Combien d'ennuis, combien de temps ?
Devrais-je vivre en t'attendant,
Les heures, les jours, sont pour autant,
De cauchemars et de tourments.
Passent les nuits, soufflent grands vents,
Que ce calvaire est grandissant !
Mon Cœur, mon Âme, sont pour autant,
Déchirés et fardeaux pesants.
Sainte Marie ! Je fais serment,
De faire un vœu si déchirant !
Si je n'arrive, malheureusement,
A retrouver ce Frère aimant.
Mais Dieu ne veut, assurément !
Échec si fort et si cuisant,
Car "Il" sait bien que durement,
J'aurai cherché, pendant mille ans.
A toi mon frère que je ne connais pas
Le 23 mars 2005