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2015


Lucien Morin chargé de la jeunesse

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15 février 2015

Lucien Morin (ci-contre, à droite) a été nommé réserviste local à la jeunesse et à la citoyenneté par le lieutenant-colonel Perret, délégué militaire des Côtes-d'Armor. Il aura pour mission d'accompagner les jeunes des quartiers sensibles et de leur présenter toutes les opportunités que peut leur offrir le monde de la Défense. Après une carrière dans la Légion étrangère, Lucien Morin est aujourd'hui chef d'entreprise dans le monde du cinéma et porte-drapeau de l'Union nationale des combattants (UNC). Avec des élèves du collège de la Grande Métairie de Ploufragan, il souhaite réaliser un film sur l'impact de la Première Guerre mondiale à Ploufragan, dans le cadre du centenaire de la Grande Guerre.


The 3 Most Heroic Battles of the French Foreign Legion

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Réserve parlementaire: Les subventions les plus insolites des députés

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Créé le 12.02.2015

Assemblée nationale. (Illustration) - LCHAM/SIPA

L'utilisation dans le détail de la «réserve» des députés pour 2014 a été rendue publique ce jeudi sur le site de l'Assemblée. De manière générale, ces 80 millions d'euros servent à part à peu près égale collectivités et associations. 20 Minutes a cherché les subventions les plus insolites.

Répartition de la réserve parlementaire 2014

La bien-nommée

La députée écologiste Laurence Abeille accorde 3.000 euros à... Abeille Machine, une association «d'apiculture périurbaine» dans la commune de Bagnolet (Seine-Saint-Denis).

La plus musicale

De quoi égayer le dimanche matin des Artenaysiens. Serge Grouard (UMP) a donné 25.000 euros pour la construction d’un orgue à l’église Saint-Victor dans la commune d’Artenay (Loiret).

3.000 euros pour un record du monde

Laurent Kalinowski (PS) a offert 3.000 euros pour le record du monde du match de football le plus long (73 heures d'affilée au profit de Friends Association), battu en Moselle (Score final: 475 buts à 473).

Le parc d'attractions Napoleonland

Yves Jégo, le député UMP de Seine-et-Marne, semble vouloir privilégier les activités ludiques. Il a par exemple accordé 19.300 euros à l’association Abeille, qui souhaite bâtir Napoleonland, un parc d’attractions consacré à l’Empereur dans le département, mais aussi 2.000 euros pour financer la fête du Cheval à Misy-sur-Yonne. Le député donne aussi 2.000 euros à la Confédération du Brie de Montereau, une association locale qui défend le fameux fromage…

C'est la fête!

Dans le cochon tout est bon. Surtout les subventions. La députée PS Sophie Dessus a offert 500 euros pour la Fête du Cochon de Neuville (Corrèze). Une cérémonie bien moins dispendieuse que la Fête des cucurbitacées d'Angers (Maine-et-Loire). Le député (UMP) Gilles Bourdouleix a donné 7.000 euros.

Les plus «animales»

Outre l’association des chasseurs de Saint-Gilles (Gard) (800 euros), celle des Harkis du Gard (2.000 euros) et celle de la Légion étrangère de Nîmes (2.500 euros), Gilbert Collard a distribué une partie de sa cagnotte à des associations ayant trait à des animaux. Quelque 1.500 euros ont été accordés à l’Association des chats libres de Saint-Gilles, qui s’occupe de la stérilisation des chats mais aussi 3.000 euros pour l’association de maintenance la vache cocardière, animal utilisé dans les manades en Camargue, ou encore 3.000 euros pour l’association du «Club Taurin Paul Ricard l'Aficion Aigues Vivoise».

Passion chasse

Alain Marleix, député UMP du Cantal, n’a pas voulu faire de jaloux. Il a subventionné toutes, ou presque, les associations communales des chasses (A.C.C.A) de son département. Onze associations de chasses ont reçu son écot pour un montant total de près de 27.000 euros.

La plus généreuse

Quand on aime, on ne compte pas. Gilles Carez a fait une subvention de 200.000 euros à sa commune du Perreux-sur-Marne (Val de Marne) pour «des travaux de voirie avenue du Maréchal Joffre». Au total, le maire UMP aura donné 350.000 euros à sa ville, sans compter l'argent offert aux associations. Pas très loin derrière, le président de l’Assemblée Nationale Claude Bartolone, et ses 190.000 euros pour une école maternelle à Romainville (Seine-Saint-Denis)

La moins généreuse

C'est une petite somme mais le geste est louable. Philippe Gosselin (UMP), député de la Manche, a donné 240 euros à la commune du Mesnil-Amey pour rénover le monument aux morts.


Trail : le récit d'une aventure insolite en Thaïlande

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Publié le 11/02/2015

Gérard Bavato a passé l'épreuve d'équilibre sur la tête de l'éléphant avec succès/Photo DR

Trois ans que l'ultra-fondeur Gérard Bavato (57 ans) habitué aux courses de l'extrême et autres défi trails à travers les États-Unis, le désert Ténéré ou encore en Tanzanie au sommet du Kilimandjaro (record du monde d'ascension – 5 895 m) avait mis baskets et short au clou.

Pour lui redonner le goût de l'effort et la juste dose d'adrénaline qui l'accompagne, le coureur villefranchois s'est laissé entraîner avec neuf autres athlètes par deux coaches sportifs du Lauragais et anciens militaires Fabrice (légion étrangère) et Alain (commando marine) dans une aventure sportive insolite. Cette épreuve nécessite le sens du collectif.

Sur le sentier non pas de la guerre mais bel et bien de la découverte au beau milieu de la Thaïlande sauvage ce séjour d'une semaine était un savant et intense mélange des émissions Koh Lanta, Pékin Express et Top chef réunies.

Radeau en bambou

Le baroudeur Gérard raconte cette épopée thaïe : «Le rendez-vous était donné cette fin janvier à l'aéroport de Bangkok à une heure précise sans aucune autre précision. Une fois le groupe rassemblé nous avons pris la direction de notre camp vers la rivière Kwaï à l'ouest du pays.

Sur place nous étions en immersion totale avec la nature et au contact avec la population thaïe pour un séjour où des épreuves quasi-commando nous attendaient».

Construction de radeau en bambou, course d'orientation nocturne, repas avec des moines, séances de musculation et gainage insolites avec des noix de coco, sur des rails de chemin de fer, exercice d'équilibre avec des éléphants, pompes, tractions, escalades, courses tous terrains au beau milieu la végétation luxuriante locale… le programme était riche et la liste des épreuves non exhaustive. Gérard aidé de ses sponsors JL Optic et Super U est revenu enchanté de ce périple au Royaume de Siam.

Il conseille avec ferveur ce stage à tous les sportifs qui aiment l'effort et l'aventure avec une bonne dose de remise en forme.

Si vous souhaitez vous surpasser et vous dépayser contactez le coach lauragais Fabrice (06 62 54 37 34) et sa structure Zone Évasion (www.zone-evasion.fr). Elle tracera avec vous «le parcours de vos défis».

L. G

La renaissance de l'hôtel de Bausset espérée pour la rentrée

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Mardi 10/02/2015

L'hôtel de Bausset est situé dans une des rues principalesde la cité médiévale. Photo N.C.

L'hôtel de Bausset, bâti entre 1515 et 1525, est un édifice important qui témoigne de l'architecture Renaissance provençale. Il est particulièrement remarquable par le décor des fenêtres en gypseries dont il est encore orné aujourd'hui après un demi-millénaire.

Cependant, le temps a fait son ouvrage et une réhabilitation de cette façade patrimoniale devient impérative. C'est pourquoi, dès 2011, l'association des Amis du vieil Aubagne avait fait une première démarche auprès du député de la 9e circonscription, Bernard Deflesselles, afin qu'il puise dans sa réserve parlementaire pour faire réaliser une étude préalable par l'architecte du patrimoine Mathieu Perrin. En 2012, le maire Daniel Fontaine, membre du conseil d'administration du propriétaire, 13 Habitat, avait informé les AVA qu'ils étaient désignés comme maîtres d'ouvrage. Le bailleur social participant aux travaux à hauteur de 40 % du coût.

Dès 2013, les démarches auprès des institutions et des mécènes s'intensifiaient. Le Conseil général accordait une subvention de 7 800 €, le Lions club et le Crédit mutuel participaient à raison de 1 500 €, et les actions des AVA (vente du timbre, du tee-shirt, des affiches et des brochures) rapportaient 1 500 €. Enfin, en 2014, le spectacle "Les deux Bausset", présenté au Comoedia par la Compagnie des Amis des Arts, permettait d'engranger 2 000 €. Sans oublier l'investissement des Amis de 8 000 €. "Considérable pour une association loi 1901 !", souligne Claude Valentin, le président des AVA. Et surtout les 15 000 € octroyés par la communauté d'agglomération du Pays d'Aubagne et de l'Étoile. Reste maintenant à la municipalité d'apporter le complément pour boucler le budget de 80 000 €.

Si pour la partie financière le parcours du combattant touche à sa fin, c'est l'aspect administratif qui coince un peu. "Aujourd'hui, les freins à l'avancée du projet sont les démarches lourdes inhérentes aux marchés publics. Le cadre administratif nécessaire à la signature d'une convention entre 13 Habitat et l'association pour les travaux est complexe, insiste Claude Valentin. Mais nous travaillons dans le sens de la résolution de ces problèmes".

L'énergie déployée par les Amis du vieil Aubagne a pour principal moteur l'intérêt patrimonial et touristique de la réhabilitation de la Maison du complot. L'hôtel de Bausset est en effet un témoin de l'histoire et de l'architecture du XVIe siècle. "La situation de l'immeuble du 3 rue Laget, en coeur de ville, doit constituer un pôle d'intérêt fort pour les visiteurs et pourrait devenir le relais de l'Office intercommunal de tourisme en matière de mise en valeur du riche patrimoine historique de la ville d'Aubagne. Le rez-de-chaussée de l'immeuble, actuellement vacant, ne pourrait-il pas devenir le lieu privilégié de la présentation de ces richesses ?", argumente le président des AVA.

Pour l'heure, le projet est donc en bonne voie et les travaux, d'une durée estimée à deux mois, pourraient débuter au printemps. Car l'objectif avoué des Amis du vieil Aubagne est d'inscrire l'hôtel de Bausset au programme des Journées européennes du patrimoine qui ont lieu au mois de septembre. Après presque quatre années d'investissement, ce rendez-vous pourrait être le couronnement de tous les efforts consentis par chacun.

Rendez-vous dans quelques mois pour faire le point sur l'avancée du dossier.


La tradition situa à Aubagne l'organisation du complot qui ouvrit les portes de la ville "rebelle" de Marseille à Henri IV. Il fut fomenté par Geoffroy Dupré, Pierre Libertat, capitaine de la Porte Réale, et Nicolas de Bausset, propriétaire d'un domaine nouvellement constitué à Camp Major qui porta, à partir du XIXe siècle, le nom de La Demande (La Légion étrangère aujourd'hui). Mais ce fut dans une autre propriété appartenant à Nicolas de Bausset, une maison bourgeoise de la ville basse, l'hôtel de Bausset, que la légende situa la conspiration. On remarque encore les lieux dans la rue Laget, par la présence de deux fenêtres superposées, représentatives des décors de la première Renaissance provençale. Le 17 février 1596, les conjurés mirent leur plan en action et assassinèrent Charles de Cazaulx. Le Roi Henri IV récompensa la loyauté de la ville d'Aubagne à la couronne de France en offrant deux fleurs de lys à son blason. Celui-ci fut ainsi définitivement constitué au XVIe siècle : D'azur aux lettres A et V surmontées de deux fleurs de lys de même posées sur une mer d'argent en pointe. Le A signifie Aubagne (Albanea) et le V : Huveaune (Vvelna).

Sources : archives municipales.

Nathalie Cornand

Tour de France dans l’Arrageois : les communes traversées lors de l’étape de la mémoire

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Publié le 07/02/2015 PAR BENJAMIN DUBRULLE

Le mercredi 8 juillet, Arras sera ville départ de la 5e étape du Tour de France 2015 qui reliera la cité atrébate à Amiens (189 km). Le tracé des premiers kilomètres passera par les deux places, Mont-Saint-Éloi, Notre-Dame-de-Lorette, le mémorial canadien de Vimy. Un tracé de la mémoire.

Le départ de cette 5 e  étape sera donné du mémorial du Faubourg d’Amiens.

Le départ. C’est devant le mémorial du Faubourg d’Amiens Cemetery que sera donné le départ (fictif) de cette 5e étape. Dans ce cimetière reposent 2 650 soldats, certains ayant appartenu à des régiments de cyclistes. Un lieu symbolique donc pour cette étape de la mémoire qui traversera de nombreux sites de la Première Guerre mondiale entre Pas-de-Calais et Somme. Le barnum du Tour de France sera lui installé en face, sur le parking de la citadelle. On y retrouvera le parking des bus des équipes, le village du Tour de France, le podium des signatures. Le public sera moins à l’étroit que l’an passé, à la citadelle.

Le tour dans Arras. Le départ sera donné sur le boulevard du Général-de-Gaulle, entre le mémorial et la citadelle. Les cyclistes emprunteront le boulevard Carnot, la rue Sainte-Marguerite, la rue Gambetta, la rue Delansorne. Ils entreront sur la place des Héros pour rejoindre la Grand-Place, par la rue de la Taillerie. Puis passage devant la mairie d’Arras, rue du Marché-au-Filé, rue Méaulens, rond-point de Tchécoslovaquie et direction la chaussée Brunehaut. Le passage du Tour de France aillant lieu un mercredi, une réflexion est en cours pour décaler le marché de la place des Héros. Les commerçants arrageois devraient être ravis du passage des coureurs en cœur de ville, eux qui avaient été quelque peu frustrés l’an passé. Espérons qu’ils joueront le jeu et décoreront leur vitrine à la gloire de la Grande Boucle.

Le Tour dans la communauté urbaine. Seize communes de la CUA seront traversées par les coureurs soit un périple d’une cinquantaine de kilomètres. Après Arras, le Tour filera vers Sainte-Catherine, Anzin-Saint-Aubin, Marœuil, Mont-Saint-Éloi, Acq. Puis passage dans la communauté d’agglomération Lens-Liévin avec Villers-au-Bois, Carency, Ablain-Saint-Nazaire, Souchez, Angres et Givenchy-en-Gohelle. Retour ensuite sur le territoire de la CUA avec Neuville-Saint-Vaast, Thélus, Bailleul-Sir-Berthoult, Gavrelle, Wancourt, Monchy-le-Preux, Guémappe, Héninel, Saint-Martin-sur-Cojeul et Hénin-sur-Cojeul.

Les coureurs fileront enfin vers Croisilles, Écoust-Saint-Mein, Noreuil. Il avait été évoqué un petit crochet par Bullecourt pour rendre hommage aux soldats australiens tombés durant la Grande Guerre, mais cela n’a pas été possible.

Des cyclistes morts au front

On ne le sait pas, mais de nombreux cyclistes sont morts au front durant la Grande Guerre. Nombre d’entre eux sont enterrés dans les cimetières notamment celui du Faubourg-d’Amiens d’où partiront les coureurs du Tour de France ce mercredi 8 juillet. Tout un symbole.

Les coureurs passeront également par Mont-Saint-Éloi. L’occasion pour le peloton de rendre hommage à François Faber. Ce cycliste de nationalité luxembourgeoise a gagné le Tour de France en 1909. Il compte à son actif vingt étapes de la Grande Boucle. Il a également remporté Paris-Roubaix, Bordeaux-Paris, le Tour de Lombardie. Lorsque la guerre éclate en France, il décide de s’engager. dans la Légion étrangère. « La France a fait ma fortune, il est normal que je la défende », explique-t-il. Il sera tué à Mont-Saint-Éloi, le 9 mai 1915. Son corps n’a jamais été retrouvé, une plaque en sa mémoire a été apposée au mémorial de Lorette. Trois jours avant son décès, il avait appris que sa femme était enceinte d’une petite fille.

Run Away With The Foreign Legion

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By on February 5, 2015 in

Source: Gallery Hip

No matter how carefully you plan out your life, sooner or later it’s all going to fall apart on you. When that happens, and the divorce papers show up or the parking fines get to be too much to bear, you might find yourself tempted to throw it all away and run off to join the Foreign Legion or something. Thanks to Beau Geste and that one Laurel and Hardy movie, Americans all have the idea that the Légion étrangère is the kind of organization that will let you sign up and get a new start on life by traveling all over the world and doing a romantic, dangerous job that really impresses women in sleazy North African bars.

 

Of course, like every other cool thing in the world, it can’t really be like that. Despite its reputation as a life preserver for the cast-away men of the world’s societies, where you can enlist to escape your horrible life and rise through the ranks in a new community, there’s got to be some kind of horrible catch. These days, they probably require a master’s degree or something, right? No way are they going to let a high school dropout who doesn’t even speak French just sign up and start firing a machine gun, right?

At first, this man was single-bugle proud of joining the Legion. But that somehow didn’t seem like enough, so he got a second one. After five more years, he’ll be given a third. Source: Wikipedia

Actually, that’s about the shape of it. Pretty much any failure under age 40 can get in, and they’re really forgiving about most of the awful things you’ve done to wreck the life you’re living now.

The Beginning

 

The French Foreign Legion was conceived specifically as a dumping ground for every worthless dog who made a mess on Europe’s carpet during the wave of (mostly failed) revolutions of 1830. By 1831, most of the monarchs in Europe, having figured out that it’s dangerous to have huge masses of unemployed twenty-something men roaming around in their capital cities, were cleaning house and shoveling worn-out revolutionaries into the colonies, dungeons, and conveniently located gallows from Portugal to Russia.

At the same time, the general collapse of the Bourbon family outside of France had, ahem, liberated tens of thousands of professional mercenaries whose only skill was killing people for money. If you were the king of France just then, you’d be sitting on top of some scary people and eager for a pressure valve. Coincidentally, this was about the time Africa was being pried open by European imperialists.

For France, the conquest of Africa was largely a game of grabbing every inch the British hadn’t already claimed, which called for huge armies of men whose inevitable deaths from malaria wouldn’t be too big a deal for the (still pissed off) folks back home. The Foreign Legion used one problem to solve another, buying the French monarchy a solid 18 years of peace before being overthrown again.

“Alors! ‘ow can you revolt against zees pantalons? Zey are red, like ze blood of the patriots!” Source: Wikipedia

King Louis Philippe put the Legion together and started recruiting from among all the overcrowded slums in Europe. The deal for new recruits was simple: join up and fight. You’ll probably die, but assuming you don’t, you can petition for French citizenship after five years or after being wounded badly enough that even a 19th-century army can’t use you. The Foreign Legion was not to be used on French soil, knowing French was not required for recruits, and members could even sign up under a pseudonym if they felt like it. Except for the bit about the false name, that’s pretty much how the Legion still operates.

History

Source: Wikipedia

The Foreign Legion got to work right away in Algeria. The French expeditionary force of 1830 had been slaughtered by native Algerians who—sacre bleu!—didn’t see the French civilizing mission in quite the rosy terms it was being sold under.

Using a great deal of slaughter, and occasionally a few tactics, the Foreign Legion plugged the manpower gap and forced the French zone of control south into the Sahara. During the very few breaks in fighting, the Legion proved to be a nice, reliable slave labor force for imperial administrators who used legionnaires to drain the marshes around Algiers, which must have been a fun project to work on in the heat of the African sun.

By 1835, France was finding all sorts of fun new wars to get involved in. Right next door in Spain, for example, a struggle broke out over succession to the throne. Louis Philippe, having learned nothing from France’s last war of Spanish succession, threw in the Legion with both fists flying. They actually won this time and were probably surprised when the Legion was dissolved in 1838. The problem seems to have been casualties; by 1838, the Foreign Legion had only around 500 surviving members. Eventually, the Legion would be restored, ironically with a large contingent of former Carlist Spanish veterans who found themselves at loose ends when the war ended.

“Thees is not the mustache you are looking for, seńor.” Source: Mon Legionnaire

Throughout the 1840s, France found itself distressingly short on wars to fight, so it was a huge relief when war broke out in the Crimea in 1853. An entire brigade of the Legion was dispatched to fight Russia on its home turf, evidently not having read about how that turned out for the last French army to try that very thing, and—again surprisingly—did okay.

Between Russian bullets and a cholera epidemic, the Foreign Legion managed to keep its casualties down to a nice, round 10 percent and returned in fighting trim for the next huge war you’ve never heard of, the Second War of Italian Independence (the one where the fighting was so gory, it led to the founding of the Red Cross).

The history of the Legion’s deployments under Napoleon III and the subsequent Third Republic is worthy of a master’s thesis, which isn’t what you’re going to get here. To get a sense of what it was like to be a Foreign Legionnaire between 1853 and 1914, try climbing onto a roof somewhere. Get some multilingual friends to gather below and shout abuse at you in English, Arabic, Spanish, and German; then pitch yourself off the roof headfirst while your friends try to stab you with bayonets. For extra realism, let some yellow fever-infected mosquitoes bite you a few days before you jump.

As a Legionnaire, your life was considered totally expendable, even by the standards of European armies of the time, and French foreign policy ensured you’d get plenty of chances to expend it during your five-year hitch.

The Golden Age

Source: Watch Lords

Most of what you’re picturing for the Foreign Legion dates to the period between World War I and Dien Bien Phu. This was the period when the Legion was at its peak enlistment, various bits of the French Empire were falling apart or coming together, and floods of refugees went looking for a fresh start overseas.

Almost 43,000 men fought with the Foreign Legion during World War I, and around 70 percent of them were either killed or wounded. For comparison, convicts who’ve been sentenced to death in Texas have an annual mortality of around 10 percent. Service in the Legion was thus seven times more dangerous than the death row in Huntsville. After the war, Europe was left largely bankrupt and in turmoil, as revolutions again gripped the continent and economic dislocations sent whole nations into hyperinflationary spirals that wiped out their middle classes (a.k.a. the history majors who knew how to overthrow governments).

World War II landed on France like a sandbag to the head. With the collapse of the Third Republic, France was split between a government-in-exile in England and a collaborationist government in Vichy. The Legion was likewise split between loyal and “loyal” factions. Units of the Legion even fought against each other for a time in North Africa until the Vichy morons came to their senses and realized what they were doing (to be fair, the German defeat at Stalingrad probably helped clarify things a little bit).

“Hey, guys? This kind of sucks.” Source: Today

After the war, an unsurprisingly large number of Germans with military backgrounds (nothing to see there! Why not stop asking nosy questions?) found a fresh start in the Legion. Contrary to rumors that circulated at the time, the Legion wasn’t actively recruiting ex-SS men, and in fact it refused admittance to anyone with the customary Waffen-SS blood group tattoo. Despite the ban, plenty of Germans had seen their lives ruined by the war, or lost their homes to the Soviet occupation, and managed to get past the recruiting officers. By 1950, the Legion was nearly 60 percent German, which probably made things awkward for the Polish, Russian, and Jewish recruits who were also at loose ends.

“Seriously, ve shot zem all. Zey vere all running around and . . . hang on, I’ll tell you later ven Ivanov goes to ze bathroom.” Source: Blogspot

The Foreign Legion’s main job throughout the 1950s and ’60s was to lose wars. That wasn’t really the Legion’s fault, as it could only do what its leaders said to do and there wasn’t an infantry force on Earth that was a match for the Viet Minh. Whole units were slaughtered wholesale in Indochina, between 1945 and 1954, which segued really nicely into the mass slaughters in Algeria between 1954 and 1962.

After the fall of the empire the Legion was founded to protect, the force became a kind of international pest control agency. From time to time, as former French colonies found themselves with domestic insurrections from communists, Islamists, or—worst of all—Islamic communists, the Legion would be deployed to do a quick sweep through the disputed zones and kill off enough insurgents (and people who would totally have been insurgents if they’d lived to adulthood) to stabilize friendly governments across North Africa. It’s a job they’re still at, with the last major deployment being in Mali in 2013-14.

Service Guarantees Citizenship! Would You Like to Know More?

Okay, so you’re sold on the job, and you can’t wait to get started fighting your way across Africa in the summer. How does one go about joining up? According to ForeignLegion.info, first you have to travel (at your own expense) to France. The Legion has about half a dozen recruiting stations across the country, and it’s almost as simple as walking up and knocking on their door.

Recruits must be between the ages of 17 and 40, physically fit, and not currently wanted by Interpol (for anything serious, at least). The Legion has rules against facial tattoos, as is the case with all the best employers, and there’s no way you’re getting in with that swastika tattoo on your neck—so bring a scarf. Aside from that, the Legion is basically willing to scrape you off the streets of Paris, hand you a uniform, set you up with temporary housing until your training class starts, and then march you into the desert to die.

Your job is probably pretty cool, too, though.


Béziers tir sportif : le tribunal a tranché

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Publié le 05 /02/2015

Le stand de tir de Béziers était l’un des plus long pas de tirs de la Région. PIERRE SALIBA

Deux présidents revendiquaient la tête du club de tir sportif de Béziers. La justice a tranché en faveur de Frédéric Lizé.

Depuis des mois Martin Morente assure être le président du club de tir de Béziers BTS. Il avait assuré avoir été évincé de cette association par des “putschistes” et avait décidé de se battre contre eux avec l'appui du président de la Ligue régionale de tir sportif.

Face à lui un nouveau bureau élu ne pouvait rien faire face à la détermination du président auto-proclamé et l'appui de la Ligue régionale.

Ni matériel ni document remis malgré le jugement

Le 24 décembre dernier, la justice a tranché. Martin Morente n'est plus le président de BTS. Frédéric Lizé est élu par le bureau de l'association le 29 mars 2014. Martin Morente, qui se présente comme un ancien haut gradé de la Légion étrangère, (ce qui est démenti par le lieutenant-colonel Christophe Hérique, le chef de la division des ressources humaines de la Légion étrangère à Aubagne, NDLR) a été condamné. Il doit remettre à l'association BTS et à son président, les moyens de paiement, le livre de police, les armes du club ainsi que les munitions et l'ensemble du matériel appartenant au club. Pour l'heure selon Frédéric Lizé qui a saisi les instances de la ligue régionale "Aucun matériel ni document ne nous a été remis malgré le jugement."

Cette histoire aura fait couler beaucoup d'encre dans le monde des amateurs de tirs. Tant est si bien que même la municipalité biterroise s'en était mêlée. Le maire de Béziers, Robert Ménard, pour éviter tout incident dramatique avait pris la décision de fermer le stand de tir de l'association et de mettre le terrain en vente. "Ces gens manient des armes et je refuse qu'il y ait quoi que ce soit de dramatique dans un club de sport. Je résilie le bail qui lie la commune à cette association", avait-il déclaré quelques semaines après son élection. Avec cette fermeture, Béziers a perdu l'un des plus longs pas de tir de la région. Un drame pour les amateurs de tirs à longue distance qui se déplaçaient de très loin sur Béziers pour cette pratique. De son côté Martin Morente a continué à chercher un terrain pour son association et ses adhérents.

Le BTS devenu CTS (Cers tir sportif)

C'est Cers qui lui a offert l'opportunité de s'installer en périphérie de sa commune. Au mois d'août, le maire a décidé d'allouer une parcelle à BTS devenu CTS (Cers tir sportif). De nombreux documents et autres engagements ont été pris entre Gérard Gautier, le maire et Martin Morente. De son côté, Frédéric Lizé a prévenu les Cersois du conflit au sein du club et du jugement du tribunal de Béziers.

"L'ensemble des travaux pour construire le stand de tir continue. Des tonnes de terres sont déversées sans contrôle sur le terrain. La direction de l'aviation civile a émis un avis négatif pour la création de ces pas de tirs. La préfecture a demandé, comme le maire de Cers, l'arrêt immédiat des travaux. Rien n'y fait !", insiste Frédéric Lizé.

Une association de protection de l'environnement, a soulevé, au mois de décembre dernier, le problème de l'installation de ce club sur un terrain classé en zone naturelle sensible. Sans résultat. Reste désormais que le club CTS a aujourd'hui un nouveau président, Frédéric Lizé, qui, légalement, doit assumer les agissements d'un président destitué, mais toujours soutenu par la Ligue régionale de tir. De nouvelles dispositions administratives et judiciaires vont être prises dans les tout prochains jours pour mettre un terme à ce dossier.

À suivre !


Les VBCI arrivent au 2e REI de Nîmes

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02/02/2015

Le 2e régiment étranger d'infanterie commence à percevoir ses VBCI (véhicules blindés de combat d'infanterie). Dix-sept d'entre eux sont arrivés à Nîmes et au quartier colonel de Chabrières, décrit Le Midi libre (article payant). C'est le huitième et dernier régiment français à être équipé du véhicule 8 roues de Nexter et Renault Trucks Defense.

Les livraisons ne sont pas terminées et surtout les adaptations à la version lourde de 32 tonnes qui entraînent un vaste plan de " rétrofitage ".

L'armée de terre a en commande 630 VBCI depuis 2008. Progressivement, on équipe les régiments d'infanterie des brigades lourdes, la 1re mécanisée, la 2e et la 7e blindée. Par ordre d'entrée en scène : le 35e RI, 1er RTir (tirailleurs), RMT (régiment de marche du Tchad), 152e RI, 16e BC (bataillon de chasseurs). Trois régiments de brigades légères suivent : le 92e RI, le 2e RIMa (infanterie de marine) en juin et donc le 2e REI en ce début d'année.

Ce qui nous fait huit régiments VBCI et onze VAB (douze avant la disparition du 110e RI) qui devront attendre le VBMR, enfin le Griffon, entre 2018 et 2025.

Pour mémoire, les régiments VAB : 1er RI, 126e RI, 3e RIMa, 21e RIMa pour l'infanterie, 1er RCP, 2e REP, 3e RPIMa et 8e RPIMa pour les parachutistes, 7e BCA, 13e BCA et 27e BCA pour les chasseurs alpins.


La Légion débarque dans les cités de Marseille

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Lundi 02/02/2015

Salim Bouali, ordonnateur de ce service civique, a déjà conduit des jeunes en stage commando en Guyane, comme Loïc, avec lui à la Légion étrangère d'Aubagne vendredi. Photo PHILIPPE LAURENSON

La question sera frontale lors de la conférence de presse de François Hollande prévue jeudi. "Elle pourrait même être l'un des thèmes centraux de la présidentielle en 2017", estime le général Jean Maurin. Les yeux plissés d'humanité malicieuse sous son képi trois étoiles, le commandant de la Légion étrangère redouble d'attentions avec Salim Bouali.

Lui est un personnage. Ancien sergent-chef de la Légion, ce pasteur de 55 ans, ouragan d'énergie rieuse, lançait vendredi à Aubagne le centre d'instruction civique qu'il a imaginé mille fois. "L'actualité invite le civisme au premier rang de tous les discours politiques, reprend le général Maurin. Les militaires ne peuvent se substituer à l'Etat, mais nous avons un devoir de fidélité. Celui d'aider la bonne cause que défend Bouali, l'insertion de nos jeunes en difficulté.

Dans la salle blanche et beige où s'affichent les combats de la Légion, de Formose à l'Afrique, Salim Bouali masque son émotion derrière ses lunettes. "Les événements récents nous obligent à revoir nos dispositifs classiques de prise en charge de jeunes en rupture totale avec la société", explique celui qui, pour comprendre, est allé habiter la cité Félix-Pyat à Marseille, dans le quartier le plus pauvre d'Europe. Huit années passées à "tenter de récupérer les gamins au pied des immeubles" avec son association "En action pour les Nations" créée en 2001. Avec des initiatives simples : visite des institutions, des casernes de pompiers, des commissariats pour les plus petits, sport, insertion professionnelle ou stages avec la Légion à Calvi pour les ados. "Je me souviens d'un petit de 12-13 ans qui était perdu. Tombé dans la délinquance, il faisait baisser la tête à tous les éducateurs. Sa haine était sans motif particulier. Il est devenu un exemple positif."

Un stage commando organisé au printemps 2014 dans la forêt guyanaise fait basculer le destin du pasteur Bouali. Les caméras embarquées de M6 sur le visage de dix durs à cuire des quartiers Nord secoués nuit et jour par les légionnaires, balancés comme des chats dans la vraie jungle, pas celle des cités, achèvent de convaincre ceux qui le suivaient déjà. "Salim a brisé pas mal d'obstacles, souligne Thierry Dechaume à l'unité de prévention urbaine de la police nationale. Ces jeunes sont en rejet de tout, ne s'accrochent à aucun système, mais sont attirés par un état d'esprit à forte symbolique comme l'armée. Ils veulent du grand frisson, de la transgression. Salim a compris qu'on pouvait leur donner en les encadrant. C'est pertinent. "

L'étape suivante se fera à partir des quartiers Nord. Au centre d'instruction civique qu'il aimerait installer dans une caserne désaffectée, Salim Bouali a prévu d'accueillir en permanence et selon les moyens financiers 10 à 45 jeunes. " On ne les lâchera pas" prévient-il, détaillant les projets de remises à niveau, de mise à jour administrative, de stages dans les associations, les entreprises ou avec la police et la Légion, de travaux d'intérêt généraux, de sport et d'insertion professionnelle au bout de plusieurs mois.

"On va leur redonner une identité, des repères et valeurs. Leur faire comprendre que la France les nourrit et blanchit, mais qu'ils y ont des droits et devoirs. Ils auront une tenue et un contrat, une fierté."

L'enthousiasme est contagieux. À Carpiagne, la Légion a préparé des locaux pour accueillir les stagiaires et leurs parents le temps d'un week-end ou plus. "Nous sommes tous persuadés du bien fondé de cette mission, assure le colonel Dhaissonville. Il faut traiter les problèmes à la racine, parler vrai avec les parents. Si on ne va pas maintenant chercher ces jeunes dans les cités pour les aider, on sera obligés d'y aller plus tard, autrement." A Marseille, l'adjointe à la sécurité, Caroline Pozmentier, évoque, elle, ces "mineurs perdus qui, si on ne s'en occupe pas, dérivent et nous claquent à la figure alors que c'était annoncé. Ce centre, c'est de l'espoir." Il devrait voir le jour d'ici l'an prochain. Il y a urgence.

François Tonneau


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