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Légionnaire toujours...

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2010




Sur le pitch !

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Les 7 et 8 juin 2010, le terrain de sport en herbe synthétique du camp Lemonnier, base des forces américaines déployées à Djibouti, aura vu deux matches successifs opposant des équipes de la 13e DBLE à celles de la 24th Marines Expeditionary Unit**: au menu, rugby et football.

Autour du ballon ovale, l'affrontement se révélait vite être essentiellement physique, nos adversaires américains compensant une expérience moindre (notamment des règles) par un engagement rugueux et musculeux de tous les instants que la richesse de leur banc leur permettaient d'entretenir pendant toute la durée du match. A la fin du temps réglementaire, ils l'emportaient même d'une courte tête sur l'équipe française, composée en grande partie de joueurs de la 13e DBLE et d'un renfort inestimable de toute l'Ovalie des FFDj.

Côté ballon rond, l'équipe formée entièrement d'hommes de la 13 affichait une supériorité technique déterminée, qui permettait d'envoyer le cuir à 5 reprises au fond des filets des Marines. Fair-play, l'équipe acceptait pourtant de voir ses succès ramenés à un score plus mesuré par l'arbitre américain, qui décidait finalement d'une victoire de son unité.

Au-delà des résultats, qui ne pourraient traduire l'intensité de l'engagement de part et d'autre, ces matches ont été l'occasion de poursuivre par le sport les nombreux échanges professionnels organisés cette année avec cette unité du corps des Marines sur le point de partir de Djibouti.


Beta Orionis : test pour le soutien

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Du 27 mai au 3 juin 2010 la Compagnie de Commandement et de Soutien a participée, dans le cadre de son contrôle opérationnel à l’exercice régimentaire BETA ORIONIS se déroulant au sud-est de DJIBOUTI, dans la région de DJALÊLO. Cet exercice se déroulait dans la continuité du contrôle GTIA48 effectué le 27 mai et se composait de quatre phases principales : une montée en puissance, un déploiement des moyens, la mise en œuvre d’une base logistique et une phase de démontage.

Le 27 mai en début de matinée débuta la phase de montée en puissance ayant pour but de percevoir et rassembler les moyens permettant la mise en œuvre du TC2.

Dans un premier temps estimation et regroupement des véhicules nécessaires au transport incluant la perception de véhicules dans d’autres unités ou au PG, en remplacement de ceux indisponibles (visites, attente de pièces). Simultanément chargement et perceptions des moyens pour assurer le soutien matériel et le soutien de l’homme. Le TC2 étant armé par plusieurs sections spécialisées, la préparation s’effectue par domaine :

- une section maintenance divisée en plusieurs ateliers : mécanique (comprenant des cellules VL, PL, VAB, génie),  armement,  transmission. Elle est chargée de réparer ou de fournir des pièces à l’échelon inférieur,

- une section soutien de l’homme, assurant l’amélioration du quotidien par la préparation de repas chaud ou la mise en place de douches et de tentes.

- une SRCM, permettant le transport, la livraison et la récupération des besoins journaliers d’un régiment sur le terrain,

- un élément médical pour le soin des blessés.

Au total, pas moins de 39 véhicules furent nécessaires pour embarquer le matériel à transporter, certains tractant même une remorque ou une citerne.

Le 29 mai, une partie des moyens ont été déployés par voie maritime tandis que le reste rejoignait par la route. En effet la capacité d’emport des navires liée à la distance et au problème des marées ne permettait pas une mise en place dans une seule journée.

En outre, le cadre tactique imposait de faire tout mouvement en zone d’insécurité sous escorte ce qui augmentait les délais de chaque déplacement. Aussi, alors qu’une partie des moyens étaient déjà installés dans l’après-midi du 29, d’autres étaient toujours en déplacement ou en attente au quartier MONCLAR. La totalité des moyens ne furent regroupés sur la BOA, construite par la compagnie génie, que le 30 en début de soirée.

Dès le 31 mai, l’ensemble des moyens amenés sur place étaient opérationnels et le premier repas chaud préparé par les cuisiniers sur ETRAC, fût servi le midi pour les éléments qui n’était pas déployés en dehors de la base. La RD3000, quant à elle, permis d’apprécier le confort d’une douche après une journée de travail dans des conditions climatiques particulièrement chaudes. L’électricité nécessaire au fonctionnement de tous les matériels fut fournie par deux groupes électrogènes de 15 kwa, grâce au réseau mis en place par l’équipe du groupe d’aide au déploiement opérationnel.

L’élément médical bénéficia même d’une tente climatisée pour réceptionner les blessés dans les meilleures conditions possibles.

Des liaisons quotidiennes par voie routière ou maritime ont permis de maintenir les stocks à niveau et de soutenir les unités en alimentation, munitions, carburants, dépannages, soins, eau sanitaire…

En marge du soutien, le TC2 assura en partie la protection de la base en armant en permanence deux postes d’observation et une section d’alerte prête à intervenir sur n’importe quel point sensible.

Le démontage de l’ensemble des moyens « lourds » fut plus rapide et ne nécessita que 5h00, tout en assurant le minimum nécessaire à la conduite des opérations (soutien carburant, munitions, rations, eau, dépannages…).

Le 3 juin, le retour vers MONCLAR, toujours sous escorte s’effectua par voie routière en deux éléments pour le TC2, un élément comportant les moyens légers, l’autre les moyens lourds, avec notamment les six TRM 10000 et un CLD tractant un VAB.

Au bilan, l’exercice BETA ORIONIS, dense pour une durée de six jours, a permis un déploiement complet du TC2 dans le cadre d’une BOA ou tous les échelons s’entrainèrent dans leur métier de soldat, enrichi d’une expérience permettant de perfectionner le soutien apporté aux unités.


Un légionnaire grièvement blessé en Afghanistan

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Un caporal du 1er Régiment étranger de Génie a reçu hier matin une balle dans la tête au cours d'un violent accrochage avec les insurgés, à la sortie d'un village de la Kapissa. Très grièvement blessé, il a été évacué vers la France où il est arrivé aujourd'hui.

L'accrochage a été sérieux, avec l'intervention de la force de réaction rapide (QRF) du bataillon Hermès et d'hélicoptères Tigre qui ont ouvert le feu.


Répétitions du 14 juillet pour le 2° REG

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Invités à défiler sur les Champs-Elysées le 14 juillet prochain, les sapeurs-légionnaires du 2e REG répètent plusieurs heures par jour depuis 2 semaines afin d’être au point le jour J.


Profitant de la piste d’aviation du quartier maréchal Koenig, les deux pelotons s’entraînent dans des conditions optimales sous l’œil avisé des cadres.


Toutes les compagnies défileront à l’exception de la 1re CIE en MCD à Djibouti et la 3e CIE qui continuent sa préparation pour l’Afghanistan.


« L’AVENTURE ET L’ESPÉRANCE »

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Le commandant de Saint-Marc l’écrit lui-même au tout début de la préface de son nouveau livre : « Je viens de fêter mes 88 ans, entouré des miens. Cet âge est vertigineux quand je pense à l’enfant que j’ai été, dévalant les pentes du Périgord. Tant de choses entre les mains et si peu à l’arrivée.... Cet âge est une suite de miracles et de hasards ».

Le style est ainsi donné et aussi, en somme, en même temps que son titre, le plan du livre. 

Nous sommes nombreux parmi nous à être entrés franchement dans la dernière phase de la vie, celle qu’il est convenu d’appeler la vieillesse. Toute relative, au demeurant, car on ne sait trop quand elle commence et comment elle va « survivre ». Les sages en profitent pour faire leur bilan. Hélie de Saint-Marc, nous le savions, est un sage. Le bilan de sa vie, il l’a déjà fait dans ses ouvrages précédents, dont le premier d’entre eux, Les champs de braises, paru en 1995 (prix Fémina), qui le fit réellement connaître du grand public. Mais il médite encore, inlassablement.

L’ouvrage a donc deux parties qui se chevauchent constamment, car l’auteur raconte, d’un côté son « aventure » et de l’autre son « espérance » mais en s’attardant chaque fois aux épisodes multiples et successifs de sa vie de tourments qui dura un quart de siècle : de 1941 où, à l’âge de 19 ans, il entra dans la Résistance, jusqu’à sa libération en 1966 après cinq années de captivité à la prison de Tulle.

De « l’ aventure » ou de « l’espérance », quel est en fin de compte ce qui importe le plus ? Affaire de circonstance, de chance, d’horizons divers, ou bien de longues méditations ? A chacun de trouver sa réponse à la lecture de ces pages dont beaucoup sont issues de textes inédits ou d’enregistrements de conférences.

Hélie de Saint-Marc dit ceci à la fin de sa préface : « ... si je sais que nous ne valons pas cher dans certaines circonstances extrêmes, au-delà de tout, il reste l’espérance. [... ] Une flamme fragile, minuscule, chancelante, mais si bouleversante dans la nuit humaine. »

Méditons et espérons.

F.L.

(*) Editions Les arènes. 276 pages. Avec un DVD inédit offert : Indochine, notre guerre orpheline de Patrick Jeudy. Texte lu par Hélie de Saint-Marc. 22 euros.


La Guerre des Fous

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Par Michèle Hamonet.

 

L’héroïne de cette histoire sait, depuis sa prime jeunesse passée à Oran (Algérie), que plane sur elle une terrible MENACE… Elle va vivre avec ce danger permanent comme on vit avec une maladie incurable que l’on tente en vain d’apprivoiser. Et n’aura de cesse de vouloir à tout prix identifier cette MENACE afin de pouvoir la regarder en face et la combattre de tout son corps, son esprit, son âme… Jusqu’à la folie ? La Guerre des Fous devrait ébranler beaucoup d’idées reçues sur ce qu’on a appelé, jadis, « les événements d’Algérie » et révéler au lecteur des secrets de famille aussi incroyables que terrifiants !


Congrès de la FSALE à Tours

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Lien vers les photos :


Afghanistan : inauguration d’une passerelle en Afghanya

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Une dizaine d’ouvriers afghans a travaillé sur ce chantier durant deux mois. Cette passerelle permet de relier les deux côtés d’un même village, séparé par une rivière. Auparavant, les villageois traversaient le wadi (rivière) à pieds, ce qui représentait un véritable danger.

Lors de son discours à l’intention des habitants et des autorités locales civiles et militaires, le général Chavancy a expliqué que les forces de la coalition avaient « la volonté d’aider le peuple afghan à vivre en paix. C’est pourquoi, elles participent, avec les autorités, et au travers des shuras (conseils de village), à la réalisation de nombreux projets qui ne peuvent voir le jour que dans un environnement sécurisé. »

Il a insisté sur le fait que « seuls les afghans pouvaient aider véritablement la police et l’armée nationale pour assurer la sécurité en collaborant activement pour dénoncer les poses d’IED (engins explosifs artisanaux) et les embuscades. Alors le développement se fera ».

Actuellement, 27 projets sont en cours de réalisation dans la vallée d’Afghanya dont des karèzes (système d’irrigation local), des puits et des murs de protection.

Après avoir coupé le ruban d’inauguration aux couleurs des deux pays, les autorités françaises et afghanes se sont rassemblées pour une shura ou de nombreux sujets ont été abordés tel que la sécurité, le développement et les élections parlementaires.

A ce sujet, le général s’est exprimé en ces termes : « Nous avons pu […] discuter avec les représentants locaux du rendez – vous très important qui les attend d’ici peu : les élections. Nous avons insisté, avec nos camarades de l’armée nationale et de la police afghanes sur le fait qu’ils ne devaient laisser personne d’autres qu’eux choisir leur propre destin […] ».

Les prochaines élections parlementaires sont prévues le 18 septembre. C’est la seconde consultation populaire depuis la chute du régime taliban, en novembre 2001.

La sécurité autour de cet événement national sera assurée par les forces de sécurité afghanes, soutenues par celles de la coalition.

Sources : EMA
Droits : Ministère de la Défense

Face à la Mort

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Le LCL(er) Félip promu Commandeur de la Légion d'Honneur.

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Le jeudi 24 juin 2010, le LCL Philippe Félip recevait des mains du général Got, les insignes de commandeur de la Légion d'Honneur.

Né le 9 décembre 1920 à Barcelonne il s'engage pour 5 ans le 05/04/39, il est affecté à la 13e DBLE le 23/05/43. Il est blessé lors d'un transport par route, le 18/08/43, en Tripolitaine. Il est affecté au B.M.2 le 10/10/44, et est nommé Caporal-Chef le 01/12/44. Cité à l'ordre de la division le 16/03/45, il est blessé sur le front de l'Atlantique le 15/04/45 par éclat de bazouka à la joue droite. Nommé sergent le 01/05/45, il est cité à l'ordre de la division le 11/05/45. Il est démobilisé comme Sergent le 11/06/45.

Il est promu au grade de Sous-lieutenant dans la réserve pour prendre rang le 01/11/50. Il est admis à servir en situation d'activité au 5e B.C.P. en Allemagne le 18/03/52. Il débarque à Saigon le 18/06/53, il est affecté au III/2e R.E.I. Promu Lieutenant le 10/07/53, il est cité à l'ordre de la division le 29/04/54 et cité à l'ordre de la brigade le 04/05/54. Il est affecté au 5e R.E.I. le 01/02/55 puis au 2e R.E.I. le 26/09/55. Il est fait Chevalier de la Légion d'Honneur par décret du 09/12/55. Il est blessé lors d'une embuscade le 09/07/56.

Admis en stage d'épreuve en vue de son intégration dans l'armée d'active à l'E.A.I. de Saint-Maixent le 01/10/56. Il est affecté  au 4/44e R.I. à Sidi-Aich le 01/01/57. Il est désigné pour prendre le commandement de la 2e Compagnie le 11/01/57. Il est cité à l'ordre de la brigade le 27/02/58. Affecté au 3e B.I.L.A. le 01/07/61 ile est muté à la 41e Compagnie de camp à Saint Maurice l'Ardoise le 26/02/62. Il est promu Capitaine le 01/04/63. Affecté à la 40e Compagnie de camp à Rivesalte le 01/02/64, il est muté à l'E.R.M. de Nîmes le 01/09/64. Il est affecté au 204e B.M. à Rastatt le 01/07/70. Il est promu Officier de l'Ordre National du Mérite par décret du 11/12/70. Il est affecté à la D.S.M. du 2e C.A et des F.F.A le 01/06/71. Promu au grade de commandant le 31/12/71, il est admis à faire valoir ses droits à pension de retraite à compter du 01/07/72. Il est promu Officier de la Légion d'Honneur par décret du 13/02/84.


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