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Légionnaire toujours...

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2011




Principe de précaution

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En relisant l'article de l'Union : ROCROI Le SoCLE est né, plusieurs questions me viennent à l'esprit.

A ma connaissance, il n'y a pas eût d'intervention du 2e REI au Zaïre en 1984. Donc les justifications de la création de cette association me paraissent trouble pour le moins, voir mensongère.

 

Ensuite, légionnaire un jour, légionnaire toujours,

nous n'avons aucune raison d'adhérer à l'association Soutien civil à la Légion Etrangère, même si nous avons quitté le service actif, nous sommes marqués par ce que nous avons vécu ensemble. De plus, la création de la la Maison du Légionnaire, de l'Institution des Invalides de la Légion étrangère, sans oublier la maison du légionnaire de Bel Abbès, la Balme les Grottes et celles dont j'ai oublié le nom, sont le fruit d'une coopération Anciens et Légion d'active.

Nous connaissons tous le FELE et son action, si nous souhaitons faire un don, c'est la seule adresse sûr.

 

Enfin,

une association loi de 1901, avec un président auto proclamé me laisse songeur. Une association captive d'un couple, un mari président et trésorier, une épouse vice-présidente et secrétaire générale sont contraire aux textes de loi sur les associations loi de 1901.

 

Je vous invite donc à la plus grande prudence,

FELE un jour, FELE toujours.


Attribution du bénéfice de la campagne double aux militaires en opération en Afghanistan

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07 novembre 2011

Le ministre de la défense et des anciens combattants a présenté un décret portant attribution du bénéfice de la campagne double aux militaires en opération en Afghanistan.

Jusqu’ici, le bénéfice de la campagne double ne pouvait être octroyé aux militaires participant aux opérations extérieures que dans le cas où une guerre était déclarée. Cette règle n’est plus adaptée à la réalité des engagements actuels des forces armées françaises, dans lesquels les soldats peuvent pourtant être exposés à des risques majeurs.

Aussi le code des pensions civiles et militaires de retraite a-t-il été réformé par un décret publié le 5 novembre 2011 afin que le bénéfice de la campagne double puisse être accordé pour les services effectués dans le cadre « d’opérations qualifiées d’opérations extérieures ».

Le décret soumis à l’examen du conseil des ministres accorde le bénéfice de la campagne double aux militaires qui ont participé à des actions de feu ou de combat ou ont appartenu à une unité combattante dans le cadre des opérations menées en Afghanistan depuis le 3 octobre 2001.


Légion d’aujourd’hui, Légion d’hier...

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La fourragère tient son nom et son origine du monde agricole vers la fin du 16e siècle. Elle n’était représentée alors que par une simple corde à fourrage, sans ferrets, portée autour de l’épaule par les dragons autrichiens*. C’est Napoléon 1er qui lui donne l’appellation de fourragère, en distinguant les hussards en jaune des artilleurs en rouge. La fourragère sera supprimée à la fin de la guerre francoprussienne de 1870. C’est par une décision ministérielle d’avril 1916 qu’elle renaît afi n de récompenser les actions des régiments cités à l’ordre de l’armée. Au cours de la Première Guerre Mondiale, la Légion étrangère crée des bataillons de marche sur la base des différentes nationalités des volontaires engagés. Le 11 novembre 1915, tous les légionnaires présents sur le sol métropolitain sont regroupés dans le Régiment de Marche de la Légion étrangère (RMLE), mélangeant ainsi les nationalités comme le veut la coutume à la Légion. Le régiment est lancé en offensive contre les Allemands dans la percée de la ligne Hindenburg le 14 septembre 1918. En récompense pour sa victoire, le RMLE recevra une fourragère double créée pour lui et combinant les couleurs de la Légion d’honneur et de la Croix de Guerre. Depuis, le 14 septembre est devenu une fête pour le 3e REI, la “fête de la fourragère” commémorée avec éclat une nouvelle fois cette année en terre amérindienne.

À travers l’actualité des régiments ce mois-ci, nous saluons les performances de nos sportifs. Les passionnés de cyclisme ont entrepris avec enthousiasme l’épreuve de l’ascension du mont Ventoux orchestrée par le 2e REG. La 34e édition du semi-marathon de la Légion étrangère à Castelnaudary, organisée par le 4e RE fut un franc succès sous une chaleur accablante.
Nous nous attarderons sur les festivités de la Saint-Michel à Calvi qui avait pris cette année une dimension particulière au 2e REP avec l’inauguration du Mémorial des légionnaires parachutistes morts pour la France. Dans le cadre de ses visites au sein des régiments, le général Christophe de Saint Chamas commandant la Légion étrangère est allé à la rencontre des cadres et légionnaires pour faire un premier point de situation des unités.

L’entraînement des légionnaires au quotidien est une constante, à travers la mise en condition avant projection des Lions du 1er REC pour une mission de courte durée en Nouvelle Calédonie, le DLEM qui a armé un détachement d’instruction opérationnelle (DIO) sur l’ile de Grande Comore ou encore l’exercice régimentaire “Vaillant” du 1er Régiment étranger. Nous illustrerons la préparation opérationnelle ce mois-ci à travers notre dossier spécial consacré aux missions amphibie du 1er REG. Les projections des unités en Afghanistan nous montrent le professionnalisme et la détermination dont font preuve les cadres et les légionnaires dans leur engagement en opération. Les nouveaux progrès de l’armée afghane à conduire progressivement ses actions sur le terrain avec davantage d’autonomie, inaugurent le début du désengagement français qui a commencé mi-octobre avec le retrait de 200 soldats.

À l’occasion du 4e anniversaire de sa disparition, M. Laffineur, secrétaire d’État auprès du ministre de la Défense et des Anciens combattants, a rendu un hommage solennel à Pierre Messmer, en présence d’un détachement de légionnaires du GRLE.
Notre zoom est consacré à un personnage unique, le lieutenant-colonel Gilles de Bouteiller, frère du général d’armée Thierry de Bouteiller. Aujourd’hui, une rue de Mangnanville en Ile de France porte le nom de cet homme au passé de légionnaire, devenu sapeur pompier.
Nous inaugurons une série historique consacrée au prince Pierre-Napoléon Bonaparte, dit "Le Prince Corse", aventurier au passé sulfureux. Cet officier à titre étranger, engagé dans la campagne d’Algérie en 1848 s’illustra en particulier à la bataille de Zaatcha au sein du 2e Etranger. Nous n’avons pas pu nous empêcher de faire ce mois-ci un clin d’oeil à Tapanar dans la nouvelle rubrique "Il y a 20 ans dans KB", mascotte emblématique du 2e REI.

*Dragons autrichiens : au 19e siècle, sous l’Empire autrichien, les dragons constituaient des unités de cavalerie de ligne pouvant combattre aussi à pieds.


Hélie de Saint-Marc, Grand Croix de la Légion d'honneur

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Secret Défense

Vendredi 4 Novembre 2011

Le commandant Hélie de Saint-Marc va être, selon nos informations, élevé à la dignité de Grand-Croix de la Légion d'Honneur, la plus haute distinction que la République peut conférer.

Hélie de Saint-Marc, 89 ans, est une personnalité bien connue et très respectée pour son humanisme, bien au-delà du monde militaire : résistant, déporté, officier de la Légion étrangère, il participe au putsch des généraux, en 1961. Arrêté, il reste cinq ans en prison, avant d'être grâcié. Il est l'auteur de nombreux livres, dont ses Mémoires, "les Champs de braise",  ont connu un grand succès.
Il incarne, mieux que quiconque, le destin tragique de toute une génération de militaires, que retrace le récent Prix Goncourt.


C'est toute notre histoire...

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Un vibrant hommage a été rendu à Eugène Coulomb, mort pour la France en 1944

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01.11.2011

L’Association du Souvenir Français du comité de Bagnols-sur-Cèze, avec la coopération du maire de Saint-Victor-la-Coste, Robert Pizard-Deschamps, a souhaité la restauration de la tombe d’Eugène Coulomb, inhumé dans le cimetière de la commune.


Le samedi 29 octobre, devant la tombe restaurée, a été organisée une belle cérémonie de recueillement où étaient présents le député Jean-Marc Roubaud, les représentants de la gendarmerie et de la Légion Etrangère basée à Laudun, les anciens combattants, les représentants du Souvenir Français, le maire Robert Pizard-Deschamps avec une partie de son conseil municipal ainsi que des villageois.

Gérard Guintini, représentant local du Souvenir Français, a retracé le parcours héroïque de cet enfant du pays, dont le père est mort à Verdun lors de la première guerre mondiale. Eugène, pupille de la nation, a été mobilisé en 1939 et a rejoint le 7e régiment d’Avignon avec lequel il a combattu dans l’est de la France. Il a été fait prisonnier à Baccarat et a été déporté dans un camp en Allemagne duquel il s’est évadé en 1942. Eugène Coulomb a alors rejoint le maquis des Alpes de Haute Provence. Il a participé à des opérations de harcèlement contre les troupes d’occupation. Suite à une action qui a permis la libération de quarante patriotes français, l’armée allemande a lancé une attaque contre un camp de maquisards et c’est lors de cet assaut qu’Eugène Coulomb a trouvé la mort le 26 juillet 1944 à l’âge de trente-trois ans.


Le maire lors de son discours a salué le courage, l’héroïsme et le patriotisme de ce Saint-Victorain. Guy Cardonnel, représentant du Souvenir Français, a rappelé que son association œuvre pour que le souvenir des soldats morts pour la France soit conservé dans la mémoire collective, notamment avec des actions de restauration de tombeaux laissés en déshérence.


Le verre de l’amitié, offert par la municipalité au foyer Jean Vilar, a ponctué cette cérémonie d’hommage.


Légion étrangère Histoire, Patrimoine et traditions

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memoirepatrimoine                

Le magazine trimestriel "Légion étrangère, histoire, patrimoine et traditions" édité conjointement par la société SOTECA et le Foyer d'Entraide de la Légion étrangère sera disponible le 15 décembre pour les abonnés et le 2 janvier 2012 en kiosque.

A l'identique de certaines initiatives qui visent à renforcer la solidarité légionnaire, une part importante des bénéfices seront reversés au FELE.

Le sommaire du numéro 1 comporte un dossier sur la loi "Par le sang versé" qui est tiré du film documentaire  déjà présenté ici, un long témoignage d'un ancien d'Indochine, le récit d'une opération du 2e Etranger pendant la Guerre d'Algérie (l'opération Col Vert), une partie uniformologique et 24 pages consacrées aux légionnaires parachutistes suite à la St Michel et à l'inauguration du mémorial à Calvi. Vous y trouverez également une rubrique maquettisme/figurines, uniformologie, cinéma, livres et toutes vos bonnes idées bien sûr.

Le prix de l'abonnement ne devrait pas (en promo) dépasser 32 euros/an.

Si vous souhaitez joindre la rédaction une seule adresse : Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir.

En avant-première, quelques pages consacrées à la naissance de la Légion étrangère :


 


L'avis de Jean Tulard dans le cadre de son émission "Histoire fait son cinéma"

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Forces spéciales : 20 ans de secret

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Pensées sur la planète

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C’est un cadeau surprise que nous font deux anciens des forces spéciales, les généraux (2S) Jacques Rosier (ci-contre à gauche) et Etienne Leclère (à droite), en publiant vingt ans après un livre sur « les Forcesspéciales françaises dans la guerre du Golfe - 1991» , avec des photos jamais encore publiées de Bernard Sidler et des témoignages humains et techniques d’un très grand intérêt historique.

Le colonel Rosier, qui commandait le 1er RPIMa de Bayonne, avait reçu début 1991 le commandement du 1er groupement commando parachutiste (1° GCP), un groupement de 120 hommes formé autour d’un noyau dur du 1er RPIMa complété de 6 équipes CRAP (1er RHP, 2e REP, 3e et 6e RPIMa, 35e RAP). Le 1er GCP sera mis en place tardivement en février 1991, sans mission prédéterminée et avec un concept d’emploi à trouver sur place.

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Son témoignage bref mais précis sur le rôle des Forces spéciales dans l'opération Daguet a le mérite de la franchise, et sa conclusion annonce la création du Commandement des Opérations spéciales (COS) au lendemain de la guerre du Golfe : « l’expérience a prouvé que les moyens n’étaient pas à la hauteur de l’intention, en termes de capacité, d’autonomie et d’homogénéité ; le groupement engagé dans le Golfe n’a pu remplir que des missions de circonstance… »

Son chef opérations, alors le lieutenant-colonel Leclère, aujourd’hui président de l’association « Qui ose gagne », amicale des anciens parachutistes SAS et du 1° RPIMA, raconte par le menu le déroulement des opérations, cite le témoignage de ses commandos, leurs conversations et leurs états d’âme, et surtout leur incroyable enthousiasme et leur envie de foncer.

Le livre retrace, en amont de cet engagement, la participation des différents éléments des forces spéciales dont le 13e RDP et le 1er RPIMa, et leur rôle initial dans le détachement de liaison et de protection rapprochée de Daguet.

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Vient ensuite la mise en place du 1er GCP, avec organigramme et photos de groupe : un véritable album de famille, équipe par équipe, complété de fiches techniques sur les groupes RAPAS et les équipes CRAP, leurs insignes, leur historique…

Le déroulement de l’action pendant l’offensive terrestre est décrit avec la même précision encyclopédique : photos de groupe, équipements, plans de déploiement, photo aérienne des cibles, croquis des journaux de marche, ordres graphiques, rien n’y manque et c’est cette précision qui fait la rareté du document : c’est la première fois que la mémoire des Force spéciales et en particulier du 1er RPIMa sont aussi librement exposées.

Parmi les photos, des documents exceptionnels : une double page montre le franchissement de la « falaise » marquant la frontière irakienne, le 23 février au matin, par le PC de la division Daguet escorté par les commandos du 1er GCP et précédés par des Hummer américains de la 82e Airborne, dans le secteur « Atala » ; plus loin ce sont des VLRA à l’assaut de Natchez…

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Le cœur du témoignage est évidemment l’assaut à la citadelle d’as-Salman et l’incident survenu au cours de la fouille, avec l’explosion de deux sous-munitions (cluster bombs) qui feront deux morts et trois blessés, dont le colonel Rosier lui-même. Celui-ci, malgré sa blessure au dos, se redresse et donne ses ordres pour l’évacuation des blessés. Un moment très fort dont on perçoit l’intensité à travers les photos jamais publiées de Bernard Sidler, sur place dans la citadelle juste avant l’accident et qui montre le premier déploiement des commandos pour la fouille.

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Des photos, justement, qui forment un cahier central du livre remarquablement mises en relief par un fond noir. Ancien photographe militaire de l’ECPA devenu reporter de presse, Bernard Sidler, immergé avec moi au 1er Spahis, avait gagné la confiance des commandos qui se trouvaient sur le même axe ouest, et avait pu les accompagner dès le deuxième jour de l’offensive terrestre. Témoin privilégié mais fidèle à sa parole donnée aux forces spéciales de respecter leur secret, il n’avait jamais depuis lors publié ses photos et a finalement accepté de les donner pour cet ouvrage « spécial ».

Après une description bien illustrée des opérations de pacification et dépollution à Koweït-City (où participaient également des équipes CRAP du 8e RPIMa et des Commandos de Marine), l’hommage aux morts et aux blessés du GCP, le témoignage sur « le retour des vainqueurs » en France en mars 1991, le livre se conclut sur un éclairage prospectif : le COS aujourd’hui – photos des combattants actuels mais forcément floutées – le 1er RPIMa, les techniques et les tactiques les plus récentes, tout ce qui fait que la devise du régiment «  Qui ose gagne » conserve toute sa force et son efficacité.

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Il faut au passage compléter l’hommage aux auteurs de cet ouvrage collectif et aux photographes pour le geste qu’ils ont fait en ayant décidé que les droits d’auteur de l’ouvrage iraient intégralement à l’Entraide parachutiste : non seulement le document est unique mais ses auteurs sont totalement désintéressés, ce qui ajoute à la crédibilité du récit.

Les FORCES SPÉCIALES FRANÇAISES dans la GUERRE du GOLFE 1991. Jacques Rosier, Etienne Leclère

Editions LBM – ECPAD - 192 pages, relié, 23x30 cm, 300 photos et illustrations, dont 50 photos inédites de Bernard Sidler. 32 €.


Le coup de gueule d'Yves Debay

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