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La Newsletter 13/15 de l'AALEME

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La Newsletter 13/15 de l'AALEME

Camerone 2013 de l'AALEME.

Le samedi 20 avril 2013 à 10H45 au mémorial Camerone au Crès.

Bulletin 13/01 de l'AALEME

A lire en ligne - Télécharger au format PDF

Il y a 150 ans, la Légion combattait à Camerone

30.03.2013 Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir.

Le village natal du capitaine Danjou se prépare à commémorer le 150e anniversaire de la fameuse bataille.

Le clairon du 4e RE de Castelnaudary assurera les sonneries.

Le souvenir de Camerone sera évoqué le samedi 13 avril dans le village natal du Capitaine Jean Danjou, à l'occasion de la célébration du 150e anniversaire de la bataille, qui opposa les troupes mexicaines au corps expéditionnaire français. Le programme de cette journée, qui aura pour maître de cérémonie, le lieutenant-colonel Claude Canalès, a été fixé comme suit :

A 9h00, départ du Cross de Camerone, depuis la prairie jouxtant le stade municipal. Plus de 500 légionnaires équipés de leur "barda" battront la campagne chalabroise sur un parcours de 7,5 km. Après une traversée de la rivière Hers, les concurrents se dirigeront vers la colline du Calvaire, avant un retour tracé sur les pentes de la Cigalière. Ils devront alors franchir un nouvel obstacle naturel, en l'occurrence la rivière Chalabreil, avant de rejoindre la rue du Capitaine Danjou. Ils se trouveront au pied de la Terre-Blanche, ultime obstacle à franchir, avant une arrivée à la verticale du hameau du Cazal.

A partir de 11h30, une messe sera célébrée en l'église Saint-Pierre, par l'abbé Raymond Cazaban. A 15h00, une prise d'armes se déroulera devant la mairie, cours Sully, suivie d'une cérémonie devant la maison natale du Capitaine Danjou. A 15 h 45, la cérémonie se déplacera jusqu'au monument aux Morts.

A 16h15, vin d'honneur sous la halle, avec les interventions du colonel Yann Talbourdel chef de corps du 4e Régiment Etranger, du lieutenant-colonel Jean-Paul Bustos, président de l'AALE 11, de Christian Guilhamat maire, et du représentant du préfet.

Tout au long de la journée (de 10 h à 18 h), présentation de matériel sous la halle, exposition d'uniformes et maquettes dans la maison du Capitaine Danjou. L' Amicale des Anciens de la Légion étrangère proposera l'exposition du 70e anniversaire de la Bataille de Bir-Hakeim.

Le général Bernard Goupil s'est éteint

Publié le mercredi 03 avril 2013.

Le conseil des sages de l'Académie des Sciences, Lettres et Arts de Marseille déplore la disparition soudaine de l'un de ses membres les plus influents en la personne du général de division (de réserve) Bernard Goupil.

Elu en 1991 membre résidant de l'institution phocéenne dont il occupait le fauteuil 12, Bernard Goupil en avait été le Chancelier en 1997, puis le directeur en 1998.

Le décès du général Goupil plonge également dans le deuil la grande famille de l'armée et plus particulièrement celle de la Légion étrangère. Ancien Gouverneur militaire de Marseille, le général Goupil avait en effet commandé cette unité d'élite après avoir été le chef de corps du fameux 2e REP (Régiment étranger de parachutistes), de 1972 à 1974.

Agé de 88 ans, Bernard Goupil présidait également le comité d'éthique de la FSALE (Fédération des sociétés d'anciens de la Légion).

Saint-Côme-d'Olt. La stèle du souvenir inaugurée

Publié le 04/04/2013

Lors de l'inauguration de la stèle du 19 mars 1962./Photo DDM

Le dimanche 24 mars, Saint-Côme a inauguré la stèle du souvenir du 19 mars 1962 marquant le cessez-le-feu de la guerre d'Algérie. à cette occasion, Paul Cayla, président de l'Association d'anciens combattants, a rappelé les victimes de ce conflit dont deux Saint-Cômois : Georges Guiral et Claude Besombes.

«Georges Guiral, tu es né à Ivry-sur-Seine en mars 1934. Tu as pris le nom de Guiroux lors de ton engagement dans la Légion étrangère, ce corps d'élite qui devait devenir pour toi ta nouvelle famille. Âgé de 25 ans, tu tomberas le 11 mars 1959 au cours d'une opération de reconnaissance à Thiaret où résidait le 2e Régiment de la Légion étrangère, à 230 km au sud d'Oran, sur l'Atlas tellien. Tu ne reviendras en terre rouergate qu'en janvier 1960 pour reposer parmi les tiens au cimetière de La Bastide-d'Aubrac.

Claude Besombes, tu es né à Ségur le 29 mars 1935. Ensuite, avec tes parents, tu es venu à Lévinhac à Saint-Côme en 1946 qui est le berceau de la famille Besombes. Après l'école DEOR d'Antibes, tu as rejoint avec le grade d'aspirant, en Algérie, le 129e Régiment d'infanterie dans l'Atlas tellien, comme pour Georges Guiral. Tu étais plus spécialement chargé de la protection d'une station radio militaire sur le mont Tessala. Le 14 décembre 1957 au matin, c'est en service commandé, avec un camarade, l'aspirant Petit, commandant le détachement des transmissions, sur le trajet menant à Sidi-Bel-Abes, que vous êtes victimes d'un terrible accident en conduisant une Jeep. Transporté d'urgence à l'hôpital d'Oran puis à celui d'Alger, tu décéderas des suites de tes blessures, le lendemain 15 décembre. Tes obsèques auront lieu le 17 décembre, à Alger, puis ton cercueil sera déposé provisoirement à Maison-Carrée avant que ton corps soit rapatrié à Saint-Côme où tu reposes désormais auprès des tiens.»

La Dépêche du Midi

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La Légion étrangère débarque en ville

03/04/2013

Le premier article du code du légionnaire : "Légionnaire, tu es un volontaire, servant la France avec honneur et fidélité." (© D.R)

L'exercice est plus coutumier dans le Lauragais, ce qui explique sans doute la foule importante de curieux venus assister à la remise des képis blancs à 58 engagés volontaires, sacrés légionnaires sur la Place de la République. "C'est un moment que vous n'oublierez jamais", a dit leur chef de compagnie aux nouveaux Légionnaires. Pour la plupart d'entre eux, c'est l'aboutissement d'un long cheminement, celui entamé de leur pays d'origine jusqu'en France jusqu'aux trois semaines de formation intensive dans l'Aude. Régulièrement, le 4e Régiment étranger de Castelnaudary, régiment de formation, intègre de jeunes engagés volontaires au terme de trois semaines de service incluant un séjour en "ferme" (le groupe d'hier a séjourné à la ferme du Cuin entre Fanjeaux et Mirepoix) et une marche de 50 km, la veille de la cérémonie. Le képi blanc coiffé lors de cette cérémonie signifie l'entrée dans la "famille de la Légion" de ces jeunes personnes, auxquelles la Légion offre une seconde chance. Parmi les 58 engagés volontaires figuraient ainsi 27 nationalités différentes, des pays de l'Est essentiellement, mais aussi d'Afrique du Sud, d'Asie, d'Afrique. Confidence d'un officier : dans ce groupe il y avait même un ancien SDF américain, venus de ses propres moyens jusqu'au centre de recrutement, "et personne ne sait comment il a pu traverser l'Atlantique...». Ces parcours difficiles expliquent la joie exprimée hier sur la place de la République, sous les yeux du chef de corps, le colonel Talbourdel, du préfet de l'Aude Eric Freysselinard, du sous-préfet de Limoux Sébastien Lanoye et du député-maire Jean-Paul Dupré. Il n'était pas encore là pour l'entendre hier matin, mais le capitaine mettant en place ses hommes en amont de la cérémonie lui a rendu un bel hommage. On sait moins que Jean-Paul Dupré est à l'origine, avec d'autres députés, du décret de loi de 1999 instituant la naturalisation française "par le sang versé". Ce qui justifiait le choix de Limoux pour cette cérémonie. Plusieurs écoles de la ville ont assisté à la remise des képis blancs. Une équipe de TF1 a filmé la cérémonie, dont on retrouvera les images dans un "20 h" de la chaîne, le 29 ou le 30 avril.

Le 4e R.E "au contact" à Revel

Le 03 avril




La ville de Revel a connu ce matin un réveil en sursaut. Le 4e Régiment Etranger de Castelnaudary a pris possession d'un quartier entier, pour y déloger des insurgés, cachés. Des hommes grimés, en tenues de camouflage, des véhicules légers blindés, croisaient ensuite les habitants qui se rendaient au travail. Au 4e R.E on appelle ça un «raid de synthèse». Dans les rues de Revel hier matin, deux sections en formation au régiment, soit 80 hommes ont investi la ville pour restituer ce qu’ils ont appris en matière de combat durant leur formations de 2 et 4 mois.

Cette manœuvre était également filmée par une équipe de TF1, qui diffusera un reportage le 29 ou 30 avril, au 13 h et au 20 h, pour marquer le 150e anniversaire de "Camerone", la fête emblématique de la Légion étrangère.

MatWatches : série spéciale Légion Etrangère

Mercredi 3 Avril 2013

MatWatches, la marque horlogère française spécialisée dans les montres pour l’armée vient de dévoiler une nouvelle pièce qui a été imaginée en hommage à la Légion Etrangère. Un garde-temps en acier, puissant, imposant et massif, étanche à 300 mètres, doté d’un calibre mécanique automatique et d’un bracelet réalisé dans le cuir du « tablier du pionnier » par ABP. Une montre rare, aux finitions impeccables, qui ne sera produite qu’à 150 exemplaires.

MatWateches Légion Etrangère
MatWateches Légion Etrangère
La Légion étrangère est sans doute le corps d'armée le plus prestigieux de l'Armée française. Ou en tout cas, celui qui véhicule le plus d’histoires et de traditions.

Le code d'honneur du légionnaire, dont la devise est « Honneur et Fidélité », dicte à lui seul la conduite de ces hommes au quotidien ; en temps de guerre comme en temps de paix...

Les valeurs qu'incarne ce corps d’armée d’exception se traduisent notamment à travers certains détails vestimentaires comme les emblèmes, les symboles spécifiques, les chants et les musiques.

A l'occasion du 150e anniversaire du fameux combat de Camerone en 1863 (voir encadré ci-dessous), la marque horlogère française MatWatches, spécialisée dans les montres pour l’armée, vient de créer deux montres originales : une automatique éditée en série limitée de 150 exemplaires et un chronographe quartz précis au 1/20e de seconde.

Rappelons que les pionniers de la Légion étrangère forment une unité de traditions. Ils défilent en tête des troupes lors des prises d'armes et portent barbe, tablier de buffle et hache à l'épaule. C'est d’ailleurs la seule unité de ce type en service au sein de l'armée française.

Certains régiments de la Légion étrangère disposent encore, ponctuellement ou en permanence, de groupes de pionniers. La section de tradition se trouve au 1er régiment étranger d'Aubagne. C'est elle qui ouvre le défilé des troupes de la Légion lors du défilé militaire du 14 juillet sur les Champs-Élysées, à Paris. C'est aussi elle qui est employée, lors des cérémonies de commémoration de la bataille de Camerone, le 30 avril, pour encadrer le porteur de la main de bois du capitaine Danjou.

Si les défilés de la Légion sont ouverts par cette unité, c'est pour maintenir cette tradition des sapeurs « ouvrant la route », toujours devant, à la peine, comme à l'honneur. Par ailleurs, c'est aussi une manière d'honorer les sous-officiers, puisque c'est l'un d'eux qui défile en tête de tous les éléments de la Légion étrangère.
MatWatches : série spéciale Légion Etrangère
La tenue spécifique des Pionniers :
La hache : elle servait autrefois à briser les obstacles de bois dressés par l'ennemi. À l'origine, il en existait six à pics et sept à marteaux.
Le tablier de cuir : le tablier avait initialement pour fonction de protéger les sapeurs des éclats de bois et de limiter les risques d'éventration sur les obstacles en cas de chute. Il est de couleur fauve (naturel).
Les gants à crispin : ces gants blancs à manchons de protection (les crispins) servaient à protéger les mains et poignets lors des travaux d'abatage.
La barbe : comme les pionniers montaient à l'assaut en premier, leur espérance de vie était très faible. De ce fait, ils avaient le droit, lorsqu'ils partaient au combat, de ne pas se raser et revenaient barbus lorsqu'ils survivaient. Le port de la barbe est devenu obligatoire, à la Légion étrangère, en 1844.

Rappelons que MatWatches est une entreprise horlogère artisanale basée à Paris particulièrement pointilleuse sur les finitions, les composants et les matériaux employés. Rien n’est laissé au hasard. L'idée de créer une montre reprenant les codes de la Légion étrangère est le fruit d'une réflexion sur le rapport au temps. La tradition de la commémoration qui perdure depuis 150 ans est donc l'occasion de souligner que la Légion Etrangère est et reste solidaire de ses hommes dans le temps.

Deux modèles ont été créés :
Tout d’abord, une montre « prestige » automatique en édition limitée et officielle « Légion étrangère » qui s'inscrit dans les codes intemporels de la montre militaire : bracelet cuir, boîtier acier massif, lisibilité et simplicité du cadran et détails évoquant les codes de cette institution d'élite. D’autre part, une montre chronographe à quartz pouvant satisfaire le plus grand nombre tant par ses fonctionnalités que par sa robustesse, son design très militaire (et son prix attractif).

Le modèle mécanique « série officielle » sera réalisé en édition limitée à 150 exemplaires. Le design est épuré et la robustesse de son boîtier en acier brossé (316L) est éprouvée. Son verre saphir inrayable et son mécanisme automatique garantissent la longévité de ses fonctionnalités. Les aiguilles et les chiffres sont traités au Superluminova. A noter la flamme de la Légion Etrangère qui apparait à 6 heures et les détails spécifiques aux couleurs officielles vert (trotteuse) et rouge (mention « série officielle ») de ce corps d’élite.

A noter également son bracelet en cuir taillé dans un véritable tablier de Pionniers de la Légion Etrangère ! Une excellente idée qui permet d’intégrer à ce modèle une dose d’authenticité incomparable. De plus, ce bracelet-montre est produit (cousu main) par l’un des meilleurs spécialistes ! En effet, MatWatches a confié cette mission à ABP (Atelier du Bracelet Parisien). Enfin, un message signé du Général commandant la Légion étrangère témoigne de ce partenariat. Il accompagne chaque montre numérotée et gravée, renforçant ainsi le caractère unique de cette série (disponible autant pour le grand public que pour les militaires).

En savoir plus sur la Légion Etrangère

MatWatches : série spéciale Légion Etrangère
La Légion étrangère est un corps de l'armée de terre française. Formée en 1831 pour permettre l'incorporation de soldats étrangers dans l'armée française, une partie de ses unités a fait partie, jusqu'en 1962, fin de la période coloniale, du 19e corps d'armée, noyau de l'Armée d'Afrique.

Les légionnaires, aussi appelés les Képis blancs, ont acquis leur prestige lors des combats menés sur les champs de bataille du monde entier, notamment dans le cadre des conquêtes coloniales, des deux guerres mondiales, et les guerres d'Indochine et d'Algérie.

La Légion étrangère est maintenant composée de 11 formations composées comme suit : trois régiments d'infanterie dont : 1 régiment d'infanterie parachutiste : le 2e REP, deux régiments d'infanterie : le 2e REI et le 3e REI (Guyane) ainsi que d’un régiment de blindés légers : le 1er REC, deux régiments de génie le 1er et 2e REG, 13e DBLE (Abu Dhabi), le 1er RE situé à Aubagne, la formation au 4e RE à Castelnaudary, Le GRLE pour le recrutement et la formation à Nogent sur Marne et le DLME (Mayotte).

L’armée française assiégeait Puebla. La Légion avait pour mission d’assurer, sur cent vingt kilomètres, la circulation et la sécurité des convois. La 3e compagnie du Régiment étranger fut désignée mais elle n’avait pas d’officier disponible. Le capitaine Danjou en prend lui-même le commandement et les sous-lieutenants Maudet, porte-drapeau, et Vilain, payeur, sec joignent à lui volontairement.

Le 30 avril, à 1 heure du matin, la 3e compagnie, forte de trois officiers et soixante deux hommes, se met en route. Elle avait parcouru environ vingt kilomètres, quand, à 7 heures du matin, elle s’arrête à Palo Verde pour faire le café. À ce moment, l’ennemi se dévoile et le combat s’engage aussitôt. Le capitaine Danjou fait former le carré et, tout en battant en retraite, repousse victorieusement plusieurs charges de cavalerie, en infligeant à l’ennemi des premières pertes sévères. Pendant que les hommes organisent à la hâte la défense de l’auberge de Camerone, un officier mexicain, faisant valoir la grosse supériorité du nombre, somme le capitaine Danjou de se rendre. Celui-ci fait répondre : « Nous avons des cartouches et ne nous rendrons pas ».

Puis, levant la main, il jura de se défendre jusqu’à la mort et fit prêter à ses hommes le même serment. Il était 10 heures. Jusqu’à 6 heures du soir, ces soixante hommes, qui n’avaient pas mangé ni bu depuis la veille, malgré l’extrême chaleur, la faim, la soif, résistent à 2.000 Mexicains : huit cents cavaliers, mille deux cents fantassins.
À midi, le capitaine Danjou est tué d’une balle en pleine poitrine. À 2 heures, le sous-lieutenant Vilain tombe, frappé d’une balle au front. À ce moment, le colonel mexicain réussit à mettre le feu à l’auberge. Les Mexicains vont donner l’assaut général par les brèches qu’ils ont réussi a ouvrir, mais auparavant, le colonel Milan
adresse encore une sommation au sous-lieutenant Maudet ; celui-ci la repousse avec mépris.

L’assaut final est donné. Bientôt il ne reste autour de Maudet que cinq hommes : le caporal Maine, les légionnaires Catteau, Wensel, Constantin, Leonhard. Chacun garde encore une cartouche ; ils ont la baïonnette au canon et, réfugiés dans un coin de la cour, le dos au mur, ils font face. À un signal, ils déchargent leurs fusils à bout portant sur l’ennemi et se précipitent sur lui à la baïonnette. Le sous-lieutenant Maudet et deux légionnaires tombent, frappés à mort. Maine et ses deux camarades vont être massacrés quand un officier mexicain se précipite sur eux et les sauve. Il leur crie : « Rendez-vous ! »

« Nous nous rendrons si vous nous promettez de relever et de soigner nos blessés et si vous nous laissez nos armes ». Leurs baïonnettes restent menaçantes. « On ne refuse rien à des hommes comme vous ! », répond l’officier. Les soixante hommes du capitaine Danjou ont tenu jusqu’au bout leur serment. Pendant 11 heures, ils ont résisté à deux mille ennemis, en ont tué trois cents et blessé autant. Ils ont par leur sacrifice, en sauvant le convoi, rempli la mission qui leur avait été confiée.

L’empereur Napoléon III décida que le nom de Camerone serait inscrit sur le drapeau du Régiment étranger et que, de plus, les noms de Danjou, Vilain et Maudet seraient gravés en lettres d’or sur les murs des Invalides à Paris. En outre, un monument fut élevé en 1892 sur l’emplacement du combat. Il porte l’inscription : « Ils furent ici moins de soixante opposés à toute une armée, sa masse les écrasa. La vie plutôt que le courage abandonna ces soldats Français le 30 avril 1863. à leur mémoire, la patrie éleva ce monument »

Depuis, lorsque les troupes mexicaines passent devant le monument, elles présentent les armes. »

Spécificités techniques des deux modèles MatWatches Légion Etrangère

MatWatches : série spéciale Légion Etrangère
MATWATCHES AG6 LEGION ETRANGERE
Mouvement automatique ETA 2824
Verre saphir de 4 mm
Boîte acier 316L
Etanchéité 300m
Cadran et aiguilles exclusifs
Couronne et fond vissés
Bracelet exclusif taillé du même cuir que le tablier de Pionnier
Livré dans son écrin avec bracelet supplémentaire en toile
Edition limitée 150 pièces

MATWATCHES TIMER OPS LEGION ETRANGERE
Mouvement chronographe quartz
Verre minéral renforcé
Boite acier 316L traité PVD
Etanchéité 200m
Cadran et aiguilles exclusifs
Bracelet tactique en toile
Livré dans son écrin avec bracelet supplémentaire en cuir
MatWatches : série spéciale Légion Etrangère

Historique des unités de la légion étrangère pendant la guerre de 1914 - 1918 (1922)

AG de la SAMLE le 23 mars 2013.

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