J’ai tant d’amour en moi, pour ce frère égaré,
Que je n’aurai de cesse, de l’avoir retrouvé,
Et Dieu seul saura combien je l’aurai cherché,
Tout au fond de la jungle et dans des lieux cachés.
Une seule chose importe à mes yeux fatigués,
Le connaître enfin, finalement libéré,
D’une chaîne invisible, entièrement délié,
De serments et secrets, si lourdement chargé.
De tous ces méfaits je ne veux rien écouter,
Que seule Sa présence me manque à en crier !
Cette histoire trop longue, mon cœur, a tant rongé,
Uniquement Sa « Vue « viendra me consoler.
Le 19 Août 2007