La Newsletter 14/11 de l'AALEME |
Un Ancien à l'honneur...Notre Camarade, l'ADC (er) Remo Nenci, membre de l'AALE de Sète, s'est particulièrement distingué au championnat du monde de Duathlon à Pontevedra en Espagne le 1er Juin 2014. Félicitations Champion |
Voilà du boudin !30/04/2014 Le saviez-vous ? Derrière beaucoup de coutumes, usages, traditions et expressions militaires se cachent bien souvent des anecdotes insolites, amusantes ou historiques. Alors pour étoffer votre culture générale et briller le matin devant vos collègues à la machine à café, plongez-vous dans notre rubrique du mercredi. Aujourd'hui, la rédaction vous révèle la petite histoire derrière le refrain de la marche officielle de la Légion étrangère. « Tiens, voilà du boudin, voilà du boudin, voilà du boudin Petite explication de texte pour comprendre les paroles du refrain de la marche de la Légion étrangère. Tout d’abord, le boudin : avis aux amateurs, il ne s’agit pas ici de charcuterie mais de la toile de tente ou du paquetage que les légionnaires mettaient en bandoulière et dont la forme rappelait le boudin. Concernant les Alsaciens, Suisses et Lorrains, il s’agit ici d’une allusion à une décision ministérielle du 6 mars 1871, rappelée par une circulaire du 27 novembre 1873, qui avait suspendu d’une manière générale les engagements volontaires des étrangers et spécifié que les Alsaciens, les Lorrains et les Suisses pouvaient seuls obtenir des autorisations. Et les Belges ? Selon la version reconnue, en 1870, lorsque la guerre franco-prussienne éclate, la France décide que la Légion étrangère doit y participer. Le roi des Belges, Léopold II, demande formellement que les légionnaires ressortissants de son pays ne participent pas à ce conflit en raison de la neutralité de la Belgique. Le gouvernement français accède à cette demande et les légionnaires en partance chantent à leurs malheureux camarades belges obligés de quitter les rangs ces paroles quelque peu désobligeantes. |
Guerre 14-18 : Le Puy du Fou commémore les Vendéens morts pour la FranceSamedi 07 juin 2014 La Musique de la Légion étrangère a accompagné la cérémonie commémorant les morts de la Grande Guerre. © Philippe Bertheau
Des centaines de Puyfolais (ces bénévoles qui jouent dans la Cinéscénie) ont assisté à la cérémonie dans la cour du château.
Philippe et Nicolas de Villiers ont dévoilé une statue inspirée de la Pietà de Michel-Ange.
La stèle comportant les noms des 144 aïeux de Puyfolais morts au combat.
Trois enfants ont lu des lettres de Poilus, tantôt pleines d'espoir, tantôt fatalistes, envoyées à leur famille.
Renée Bossard, présidente de la fondation Puy du Fou Espérance, a fait un don de 2000 € à la Légion étrangère.
La Musique de la Légion étrangère a interprété plusieurs morceaux de son répertoire pendant la cérémonie.
Depuis sa création en 1831, 35 000 soldats de la Légion étrangère ont perdu la vie au combat.
Samedi, le Puy du Fou a rendu hommage aux aïeux des Puyfolais, tombés sur le front pendant la Grande Guerre. Puy du Fou Espérance a fait un don à la Légion étrangère.C'est un double hommage que le Puy du Fou a rendu samedi, dans la cour de son château. Hommage aux 144 aïeux de ses bénévoles, morts pour la France lors de la Première Guerre mondiale. Une stèle comportant les noms des combattants, et une statue représentant une femme portant dans ses bras le corps d'un soldat, ont été dévoilés. Elles trouveront place près de la gare du Bourg 1900, dans le Grand parc. Le Puy du Fou entend là continuer à remplir la mission qu'il s'est confiée : "Faire vivre l'histoire de France", selon Philippe de Villiers, son créateur. Second hommage. À la Légion étrangère cette fois, dont les engagés d'origine étrangère défendent le drapeau tricolore. "La Légion est un mythe, sa Musique est un symbole, a souligné Philippe de Villiers. Elle a participé à tous les grands conflits sur tous les champs d'honneur." La cérémonie a été l'occasion pour la Fondation Puy du Fou Espérance d'apporter son soutien aux œuvres de la Légion avec un don de 2 000 €. "Beaucoup d'anciens légionnaires n'ont pas de famille, c'est la Légion qui veille sur eux", a relevé Renée Bossard, présidente de la Fondation. |
Lavelanet. La Légion en manœuvre aujourd'huiDimanche, 08 Juin 2014 15:13 Publié le 05/06/2014 L'année dernière, la remise des képis blancs s'était déroulée au pied du «pog», à Montségur./Photo DDM, archives.
Le 4e régiment étranger, basé à Castelnaudary, régiment d'instruction de la Légion étrangère, manœuvre depuis lundi entre Aude et Ariège. Cet exercice a pour objectif l'entraînement au combat à pied et l'aguerrissement dans un cadre rustique, en milieu ouvert et urbain. Partant de Quillan, le régiment a été confronté à un terrain particulièrement accidenté avant d'aborder Lavelanet dès ce matin : la prise de la ville constitue le point d'orgue de l'exercice. Lors des phases de combat, des munitions d'exercice sont utilisées. Elles ont pour but de simuler l'effet sonore du départ des coups. Aucun projectile ne sort de l'arme. Les zones d'exercice seront nettoyées et les déchets de tir seront ramassés par les militaires. Cet exercice se terminera à 16 h 30, à Lavelanet, par une cérémonie au cours de laquelle de jeunes légionnaires se verront remettre leur képi blanc, symbole de leur entrée dans la Légion étrangère. |
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Indochine : la mémoire des victimes saluée |
Un parc en hommage à Edmond DuneAubangeL’administration communale d’Aubange vient de donner le nom d’Edmond Dune au parc communal situé tout près de la grand-rue. Après Hubert Juin et Jean Lebon dans la bibliothèque, voici qu’un nouveau poète vient de laisser définitivement ses empreintes à Athus: Edmond Dune est le nom du parc communal adossé au parc animalier. Poète, dramaturge, essayiste, Edmond Hermann est né à Athus le 2 mars 1914. Il est orphelin dès l’âge de deux ans, mais suit un parcours qui le mènera d’abord aux universités de Louvain et de Nancy puis à s’engager dans la légion étrangère juste avant la guerre 1940-45. C’est après avoir choisi le nom de Dune en littérature, qu’il s’est dirigé vers le journalisme et a fait carrière à Radio-Luxembourg. Edmond Dune est décédé le 25 janvier 1988. Dans ses ouvrages, Edmond Dune maniait aussi bien l’humour et l’ironie que la tendresse, il ne perdait aucune occasion pour se déclarer sceptique sur tous les fronts: «Je suis contre, toujours contre. Contre tout», notait-il dans «Patchwork». Ce à quoi il ajoutait que «Nager à contre-courant donne du muscle à la pensée» ou, dans le même esprit: «Il tournait comme un lion en liberté autour d’une cage imaginaire», rappelle volontiers Paul Mathieu, le professeur-poète-écrivain à qui l’on doit cet hommage. La manifestation, organisée par les autorités communales s’est tenue en présence des filles du poète et de quelques proches et d’André Lambert, président du CPAS. Elle a été prolongée en soirée par la représentation au centre culturel d’Athus d’une pièce de l’écrivain: «Gloire à Rudois». Une farce qui, dans une amusante mise en abyme, propose précisément d’assister à l’inauguration d’une statue érigée en l’honneur d’un enfant du pays. Cette pièce a été interprétée par quelques élèves de l’athénée royal d’Athus qui ont également lu des aphorismes extraits de «À l’enseigne de Momus». |
Repas champêtre de l'AALE du Biterrois. |
LE CAPITAINE J.-D. CHARTRAND (1852-1905) |
Ðiện Biên Phủ le nouveau musée... |