont vus décerner la croix de la valeur militaire avec étoile de bronze pour des faits d'armes réalisés en Afghanistan.

La solidaire pour les invalides de la Légion

À l'issue de cette émouvante cérémonie, à laquelle assistait, outre le nombreux public, tout ce que la région compte d'autorités, civiles et militaires, un vin d'honneur était servi. Ce fut ensuite le tour de la grande kermesse. Une fois de plus serions-nous tenté d'écrire, les légionnaires et leur encadrement ont redoublé d'imagination et de savoir-faire pour nous concocter des stands plus attrayants les uns que les autres. Une nouveauté, un stand pour présenter « La Solidaire », une course cyclo sportive organisée dans le dessein de recueillir des fonds en faveur des invalides de la légion. Les participants à cette course, une centaine, dont trois de Castelnaudary, rejoindront la maison de retraite des légionnaires après avoir parcouru 400 km et franchi le col de la Bonette, dans les Alpes-Maritimes, le plus haut de France (2 715 m). Pour terminer en beauté, le soir, s'est déroulé le fameux bal du légionnaire et l'élection très attendue de Miss Képi blanc. (voir ci-dessus).


30 nouveaux légionnaires

Avant la prestation de serment des jeunes recrues, le chef de section a présenté son groupe à l'amiral et au colonel, en spécifiant « 30 engagés volontaires sur les rangs ». À l'issue, cela a très certainement échappé à une grande partie du public, l'officier a représenté sa section en mentionnant cette fois : « 30 légionnaires sur les rangs ».

Coiffés de leurs képis blancs, ils n'étaient plus les mêmes hommes. 


Français par le sang versé

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La Légion a célébré Camerone

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Publié le lundi 02 mai 2011

"Français par le sang versé", thème du 148e anniversairedes cérémonies légionnaires de samedi

À la maison mère de la Légion étrangère, à Aubagne, la voie sacrée était inondée de soleil pour un défilé encore impeccable. 

Photos g. ruoppolo

Le général Raymond Lohro avait l'honneur de porter la relique de la main du capitaine Danjou, héros de Camerone, sur la Voie Sacrée. Dans la tribune officielle et dans les gradins, près de 13 000 personnes se sont levées comme un seul homme pour rendre hommage à la garde au drapeau. 

Comme un seul homme, les 13000 invités de la 148e cérémonie commémorant la bataille de Camerone se lèvent. Honneur et respect lorsqu'entre sur la voie sacrée du quartier Viénot d'Aubagne, maison mère de la Légion étrangère la musique principale. Aux pas du "Boudin", l'hymne Képi Blanc, les détachements se mettent en place. Des applaudissements nourris les accompagnent. Des Champs Élysées, pour le 14-Juillet, à Aubagne pour cette tradition, la cote d'amour de la Légion va crescendo. Surtout en cette année 2011 où, sur le théâtre Afghan, de nombreux militaires bataillent dans des conditions délicates. En ce 30 avril, personne ne l'oublie. Surtout pas le ministre de la Défense et des anciens combattants, Gérard longuet, qui évoque "la tradition, l'identité, la valeur de ce corps d'élite. La France est fière de compter dans ses rangs des légionnaires". Une fierté qui sera davantage marquée lors de la remise des décrets de naturalisation à un Britannique et un chinois (lire ci-dessous). "À la Légion, on peut devenir français par le sang versé et non par le sang reçu" si, comme le stipule une récente loi, tout légionnaire blessé en opérations exprime le souhait d'embrasser la nationalité française. Et le ministre d'insister dans son discours sur "la citoyenneté, un devoir parfois ignoré". Pour présider ce Camerone 2011, il était entouré du général d'armée, chef d'Etat-Major de l'armée de terre Elrik Irastorza, du général de division Alain Bouquin, commandant la Légion étrangère, ainsi que du préfet de Région Hugues Parant, des députés UMP Guy Teissier, Bernard Deflesselles et du maire PC d'Aubagne, Daniel Fontaine.

Dans les tribunes écrasées par un soleil de plomb, Mme Edmonde Charles-Roux- Defferre, qui ne manque jamais de venir saluer la gloire légionnaire, a suivi avec attention la prise d'armes, toujours impeccablement orchestrée par les Képis Blancs. Temps fort de cette matinée placée sous le signe de l'honneur et de la loyauté, la remontée de la voie sacrée du général Raymond Lohro qui portait la main de bois articulée du capitaine Danjou, officier héroïque qui, le 30 avril 1863, a résisté avec sa poignée d'hommes aux assauts des soldats mexicains, à Camerone.

Cette année, la cérémonie était rehaussée par la présence d'un détachement d'élèves officiers de l'école militaire de Saint-Cyr de Coëtquidan, de l'hôpital d'instruction des armées de Laveran de Marseille et d'une compagnie du 4e RE de Castelnaudary. Et, on regardant le ciel, lorsque de ses fumées tricolores la patrouille de France a survolé le quartier Viénot, on ne pouvait imaginer meilleur hommage pour les 36000 légionnaires morts aux combats depuis 1831, création de ce corps vraiment pas comme les autres.

Eric ESPANET


Le 4° RE plus "Solidaire" que jamais

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Le lundi 2 mai 2011

 

La météo aidant, la traditionnelle kermesse de Camerone, accompagnant les cérémonies et démonstrations de combat rapproché, a remporté un vif succès ce week-end.  © Photos D. Rumeau

Le capitaine Serge Joffredo est un coriace. Cette idée, il l'avait en tête depuis longtemps. Le 18 juin prochain, ça sera à nouveau l'appel pour les cyclos de la Légion qui embarqueront pour Nice. La 3e édition de "La Solidaire", une cyclo de trois jours, on la doit avant tout à ce passionné de cyclisme, qui a réussi à allier passion et bonne cause. Car cette cyclo de 444 km (un clin d'œil au "4") à travers les paysages grandioses des pré-Alpes a d'abord pour but de récolter des fonds pour l'Institution des Invalides de la Légion.

Un refuge.
Cette institution est un cas unique au sein de l'armée française : elle permet à tout légionnaire invalide ou, comme le dit l'adjudant Kasputis, "handicapé de la vie", qu'il ait servi cinq ans ou trente ans, de trouver un chez-soi. Actuellement l'institution des invalides de la Légion étrangère créée en 1953 au pied de la montagne Sainte-Victoire, à Puyloubier, accueille cent vingt pensionnaires, de plus de vingt nationalités, de trente-huit à quatre-vingt-onze ans. Tout ancien légionnaire peut y être accueilli, à condition d'être titulaire du certificat de bonne conduite, de vivre en célibataire, d'être volontaire pour participer aux activités de l'institution que sont par exemple la vigne et le vin, à la manière des moines trappistes.

Une clim pour les anciens.
L'an dernier, la cyclo la Solidaire a permis de récolter 6 000 euros et d'équiper les lieux d'un système d'air conditionné. Cette année, le record devrait être battu, puisque les organisateurs estiment le nombre de participants à environ 110 contre 75 en 2010. Les sponsors et partenaires institutionnels devraient également être nombreux à mettre la main à la poche pour cette noble cause.

Solidarité dans l'effort.
Parmi cette centaine de légionnaires de tous les régiments qui participeront à l'épreuve figureront trois membres du club Cyclo Lauragais Castelnaudary.

Le 4e RE insiste également sur le caractère "activité de cohésion" de cette manifestation : il s'agira moins d'une course, mais de trois jours d'ascension, notamment du plus haut col accessible par la route d'Europe, le col de la Bonette, surplombant Barcelonnette. 444 km en trois jours ça crée des liens. Une solidarité qui naîtra parmi les participants comme elle existe entre générations à la Légion Étrangère, chaque nouvelle recrue étant invité à passer quelque temps à Puyloubier pour aider les anciens dans leurs travaux.

 Jérômes Yager


Se souvenir de Camerone

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2 mai 2011

 

La cérémonie au monument aux morts du Mail. photo pascal couillaud

La bataille de Camerone est un combat qui opposa une compagnie de la Légion étrangère aux troupes mexicaines, le 30 avril 1863, lors de l'expédition française au Mexique. La soixantaine de soldats de la Légion, assiégée dans un bâtiment d'une hacienda du petit village de Camarón de Tejeda, résista plus d'une journée à l'assaut de 2 000 soldats mexicains. À la fin de la journée, les six légionnaires encore en état de combattre, à court de munitions, chargèrent les troupes mexicaines à la baïonnette.

L'anniversaire de cette défaite donne chaque année, le 30 avril, l'occasion de rendre hommage à tous les légionnaires de toutes les nationalités qui ont versé leur sang pour la France. Une cérémonie s'est déroulée samedi matin devant le monument aux morts des allées du Mail.


L’Armée de terre rend hommage à l’un de ses officiers généraux

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29/04/11

Hier, à la basilique d’Ainay se sont déroulées les obsèques du général de corps d’armée Antoine Lecerf, 61 ans. En présence de sa famille lyonnaise, ... 

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