AALEME

Légionnaire toujours...

  • Plein écran
  • Ecran large
  • Ecran étroit
  • Increase font size
  • Default font size
  • Decrease font size

2018




LÉGION ÉTRANGÈRE Le 1er REG recrute des réservistes opérationnels

Envoyer

http://www.objectifgard.com/

22 mai 2018

(dr)

 

Il s’agit de citoyens volontaires, issus principalement du monde civil qui choisissent de s’investir dans des missions de sécurité intérieure aux côtés des légionnaires, quelques jours ou semaines par an.

Pour postuler, la Légion n’étant pas mixte, il faut impérativement être un homme, de nationalité française, avoir entre 17 et 39 ans et être en bonne forme physique. Il n’y a pas de condition de diplôme. Pour plus d’informations, trois réunions publiques sont organisées, le mardi 22 mai, à 18 heures, à la salle Rios du Clos Bon Aire de Pont-Saint-Esprit, le mercredi 23 mai, à 18 heures, à la salle Jacques-Brel de Laudun-l’Ardoise et le jeudi 24 mai à l’hôtel Mallet à Bagnols. Une adresse mail est également à disposition : Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir. .


Il y a 40 ans, la Légion s'apprêtait à sauter sur Kolwezi, au Zaïre

Envoyer

http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/

13.05.2018

kolweziphoto1.jpg

Un policier congolais se tient devant le monument aux Soldats inconnus érigé après la reprise de la ville de Kolwezi suite à une intervention militaire conjointe franco-belge (photo AFP).

Le 13 mai, quelque 4000 "Katangais" commandés par Nathanaël Mbumba, venus d'Angola via la Zambie, s'étaient emparés de la ville et ils allaient y massacrer plus de 700 civils, dont 120 à 170 Européens.

Le 19 mais, le 2e REP avait sauté sur la ville minière du Katanga, pour libérer les populations prises en otages et mettre en fuite les assaillants.


Ali Chams, Libanais et ancien combattant au service de la France

Envoyer

https://lepetitjournal.com/

Par Hélène Boyé | Publié le 11/05/2018

Ali Chams photo 1

Il a aujourd’hui 95 ans et vit des jours paisibles dans son Liban-Sud d’origine. Le maréchal des logis Ali Chams, multi-médaillé, a servi sous les drapeaux français pendant 9 ans. De 1953 à 1961, le légionnaire traverse des grands moments de l’histoire : l’Indochine, la crise du canal de Suez et le putsch des généraux en Algérie. Portrait.

Ali Chams est né en 1923 près de Nabatiyeh, au Liban-Sud. La région, essentiellement agricole, est plutôt pauvre. Alors, à l’âge de 16 ans, il quitte son Liban natal et part travailler en Côte d’Ivoire. Une communauté libanaise en provenance du Liban-Sud est déjà installée dans ce pays d’Afrique de l’Ouest depuis plusieurs décennies. Ali vient grossir les rangs de cette diaspora.

Il se retrouve responsable d’une plantation de café et de cacao pendant un an. Ne gagnant pas suffisamment sa vie, il décide de devenir transitaire à Abidjan. Pendant plus de 10 ans, Ali exporte café et cacao à Marseille et fait des vas-et-vient entre Abidjan et la cité phocéenne.

Mais la Côte d’Ivoire n’est pas cet eldorado espéré. Les cours du café et du cacao ne font que baisser à l’époque. Un jour, il passe devant le Bas-Fort Saint Nicolas à Marseille, un centre de recrutement de la Légion étrangère qui se trouve aujourd’hui à Aubagne. Sur le mur d’entrée, l’annonce est alléchante : la Légion étrangère recrute. C’est la promesse d’un emploi et d’un salaire fixe pour lui. « J’ai été séduit par les avantages de s’engager dans la Légion étrangère. Je me suis dit que j’allais apprendre un métier », explique Ali Chams. Le 12 novembre 1953, le Libanais de 30 ans signe son contrat et s’engage pour cinq ans sous les drapeaux de la France.

Ali fait ses classes à Sidi Bel Abbès, en Algérie au 1er Régiment étranger d’infanterie (REI). Il l’appelle « la maison-mère ». C’est l'un des centres de commandement de la Légion étrangère, fondé en 1842 et situé à 80 km au sud d’Oran, le doyen des régiments de la Légion. Il est ensuite affecté aux services des transmissions où il apprendra, entre autres, le morse. Grâce à sa maitrise du français que lui-même juge faible à l’époque, et la proportion de francophones étant extrêmement faible, Ali est nommé secrétaire au service du casernement. Il effectue en même temps le peloton de caporaux, la formation de sous-officier.

Nommé caporal, il est envoyé en Indochine le 1er mars 1955 et muté au 1er Régiment étranger de cavalerie (REC). Après les accords de Genève, signés en juillet 1954, faisant suite à la défaite de Diên Biên Phu, la France garde au centre et au sud du pays, sous le 17e Parallèle, une présence administrative avant de céder la place progressivement aux Américains. Ali reste basé à Saigon, cantonné dans la caserne de Chanson comme adjoint au sous-officier fourrier chargé de l’intendance, puis comme secrétaire au bureau de l’Escadron de commandements et services (ECS). En février 1956, le caporal Chams embarque à bord du fameux paquebot transporteur de troupes SS Pasteur pour être « rapatrié » en Tunisie. Le dernier contingent militaire français en Indochine est dissous en avril 1956.

Sur le chemin du retour, vient le passage du canal de Suez. De chaque côté du bateau, les rives sont à peine à quelques mètres. « Les Egyptiens nous provoquaient et ils nous ont montré leurs culs », raconte Ali Chams avec un rire malicieux. Nous sommes à quelques mois de la crise du canal de Suez et de sa nationalisation par le président égyptien Gamal Abdel Nasser. Le Pasteur fait donc demi-tour et se dirige vers le sud de l’Afrique. En remontant avoir avoir passé le Cap de Bonne espérance, les militaires demandent au capitaine de faire un crochet par l’île de Saint Hélène. « Tous sont allé saluer la mémoire de Napoléon », raconte Ali Chams.

Installé dans un premier temps en Tunisie, le 1er REC est envoyé en Algérie pour participer à la « pacification » de l’Algérie, à Bou Saada. Surnommée la « porte du désert », la ville est située à quelque 240 km au sud-est d'Alger et à environ 200 km de la région des Aurès, « épicentre » de la guerre d’Algérie. Au poste de commandement, on cherche des légionnaires parlant l’arabe. Ali Chams est le seul à maîtriser la langue. Il est affecté auprès de l’officier de renseignement comme traducteur et interprète. Le 1er janvier 1958, il est nommé Maréchal des logis, l’équivalent de sergent.

Ali Chams

Ali Chams au volant d'une jeep.

Trois ans plus tard, Ali Chams se trouve, malgré lui, au cœur d’un des événements les plus marquants de la guerre d’Algérie : le Putsch des généraux. Nous sommes au printemps 1961. Depuis le référendum sur l’autodétermination, une partie des cadres de l’armée se sent trahi par le Général de Gaulle. Eux qui ont mené de violents combats depuis sept ans préparent un coup de force. Le lieutenant-colonel de La Chapelle, chef de corps du 1er REC, se rallie aux mutins. Ali Chams suit les ordres donnés à son régiment. Dans la nuit du 21 au 22 avril 1961, il est envoyé à Alger. Le mouvement est peu suivi au sein de l’armée. Le 23 avril au soir, De Gaulle prononce un discours à la télé. Il en appelle à la résistance passive. Les quatre généraux Salan, Challe, Jouhaud et Zeller jettent l’éponge et appelle les unités « rebelles » à retourner dans leur casernement. Dix jours plus tard, deux officiers viennent arrêter le colonel de la Chapelle. Avant de se rendre, ce dernier va vers l’étendard, l’embrasse puis se dirige vers l’adjudant Totti qui lui avait sauvé la vie en Indochine et l’embrasse aussi. « Les larmes coulaient sur les visages de nombreux légionnaires », raconte Ali Chams.

Le 1er août 1961, arrivé à la fin de son deuxième contrat, le Maréchal des logis Chams ne rempile pas. Sa sœur, qui vit en Gambie, lui demande de la rejoindre pour aider aux affaires familiales. Après 8 ans de bons loyaux services, Ali Chams se dit qu’il a fait son temps et qu’il a assez risqué sa vie. Pour ce retour en Afrique, les affaires lui sourient d’avantage, Ali s’y marie et a trois enfants : Kamil, Hussein, Zeinab. En 1995, il rentre au Liban avec sa femme pour prendre sa retraite à Nabatiyeh.

A 95 ans, Ali Chams est décoré, entre autres, de la médaille militaire, de la Croix des combattants volontaires puis est fait chevalier de l’Ordre National du Mérite. Il est aujourd’hui le vice-président de l’Amicale des Anciens combattants de l’armée française résidant au Liban. « Là, je retrouve mes frères d’armes », souligne-t-il. Ali se sent autant Libanais que Français. « Mais c’est grâce à la France que j’ai appris un métier. C’est aussi grâce à la France que mes enfants ont pu aller à l’université et, en 2006, au moment de l’offensive israélienne sur le Liban, c’est la France qui nous a évacué », précise-t-il.

ali Chams

Ali Chams et son épouse au repas annuel de l'Amicale des Anciens combattants de l'armée française résidant au Liban


8-Mai 1945 : Messe, hommage aux morts et remise de décorations à Calvi

Envoyer

https://www.corsenetinfos.corsica/

Rédigé par Jean-Paul-Lottier le Mardi 8 Mai 2018

La cérémonie-anniversaire du 8 mai 1945 s'est déroulée à Calvi en présence d'une foule nombreuse. Après la messe du souvenir en l'église paroissiale, un hommage a été rendu, aux victimes du conflit mondial, au Monument aux Morts.

8-Mai 1945 : Messe, hommage aux morts et remise de décorations à Calvi

C'est par un temps maussade mais en présence d'une foule nombreuse que se sont déroulées les cérémonies du 73e anniversaire de la Victoire du 8 mai 1945.
A l'issue de la messe du souvenir célébrée en l'église Sainte Marie Majeure de Calvi par l'Abbé Ange-Michel Valery, les autorités civiles, militaires et religieuse rejoignaient à pied le Monument aux Morts de Calvi où ont pris place un piquet d'honneur du 2e REP avec son clairon, une délégation d'officiers et sous-officiers du 2e REP, les associations d'anciens combattants et amicale d'anciens légionnaires ainsi que des porte-drapeaux


Le colonel Jean de Monicault, chef de corps du 2e REP de Calvi passait les troupes en revue, avant de procéder à une remise de décorations:
Au nom du président de la République, étaient décorés de la Médaille Militaire: l'adjudant-chef Festim Shini, sergent-chef André  Moreira-Ribeiro et Sergent Jonathan Lai wing.
Au nom de la ministre de la Défense la médaille de la Défense Nationale avec étoile de vermeil était décernée au Sergent-chef Tristan Gerbier et au sergent Miguel Hernandez Villanueva. La Médaille de la Défense Nationale avec étoile de bronze était décernée au caporal  Jonathan Sanchez Infante.


Claude Deceuninck, président de l'association des Anciens Combattants Calvi-Galeria donnait lecture du message de l'UFAC et Jérôme Seguy, sous-préfet de Calvi celui de la ministre de la Défense.
L'abbé Ange-Michel Valery invitait ensuite à la prière avant de bénir le Monument aux Morts.
Des gerbes étaient ensuite déposées par les anciens combattant, puis celle de la Ville de Calvi par le maire Ange Santini, son adjoint Jean-Louis Delpoux et l'Abbé Valery, suivie de celle de l'Etat avec Jérôme Seguy, sous-préfet, le colonel Jean de Monicault, chef de corps du 2e REP et le chef d'escadron Olivier Burles, commandant la Compagnie de gendarmerie de Calvi.
Outre les personnes déjàcitées, on notait la présence de Sylvie Bereni,Françoise Seveon, Pancrace Guglielmacci et Didier Bicchieray, adjoints au Maire de Calvi, le capitaine Stéphane Orticoni, adjoint au chef de corps du Centre d'Intervention et de Secours de Calvi, Jeannine Maraninchi, officier de l'Armée de l'air (er)...
Un apéritif et un repas des Anciens Combattants devaient suivre au restaurant "La Punta".


"Péguy le visionnaire" : un hussard de la République, héroïque et très actuel

Envoyer

http://www.atlantico.fr/

Publié le 7 Mai 2018

"Péguy le visionnaire" : un hussard de la République, héroïque et très actuel

THEATRE

Péguy le visionnaire

De Samuel Bartholin, avec la collaboration de Bertrand Constant

Mise en scène : Laetitia Gonzalbes

Avec : Bertrand Constant

INFOS & RESERVATION

Théâtre de la Contrescarpe

5, rue Blainville

75005 Paris

Tél. : 01.42.01.81.88

http://www.theatredelacontrescarpe.fr

Tous les vendredis et samedis à 21h30, le dimanche à 17h, jusqu’au 30 juin 2018

 

RECOMMANDATION

EXCELLENT

THEME

Paris, août 1914. Charles Péguy, en partance pour le front, ferme le siège des Cahiers de la Quinzaine, la revue de réflexion qu’il a créée en janvier 1900. Entre un jeune journaliste qui « cherche à recueillir les vues de nos intellectuels » sur la guerre qui vient… L’écrivain, en uniforme, tique : les questions de l’importun semblent pétries de cette bonne conscience révolutionnaire et pacifiste que lui, le chantre de la nation contre l’internationalisme, dénonce !

Pourtant, le dialogue s’engage…

Ce prétexte de scène va permettre de dérouler, en une série de tableaux rétrospectifs, la vie et l’itinéraire mental de Péguy au tournant des XIXe et XXe siècle.

Né dans un milieu pauvre dont il ne cessera de louer les vertus d’honneur et de travail face à l’égoïsme contemporain et au culte de l’argent, élevé jusqu’à Normale Sup par l’école de la République, militant de gauche, dreyfusard de la première heure qui fait le coup de poing contre les bandes antisémites, le voilà qui renâcle devant la dérive autoritaire du mouvement socialiste, tandis que la foi de ses pères remonte et finit par le saisir tout entier. Jusqu’à ce jour de septembre 1914 où il tombe à la tête de ses hommes, à 41 ans.

POINTS FORTS

Seul sur scène, Bertrand Constant incarne non seulement Péguy, mais aussi la petite quinzaine de personnages qui interviennent au cours du récit : famille, amis, militants. C’est une gymnastique : Jean, le jeune journaliste qui boîte bas, la vieille Etiennette cassée en deux, Eugène qui tente une (désastreuse) démonstration de savate, un guesdiste enférocé qui veut la peau du traître, Péguy priant au sol, bras en croix… Ça bouge, ça discute, ça s’empoigne si bien qu’on finit par voir des gens et des choses là où il n’y a ni personnages, ni costumes ni décor ou si peu – chaise, table, quelques livres. Une belle performance d’acteur.

Et une jolie mise en scène de Laetitia Gonzalbes qui exploite à propos la forme physique de Bertrand Constant – on n’a pas tous les jours sur les planches un saint-cyrien, ancien légionnaire parachutiste et sportif émérite.

A noter : la partie son et musique créée par David Enfrein et Tim Aknine que Laetitia Gonzalbes a voulu « presque comme un deuxième personnage derrière le comédien ». Son utilisation sur la scène finale, sacrificielle, poignante, est remarquable.

POINTS FAIBLES

Je n’en vois pas.

EN DEUX MOTS

Sortir Charles Péguy de l’oubli dans lequel il a plongé est toujours une bonne action. Il est comme son héroïne, Jeanne d’Arc, un brin ostracisé parce que victime d’une tentative de détournement opérée par les droites radicales, avant – il y a dans la pièce, une confrontation électrique entre Péguy et un journaliste de l’Action française – et, bien sûr, après sa mort.

Pourquoi est-il si “visionnaire”, comme le veut l’après-titre de la pièce ? Parce qu’il défend sans compromis la vérité, ce qu’il appelle « bêtement la vérité bête, ennuyeusement la vérité ennuyeuse, tristement la vérité triste ».

Ce faisant, ce républicain absolu se place en dehors des clivages politiques, en dehors du discours partisan. On dirait aujourd’hui qu’il n’est pas dans le politiquement correct. Ni de droite ni de gauche, en somme (tout rapport avec un président en exercice étant en l’occurrence fortuit). Pour le philosophe Alain Finkielkraut, « Péguy devrait être une référence incontournable pour tous ceux qui veulent penser le monde moderne ».

UN EXTRAIT

« Mes instituteurs, je les revois, encore jeunes mais sérieux, sanglés dans leurs uniformes noirs. Comme des cavaliers, des hussards, les hussards noirs de la République ! L’expression est de moi, je la trouve assez parlante. »

L’AUTEUR

Samuel Bartholin est journaliste. Il a croisé Bertrand Constant sur un tournage au Cambodge. Les deux se sont vite entendus intellectuellement.« Incarner le personnage de Péguy, seul sur scène, m’intéressait, explique l’acteur. J’ai proposé à Samuel d’écrire la pièce. » Bartholin accepte. Il “digère” des piles de livres de et sur Péguy, et s’y met avec la complicité active de Constant. Ces deux-là avaient bien conscience que faire tenir un tel personnage – pas facile à vivre ni à lire – dans un spectacle de 70 minutes relevait de la gageure. « Nous voulions quelque chose de pédagogique ou on ne s’ennuie pas », dit Bertrand Constant. Pari gagné. (Le texte est paru chez Mareuil Editions - 60 pages, 12 €.)


NÎMES Un festival de la BD au garde-à-vous

Envoyer

http://www.objectifgard.com/

4 mai 2018

Jean-Claude Mézières, parrain de cette édition 2018, a réalisé l'affiche officielle en réadaptant aux couleurs de Nîmes la une de la bande dessinée Valérian.

 

Dans sa formule biennale, le Festival de la BD de Nîmes revient donc en 2018, du 25 au 27 mai sur l'esplanade Charles de Gaulle. Auteur de la série Valérian, Jean-Claude Mézières est le parrain de cette édition marquée également par la présence d'un stand dédié aux différentes publications sur la légion étrangère.

Daniel-Jean Valade, adjoint au maire délégué à la culture, et Stéphane Corsia, représentant de la société MPO, organisatrice de l’événement, ont présenté le programme de ce festival de la BD de Nîmes 2018. Une manifestation financée intégralement par la ville de Nîmes et dont les bénéfices profitent aux librairies. "La mairie paye, les librairies encaissent", résume clairement l'adjoint au maire. Une manifestation importante pour les quatre librairies nîmoises spécialisées concernées : la Bulle, BéDéphile, Pop up et Cie et Peter Pan.

Et pour attirer le public, cette année c'est Jean-Claude Mézières qui a été choisi comme parrain. Le dessinateur de la série Valérian rencontrera les fans et dédicacera des exemplaires. À l'occasion de sa venue, une exposition grand format "Valérian et Laureline dans l'Arène" sera proposée. L'auteur sera également présent au cinéma Le Sémaphore, pour assister à la projection du film, "Valérian et la cité des mille planètes", adapté en 2017 par Luc Besson. Un hommage à la BD qui met à l'honneur le passé de Nîmes, avec notamment l'exposition "Il était une fois...l'homme", qui revient sur l'histoire de l'empire romain.

Il y en aura pour tous les goûts durant ce festival. Parmi les 39 autres auteurs présents, qui rencontreront le public au Forum BD, on retrouve Achdé, qui a dessiné plusieurs aventures de Lucky Luke. Jean-Marc Borot, spécialisé dans les caricatures de personnalités, Thierry Coppée avec les célèbres blagues de Toto et Marc Jailloux pour Le serment du gladiateur seront également présents. Le samedi après-midi est notamment consacré à une battle impro-dessinée. Durant 45 minutes, deux duos composés d'un comédien et d'un dessinateur se font face dans un ring, à coups de bons mots et de feutres ravageurs. Pour l'occasion le médiabus se transforme en un bédébus qui stationnera à proximité des stands. Le festival sort également du cadre de l'esplanade avec des interventions prévues dans les écoles, au CHU et à la maison d'arrêt avec la présence de dessinateurs.

La légion étrangère à l'honneur

Ne soyez pas inquiets si vous voyez une tente de la légion étrangère avec deux soldats à l'entrée sur le festival. Ils seront bien présents pour parler BD ! Cette année la légion a choisi de venir au festival car il existe un lien fort avec la bande dessinée. Déjà en 1940, les dessinateurs s'y intéressaient et racontaient les aventures de Mickey Mouse à la Legio Nostra. Nîmes est d'autant plus associée aux légionnaires avec la garnison importante qui y réside.

Des auteurs qui ont publié sur la légion ont été invités. Mais plus intéressant encore, d'anciens légionnaires ont lâché les armes pour prendre les crayons et mettre en scène de manière humoristique la vie au quotidien dans la caserne. Un concours pour les jeunes dessinateurs sera organisé et la meilleure planche sera publiée sur un journal de la légion. Attention aux gribouillages et à ne pas dépasser !

Corentin Corger


Après Louis-Ferdinand Céline, la police de la pensée veut censurer Blaise Cendrars ! Et demain Léopold Sédar Senghor ?

Envoyer

http://www.medias-presse.info/

4 mai 2018

 

La folie du politiquement correct est sans limite. Une certaine Ligue de défense noire africaine (LDNA), petite sœur bâtarde de la LICRA, appelle via les réseaux sociaux à un rassemblement de protestation, ce vendredi 04 mai, devant la maison d’édition Gallimard, située dans le septième arrondissement de Paris.

Cette fois, il ne s’agit pas de tenter d’empêcher la maison d’édition de rééditer les pamphlets de Louis-Ferdinand Céline mais de bloquer la réédition d’un recueil de Blaise Cendrars intitulé Petits contes nègres pour les enfants blancs.

Blaise Cendrars (1887-1961) est un écrivain, poète, romancier et journaliste passé par la Légion étrangère où il eut parmi ses compagnons d’armes Eugène Jacques Bullard qui devint le premier pilote noir des forces alliées en 1917. Publiés pour la première fois en 1929, les Petits contes nègres pour les enfants des Blancs de Blaise Cendrars ne sont pas racistes mais témoignent de son intérêt pour l’Afrique, quelques années après la publication de son Anthologie nègre en 1921.

Si des nouveaux supplétifs de la police de la pensée tentent de censurer ces livres, c’est uniquement parce qu’ils s’arrêtent à l’utilisation du terme « nègre ».

Sur la page Facebook Décolonial News, le 29 avril dernier, deux photographies de la couverture et de la 4e du livre de Blaise Cendrars, Petits contes nègres pour les enfants des blancs, sont accompagnées de ce commentaire :

« Le conte negrophobe pour enfants remis en vente, les époques passent, mais le racisme lui perdure ! voila ce que l’on trouve en 2018 sur les présentoirs de la Fnac de Valenciennes ! C’est comme ça en France que l’on inocule à des enfants la #negrophobie »

Mais ces nouveaux maîtres censeurs ont-ils aussi l’intention de réclamer l’interdiction de continuer à éditer l’Anthologie de la nouvelle poésie nègre et malgache de Léopold Sédar Senghor ?


Camerone 2018 à Larmor Plage

Envoyer

http://ammacdelorient.over-blog.com/

AMMAC de Lorient le 3 mai 2018


GARD La Légion commémore Camerone

Envoyer

http://www.objectifgard.com/

2 mai 2018

 

À Nîmes, le 2e régiment étranger a fêté le 155e anniversaire de la bataille de Camerone

Samedi 30 avril, en fin de matinée, le 2e régiment étranger d'infanterie, avec à sa tête le lieutenant-colonel Édouard Bros, commandant par suppléance, commémoraient le 155e anniversaire du combat de Camerone, lors d'une prise d'armes sur la place d'armes du colonel Chabrières à Nîmes. Cette cérémonie a été présidée par le général de division Hubert de Reviers de Mauny.

La bataille de Camerone : Le 30 avril 1863, dans le village de Camerone, au Mexique, soixante-trois légionnaires français, sous les ordres du capitaine Jean Danjou, résistaient héroïquement à une armée mexicaine de plus de deux mille hommes avant d'être massacrés jusqu'au dernier. Une commémoration symbole de dévouement d'héroïsme et de sacrifice à la patrie,valeurs piliers de la légion.


Retour en images sur la fête de la légion étrangère au Fort de Nogent

Envoyer

https://94.citoyens.com/

Par C.Dubois 02/05

Retour en images sur la fête de la légion étrangère au Fort de Nogent

 

Installé depuis l’été 2007 au Fort de Nogent, situé à Fontenay-sous-Bois, le groupement de recrutement de la légion étrangère (GRLE) organise chaque année une grande fête au moment du 1er mai pour fêter l’anniversaire de la bataille de Camerone du 30 avril 1863. 

Cette bataille opposa une compagnie de la Légion étrangère de 62 soldats à 2000 soldats mexicains lors de l’expédition française au Mexique. Les six derniers légionnaires encore en état ne se rendirent qu’à la fin de la journée.

Chaque 1er mai, le fort de Nogent fête cet anniversaire avec des défilés des différents corps et une grande kermesse ouverte à tous. Cette année était une année particulière car le GRLE a reçu la garde du drapeau du 11 ème régiment étranger d’infanterie créé le 6 novembre 1939 à partir de réservistes et de légionnaires d’autres unités et détruit par l’armée allemande en juin 1940.  Etait présent, comme chaque année, le chef étoilé Thierry Marx, parrain du groupement de recrutement de la légion étrangère.

Retour en images (photos de Pierre-André Pelaz)


Page 4 sur 9

Traduction

aa
 

Visiteurs

mod_vvisit_countermod_vvisit_countermod_vvisit_countermod_vvisit_countermod_vvisit_countermod_vvisit_countermod_vvisit_countermod_vvisit_counter
mod_vvisit_counterAujourd'hui6981
mod_vvisit_counterHier2652
mod_vvisit_counterCette semaine13650
mod_vvisit_counterSemaine dernière24288
mod_vvisit_counterCe mois100200
mod_vvisit_counterMois dernier347580
mod_vvisit_counterDepuis le 11/11/0919839629

Qui est en ligne ?

Nous avons 1511 invités en ligne

Statistiques

Membres : 17
Contenu : 14344
Affiche le nombre de clics des articles : 42459710
You are here BREVES 2018