La Newsletter 16/36 de l'AALEME |
"La Belle Epoque"Y.S. |
DÉCRET N° 515 portant attribution de la Croix de la LibérationJournal officiel de la France Combattante 08/12/1942Le Général de Gaulle, Décrète : Art. 1er — La Croix de la Libération est décernée, avec citation à l'Ordre de l'Armée, aux militaires dont les noms suivent qui deviennent compagnons de la Libération à compter du 9 septembre 1942. Amilakvari - Lieutenant-Colonel - 13e demi Brigade de Légion étrangère.— De Sairigné Gabriel - Capitaine - 2e Bataillon de Légion étrangère.— Turel Y Turell Jaime - Sergent-Chef — 2e bataillon de Légion étrangère.— Richavy Joseph - Sergent — 2e bataillon de Légion étrangère.— Kocsis - Sergent - 3e bataillon de Légion étrangère.— Nicolas Louis - Sergent-3e bataillon de Légion étrangère. Damman André - 1re classe - 3e bataillon de Légion étrangère.— 1re classe Verheust Richard.—2e Bataillon de Légion étrangère.— Pernet Jean - Lieutenant - 2e Bataillon de Légion étrangère.— Sartin Jean-Pierre - Lieutenant - 3e Bataillon de Légion étrangère.— Art. 2.—Les présentes citations comportent l'attribution de la Croix de guerre avec palme. Art. 3.—Le Commissaire national à la guerre est chargé de l'exécution du présent décret qui sera publié au Journal officiel de la France combattante. Fait à Beyrouth, le 9 septembre 1942. Par le Chef de la France combattante, Le Commissaire national à la guerre, |
Racontez-nous sommairement le combat de Camaron.Manuel patriotique du citoyen et du soldat. 18921. — DO. Racontez-nous sommairement le combat de Camaron. A quelle époque a-t-il eu lieu et dans quelles partie du monde ce fait d'armes s'est-il passé? DR. Le combat de Camaron s'est livré au Mexique (Amérique du Nord) le 30 avril 1863. Ce convoi comprenait des pièces de siège, des voitures du Trésor contenant plusieurs millions de francs, une grande quantité de vivres, etc. Au cours de cette reconnaissance, cette compagnie fut attaquée par 2,000 Mexicains. Obligée de se retirer sur Camaron, pauvre petit village indien, elle s'y établit dans une maison qui tombait en ruine, la seule qui restât encore debout. C'est dans cette maison eu ruines que ces 62 soldats, commandés par le capitaine Danjou, ont, sous un soleil de plomb, mourant de soif, asphyxiés par la fumée, tenu tête pendant dix heures à 2,000 Mexicains, à qui ils refusèrent do se rendre, et ceux-ci n'ont pu venir à bout de leurs adversaires qu'en incendiant la bicoque, après les avoir mis tous hors de combat et avoir laissé plus de 300 des leurs sur le terrain. Honneur A ces vaillants soldats qui, par leur résistance acharnée, sauvèrent non seulement le convoi qui, prévenu à temps de ce qui se passait à Camaron, put rétrograder, mais firent mieux encore, car ils sauvèrent l'honneur du drapeau et préférèrent mourir tous jusqu'au dernier plutôt que de se rendre. DR,. Nous remarquons que les soldats français avaient pour ennemis les Mexicains, gens civilisés, qui pas plus que nous ne maltraitaient leurs prisonniers ; que ces braves gens le savaient, et que, malgré cela, ils préférèrent mourir jusqu'au dernier plutôt que de se rendre. Développement du combat de Camaron. Le combat do Camaron est un des faits d'armes les plus héroïques de notre siècle. Le 30 avril 1863, une-compagnie de la légion étrangère d'un faible effectif (3 officiers et 62 hommes presque tous Français,) commandée par le capitaine Danjou, secondé par les sous-lieutenants Maudet et Vilain, reçut l'ordre d'aller reconnaître la route que devait suivre un grand convoi, allant de Soledad à Puebla, dont l'armée française avait entrepris le deuxième siège. Le convoi comprenait des pièces de siège, des voitures du Trésor contenant plusieurs millions de francs, une grande quantité de vivres, etc. Privés de cavalerie, les Français ne pouvaient pousser au loin leurs reconnaissances et ignoraient que, depuis plusieurs jours, un parti de troupes ennemies, fort de 1,200 fantassins et de 800 cavaliers, était venu s'établir-dans le voisinage do la route que devait suivre le En revanche, les Mexicains, possédant une nombreuse cavalerie, étaient au courant de nos moindres mouvements. Prévenus de la formation et du départ du convoi, ils comptaient bien s'en emparer, le sachant faiblement escorté ; mais voici ce qui se passa : Vers 1 heure du matin, le capitaine Danjou quitte le campement de l.a Chiquique où se trouvait une partie de la légion étrangère; à l'aube elle traversait Camaron, pauvre petit village Indien ruiné. Après une reconnaissance sommaire des maisons du village, la petite troupe reprit sa marche en avant. Vers 7 heures du matin, n'ayant trouvé aucune trace do l'ennemi, la compagnie se rassemblait à Palo-Verde. Le soleil était déjà très chaud. Le capitaine fit faire halte, placer des sentinelles et l'on prépara le café. Trois quarts d'heure après, au moment où l'on jetait le café dans les marmites, les sentinelles signalèrent un nuage de poussière sur la route qui venait d'être suivie par la compagnie, dans la direction de Camaron. Tout à coup, dans une éclaircie de broussailles, les sentinelles aperçurent distinctement les larges chapeaux des Mexicains. « Aux armes ! » Le cri réveille tous ceux qui reposaient A l'ombre, les marmites sont renversées et; quelques minutes après, la compagnie était prête au combat. Vers 8 heures du matin, elle se trouva cernée par une nombreuse cavalerie; elle dut se former en carré, repoussa deux charges successives de l'ennemi menées avec beaucoup d'entrain et parvint à se faire jour jusqu'au village de Camaron, dans une des maisons duquel elle se fortifia, résolue à mourir plutôt que de se rendre. A 9 h. 1/2 du matin, avant d'entreprendre 1'altaque de cette maison, l'ennemi, confiant dans son nombre, somma d'abord le capitaine Danjou de se rendre. Il fut remercié en termes qui ne laissèrent aucun doute sur la détermination de nos vaillants soldats, et le feu commença partout à la fois. Le sous-lieutenant Vilain prit le commandement.
Vers 2 heures, au moment où le sous-lieutenant Vilain, mortellement frappé par une balle au front, venait d'être remplacé par le sous-lieutenant Maudet, une nouvelle sommation fut faite, mais elle fut accueillie comme la première. L'ennemi eut alors recours à l'incendie pour réduire cette héroïque petite troupe, qui résista néanmoins jusqu'au soir. A ce moment, l'ennemi livra un assaut général et parvint à s'emparer d'une partie des bâtiments occupés par les débris de la compagnie française. C'est alors que le sous-lieutenant Maudet, voyant que de nouveaux efforts étaient inutiles, réunit les quelques hommes qui lui restaient encore et ordonna d'envoyer à l'ennemi la dernière balle, puis de se faire tuer en chargeant à la baïonnette. Au moment où, A la tête de son monde, le brave Maudet sortait du hangar, le soldat Catteau, s'apercevant que tous les fusils étaient braqués sur son officier, se jette devant lui, lui fait un rempart do son corps et tombe foudroyé. Maudet tombe lui-môme mortellement blessé de deux balles à la hanche. Alors, l'ennemi se précipite et prend tout ce qui respire encore. L'heure fatale avait sonné, c'en était fait de la compagnie, mais elle avait tenu son serment de ne pas se rendre, et son héroïque résistance pouvait compter parmi les faits d'armes les plus glorieux qui aient jamais existé. Telle est cette journée pendant laquelle une poignée de 62 soldats français, sans vivres, sans eau, par une chaleur torride, sous un soleil de plomb, asphyxiés par la fumée, résista pendant dix heures à 2,000 ennemis. Leur sacrifice avait sauvé le convoi, car le commandant de l'escorte, averti A temps, avait pu s'arrêter et rétrograder sur Soledad. Honneur à ces soldats héroïques qui combattirent jusqu'au dernier et sauvèrent non seulement le convoi, mais plus encore, l'honneur du drapeau, en préférant mourir plutôt que do se rendre. Ils vivront dans l'immortalité. Le régiment étranger rendu les derniers devoirs aux braves qui avaient succombé dans cette lutte inégale. Sur le tombeau fut placée une modeste croix de bois portant celle inscription : « A la mémoire de MM. Danjou, Vilain et Maudet et de la 3e compagnie du 1er bataillon de la légion étrangère, qui ont succombé le 30 avril 1863 après dix heures de lutte contre 2,000 Mexicains. » Et toutes les fois qu'une troupe traversait Camaron, elle faisait face à la tombe et présentait les armes et l'on sentait revivre l'âme de ces quelques héros entre ces murs où ils avaient trouvé une mort si glorieuse. |
« la dent du colonel Jeanningros »Souvenirs du Mexique. 1908.Le colonel Jeanningros, du régiment étranger, m'avait chargé de rapporter à Mexico, d'où le colonel Doutrelaine, commandant le génie, l'envoya au Muséum d'histoire naturelle de Paris, un bel os fossile, d'environ 3 mètres de longueur, trouvé dans la banlieue de Monterey où un Indien s'en servait, comme de piquet, pour la clôture de son jardinet. A sa forme, et aux dents dont il était en partie garni, nous estimâmes que ce devait être la mâchoire inférieure d'un gigantesque ptérodactyle. On l'avait au premier moment baptisé « la dent du colonel Jeanningros », et le nom lui resta. |
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Soixante-cinq Héros.Mes souvenirs - général Du Barail. 1897-1898.De toutes ces affaires, la plus terrible et la plus glorieuse eut pour date le 1er mai, pour héros une compagnie de la légion étrangère récemment débarquée, forte de trois officiers, de soixante-deux hommes, commandée par le capitaine Danjou, et pour théâtre Palo-Verde. Cette compagnie était partie de Chiquitte avant le jour, pour aller au-devant d'un convoi de munitions et de trois millions en pièces d'argent qui montait de la Vera-Cruz sur Puebla. Arrivée à Palo-Verde, à sept heures du matin, elle y fut attaquée par mille hommes d'infanterie mexicaine et huit cents cavaliers, embusqués là pour surprendre le convoi. Le capitaine Danjou fit former le carré et réussit à se réfugier dans un bâtiment abandonné, que sa résistance allait rendre célèbre et qu'on appelait Cameron. Ces soixante-cinq braves, cernés et enveloppés dans ce refuge, n'avaient aucun secours à attendre, et leur perte était certaine. On les somme de mettre bas les armes. Ils répondent à coups de fusil et tiennent bon. Les heures s'écoulent. Les Mexicains criblent de balles Cameron. La compagnie répond coup pour coup. Vers midi, on entend dans le lointain la sonnerie de clairons qui. s'approchent rapidement. Un instant, les nôtres se croient sauvés. C'étaient trois bataillons,de quatre cents hommes chacun, qui venaient renforcer les Mexicains. Il est six heures du soir, et depuis sept heures du matin, ils luttent sans boire ni manger. L'ennemi s'empare de Cameron, d'où ne part plus un coup de fusil. H a fallu onze heures à trois mille hommes pour en abattre soixante-cinq, et trois cents Mexicains tués ou blessés gisent sur ce champ de bataille. Ce fait d'armes remplit l'ennemi d'admiration et le frappa de terreur. |
Sète et Neuburg, une amitié vieille de 30 ansMidi LibrePublié le 03/09/2016
Eberhard Schurmann et Maryse Ostalrich se félicitent de ce jumelage, vecteur d’amitié durable. G. G Tout le week-end, Sète et Neuburg fêtent leur jumelage. Tout a débuté entre la rencontre d'un Sétois et d'un comte installé en Allemagne... il y a trente ans. Si le jumelage Sète-Neuburg semble aujourd'hui pérenne, c'est que l'amitié franco-allemande entre les deux villes est cultivée depuis trente ans. Eberhard Schurmann, octogénaire, ancien officier supérieur de la Légion étrangère, était aux premières loges de la création, en 1986, du jumelage de Sète et de Neuburg-sur-le-Danube, en Bavière. Accompagné de Maryse Ostalrich, présidente du comité de jumelage, il se souvient : "À l'origine, c'est l'amitié née de la rencontre, en 1985, du Sétois Max Chevalier et du comte Du Moulin, issu d'une famille noble française installée depuis des siècles en Allemagne, qui poussa les maires des deux villes de l'époque, Yves Marchand et Günther Huniar, à eux-mêmes se rencontrer. Des affinités se créèrent et le colonel Foucher prit le jumelage en main, avec une équipe dont je fus secrétaire général. Tout passait par moi." Une amitié basée sur l'échangeÀ partir de là, tout se goupille bien, l'équipe met en place le jumelage et dès 1986, la première fête de la bière voit le jour à Sète. "Il n'y avait pas encore de comité juridique, poursuit Eberhard Schurmann, tout se faisait à la mairie. Mais lorsque le maire céda sa place à François Liberti, en 1996, l'équipe démissionna et fonda l'Association sétoise des amis de Neuburg (ASAN), l'actuel comité de jumelage." Maryse Ostalrich, qui comme M. Schurmann ne cache pas travailler "avec ses tripes, pour l'amour du jumelage", a repris la présidence de l'association après le décès de Joseph Müller en 2014. "Avant, les produits venaient de Neuburg. La bière, la choucroute, la charcuterie. Aujourd'hui, 4 000 litres de bière viennent de la dernière brasserie de Neuburg, mais la choucroute, elle, est préparée par des traiteurs sétois", explique-t-elle. "C'est beaucoup plus simple maintenant, avant il fallait tout dédouaner !", rétorque Eberhard Shurmann. Par ailleurs, cette fête permet de découvrir les spécialités de l'autre ville, car "l'esprit du jumelage, c'est l'échange". Outre les festivités de ce mois de septembre, le jumelage favorise les échanges scolaires bien sûr, mais aussi sportifs et culturels. "Le clou de mon “affaire”, explique encore Eberhard, c'est une randonnée de l'amitié qui relia Neuburg à Sète en 1995, et à laquelle j'ai moi-même participé". Cette année, le trajet en deux-roues se fera dans le sens inverse. Les cyclistes arriveront samedi prochain dans la ville de Bavière, pile à temps pour la fête du vin de Neuburg, qui, à son tour, accueillera les spécialités sétoises. Preuve s'il en faut encore, d'une belle et solide amitié franco-allemande. |
AMIENS Pas facile d’être un berger des villesPublié le 05/09/2016
Alain, ancien légionnaire, veille au troupeau arrivé il y a une semaine au parc du Grand Marais. S’il se sent berger, il est surtout agent de sécurité chargé de chasser les intrus. Alain et son fils assurent une présence 24h/24 sur le site. Ils dorment dans une caravane installée près du local du gardien.
Alain avait comme un petit coup de blues ce dimanche en début d’après-midi en rejoignant à pied le parc du Grand Marais, à deux pas du quartier Étouvie : il venait tout juste de raccompagner son fils à la gare d’Amiens. Bergers tous les deux pour la société Ecozoone, spécialisée dans la mise à disposition d’animaux pour l’entretien des espaces verts, ils surveillent ensemble le troupeau d’animaux installés depuis le 29 août sur l’une des parcelles du parc qui fait 8 hectares en tout et est clôturée. Un taureau, quatre vaches, 22 moutons, 12 chèvres, 10 poneys et 6 ânes qui, jusqu’à fin octobre, vont brouter l’herbe du site pour le compte de la Métropole qui développe l’éco-pâturage à Amiens. « On n’est pas de trop à deux pour s’en occuper, surtout qu’il faut assurer une présence ici 24 heures sur 24. Mais il faut bien qu’on fasse des pauses lui et moi, ne serait-ce que pour retrouver nos familles. Là, mon fils est reparti une semaine chez lui et après ce sera à mon tour de me reposer un peu », explique Alain, ancien légionnaire qui s’est lancé dans ce créneau il y a trois ans. Mais le métier n’est pas facile et on est très loin de l’image du berger qui se donne corps et âme à son troupeau et médite le reste du temps, au grand air, un livre à la main… « On vérifie que les bêtes vont bien. Par exemple, en ce moment, un des poneys a une conjonctivite donc je m’en occupe, je lui mets du produit dans les yeux mais ça s’arrête là. Dans mon contrat, je suis berger mais aussi débroussailleur et, surtout, agent de sécurité. C’est le plus gros de mon travail : protéger le troupeau et éviter les intrusions et les vols car il y a, malheureusement, beaucoup de tentatives. En ville comme ça, près d’un quartier, c’est inévitable », raconte encore le berger qui dit ne pas dormir beaucoup la nuit. « Il y a parfois des accrochages » « On fait des rondes, on se relaie, il y a parfois des accrochages avec des gens qui forcent les clôtures et que l’on doit faire sortir. Ce n’est pas évident ici, le terrain est trop grand, il y a beaucoup de passages et des groupes qui traînent dans le coin, ça peut rentrer de partout, donc c’est très compliqué à gérer. On doit souvent faire la police, c’est un métier à risque en fait », soupire Alain qui ne porte aussi plus jamais de vêtement de couleur rouge. « Ça énerve le taureau, je n’ai pas envie qu’il me charge non plus ! » (NB : le taureau, comme le chien, ne voit pas les couleurs). Lui et son fils dorment dans une caravane installée près du local du gardien du parc. « On manque de confort mais on a la télé, c’est déjà ça. » Le contrat des deux bergers se terminera fin octobre. Après une pause bien méritée, ils rejoindront un nouveau site au printemps, quelque part en France. TÉRÉZINHA DIAS L’éco-pâturage privilégiéAmiens Métropole n’en est pas à son coup d’essai en matière d’éco-pâturage. Le principe devrait même se développer encore à Amiens dans les années qui viennent. Après les poneys, les chèvres et les ânes sur l’îlot Boulogne, rue de la Vallée, mais aussi sur la ZAC Intercampus, c’est maintenant au tour du site du parc du Grand Marais d’en bénéficier avec une cinquantaine d’animaux qui vont paître naturellement et donc faire le travail à la place d’une fauche mécanique. « C’est une alternative qui permet d’assurer l’entretien courant des friches et lieux difficiles d’accès. C’est plus écologique dans la mesure où l’on n’utilise plus de produits phytosanitaires (Ndlr : la Métropole s’est d’ailleurs engagée dans un programme O phyto), ce qui permet de préserver la santé des publics mais aussi des personnels, et, dans le même temps, on réduit les émissions de gaz puisque l’on n’a plus recours aux engins à moteur », explique Mickaël Grimaux, chef d’unité patrimoine végétal pour la Métropole. Prochaine étape : le recensement de toutes les friches qui pourraient bénéficier de ce système. L’idée d’installer un troupeau sur le site du futur campus de la Citadelle, sur les terrains les plus inaccessibles, est déjà dans les cartons. Le plus difficile pour la collectivité étant de trouver le cheptel. |
Le formidable exploit de Paulo, légionnaire au «4»Publié le 10/09/2016 Paulo a porté haut les couleurs de la Légion étrangère.
Paulo participait, cet été, à la 1re édition de la TransPyrénéa et a rallié Le Perthus à Hendaye en 342 heures, se classant pour l'occasion 20e de ce défi hors-norme.Il s'était attaqué à un défi fou… Paulo, adjudant-chef au 4e régiment étranger, est arrivé au bout ! Et quelle aventure ! Le légionnaire s'est attaqué à la TransPyrénéa, au mois de juillet dernier. Il était de ces 244 concurrents de 38 nationalités différentes qui ont pris le départ du Perthus pour rejoindre Hendaye. 866 kilomètres avec un dénivelé positif de 65 000 m... |