AALEME

Légionnaire toujours...

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Les poèmes de Marie Quilichini





Vive les Rois !!

  De verres qui s'entrechoquent

 Sous l 'humble discours d'un sous off

 Ils sont tous présents

 Dans l 'attente d'un court instant

 Pour revivre cette tradition ancienne

 Le coeur digne et fier à l 'idée de trouver une reine

 Légionnaire fidèle aux règles e traditions

 En ce jour des rois ,tends ton verre et pousse une chanson!

 Partage la galette et que le plus chanceux trouve la fève

 Lèves ton verre oh Légionnaire !!!et un!à la tienne. . .

 En souvenir de ceux qui manquent à la table

Lèves encore ton verre oh Légionnaire!et un p'tit coup à la sienne en souvenir de son âme


Sous le ciel Afghan à nos soldats Français

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Sur les chemins pierreux
Arpentant les montagnes froides
Sous les yeux de leurs aieux
Ils font naître le silence à l'écoute des chefs
Là quand le soleil tombe et où l 'ombre devient funeste
Soldats Français vous êtes sous le ciel Afghan
Là où vos frères sont morts figeant à jamais les larmes de leurs parents.
Où sous un mutisme figé et que nul ne peut écrire
En mot au sens propre d'une liberté, vous êtes là au nom de votre patrie
En valeureux soldats sous les couleurs de votre pays
Votre présence ce fait comme un étrange réveil,
Qui se prend au piège des dernières angoisses pas si lointaines
Où sous les yeux de vos frères votre ombre rayonne encore
Fuyant les sinistres présages, ayant participé à de nombreuses batailles
Et honoré vos morts.
Comme pour lutter fougueusement dans une ardente espérance
Pour être de glorieux soldats et de respectueux vaonqueurs.
Soldats d'Afghanistan vos efforts gagneront .
Hommage à vous frères d'arme et hommes de tous les terrains
Noël approche pour vous aussi fiers compagnons
Où sous le ciel de l 'enfer, vos chants en cette nuit de Noël régneront
Et quand sur le champs de bataille vers elle ton coeur se rapprochera
Demande à la Vierge Marie de te bénir cette nuit là au combat.
Sous le ciel d'Afghanistan la France vous rejoindra
Pour des heures à partager d'un Noël au combat . . .


""Marie""

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 O douce mère immaculée

 Porteuse de tant de grâce et de beauté

 Toi qui ne juge point les vivants et encore moins les morts

 Ton âme est si belle, ton coeur est un trèsor

 Vierge d'amour qui veille sur ses enfants

 Tu ne crains pas le diable et encore moins Satan

 Tu portes sur eux toute ton affection

 "Merveilleuse Vierge Miséricordieuse"

 Divine femme Sainte de la protection

 C'est dans un oasis de tant de sérénité

 Que monte tes prières sans inégalité.

 O douce mère immaculée

 Porteuse de tant de grâce et de bonté

 Du haut de ce ciel veille sur eux!

 Qui partent pour des guerres sur des terrains minés.

 En fiers Légionnaires en soldats valeureux.

 Tout prêt d'eux règne la violence

 Veille à ce qu'ils marchent le coeur joyeux et d'espérance

 Pour leur salut ils partent sur ces terres

 O sainte Mère Bénie veille sur nos Légionnaires. . .

Et qu'a jamais ne vacille leur confiance

Protèges nos enfants qui sont en partance.


Le froid les emporte comme les feuilles mortes

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 Pour seule amie Dame détresse
 Et pour oublié ses ivresses
 Il fait froid l'hivers ne le fait pas à moitié
 Juste pour chauffage un vieux pardessus et des godasses trouées
 Pour un morceau de pain
 Il a appris à tendre la main
 Lui qui hier avait un toit, une femme, une mère
 Aujourd'hui il ne lui reste plus rien
 Son coeur c'est aigri devant l 'indifférence
 Il croyait encore en son pays
 Qui lui inflige cette pénitence
 L'hiver les rues sont froides c'est la plus terrible des sentences
 Mais nous vivons dans un monde de saisons
 Ou les lois ont leurs uniques raisons
 Sans domicile, fébrile la vie n'est plus facile
 D'événements imprévus la misère a son emprise
 Dans leur malheur et dans le froid de l 'hiver, peur d'un soir
 Oubliés des ponts et des rues mais pas de l'enfer ni d'un mort sur un trottoir
 Ils sont des SDF des soirs sans abri
 Ou pour seule maitresse la mort les quitte pas elle est leur seule amie


Tempes grises

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 Les tempes grises,
 Le légionnaire assis
 Contemple la frise,
 Du soleil sur la mer, tapit.
 Comme allongé,
 Par les nuages bordés.
 Rayons dans les cieux jetés,
 Pour sa couche éclairer..

 Là sur le bord
 De cette blanche plage,
 Le légionnaire semble fort,
 Il ne fait pas son âge.
 Tant de soleils se sont couchés,
 Qu’il a aimé contempler.
 Les laissant sans jamais se lasser,
 Entre ses paupières se glisser.

 Il aimerait un jour d’ été,
 Dans la couche du soleil s’ allonger.
 Et de pouvoir ainsi profiter
 De son éternité.
 Les tempes grises,
 Le légionnaire assis
 Contemple la prise
 Du temps sur ses mains et gémit

 


L'ancien et les portes de l'oubli !

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 Il a pour seul amis les images du passé
 Ce tout petit homme qu'on a tant délaissé
 LÉGION n'as tu rien oublié il était étranger
 De son grand âge le dos à peine courbé
 Il ne rêve plus de grands voyages
 Il n'a que pour lui les pages de son âme
 Quelques larmes perlant son si doux visage
 Et c'est en vieillissant sur son tragique destin
 Qui l'emporte seul vers le temps sur un autre chemin
 L'histoire c'est arrêté sur un lointain passé
 Panser que ces blessures marchant vers une mort futur
 Délivré de ses chaînes emprise du passé
 Vivre à en perdre haleine dans cette immensité de peines
 De souvenirs enfuis LÉGION il se souvient
 Aux creux de sa détresse tu restes sa seule maîtresse
 Adieu ses  ennemis et vous ses chers amis
 Ses  peurs et ses  faiblesses n'ont plus vie aujourd'hui
 Ayant bravé les flots affronté les tempêtes
 Gonflé ses grosses veines du venin de la haine
 Il a frolé la mort trouvé du réconfort
 Sa triste solitude accompagne ses nuits
 Toutes ses insomnies ravivent sa mémoire
 Au milieu de la nuit relis son livre d'histoire
 Qui donne la réponse au mal être de l'oubli
 LÉGION  te souviens tu de ce fils oublié
 De futiles journées la tête en dérision
 I l prie de son chapelet en prononçant "LÉGION,LÉGION!!!!!!!
 Plus rien ne peut l'atteindre ni rancune ni haine
 Doucement il s'éteint vers une mort certaine
 De plaintes données de douleurs ébranlées
 Sans relâche elle  lui  donne consciente de  son  danger
 De cette vérité bien laide d'un ancien oublié
 LÉGION te souviens tu il était étranger
 De larmes tant versées pour l'honneur et la fidélité


Attend moi Corsica!!

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 Je n'ai aucun mot pour te dire merci
 Car les mots de ta prose me font pleurer aussi
 Je me souviens aussi de ces nuits et de ce maquis
 Qui m'ont soufflé à l 'oreille que comme toi il venait de Calvi
 La vision de tes larmes est aussi la mienne
 Car sous ce ciel glacial brillent les étoiles dans l'éternel
 Attend moi terre d'amour je reviendrais vers toi un jour
 Quand ma vie aura cessé et que mes cendres sur Calvi resteront  pour toujours
 Tes couleurs, tes senteurs me manquent aujourd'hui
 Car ce soir les mots de cette prose me font pleurer aussi
 A toi mon doux ami, à toi l 'enfant de l 'ile
Je voudrais par cette prose te dire que je suis d'un Légionnaire aussi la fille
Je partirai un jour pour ma terre lointaine
Rejoindre cette amour du sang que j 'ai dans mes veines
Attend moi Corsica un jour je reviendrais sur notre terre
Mais aujourd'hui mon devoir est de rester auprès de tous mes frères.
Attend moi terre d'amour je partirais demain
Mais ma vie aujourd'hui pose mon âme sur un autre chemin
Je voudrais par cette prose te dire merci
Car les écrits de la tienne me font pleurer ce soir aussi
Attend moi terre d'amour je reviendrais vers toi un jour
Mais pour l'éternité j'ai choisi de leur donner mon amour sans détour


Camerone où l'écho qui résonne !!

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 Ils ont tous entendu les échos des canons
 Ces témoins d'un même malheur de cette bataille bien sombre
 De leurs tombes entr'ouvertes
 Ils se relèvent encore pour fêter Camerone
 D'uniformes invisibles ,tombés en ce plein mois d'Avril
 LÉGIONNAIRES  de Camerone
 Écoutez les échos qui résonnent
 Allez au rendrez vous du sang et de celui de votre mort
 Vos frères en ce jour vous attendent ardemment
 Ouvrant ces pages de votre histoire à l 'honneur des képis blancs
Ils recueillent en leurs coeurs votre gloire meurtrie
Morts sur le champ d'honneur ils vous fêtent aujourd'hui
Héros de Camerone, héros de la LÉGION
Entendez les échos qui résonnent aux couleurs de votre fanion !!!


Noël Légionnaire!

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 Les crèches de Noël se préparent à la Légion
 N'oubliant pas les thèmes comme un cadeau essentiel à tous leurs compagnons
 Ils ont pour un instant le regard vers cette nuit de Noël
 La crèche leurs ressemble car dans la joie et le respect elle les rassemble.
 Comme milles étoiles brillantes dans le ciel,
 Leurs yeux sont armés de flammes envoûtantes
 Comme des flambeaux aux souvenirs de leur chère patrie semblable à l'image d'une mère.
 Noël c'est en famille qu'ils partagent leur silence,
 Car sur cette terre marquée de désastres, Noêl les réuni dans cette grande lueur d'espoir .
 Dans l'ombre, qui espère la beauté de cette veillée bien fragile
 Ou devant cette crèche naît jésus l'enfant de joseph et de la vierge Marie.
 C'est à l'heure ou tout est calme à peine minuit
 Que sous les yeux des légionnaires, l'enfant pousse le premier cri de la vie.
Leurs yeux s'émerveillent alors  sous le regard de leurs chefs et de toute la compagnie . . .
C'est quand tout semble perdu qu'il est bon de rêver
C'est quand tout semble grand en cette nuit pleine d'espoir
Que Noël leurs ressemble, les réunissant au semblable de l'âme de cette crèche. . .
Dans cette nuit de la nativité pour boire en son honneur la coupe de la fraternité !!!


Noël de la fraternité!

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 Donne moi un peu de ton temps
 Je n 'ai rien à t 'offrir qu'un sourire de temps en temps
 Laisse moi avancer vers le chemin de la fraternité
 J'ai besoin de savoir et en l'espoir y croire
 Comme un besoin de respirer
 Noël approche et seul devant cette cheminée
 J'accrocherais mes souvenirs
 En guirlandes pour ne pas me laisser aller.
 Je n'ai guère changé,je suis resté le même
 Un frère, un étranger, un fier Légionnaire.
 La Légion a su faire de moi un homme resté fidèle envers elle
 Donne moi un peu de ton temps
 Je n'ai rien à t'offrir, qu'un sourire de temps en temps.
 Pardonne moi je je ne peu faire mieux
 Mais je n'ai rien à t'offrir qu'un peu de vie si tu le veux .
 Tend moi la main mon frère
 Comme sur le terrain nous en étions si fiers .
 Pour ensemble combattre ce destin si noir . . .
 Qui nous uni et nous sépare, O désespoir !
 Noël approche et seul devant cette cheminée
 J'accrocherais mes souvenirs en échange d'une poignée de main
 Et sans une seule arrière pensée.
 Ta main sera pour moi le plus beau des cadeaux
 Car Noël mon frère je te le clame très haut
Comme une obole florissante
Faisant revivre les craintes de mon enfance
Noël arrive avec ces souhaits enfuis
Aide moi à oublier mes peurs de la vie.
Donne moi un peu de ton temps
Je n 'ai rien à t'offrir qu 'un sourire de temps en temps
Noël mon frère je te le clame de nouveau
Combien son évocation m'illumine aujourd'hui le coeur
De savoir que tu me tends la main
Pour une éternelle promesse de douceur. . .


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Traduction

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