La Newsletter 14/05 de l'AALEME |
La 2e Compagnie du 4e Régiment étranger de Castelnaudary à l’assaut des remparts du château de LagardeJeudi, 03 Avril 2014 16:27 édition du 2 avril 2014 Ce n’est pas la Légion saute sur Kolwezi… mais ce mardi 1er avril, les bérets verts ont occupé amicalement les ruines de ce haut lieu patrimonial pour leur traditionnelle cérémonie de remise du képi blanc. Du haut de ces murs plusieurs siècles vous contemplent |
Le grand 3 à l’œuvre 1963 - 1964. |
Point « visuel » sur les cimetières de Diégo et Ramena.Le point « visuel » sur les cimetières du secteur (diégo et ramena), fait ce matin. Diégo, cimetière principal : les photos sont parlantes, seule la partie vers le portail séparant du cimetière malgache a été relativement nettoyée ; il est impératif de compléter rapidement, certaines tombes disparaissant sous la végétation ; je n’ai pas pu accéder au petit carré situé à 100métres, fermé ; le gardien civil, M.BOURA m’orientant vers le consulat, je verrai prochainement. La semaine prochaine je me rendrai à Sakaramy et Joffreville et vous rendrai compte de l’état.
Yves GALVEZ/AACLEM |
Camerone 2014 de l'AALE du Gers |
En Indochine avec la Légion, en compagnie de Bernard Grué29.03.2014 L'auteur de L'espoir meurt en dernier (guerre et captivité en Indochine avec la Légion étrangère 1949-1954) sera à l'Ecole militaire, le mardi 15 avril, entre 11h et 12h30 pour y témoigner et présenter son livre paru aux éditions du Rocher (250 pages, 18 €). Cet ouvrage retrace le parcours militaire de l’auteur depuis son entrée à l’Ecole spéciale militaire de Saint-Cyr, en 1945, jusqu’aux combats de la tristement célèbre Route coloniale n° 4 (RC 4) qui ont marqué, en 1950, un tournant dans la guerre d’Indochine. Jeune lieutenant à la Légion étrangère, Bernard Grué a été le dernier défenseur du poste de Dong-Khé, point-clé de la RC 4 sur lequel le Vietminh a concentré tous ses efforts dès le début des combats. Trois fois blessé, prisonnier des Viets durant quatre ans, le lieutenant Grué est l’un des rares survivants du Camp n° 1. Le colonel (er) Grué témoigne de l’épreuve vécue par ces combattants français abandonnés autant par la classe politique que par une partie de l’opinion publique. La conférence aura lieu dans l'amphi Louis, entrée par le 5 place Joffre (se munir d'un pièce d'identité). Inscription dès que possible auprès de Marie-Hélène Mounet au 01 44 42 31 92 ou à Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir. |
Ce qui est en ligne depuis la dernière Newsletter...
|
L'histoire de L'atelier Céramique de L'institution des Invalides de la Légion ÉtrangèreSOUSCRIPTION
Le Commandant LE ROCH premier directeur de L’institution des Invalides de la Légion Étrangère, confie en 1958 a Monsieur Guy PARIS (Membre de L’AALE Puyloubier) la création d’un atelier céramique. Mission accomplie, il raconte dans une brochure les 42 années passé à la tète de cet atelier. La vie de l’institution pendant cette période à travers les 16 directeurs qu’il a connus. Quatre d’entre eux écrivent leurs années passé en tant que directeur de cette institution unique au monde , Le Lt Colonel BORDARIER, Le Lt Colonel CLERC le Cdb MORISOT et le Lt COLONEL PIERRON. Tirage limité : Prix 25 € La brochure contient 100 Pages et une cinquantaine de Photos. Les commandes et les chèques sont à adresser a : Monsieur Guy PARIS51 Chemin de Cataran83910 POURRIERESAALE. Le Bureau |
La solidaire légion étrangère 2014Publié le 26 mars 2014 Le club sportif et artistique du 4e régiment étranger de Castelnaudary participe pour la cinquième année consécutive à l’organisation de la randonnée cyclosportive caritative la « SOLIDAIRE LEGION ETRANGERE 2014 » du 23 au 26 juin 2014. Cette randonnée cycliste de trois étapes et un prologue se déroule cette année dans les Pyrénées et a pour seul et unique but de collecter des fonds pour l’Institution des Invalides de la Légion étrangère implantée sur la commune de Puyloubier (13). Cette année les fonds collectés serviront à la réfection du chauffage des quatre-vingt pensionnaires. Parrainée par monsieur Bernard Thévenet double vainqueur du tour de France 1975-1977, elle permet aux participants de tous niveaux d’illustrer le slogan de l’épreuve : « Chaque jour une étape, chaque étape un exploit, un exploit pour nos anciens »Vous pouvez participer en faisant un DON sur le site de La solidaire légion étrangère Pour les participants faisant DON du droit d’inscription : le parcours |
Quand les politiques deviendront-ils des stratèges militaires ?Si l'année 2013 a été marquée d'entrée par un remarquable succès militaire au Mali, 2014 s'ouvre sur de sérieuses interrogations, avec une opération Sangaris en Centrafrique qui, faute d'avoir disposé d'emblée des moyens nécessaires, progresse très laborieusement. Pas d'Europe sans vision stratégique commune Dans cet effort sur la durée, nous devrons surtout compter sur nous-mêmes. Pas sur l'Europe, en panne de solidarité militaire. Tant qu'il n'y aura pas de vision stratégique commune, il n'y aura pas de défense commune, car le sentiment de solidarité n'est pas assez fort pour que chaque gouvernement assume les risques politiques liés à ces opérations. La France doit donc cesser de se départir hypocritement des moyens - terrestres en particulier - nécessaires à l'exercice de ses responsabilités et à la protection de ses intérêts. La guerre se vit toujours dans la durée «A la guerre, chaque adversaire fait la loi de l'Autre» : c'est l'imparable contrainte que nous rappelle Clausewitz. Le rêve du politique, c'est l'intervention puissante, rapide, ponctuelle, qui sidère. C'est le mythe cent fois invalidé du «hit and transfer», du choc militaire qui conduirait directement au résultat stratégique et, dans un monde parfait, au passage du relais à quelques armées vassales immédiatement aptes et désireuses d'assumer elles-mêmes les responsabilités. Las ! Clausewitz nous le dit aussi : la guerre ne se résume jamais à un seul coup et se vit toujours dans la durée. Avec sa dynamique propre, elle balaye toujours les calendriers préétablis. Il faut donc reconstituer notre capacité à conduire des engagements longs, avec des moyens suffisants pour produire d'emblée un résultat significatif. Le contraire de l'opération Sangaris au Centrafrique, en somme. Corriger les inadéquations de notre Défense Le «wishfull thinking» ne peut pas remplacer les moyens. C'est un fait : le «paradigme de destruction» ne peut plus être l'argument central de la guerre. Lorsqu'il faut agir dans des contextes où le facteur multiplicateur de la technologie est réduit, puisque la légitimité de la bataille se mesure à son résultat politique, l'instantanéité et la «foudroyance» ne fonctionnent pas. Notre opération Harmattan en Libye (2011) en constitue une preuve flagrante, puisque nous en payons les conséquences au Mali et en Centrafrique aujourd'hui. La capacité à durer, les volumes déployables, le contrôle des espaces sont redevenus des données essentielles, ce qui remet d'autant en cause les évolutions de nos armées et ce terrible « manque d'épaisseur stratégique » qui les caractérise. 2013 aura été, militairement, l'année de la contradiction : entre les faits - les interventions - et le discours (le Livre blanc et sa traduction budgétaire, la loi de programmation militaire) qui dégrade profondément nos capacités de défense. Interventions, parfaitement légitimes, et incohérence budgétaire… jusqu'à l'absurde. Cette dernière « année militaire » nous a montré clairement ce que savent faire nos armées et leurs évidentes limites. Souhaitons qu'en 2014, le politique se fasse enfin stratège en proportionnant l'enjeu et les moyens. Vincent DESPORTES |
Ma Vie racontée à ... |
THE FRENCH FOREIGN LEGION - THE WARRIOR TRADITION SERIES |