Publié le 19/01/2018
Hartmut Herzig, dit «Harry», avait conservé, de ses longues années passées à la Légion étrangère, un grand esprit de loyauté et de travail. À son retour dans la vie civile, c'est au café du village qu'il a continué à mettre en pratique ces valeurs, épaulant efficacement Simone, notamment au travers de repas de groupes. Il vivra la disparition de Simone et la fermeture du café comme une grande injustice. C'est auprès de Marie qu'il passera ses dernières années et c'est elle qui lui apportera tout le réconfort nécessaire lorsque la maladie va survenir. C'est encore elle qui prononcera la seule homélie en mémoire d'Harry, devant sa dernière demeure.
La Dépêche du Midi