AALEME

Légionnaire toujours...

  • Plein écran
  • Ecran large
  • Ecran étroit
  • Increase font size
  • Default font size
  • Decrease font size

2010




Le VBCI en Afganistan

Envoyer

Lien vers l'article :


Un combat de choc

Envoyer

Képi blanc, la revue mensuelle de la Légion étrangère depuis avril 1947, évoque dans son numéro 723 de juillet 2010 le Krav maga, un art martial d'origine israélienne, qu'elle vient d'adopter. Cette technique de combat rapproché a été mise au point pour l'armée israélienne par Imre "Imi" Lichtenfeld, né le 26 mai 1910 à Budapest et mort le 9 janvier 1998 à Netanya, à une trentaine de km de Tel-Aviv. Il est l'inventeur de cette technique qu'il a développée tout au cours de sa vie, depuis son enfance dans les rues de la capitale hongroise et plus tard à Bratislava auprès d'un père qui pratiquait d'une manière professionnelle la lutte et la boxe. Puis, il entre dans la police et s'adonne à ses sports favoris. En 1935, il visite la Palestine avec une équipe de lutteurs juifs pour les jeux du Maccabi. Au retour, il imagine une méthode de défense contre les violences faites aux membres de sa communauté. Revenu cette fois en Israël, il est instructeur au sein de Tsahal. Les fédérations de Krav Maga se sont multipliées depuis la mort de Lichtenfeld.

Le 2ème REI au triomphe

Envoyer

 

 
Comme chaque année, la journée du triomphe à l'école spéciale militaire de St Cyr est l'occasion pour le 2e REI de venir presenter ses savoir-faire et faire partager son expérience. Cette année, 3 lieutenants de 3 recrutements differents ont rencontrés les élèves officiers de St Cyr pour leur parler de leurs parcours à la légion étrangère et de leur séjour en Afghanistan.

Passation de commandement à la Compagnie génie de la 13

Envoyer

 

 
 

La 2e compagnie de combat du 1er Régiment étranger de génie a changé de chef le jeudi 8 juillet 2010, à la 13e Demi-brigade de légion étrangère. Après deux belles années passées à la tête de son unité, le capitaine François PERRIER a rendu le fanion de la compagnie au colonel BURKHARD, chef de corps de la 13e DBLE et présidant la cérémonie. Le capitaine Lucian OLAR, récemment arrivé sur le territoire djiboutien devient le nouveau commandant d’unité de la « 2 ».


Lettre d'information du CEMAT N° 6

Envoyer
A télécharger ou à lire en ligne :

Stage ISTC à la Compagnie de maintenance

Envoyer

 

 

Mettant à profit les savoir-faire militaires de ses hommes, la compagnie de maintenance a organisé un stage IST-C du 17 au 21 juin. Destiné tout autant au personnel de la compagnie en mission de courte durée ou en place pour 2 ans, ce stage a permis la formation de 10 nouveaux tireurs. Au-delà de la réussite aux tests, le véritable enjeu est d’avoir offert à ces 10 stagiaires une approche totalement différente dans la façon de s’entraîner au tir, en le rendant plus réaliste et bien plus attrayant.

Ce stage rappelle toute la dimension opérationnelle de la CIMAT qui s’engage fréquement au côté des unités de combat de la 13 tant lorsqu’elles se déploient sur le territoire djiboutien que dans les pays de la région.


Décret n° 2010-835 du 21 juillet 2010 relatif à l’incrimination de l’outrage au drapeau tricolore

Envoyer

Décret no 2010-835 du 21 juillet 2010 relatif à l’incrimination de l’outrage au drapeau tricolore
NOR : JUSD1012722D
Le Premier ministre,
Sur le rapport de la ministre d’Etat, garde des sceaux, ministre de la justice et des libertés,
Vu la Constitution, notamment son article 2 ;
Vu le code pénal, notamment ses articles 132-11, 132-15, 433-5-1 et R. 610-1 ;
Le Conseil d’Etat (section de l’intérieur) entendu,

Décrète :
Art. 1er. − Le chapitre V du titre IV du livre VI du code pénal est complété par une section 11 ainsi rédigée :
« Section 11
« De l’outrage au drapeau tricolore
« Art. R. 645-15. − Hors les cas prévus par l’article 433-5-1, est puni de l’amende prévue pour les contraventions de la cinquième classe le fait, lorsqu’il est commis dans des conditions de nature à troubler l’ordre public et dans l’intention d’outrager le drapeau tricolore :
« 1° De détruire celui-ci, le détériorer ou l’utiliser de manière dégradante, dans un lieu public ou ouvert au public ;
« 2° Pour l’auteur de tels faits, même commis dans un lieu privé, de diffuser ou faire diffuser l’enregistrement d’images relatives à leur commission.
« La récidive des contraventions prévues au présent article est réprimée conformément aux articles 132-11 et 132-15. »
Art. 2. − Le présent décret est applicable sur l’ensemble du territoire de la République.
Art. 3. − La ministre d’Etat, garde des sceaux, ministre de la justice et des libertés, est chargée de l’exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française.

Fait à Paris, le 21 juillet 2010.
FRANÇOIS FILLON

Par le Premier ministre :
La ministre d’Etat, garde des sceaux,
ministre de la justice et des libertés,
MICHÈLE ALLIOT-MARIE


Harry Roselmack en zone de guerre

Envoyer

La mission en Afghanistan du joker de l'été sur TF1

Journal
À voir le 23/07/2010 à 20h00 surTF1

Avant de prendre les commandes du JT, qu'il présentera jusqu'au 19 août, en remplacement de Laurence Ferrari, Harry Roselmack vient d'effectuer sa première immersion en zone de guerre. Entretien.

La présentation du JT durant l'été favorise-t-elle une nouvelle relation avec les téléspectateurs ?
C'est par cela que j'ai commencé à TF1 ! C'est un moment important qui fait partie de ma mission sur la chaîne, mais c'est aussi un moment très agréable à partager avec la rédaction. En général, il n'est pas très tendu en termes d'info, mais cela nous pousse à trouver des idées, à partager nos envies avec les téléspectateurs. Pour résumer, c'est du travail sérieux dans une ambiance sympa et estivale.

Et les audiences sont plutôt bonnes...
Oui, je pense être dans la ligne de ce qui se fait sans être focalisé sur les chiffres. Les journaux marchent bien et continuent à être largement leaders. Notre souci est de proposer des journaux le plus intéressants et efficaces possible, sachant que le 20 heures est toujours l'un des temps les plus forts de TF1.

Votre vie professionnelle repose sur quatre piliers complémentaires aujourd'hui : le JT, Sept à Huit, Harry Roselmack en immersion et la radio sur RTL. Comment gérez-vous un tel programme ?
Je suis obligé de procéder par priorités et par séquences. Le rendez-vous qui m'occupe en permanence toute l'année demeure Sept à Huit, où mon rôle n'est pas aussi important que dans le magazine en immersion, et où je porte vraiment le programme, car j'y suis du début du tournage jusqu'au montage. Donc jejongle avec tout cela. Étant un grand amoureux de la radio, mon petit bonbon est le Journal inattendu, sur RTL, auquel je me consacre entièrement du vendredi à midi jusqu'au samedi à midi et demi, dès que j'ai fini d'enregistrer Sept à Huit.

Vous tenez beaucoup à concilier la présentation en studio et le terrain. Pourquoi ?
Quand j'ai eu envie de faire ce métier, j'ai compris que sa quintessence était la rencontre avec les gens. Il y a différentes façons de trouver l'info. On peut enquêter, réaliser des reportages ou rencontrer des gens dans leur milieu. Et, à mon sens, l'une de nos missions est de montrer comment nous vivons ensemble au sein d'une société où l'on constate parfois que certaines communautés ne se connaissent pas très bien.

Comme d'ailleurs vous venez de le vivre pour la première fois en Afghanistan...
Oui, je n'avais jamais fait cela auparavant. C'est un reportage en zone de guerre, mais ce n'est pas un reportage de guerre ! Nous avons passé du temps avec des militaires sur une zone d'opérations. Là encore, nous sommes venus chercher de l'humain et pas de la stratégie militaire. Nous avons voulu comprendre pourquoi ces engagés ont choisi ce métier, pourquoi ils ont voulu se battre pour leur pays. Quand nous rencontrons les hommes de la Légion étrangère, nous voulons savoir pourquoi ils se sont engagés sous le drapeau français, quelle est leur motivation...

Vous évoquez régulièrement l'Afghanistan dans les JT, mais la réalité du terrain est-elle très différente de ce que vous imaginiez ?
La réalité est toujours une surprise. Nos reportages ont beau être bien faits, les téléspectateurs seraient tout de même surpris s'ils devaient découvrir cette réalité sur le terrain. Rien n'a le poids ni le goût de cette réalité. Les sensations sont incomparables et on ne restitue jamais la réalité intégrale d'un sujet.

Est-il émouvant de se retrouver dans une région où deux journalistes de France 3 sont toujours retenus en otages par les talibans ?
Évidemment, c'était une pensée quasi quotidienne, et nous en avons beaucoup parlé entre nous et avec les militaires.

Un mot sur la rumeur de menace islamiste qui vous aurait visé...
C'est une information totalement erronée diffusée par un journal à sensation ! Non seulement tout est faux, mais, dans Harry Roselmack en immersion, nous essayons d'établir une relation de confiance avec nos interlocuteurs.

Par quelle information avez-vous été marqué ces dernières semaines ?
Comme n'importe quel Français, j'ai suivi l'affaire Bettencourt-Woerth, mais j'ai surtout vécu cette Coupe du monde de football avec une équipe de France qui a déçu beaucoup de supporters et d'amateurs.

Quel est votre avis sur les Bleus ?
C'était une sorte de tragédie grecque hallucinante, un mélodrame incroyable. J'ai rarement vu des choses comme ça dans le domaine du sport. L'affaire a pris des proportions invraisemblables ! Cela dit en passant, ce n'était peut-être pas mauvais pour la chaîne, car se faire éliminer sans gloire et sans drame n'aurait certainement pas eu le même impact. Ce qui s'est passé est le résultat d'un contexte, d'une pression énorme. Une pression qui s'est exercée sur des acteurs qui n'étaient plus des joueurs, car ils sont sortis hors du champ du sport.

La faute à Domenech ?
Je ne jette la pierre à personne. Je pense simplement que Domenech, comme ses joueurs, n'était plus dans le jeu. Ce sont des joueurs de football. Ils doivent réapprendre à avoir du recul sur ce qu'ils font, car ils ne sont pas en train de sauver un pays. Quand vous revenez d'Afghanistan, où vous avez rencontré des hommes qui risquent leur peau, quand vous observez des soldats dans une situation où leur vie est en jeu, vous vous dites que ceux qui jouent au foot doivent savoir relativiser.

Lieutenant-colonel Stéphane BOURBAN

Envoyer

 

 
 

Après deux années de préparation aux Grandes écoles au Prytanée Nationale Militaire de La Flèche, le Lieutenant-colonel Stéphane BOURBAN s’engagé le 1er septembre 1989 au titre de l’école spéciale militaire. Appartenant à la promotion de Saint Cyr « Lieutenant Tom Morel », il choisit l’ école d’application de l’infanterie puis rejoint le 41e Régiment d’infanterie à Châteaulin comme chef de section de combat.  

Affecté en 1993 au 3e REI, il y sert successivement comme chef de section de combat à la 3ème compagnie puis comme adjoint à la 2e compagnie. De retour, il est affecté au 4ème Régiment étranger où après une année comme adjoint à la 4e CIC puis à la 1re CEV, il prend le commandement de cette compagnie d’instruction. A l’issue de son temps de commandement, il est affecté à l’école d’application de l’artillerie comme officier chargé de la formation du 2e degré de l’ensemble des sous-officiers. 

En 2002, il est à nouveau affecté au 4e RE comme officier supérieur adjoint. Deux ans plus tard, il rejoint la direction du personnel militaire de l’armée de terre comme chef de la section Légion étrangère, interface entre le commandement de la Légion étrangère et l’administration centrale pour ce qui relève de la gestion des officiers et sous-officiers servant à titre étranger et notamment du travail d’avancement.  

En 2007, le Lieutenant-colonel est appelé à servir à la 13e demi brigade de Légion étrangère comme second, fonction qu’il occupera une année supplémentaire au sein du GRLE avant d’en prendre le commandement le 7 juillet 2010. 

Le Lieutenant colonel Stéphane BOURBAN est marié et père de 2 garçons.


Passation commandement à la CRLE

Envoyer

 

 
 

La passation de commandement de la Compagnie de Recrutement de la Légion Etrangère entre le capitaine JACQUEMOT et le capitaine EZMIRO a eu lieu le vendredi 02 juillet 2010 au fort de Nogent.

C’est sous un soleil radieux que le chef de corps, le lieutenant-colonel Norbert SIMONET a prononcé la phrase rituelle : « vous reconnaitrez désormais pour votre chef le capitaine EZMIRO ici présent ».

Le capitaine JACQUEMOT quant à lui, après trois années passées à la tête de sa compagnie quitte le Groupement pour prendre des fonctions supérieures au Détachement de Légion Etrangère à Mayotte.

Fort des liens tissés avec la compagnie de recrutement, bon nombre d’invités étaient présents pour saluer une dernière fois le capitaine JACQUEMOT et souhaiter bon courage au nouveau commandant d’unité.


Page 15 sur 50

Traduction

aa
 

Visiteurs

mod_vvisit_countermod_vvisit_countermod_vvisit_countermod_vvisit_countermod_vvisit_countermod_vvisit_countermod_vvisit_countermod_vvisit_counter
mod_vvisit_counterAujourd'hui2060
mod_vvisit_counterHier2460
mod_vvisit_counterCette semaine19938
mod_vvisit_counterSemaine dernière36419
mod_vvisit_counterCe mois97973
mod_vvisit_counterMois dernier189579
mod_vvisit_counterDepuis le 11/11/0920146888

Qui est en ligne ?

Nous avons 792 invités en ligne

Statistiques

Membres : 17
Contenu : 14344
Affiche le nombre de clics des articles : 43142177
You are here BREVES 2010