AALEME

Légionnaire toujours...

  • Plein écran
  • Ecran large
  • Ecran étroit
  • Increase font size
  • Default font size
  • Decrease font size

Caylus. Armée : «Le camp n'est pas menacé»

Envoyer

Publié le 31/03/2009

 

Les militaires du 2e REI évacuent un des leurs blessés dans cette attaque. Hervé Morin arrive au camp. Les parlementaires du département avec François Fillon. Photos DDM, C. Longo. - DDM
Les militaires du 2e REI évacuent un des leurs blessés dans cette attaque. Hervé Morin arrive au camp. Les parlementaires du département avec François Fillon. Photos DDM, C. Longo. DDM

L'affirmation est nette, claire et précise. Elle émane d'Hervé Morin, ministre de la défense qui répondait aux questions d'une partie des journalistes se trouvant hier en fin de matinée dans l'enceinte du camp du Lieutenant-colonel Normand. Entretien impromptu du « patron » des armées qui faisait suite au discours de François Fillon premier ministre s'adressant lui aux hommes du 2e REI (régiment étranger d'infanterie de la Légion étrangère qui part en septembre en Afghanistan). Hervé Morin a bien insisté en redisant : « Le camp de Caylus n'a aucun souci à se faire. Le camp n'est pas menacé. Il s'agit avant tout de la réorganisation de son soutien. » On sait en effet que le camp sera rattaché administrativement au 17e RGP de Montauban à compter du 1er août 2 009. Reclassé en camp de niveau 1, il a pour l'instant un personnel de 126 hommes (militaires + civils) et devrait garder la plus grande partie de cet effectif. Sur cet ensemble de 5 500 hectares qui s'étend sur quatre cantons du Lot et du Tarn-et-Garonne, à l'heure actuelle pour quinze jours s'entraîne un régiment d'élite, le plus ancien des régiments d'infanterie de la Légion étrangère fondé en 1 841. Régiment fort de plus de 800 hommes, le 2e REI de Nîmes fera partie de la relève d'une partie du contingent Français autour de la capitale Afghane en septembre. Il se prépare à ce séjour de six mois autour de Kaboul et dans des secteurs risqués avec donc des exercices à grande échelle à Caylus avant de partir dans les Cévennes où l'on a trouvé des secteurs de montagne très proches des reliefs afghans et ensuite de finaliser cette préparation au camp de Mailly.

Le choix du camp de Caylus comme lieu de préparation a été fort bien perçu par les élus de Quercy et Limogne. Plus encore avec la venue sur place non seulement du premier ministre François Fillon et du ministre des armées, mais aussi du général Elrick Irastorza patron de l'armée de terre et de Guy Tessier député des Bouches-du-Rhône et président de la commission de la défense à l'assemblée nationale. Sans oublier tous les parlementaires de Tarn-et-Garonne, le conseiller général du canton de Caylus et le maire de cette localité.

L'ensemble des personnalités a pu voir en quatre séquences la réactivité de ce régiment fort de soldats issus de 83 nationalités différentes.

Sur des attaques de convoi avec des engins explosifs improvisés, ou l'évacuation de blessés en zone de combat.

Et apprécier toute une panoplie technologique pour numériser l'espace de bataille qui s'applique à tous les engins motorisés engagés et suivis dans tous leurs déplacements.

La Dépêche du Midi

Traduction

aa
 

Visiteurs

mod_vvisit_countermod_vvisit_countermod_vvisit_countermod_vvisit_countermod_vvisit_countermod_vvisit_countermod_vvisit_countermod_vvisit_counter
mod_vvisit_counterAujourd'hui2171
mod_vvisit_counterHier2534
mod_vvisit_counterCette semaine4705
mod_vvisit_counterSemaine dernière18442
mod_vvisit_counterCe mois40819
mod_vvisit_counterMois dernier119907
mod_vvisit_counterDepuis le 11/11/0919900155

Qui est en ligne ?

Nous avons 1042 invités en ligne

Statistiques

Membres : 17
Contenu : 14344
Affiche le nombre de clics des articles : 42655749
You are here PRESSE XXI° 2009 Caylus. Armée : «Le camp n'est pas menacé»