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Les mille métiers de Fernand Martin

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La Nouvelle République

22/01/2017

Fernand Martin a même agrémenté de paysages les portes de sa maison. - Fernand Martin a même agrémenté de paysages les portes de sa maison.

Fernand Martin a même agrémenté de paysages les portes de sa maison.

Le retraité de Saint-Aigny, âgé de 82 ans, a exercé de nombreuses professions avant de donner libre cours à ses talents de peintre et d’écrivain.

Fernand Martin vit discrètement dans sa petite maison de Saint-Aigny. Si son appartenance au Club de tir du Blanc, qu'il fréquente depuis 1988, a révélé sa fibre sportive, peu de gens soupçonnent ses talents de peintre.

Les superbes paysages accrochés dans son salon portent cependant sa signature. A 82 ans, il continue à étoffer une vie bien remplie, et la publication récente d'un polar montre la diversité de son savoir-faire.

Il vient de publier un polar

Le parcours du retraité brennou vaut à lui seul un roman. Originaire de Prissac, il suivait très tôt ses parents à Paris, pour entrer à l'âge de 14 ans dans la métallurgie, comme chauffeur de rivets dans une entreprise d'Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne). Puis, il devenait coursier à la mairie de Charenton, puis intégrait une fabrique de meubles. En 1956, il se mettait à son compte comme menuisier à Joinville-le-Pont avant de rejoindre la Normandie, en tant qu'ingénieur assimilé d'une entreprise de bâtiment.
De retour dans l'Indre en 1975, il terminait sa carrière dans la restauration de meubles anciens. Après être passé par Sacierges-Saint-Martin, Chéniers (Creuse), Lencloître (Vienne) et Argenton-sur-Creuse, ce voyageur posait enfin ses valises à Saint-Aigny en 1993. C'est là qu'il s'est trouvé une inclination pour la peinture, et qu'il s'est mis à écrire, voici quelques années.
« J'ai déjà écrit une dizaine de livres », avoue Fernand Martin qui vient donc de faire paraître son premier roman policier, Vitos. Une fiction aux accents comiques, campée dans des lieux de la région parisienne qu'il connaît bien, sur fond d'enquête après le casse d'une bijouterie.
Dans son bureau, d'autres polars attendent leur publication. Leurs titres – Le Croque-Monsieur de Madame la Baronne ou Le Macchabée du Pont-Neuf – sont issus d'une vie errante et extrêmement riche, marquée également, après-guerre, par un engagement d'un an dans la Légion étrangère.

« Vitos », Librairie Édilibre. Édition papier, 34,50 € ; numérique, 1,99 €

Jean-Michel Bonnin

Traduction

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