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Légionnaire toujours...

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Décès de Yolande Harnois.

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La petite Princesse du Président a fermé ses jolies yeux le dimanche 17 mars 2019 à 22H50, à l'issue d'une longue et très douloureuse Maladie.


Le Colonel (er) Roland Jean-Richard a rejoint le dernier bivouac,

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le samedi 15 décembre 2018.

 

Roland Jean-Richard s'engage par hasard à la Légion

 

Roland Jean-Richard, sous-officier ...

 

Roland Jean-Richard dit Bressel naît à Porrentruy le 30 octobre 1929. Son père Charles, d'une famille originaire de La Sagne, figure dans la liste des contribuables de 1937 comme «employé» (il est encaisseur à la Banque Populaire Suisse à la rue du Temple), puis comme laitier dans celle de 1954. Il a également été le tenancier du Cercle de l'Union. Après son école primaire et son progymnase à l'Ecole cantonale, Roland fait pendant trois ans un apprentissage à la Municipalité de Porrentruy, suivant les cours de l’École professionnelle commerciale dirigée alors par le professeur Ali Rebetez, colonel de milice. Il finit son apprentissage «libre de tout engagement», selon le certificat signé par Xavier Billieux, secrétaire municipal.

 

L'un de ses meilleurs camarades, Antoine Barthe le fait engager chez Lucien Vallat, agent Ford à Porrentruy, puis il part à l'école de recrue. Là se joue le destin d'un jeune homme qui «s'est consenti des avances sur salaire imprévues par les patrons». Il traverse la frontière, puis se retrouve à Paris, sans un sou.

... Il vient à Porrentruy présenter sa future épouse à ses parents.

A la tête de sa compagnie, le capitaine Jean-Richard défile aux Champs-Elysées le 14 juillet.

Alors qu'il divague en bord de Seine, il rencontre un agent de police à qui il demande : « La Légion, c'est où ? » Aujourd'hui, encore, Roland Jean-Richard, du haut de ses quatre-vingts ans, est incapable de préciser l'origine de cette question: livre, film ou l'Alpone Chavannes, employé au garage Ford, ancien légionnaire ?

 

Rendu au fort de Vincennes le 22 février 1949, il est viré parce que trop jeune (dix-neuf ans dans quatre mois). Il se représente le 23 et demande à voir le directeur ... En fait, c'est un capitaine qui le reçoit et lui fait signer une demande d'engagement provisoire. Puis c'est le bas-fort Saint-Nicolas à Marseille et Sidi Bel-Abès. Test auto, transmission, dactylo où il brille. Incorporé à la compagnie d'accueil comme dactylo puis muté dans un bureau de l'état-major, sans avoir fait le moindre jour d'instruction militaire! Deux ans plus tard, un lieutenant, qui remplace le chef de bureau en permission, lui

demande où il a fait son instruction. La réponse ne l'empêche pas de proposer Roland Jean-Richard pour le peloton des élèves-caporaux. Celui-ci, doutant de sa réussite car il ne connaît rien au métier, termine le stage et, contre toute attente, en sort premier. Affecté d'office au peloton d'élèves-sous-officiers, il est sergent quatre mois plus tard à la fin 1952.

 

Dans la foulée, Roland Jean-Richard est convoqué chez le capitaine, chef du Bureau statistique de la Légion étrangère, en clair la Sécurité militaire « Légion». Un carton portant « 0» (A observer) « car susceptible de déserter» est présenté au nouveau sergent par le capitaine qui lui demande: «As-tu toujours envie de déserter ?» L'intéressé répond qu'il n'a pas fait le peloton pour déserter. Le capitaine lui dit alors qu'il est prévu pour le Bureau statistique de Saïgon et que sa fiche est supprimée.


La carrière de Roland Jean-Richard en style militaire

- Sur sa demande expresse, incorporation au bataillon de marche N° 1 de la Légion étrangère en renfort dans le massif des Aurès (janvier 1955).

- Novembre 1955, promu sergent-chef et désigné comme commandant d'un poste isolé (effectifs 2 sous-officiers, 30 caporaux-chefs, caporaux et légionnaires, dont 1 Suisse, 1 Espagnol et... 30 Allemands).

- Début 1956, affectation au Bureau statistiques d'Alger.

- Fin 1957, retour en opération (5e compagnie du 3e Régiment étranger d'infanterie), Croix de guerre avec citation à l'ordre de la brigade.

- 1960, sous-officier de carrière, affecté à la Sécurité militaire de la zone du Nord-Algérois. Putsch du général Challe, Roland Jean-Richard est affecté dans le Jura à Lons-le-Saunier au 60e Régiment d'infanterie.
-1963, admis à l'Ecole de l'infanterie, adjudant en octobre, sous-lieutenant le 1er août 1964. Retour à sa demande au 60e Régiment d'infanterie pour y payer son galon.
- Lieutenant le 1er août 1966, il rejoint le 3e Régiment étranger d'infanterie à Madagascar. En cours de séjour, il commande un détachement en Grande Comore. De retour sur la Grande île, il est désigné comme directeur de stage "Snipers" puis, pendant un an à Mayotte, comme chef de section.

- Sur les conseils de son colonel, l'âge étant là - trente-huit ans - ii s'oriente vers les services administratifs et financiers des éléments organiques de la 4e Brigade motorisée à Beauvais comprenant une compagnie de QG, une compagnie légère de transmissions, un escadron de transport et une compagnie de réparation. Le colonel, susceptible de prendre le commandement de la Légion, avait ajouté qu'il envisageait de donner le commandement d'une compagnie à Roland Jean-Richard, dès sa promotion au grade de capitaine.

- En 1971, après avoir assuré en Corse la reconversion d'un groupe de snipers sur le fusil FRFI, promu capitaine le 1er août, il commande la compagnie des services du 1er Etranger aux effectifs de 340 dont 220 présents à la portion centrale. Le départ d'un commandant du 1er Etranger, chef des services administratifs et financiers, amène le commandement à confier cette fonction à Jean-Richard (mi-1974 - mi-1975), son expérience dans le domaine administratif et financier à Beauvais est à l'origine de cette décision. Dans la même fonction, il est muté à la 13e Demi-brigade de Légion étrangère à Djibouti  (1975 - 1977) et, en 1978, à l'école de l'Infanterie à Montpellier. Quatre ans plus tard( 1er octobre 1982), promotion au grade de lieutenant-colonel.

- Mi-1983, le général commandant la Légion étrangère lui demande de créer et d'animer le poste d'officier chargé de la communication à l'issue d'un stage au au Centre de formation des journalistes de Paris.


Le lieutenant Jean-Richard reçoit la médaille de chevalier dans l'Ordre du mérite des mains du général Henry.

En 1985, Roland jean-Richard quitte l'active. Promu au grade de colonel dans le cadre technique et administratif, section État-major, le 1er octobre 1989, il reçoit l'honorariat de ce grade le 1er avril 1990.Il bénéficie d'une retraite de colonel 2e échelon et est pensionné de guerre pour des affections contractées en Indochine. Totalisant trente-six ans et six mois de service, dont vingt-deux au sein de la Légion étrangère, titulaire de la Médaille militaire, officier dans l'Ordre national du Mérite, Croix de la valeur militaire avec citation à l'ordre de la brigade, Croix du combattant volontaire ...

Selon le colonel Roland jean-Richard, seule la Légion étrangère, institution française multiraciale, permet, quelles que soient les origines sociales, culturelles ou professionnelles de l'intéressé, de gravir les échelons de l'échelle des responsabilités, grâce à l'encadrement et à la conduite d'officiers français les meilleurs du monde militaire. D'autres pays ont tenté l'expérience d'une Légion sans jamais connaître le succès. Concernant les quatorze années passées dans l'armée française régulière, Roland Jean-Richard souligne le bonheur qu'il a eu, à trois reprises, de servir au 60e Régiment d'infanterie à Lons-le-Saunier avec des appelés du cru, des jurassiens, excellents soldats. A l’École de l'infanterie, la qualité des cadres civils et militaires est reconnue de tous.

Le Colonel (er) Roland Jean-Richard était le Président d'Honneur de l'AALEME.


Le Général (2s) Jean GOT a rejoint le dernier Bivouac,

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commandeur de la Légion d'honneur, Promotion ESMIA "Victoire 1945".


Cet officier général, issu de l'infanterie, a servi au 2e REI comme lieutenant entre 1949 et 1951 en Indochine et comme capitaine en 1955 en Algérie. Il a également servi au 5e REI de 1953 à 1955 en Indochine et a été blessé pendant ce second séjour.

 

Il est décédé le vendredi 7 décembre 2018 à son domicile à Montpellier.

 

Ses obsèques seront célébrées le mardi 11 décembre à 14 heures en l'église Sainte Bernadette, 250 Rue du Truel, 34090 Montpellier.

 


L'ADC (er) Constantin Novik a rejoint le dernier Bivouac,

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le jeudi 26 avril à 15H30.

Engagé volontaire le 23 juillet 1945, matricule numéro 29 201, il sert successivement au 1er REI, à la 13e DBLE ( 07/12/47 - 19/02/50; 24/09/50 - 01/09/52; 18/11/53 - 30/09/54), au 6e REI (08/12/54 - 31/08/56), au 2e REI (01/09/56 - 04/01/57).  Libérable et retraitable l'Adjudant-chef Novik est rayé des contrôles de la Légion étrangère le 23 janvier 1961.

 

Disparu au combat à Điện Biên Phủ le 23 avril 1954 ( présumé prisonnier ), il est libéré par le Việt Minh le 20 août 1954.

Il était chevalier de la Légion d'Honneur, Médaillé Militaire, titulaire de la croix de guerre des théâtres d'opérations extérieures avec 3 citations : , médaille des blessés.


L'ancien CCH Marcel Mahaux a rejoint le dernier Bivouac.

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L'ancien CCH Marcel Mahaux, 1er REP - 3e REI, 1958 - 1963,  a rejoint le dernier Bivouac, jeudi 23 novembre 2017, en début d'après midi.

Il était Porte - drapeau de l'AALEME depuis plus de 25 ans.


Décès de Francis LLOPIS

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http://carnet.midilibre.fr/

Publié dans Midi Libre le 1er octobre 2017

 

Hélène LLOPIS, son épouse ;
ses enfants,
Frédérique et Stéphane ROUXBONNARDEL,
Jean-Louis et Nicole LLOPIS,
Christian LLOPIS ;
ses petits-enfants et arrière-petits-enfants,
Marie LLOPIS,
Yvon, Josette LLOPIS et leurs enfants,
André LLOPIS (†) et son épouse
ont la profonde tristesse de faire part du décès de

Francis LLOPIS
Les obsèques seront célébrées le jeudi 5 octobre 2017, à 10 h 30, en l'église Saint-André, à Montagnac.
FRANCIS repose au funérarium de Pézenas.
Ni fleurs ni plaques.
Une urne sera disponible à l'entrée de l'église, les dons seront transmis à la Ligue contre le cancer.


Décès du Colonel HUET Bertrand

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Nous en avions célébré des Camerone !

 

J'ai la tristesse de vous annoncer le décès du Colonel HUET Bertrand. Ancien Capitaine commandant le 4ème Escadron du REC. Ses obsèques auront lieu le lundi 13 mars 2017 à 14h30 en l'église de Ploubalay (Côtes d'Armor).

YG


Décès de Christian LLOBERA.

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Décès de Madame Gisèle Jean-Richard.

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Décès du Colonel (er) Pierre Carles.

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LAVERUNE

Madame Pierre Carles,
Madame Marie-Luce Roux,
ses enfants et petits-enfants ,
Monsieur et Madame Jean-Louis Carles et ses enfants,
Monsieur et Madame Gilles Carles et ses enfants,

font part du décès de

Monsieur Pierre CARLES

COLONEL EN RETRAITE

Survenu le 24 mai 2016, à Juvignac, à l'âge de 95 ans.

La célébration religieuse de ses funérailles aura lieu
le Mardi 31 Mai 2016 à 14 h 30, en l'église de Lavérune.


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Traduction

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