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Légionnaire toujours...

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2017




La Légion et les "Gaulois "

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Ainsi va le monde !

vendredi 3 mars 2017

 


Même si la Légion est étrangère, elle a toujours compté dans ses rangs des Français. Ces dernières années, leur volume représentait environ 10% des effectifs recrutés. La poursuite de la montée en puissance de l’institution en 2016 (1700 militaires) oblige à un réajustement du recrutement. A renforcer le vivier de francophones et en particulier de "Gaulois". C’est pour cette raison que 9 opérations d’information seront menées en 2017 dans des zones peu visitées jusqu’ici. Afin d’augmenter le chiffre actuel de 150 engagés volontaires recrutés dans l’hexagone et outre-mer. "Nous partons ainsi à la rencontre de nos concitoyens implantés en zone rurale mais aussi des vacanciers" précise le lieutenant-colonel Yann Doutey, chef de corps du Groupement de recrutement de la Légion étrangère (Fort de Nogent, 94).  Après l’opération Bretagne menée en janvier, l’opération Adret vient d’être réalisée dans les stations de ski des Alpes, du Jura et des Vosges et sera suivie de l’opération Jules César sur un axe Est-Nord-Est (Besançon-frontière belgo-luxembourgeoise) avec le car podium de la Légion et des représentants des PILE (postes d’information) concernés. D’autres sont à venir en Corse, Aquitaine, Pyrénées, Normandie… Profils visés : des combattants dont une partie deviendra les cadres de demain des régiments légionnaires. "Nous allons également développer notre capacité à informer dans le Pacifique Sud, en Polynésie et Nouvelle-Calédonie."


Cheyenne Carron présente son film «A jamais fidèle» à la Légion étrangère

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legion visuel.jpg

Publié le 10/03/2017

Cheyenne Carron a été reçue par le général Jean Maurin, commandant la Légion étrangère, pour présenter son film "A jamais fidèle", pour lequel la Légion étrangère apporte son soutien. A l'issue, elle a bien voulu se prêter au jeu de l'interview.

 

Cheyenne Carron présente ses films dans le bureau du général de division Jean Maurin | 10 mars 2017 | DR

Cheyenne Carron, vous êtes scénariste, réalisatrice, productrice de films, vous avez réalisé votre premier court-métrage « A une Madone » en 2001, à 25 ans. Depuis, vous avez tourné 10 films et en avez deux en préparation, dont « A jamais fidèle » qui aborde la Légion étrangère par le biais du parcours d’un jeune en quête de valeurs authentiques, qu’il finira par trouver à la Légion étrangère. Plus personnellement vous ne cachez pas une enfance qui passe par la Ddass, une adolescence exubérante, une adoption, une conversion au catholicisme vécue comme salvatrice, un cinéma engagé. Pour reprendre une tirade de Marlène Dietrich dans Morocco : « il y a aussi une Légion étrangère pour les femmes ». Votre parcours semble l’indiquer.

*    *    *

Que raconte "A jamais fidèle" ? Pourriez-vous nous dire, sans toutefois dévoiler l'intégralité de votre film,  quel sera le fil conducteur de cette histoire ?

Cheyenne - Mon film racontera l’histoire d’une transmission entre Henri, un ancien Légionnaire qui a fait la guerre d’Indochine et celle d’Algérie et David, un jeune Français en manque de repères. David verra en Henri ce que la société civile ne lui donne pas, à savoir un modèle, un exemple d’héroïsme.

 

Pourquoi vous-êtes-vous tournée vers la Légion étrangère, et non pas vers un autre corps d’armée ?

Cheyenne - C’est une histoire un peu personnelle...A 16 ans, la DDASS (je suis pupille de l’état) m’a retirée de ma famille d’accueil  et m’a placée  en foyer d’urgence, je n’étais pas heureuse dans la vie, j’avais besoin d’ordre, d’autorité, de changer d’identité, de trouver une autre famille, alors je suis allée prés de chez moi frapper à la porte du 1er Régiment de Spahis à Valence, je leur ai dit que je voulais entrer dans la Légion et servir mon pays. Là-bas ils m’ont répondu, un sourire en coin, que la Légion ne prenait pas les femmes.

Alors à 18 ans, lorsque mon assistante sociale m’a dit que je devais désormais me débrouiller dans la vie, et que la DDASS ne m’aiderait plus pour vivre, je suis  allée à Paris pour faire la seule chose qui me plaisait ; du cinéma. Lorsque je me suis mise à écrire “A jamais fidèle”, j’ai repensé naturellement à mes premières amours : La Légion.

Et pour la petite histoire, après avoir galéré cinq ans dans une chambre de bonne à Paris, j’ai eu enfin les moyens de m’offrir le loyer d’un studio.. et peu de temps après m’être installée, j’ai découvert que mon voisin du dessus était Pierre Schoendoerffer...

 

Que souhaitez-vous montrer à travers cette histoire ?

Cheyenne - Dans mon histoire, David ne manque de rien, il vit dans de beaux quartiers, il vient d’une famille cultivée et bourgeoise, il est promu à un bel avenir, et pourtant il ne se sent pas à sa place dans ce monde. David admire Henri qui incarne d’autres valeurs. Il  choisit Henri comme père de substitution, car son propre père, ingénieur, ne lui inspire que peu de choses.

Henri finira par accorder sa confiance et son amitié à ce gamin, car il verra en lui peut-être le même d’idéal qui l’animait lorsqu’il s’était engagé.

 

Quelles sont les valeurs que vous souhaitez transmettre ? Est-ce un message destiné à la jeune génération ?

Cheyenne - A travers cette histoire, j’aimerais montrer à quel point ce qui peut sauver un jeune, c’est de  tendre vers un idéal  au-delà de lui, loin du confort et de la facilité,  et s’engager pour quelque chose qui transcende. La Légion, ou l’engagement militaire en général, fait partie de ces possibilités.

 

Par le passé, la critique a qualifié certains de vos films de "cinéma combattant", au regard de votre engagement tant personnel que matériel (financement des films). Aujourd'hui, avec "A jamais fidèle", ajoutez-vous une nouvelle définition, plus littérale, à ce cinéma qui vous caractérise ?

Cheyenne - « A jamais fidèle » sera mon neuvième long métrage, et je dois dire que pour en arriver là, ça a été un long parcours fait de discipline et de beaucoup de sacrifices... il n’y a pas eu beaucoup de mains tendues. Mes films n’ont jamais reçu d’aide du CNC, ni de régions, je les ai faits chacun à moins de 70 000 euros. Pour la diffusion, peu de salle de cinéma conservent la liberté d’offrir des projections de films s’ils ne sont pas portés par les critiques...  Mais je crois que la presse change aujourd’hui son regard sur ma production et ça devrait lever beaucoup d’obstacles. Vous voyez que par certains aspects, tout ça ressemble un peu à un parcours du combattant !

Après « A jamais fidèle », je ferai un film sur les blessures invisibles dont souffrent parfois les soldats aprés la guerre. Le scénario est écrit. Il s’intitule « Le soleil reviendra ». Je vais devoir travailler très dur pour permettre à ces deux films de voir le jour, ce sera mon combat. Donc mes sujets continueront à porter un regard libre et très personnel, et je n’ai trouvé que le cinéma pour l’exprimer… En ces périodes troubles, cet angle de prise de vue continuera donc à m’exposer.

 

Cheyenne-Marie Carron | 10 mars 2017 | DR

NB : L'ASAF (Association de soutien à l'Armée Française) lance un appel au dons au profit de Cheyenne Carron, pour lui permettre de réaliser son film "A jamais fidèle" dans de bonnes conditions. 25 €, c’est le montant du don (minimal) qui est demandé à chaque souscripteur. Vous recevrez, à la sortie du film, un DVD personnalisé.

Vous pouvez participer à cette action de soutien en suivant le lien : https://www.asafrance.fr/dons-film.html

En savoir plus sur Cheyenne Carron : https://www.cheyennecarron.com

 


"Nouvelle histoire de la Légion étrangère : un ouvrage de référence mais qui manque un peu de souffle

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Atlantico, un vent nouveau sur l'info

Publié le 10 Mars 2017

"Nouvelle histoire de la Légion étrangère : un ouvrage de référence mais qui manque un peu de souffle

Nouvelle histoire de la Légion étrangère

La Légion, une deuxième patrie

De Patrick de Gmeline

Éditions Perrin

L'AUTEUR

Patrick de Gmeline, né en 1946, est historien et écrivain ; ses racines familiales sont un concentré de l’histoire de l’Europe. Parmi sa quarantaine d’ouvrages d’histoire militaire, sa « Nouvelle histoire de la Légion étrangère » est sa première œuvre consacrée à cette troupe légendaire.

THEME

La Légion a une chance, elle ne connaît pas l’indifférence et maîtrise l‘art d’ancrer la modernité dans la tradition : "More Majorum".

Médiatique, elle fait rêver mais, au bilan, peu écrire en dehors d’un cercle d’amis fidèles et d’auteurs « maison » qui l’ont souvent connue de l’intérieur.

Le Livre d’or publié lors de son centenaire en 1931, réédité depuis, propose une histoire institutionnelle et imagée de la geste légionnaire.

Nombre de célébrités y ont trouvé refuge pour une parenthèse anonyme dans leur vie d’artiste mais ont rarement témoigné de cette expérience.

Après l’épais dictionnaire de la collection « Bouquins », paru en 2013, cette nouvelle histoire se veut une référence à jour.

Elle campe dans le registre classique de la contribution des « képis blancs » aux aventures militaires, coloniales et métropolitaines, de la France depuis 183 ans.

POINTS FORTS

Nouvelle, l’histoire de la Légion étrangère proposée par Patrick de Gmeline l’est assurément car à jour des engagements opérationnels récents de ce corps singulier, pas insensible à son aura et à cultiver son côté mythique.

La Légion a, depuis sa constitution originale de 1831 pour achever la conquête de l’Algérie, rénové la ressource ancestrale de l’Ancien Régime de « l’appel à l’étranger ».

Rarement seule comme en 1835 où elle est prêtée à l’Espagne, elle a enchaîné les guerres, engagée aux côtés de ses frères et sœurs d’armes.

Toujours admirée par ses chefs, tel Lyautey, qui reconnaissaient à cette « chère troupe » des qualités hors normes d’endurance et d’esprit de sacrifice. Ses volontaires ont déployé les mêmes vertus pour bâtir que pour combattre, toujours et partout.

POINTS FAIBLES

On ne peut pas tout demander à l’Histoire et l’historien. Mais j’en attends le souffle comme le marin espère le vent de l’océan pour tenir son cap. Au-delà de quelques formules malhabiles de « pékin » et d’une fin d’ouvrage tenant davantage du reportage que de l’histoire, je regrette son registre purement historique même s’il est solidement ficelé. Ce livre quittera donc le chevet de mon lit pour tenir son rang au « rayon Légion » de la bibliothèque de l’amateur de l’art de la guerre...


Des militaires français de l’OTAN au secours d’un avion historique à New York

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"Legio Nostra" - BD aux Editions Le Lombard, signée Blary & Loiselet

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Le Lombard

De sa place particulière au sein des armées à la fascination qu'elle a fait naître dans le cinéma hollywoodien, voici l'histoire de la Légion étrangère. Son quotidien, les règles qui la régissent, les mythes qui l'entourent, les derniers conflits dans lesquelles elle a été engagée... Un reportage au long cours sur ce corps d'armée peu ou mal connu, qui fascine et intrigue depuis sa création.

Introduction

Depuis Kolwezi en 1978, la Légion n’a pas sauté pour aller à la bataille. Aucune autre unité régulière non plus, sauf quelques commandos en 2007 en Centrafrique. Aujourd’hui, comme 35 ans auparavant, c’est le 2e régiment étranger de parachutistes en provenance de Calvi, en Corse, qui passe par la portière pour sauter sur Tombouctou. Enfin presque : seulement 300 hommes sur les 1300 que compte le régiment. Ils ont pour mission d’empêcher la fuite des djihadistes vers le Nord. Au sol, une colonne française venant de Bamako est aux portes de la « ville aux 333 saints ». Le colonel du 2REP, fidèle aux traditions, saute avec ses hommes. « Qui sont ces hommes, comment font-ils la guerre ? »(Pierre Schoendoerffer, La Section Anderson, 1967). Parmi eux, le sergent-chef Vormezeele, 33 ans, d’origine belge, 14 de Légion

Suite

La suite de la bande dessinée se compose de neuf chapitres qui parlent de victoire, de la presse, de l’image de la Légion étrangère, de son histoire évidement, du culte mais aussi du quotidien, de la politique et toujours du feu de la bataille.

A lire jusqu’à l’épilogue qui rend hommage à Harold Vormezeele, sergent-chef au 2REP, tué mardi 19 février au Mali, à 33 ans.

Remerciement

Deux officiers de la division rayonnement et patrimoine de la Légion étrangère (DRP-LE) - le conservateur du musée de la Légion étrangère et le rédacteur en chef du magazine mensuel Képi Blanc - participent à cette aventure en répondant aux questions d'Hervé Loiselet.

Hervé Loiselet

Pour plus d'information : www.lelombard.com


Volontaire, Légion étrangère

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Volontaire, Légion étrangère

Créée en 1831, la Légion étrangère fascine l’imagination ; elle est l’unité d’élite par excellence.
Elle accueille, sans distinction de nationalité, de race, ou de religion, les volontaires venant du monde entier. Leur devoir : servir la France au prix même de leur vie.
La Légion étrangère pérennise depuis sa création un amalgame improbable entre une population
unique au monde riche de sa diversité et un commandement formé dans les écoles de l’armée
de terre française. Alchimie incroyable qui donne à cette troupe exceptionnelle son rayonnement
universel.
L’assurance de son « pas », hérité du rythme de marche de la Grande armée impériale, traduit la force tranquille de la Légion.


Et aussi un changement de visuel pour la Légion étrangère!

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Lignes de Défense

07.03.2017

Facebook, Twitter et maintenant un nouveau logo en noir et blanc:

legion visuel.jpg

Ajoutons que le site web de la Légion fait peau neuve aussi!

Ce site (https://www.legion-etrangere.com/index.php) constitue la principale porte d'entrée pour les candidats; il a donc été modernisé, a intégré le nouveau logo et est plus aisément accessible depuis les smartphones.


La Légion se met à Twitter

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Lignes de Défense

07.03.2017

 

le twitter.jpg

Après Facebook (lire ici), La LE se met sur Twitter. C'est tout frais, de lundi soir! Pour y aller et suivre leur compte: @COMLE_DRPLE


50e anniversaire de présence du 2e REP à Calvi : Prise d'armes sur le port le 18 mars en ouverture

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Corse Net Infos - Pure player corse

Rédigé par (Jean-Paul-Lottier) le Lundi 6 Mars 2017

1967 - 2017, cela fait 50 ans que le plus prestigieux des régiments de l'armée française, le 2e REP est installé à Calvi, au camp Raffalli. En cette année de cinquantenaire, le régiment organise de nombreuses manifestations. La première de celles-ci aura lieu le 18 mars avec une prise d'armes sur le port de commerce de Calvi, suivie d'autres manifestations

 

 50e anniversaire de présence du 2e REP à Calvi : Prise d'armes sur le port le 18 mars en ouverture

Le 2e Régiment Etranger de parachutistes est chez lui à Calvi. 50 années de présence dans la cité "Semper Fidélis" qui en cette année 2017 va donner lieu à de nombreuses manifestations qui débuteront  dès le 17 mars prochain avec la présence dans Calvi de la Musique de la Légion Etrangère et le lendemain samedi 18 mars d'une prise d'armes sur le port de commerce de Calvi. Cette prise d'armes qui lancera officiellement ces cérémonies du cinquantenaire sera suivie d'un certain nombre d'activités ouvertes au public.
Le programme de cette journée du 18 mars est le suivant:
10h30 : Prise d'armes sur le port de commerce de Calvi suivie d'un défilé sur le quai Landry.
12 heures : vin d'honneur ouvert au public sur la jetée du port de commerce.
14 heures: présentation de matériels militaires sur le parking du monument aux morts de Calvi Le tout en la présence exceptionnelle de la musique des Parachutistes.Bien  évidemment toute la population sera la  bienvenue à ces activités, qui se poursuivront  jusqu'au mois de septembre 2017 où d'autres surprises sont programmées.

LAUDUN-L’ARDOISE En images : un exercice grandeur nature pour le 1er REG

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Objectif Gard

4 mars 2017

Lors de l'exercice du 1er REG de la Légion étrangère de l'Ardoise, mardi soir (DR)

Lors de l'exercice du 1er REG de la Légion étrangère de l'Ardoise, mardi soir (DR)

 

Le scénario est digne d’un film d’action, et les moyens déployés aussi.

Ici, le méchant s’appelle Rajad. Il s’agit du chef d’une cellule djihadiste caché dans les environs, et qui aurait pour projet de perpétrer des attentats terroristes sur la base de Laudun et à proximité.

Lors de l'exercice du 1er REG de la Légion étrangère de l'Ardoise, mardi soir (DR)

Lors de l'exercice du 1er REG de la Légion étrangère de l'Ardoise, mardi soir (DR)

Lors de l'exercice du 1er REG de la Légion étrangère de l'Ardoise, mardi soir (DR)

Voilà pour le pitch, voici maintenant le casting signé du 1er régiment étranger de génie de la Légion étrangère de Laudun-l’Ardoise : une équipe de plongeurs de combat du génie, des démineurs, un binôme Weapon Intelligency Team et un groupe de la fouille opérationnelle spécialisée, épaulés par un élément cynotechnique spécialisé dans la détection d’explosifs venu de la base d’Orange, d’un hélicoptère Puma et d’un renfort de la BFST. Le tout forme la Section de liaison et de reconnaissance offensive (SLRO).

Lors de l'exercice du 1er REG de la Légion étrangère de l'Ardoise, mardi soir (DR)

Lors de l'exercice du 1er REG de la Légion étrangère de l'Ardoise, mardi soir (DR)

La SLRO va être chargée lors de l’exercice effectué mardi d’infiltrer et d' identifier la cache d’armes, et si possible de capturer le terroriste pour obtenir des renseignements utiles. Rapidement, il est décidé d’agir de nuit. Une partie des Légionnaires est déployée sur le sommet du camp de César par hélicoptère. Les plongeurs se lancent dans une infiltration de plusieurs heures, qui aboutit à la découverte de la grotte utilisée par les terroristes, dans laquelle sont trouvés des explosifs. La SLRO se regroupe au complet sur place.

Lors de l'exercice du 1er REG de la Légion étrangère de l'Ardoise, mardi soir (DR)

Lors de l'exercice du 1er REG de la Légion étrangère de l'Ardoise, mardi soir (DR)

Sauf qu’entretemps, Rajad a pris la poudre d’escampette, pour rallier un camp près de Lascours. Les cellules de la SLRO le repèrent puis se divisent pour prendre le campement d’assaut sur plusieurs fronts. Les coups de feu (à blanc, rassurez-vous) crépitent, les djihadistes ne se laissent pas faire, et finissent par se replier après avoir infligé quelques pertes mineures à la SLRO. L’exercice s’est achevé sur le stand de tir, avec des cibles et des balles réelles.

Lors de l'exercice du 1er REG de la Légion étrangère de l'Ardoise, mardi soir (DR)

Lors de l'exercice du 1er REG de la Légion étrangère de l'Ardoise, mardi soir (DR)

Un entraînement grandeur nature nourri par les retours d’expériences des différentes opérations extérieures qui permet à tous les acteurs de la SLRO, qui habituellement opèrent indépendamment, de travailler ensembles.


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