Édition du 09 12 2010
Un officier, trois sous officiers, deux caporaux-chefs, quatre caporaux.
Mardi, 15 h, sur la plate-forme de la Tour Magdala à Rennes-le-Château, trente-sept engagés volontaires de la 2e section de la 3e compagnie du 4e régiment étranger de Castelnaudary s'apprêtent à coiffer le képi blanc. « On devient légionnaire qu'une seule fois dans sa vie et pour vous, c'est maintenant », affirmait le lieutenant Saint-Denis, chef de section instruction, au cours des répétitions qui précédaient la cérémonie officielle.
Un passé prestigieux.
Après trois semaines de sélection à Aubagne, les engagés passaient quatre semaines en ferme d'instruction à Castelnaudary. « Ils y ont appris les rudiments du français, les bases de la tactique, ils ont fait du sport, du tir de combat ». Une marche clôturait la ferme. Cinquante kilomètres en un jour et demi, de Chalabre à Puivert, jusqu'à Rennes-le-Château, où se déroulait la remise des képis blancs.
La légion étrangère a été créée en 1831 par Louis Philippe. « Elle représente un passé prestigieux », déclarent les gradés.
Une cérémonie solennelle.
Les volontaires promettaient de servir avec « honneur et fidélité ». Les gradés félicitaient les tout-nouveaux képis blancs et leur souhaitaient « la bienvenue dans la famille des légionnaires ». Des légionnaires qui devront respecter les sept articles d'un code d'honneur qui « guide notre action au quotidien », insiste le lieutenant Saint-Denis.
Le chef de section poursuivra une formation qui dure, en tout et pour tout, seize semaines. Au programme : toujours du français, du tir de combat et du tir réel. « L'objectif : que les légionnaires soient aptes à être ventilés dans des régiments étrangers de combat ».
La section actuelle compte quarante et un engagés (quatre se trouvaient, mardi, à l'infirmerie) de vingt et une nationalités. Tous les quatre mois, le lieutenant Saint-Denis forme entre quarante et soixante engagés volontaires et doit livrer, à terme, des légionnaires, engagés pour cinq ans et plus « si affinité ».
Un passé prestigieux.
Après trois semaines de sélection à Aubagne, les engagés passaient quatre semaines en ferme d'instruction à Castelnaudary. « Ils y ont appris les rudiments du français, les bases de la tactique, ils ont fait du sport, du tir de combat ». Une marche clôturait la ferme. Cinquante kilomètres en un jour et demi, de Chalabre à Puivert, jusqu'à Rennes-le-Château, où se déroulait la remise des képis blancs.
La légion étrangère a été créée en 1831 par Louis Philippe. « Elle représente un passé prestigieux », déclarent les gradés.
Une cérémonie solennelle.
Les volontaires promettaient de servir avec « honneur et fidélité ». Les gradés félicitaient les tout-nouveaux képis blancs et leur souhaitaient « la bienvenue dans la famille des légionnaires ». Des légionnaires qui devront respecter les sept articles d'un code d'honneur qui « guide notre action au quotidien », insiste le lieutenant Saint-Denis.
Le chef de section poursuivra une formation qui dure, en tout et pour tout, seize semaines. Au programme : toujours du français, du tir de combat et du tir réel. « L'objectif : que les légionnaires soient aptes à être ventilés dans des régiments étrangers de combat ».
La section actuelle compte quarante et un engagés (quatre se trouvaient, mardi, à l'infirmerie) de vingt et une nationalités. Tous les quatre mois, le lieutenant Saint-Denis forme entre quarante et soixante engagés volontaires et doit livrer, à terme, des légionnaires, engagés pour cinq ans et plus « si affinité ».
C. V.