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Légionnaire toujours...

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2017




L’Amicale des Anciens de la Légion Étrangère de Parentis en Born à l’honneur

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20 Décembre 2016

A l’occasion de la présentation de la Crèche de Noël dans les locaux de l’Amicale des Anciens de La Légion Étrangère Le 17 décembre 2016, et après avoir ouvert la cérémonie de remise des médailles du Mérite Bénévole Yves PERPIGNAN, Vice président du CNB et Délégué régional a confié à Christian GAUSSERAND, délégué départemental, le soin de présenter les récipiendaires en présence de Christian Ermandorena, Maire, de Marc Bourguignon, Conseiller municipal, de Laurent Coustaud, Président de l’Amicale, du Colonel Willy Chiale et de Geneviève Gausserand.

 

Le Jury de la Promotion du Mérite Bénévole 2016 baptisée « Auvergne Rhône Alpes » après délibération a décerné à :

  • Catherine COUSTAUD : Pour 11 années de bénévolat

De 2005 à 2010 : occupe diverses fonctions au service de l’Amicale Les courses pour les préparatifs des repas, aménagement de la salle qui peut recevoir 150 personnes environ, s’occupe du ménage, repassage et autres. Animations repas de 60 à 80 couverts 8 à 10 fois par an.

2010 à ce jour c’est l’épouse du président et devient la secrétaire de l’Amicale.

Le jury lui décerne le diplôme du mérite bénévole dans l’échelon Bronze

Bravo Madame et félicitation pour votre engagement.


La vallée des ombres

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Samedi, 21 janvier 2017 17:38

La vallée des ombres, Xavier-Marie Bonnot, aux Éditions Belfond, 304 pages

Si l’écrivain français Xavier-Marie Bonnot enchaîne les romans depuis 2002, je n’avais encore jamais eu la chance d’en lire un. Je me rattrape, en espérant vous donner le goût d’en faire autant.

Lorsqu’on pense aux villages alpins, on a tendance à imaginer de paisibles petites agglomérations baignées de lumiè­re et d’air pur. Mais rien de tel à Pierrefeu, le bourg industriel où René Vasseur a vu le jour. Même si plusieurs aciéries et usines ont fini par fermer leurs portes au cours des années 1980, certaines crachent encore des panaches de fumée grise et les lieux respirent indubitablement la noirceur, une bonne partie des habi­tants du coin étant désor­mais sans travail.

S’enrôler dans la Légion étrangère pour guer­royer en Yougoslavie, au Mali et en Afghanistan a été aux yeux de René Vasseur le meilleur moyen d’échapper à son terne passé de souffre-douleur. Mais après avoir passé près de deux décennies loin de ce patelin pourri, René devra cependant revenir au bercail: son paternel, un syndicaliste qui a passé l’essentiel de sa vie à se battre contre un patronat dénué de scrupules, va en effet très bientôt passer l’arme à gauche. Du coup, René n’aura que quelques jours pour se rapprocher de celui qui lui a toujours reproché de n’être qu’un pleutre. Parce qu’en quittant Pierrefeu sans prévenir à l’âge de 22 ans il a laissé derrière lui une jeune fille aimante qui se perdra dans les bras du premier venu, un ami cher qui ne tardera pas à mal tourner, un frère dont le meurtre n’a jamais été vengé et un vieil ennemi de jeunesse capable du pire.

Comme je ne savais pas trop à quoi m’attendre en commençant la lecture de ce roman, la surprise a été de taille: en plus de se démarquer par la simplicité et l’efficacité de son écriture, il fait partie de ces livres saisissants difficiles à oublier.


Et par Saint-Antoine, vive la Légion!

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Lignes de Défense

17.01.2017

17 janvier, c'est la Saint Antoine! Et il est le patron de la Légion étrangère.

Saint Antoine le Grand (251-356) est né en Haute-Egypte. Il jouit très rapidement d'une grande popularité et devint le protecteur de nombreuses confréries et métiers.

"Son caractère de lutteur victorieux (dans la vie spirituelle), d'ascète qui vit de manière frustre et dépouillée dans la solitude, d'homme qui a changé de vie pour une vie nouvelle au service de Dieu, a de quoi largement toucher le légionnaire. Mais la célébration des combats de Camerone (30 avril) et l'importance prise à la Légion par la veillée de Noël (avec la création de crèches) tendent à éclipser quelque peu la fête de saint Antoine", écrit Jean-François Plantec, ce matin, dans sa chronique culturelle.

Il rappelle aussi que le 17 janvier 1855 a vu la "création d’une seconde Légion étrangère, dite Légion suisse.

"Par décret impérial, il est décidé de mettre sur pied deux régiments de ligne et un bataillon de tirailleurs composés exclusivement de Suisses. Sous les ordres du général Ochsenbein, l’un des pères fondateurs de la confédération helvétique, ils prennent notamment part au siège de Sébastopol où le choléra fera des ravages dans leurs rangs. La caractéristique de cette troupe est d’être vêtue d’une veste verte et d’un pantalon garance, les futures couleurs de la Légion actuelle. Le faible recrutement et la fin de l’engagement en Crimée conduisent à sa dissolution le 16 avril 1856. Ses effectifs serviront à créer le 1er Régiment étranger ".


Site de l'AAMLE

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Listes des membres des amicales pour Camerone 2017

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Messieurs,

Dans le cadre de camerone2017, je vous prie de me transmettre par mail la liste des membres de votre amicales ainsi qu'une adresse mail. Elle permettra de  centraliser toutes les invitations de votre amicales.

Par ailleurs, je vous rappelle que le site internet n'est pas encore ouvert au public. Et pour permettra à tous les anciens de participer cette année à Camerone cette année , nous vous  faisons ce privilèges.

Je reste à votre dispositions pour toutes les informations complémentaires

CCH LE BOUSSI

Bureau camerone

063846 92 83


Réponse à « Qui sont ces deux capitaines du 1er REC décorés par le général Barlier commandant de la Base de Mers el Kebir en février 1965. »

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Les armes à la main

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Jean-Luc Messager

A la déclaration de la guerre, en septembre 1939, des milliers d'étrangers demandèrent à combattre dans les rangs de l'armée française. Or la loi ne permettait pas à un étranger de contracter un engagement dans une unité " régulière ". Aussi avait-on prévu un Centre mobilisateur spécialisé, annexe du dépôt commun des Régiments étrangers de Sidi-bel-Abbès, qui commença par mettre sur pied le 11e Régiment Etranger d'Infanterie, puis le 12e et compléta la 13e Demi-brigade venue d'Afrique du Nord et qui fut envoyé en Norvège. Mais il y eut un tel afflux de candidats à l'engagement que la création d'un deuxième centre d'engagement et d'instruction s'avéra nécessaire. Il prit le nom de Dépôt commun des Régiments de Marche de Volontaires Etrangers, et fut installé au camp du Barcarès dans les Pyrénées-Orientales. Ce dépôt reçut mission de recruter, former et instruire les 1e, 2e, 3e Régiments de Marche de Volontaires Etrangers qui prirent les numéros : 21, 22 et 23. Un bataillon autonome destiné à la Syrie fut aussi créé... Parmi ces volontaires de nombreux Russes blancs, des Arméniens, des Italiens, des Polonais, des Allemands antinazis des Espagnols républicains et une importante majorité de Juifs d'Europe centrale et Orientale dont le sacrifice reste encore méconnu. A l'issue des combats, 13 citations à l'ordre de l'Armée furent accordées à des unités d'Infanterie. Sur ce maigre total, quatre l'ont été à des régiments étrangers : les 11e et 12e REI et le 22e RMVE pour leur comportement en France, la 13e Demi-brigade pour son comportement en Norvège. Ainsi, sur près d'un million de fantassins engagés, moins de 20 000 fantassins étrangers ont glané à eux seuls le tiers des distinctions accordées à toute l'Infanterie... C'est le but de cet ouvrage, à travers de nombreuses archives inédites et après avoir recueilli de nombreux témoignages, que de rendre justice à ces volontaires étrangers que l'Histoire a oublié.

 

Grand format - 21.00 €


Dauntless and Determined

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January 9, 2017 By Viki Eierdam


More than any other sector, veterans struggle with homelessness and unemployment. Even those returning with few physical injuries must deal with significant mental and emotional scars. One group of men in the Willamette Valley has taken their personal stories and launched a wine company aimed at tackling these tough issues, restoring dignity to wounded soldiers in the process.

Dauntless Wine Cømpany was founded in 2014 by Marine veterans Ryan Mills, Ben Martin and Paul Warmbier; each served at least one deployment in Iraq.

From the battlefield to their communities back home, they continue to apply their unique skills in helping others. For example, Mills and Warmbier worked for Team Rubicon, an organization that joins the skills and experiences of military veterans with first responders to rapidly deploy emergency rescue teams.

After years of working with other nonprofit organizations helping veterans, the three decided to try a different approach, drawing inspiration from the French Foreign Legion. Evidence dating to Roman times suggests that land was granted to returning soldiers, which many planted in vines. More recently, the Institution des Invalides de la Legion Etrangère was created in 1953 in the shadow of the Sainte Victoire Mountain in the south of France. It is a château where retired legionnaires can live out their days and tend to The Legion vineyards.

This concept resonated with Martin.

“Studies have shown that tactile therapy — being able to work with your hands and be in a comfortable environment — is good for traumatic brain injuries (TBI) and PTSD. Combat veterans, for their whole enlistment, are trying to destroy with extreme prejudice. We’re introducing the flip side; creating something is the idea behind it,” Martin explained.

Still in its infancy, Dauntless currently crafts wines out of the ADEA winemaker studio in Gaston.

Their labels tell the story. No Man’s Land Chehalem Mountains Pinot Noir, comprised of all Wädenswil, depicts the wasteland that claimed many of the 20 million lives lost during World War I.

“We remember this war and horror so as to honor those who gave their lives in the trenches,” Warmbier added.

The wine itself, gently pressed, unfiltered and minimally fined, was aged in French oak, on the lees and stirred to provide a full flavor profile.

Dauntless’ most popular wine, Howitzer Willamette Valley Pinot Noir, pays homage to the artillery piece dating to the 1420s — American oak lends it a more robust character.

Offering a crisp balance of fruit and floral notes, Trenton Willamette Valley Pinot Gris depicts a scene honoring the Battle of Trenton, the historically significant conflict waged on a frigid morning in December 1776.

The fourth and final wine, Dauntless’ barrel-select Pinot Noir Reserve, is a sage offering with the complexity of experience and elegance of perseverance; the label’s rifle stack represents the three men coming together to create the winery.

Current case production for 2015 sits at only 300 — still in barrel, 2016 production is estimated at 800 to 900 — but the partners have a vision that’s gaining momentum. Their objective is to purchase a vineyard and support a totally veteran staff. They even envision long-term housing options for returning soldiers with rehabilitation opportunities.

“The thing with veterans is they want to be around like-minded individuals,” said Martin. “They need space to do meaningful work and a creative space to feel safe and not judged by society. Granted, right now, we can’t hire all the veterans we want to, but the ones we’re able to hire have been so grateful. Our goal is to offer them a safe place, and I don’t think a lot of veterans think of agriculture as an opportunity.”

The outpouring of support has spurred on Dauntless. From Dean Fisher at ADEA to Jesse Estate Vineyards and Sass Winery, the industry has shown support in ways Martin never would’ve imagined. He went on to say that Gary Mortenson of Stoller Family Estate was instrumental in helping Dauntless refine their brand before they even had a label.

Registered with Homegrown by Heroes — the branding arm of the Farmer Veteran Coalition (FVC) — Dauntless received a $5,000 grant from the FVC, instrumental in paying for bottles and labels for their 2015 vintage. They’ve made a voluntary decision to repay that kindness to ensure that the FVC is available for other veterans.

Future profits will support local veteran charities. NW Battle Buddies, located in Battle Ground, Washington, has been discussed. The organization trains and donates service dogs to veterans suffering from PTSD. “We love what they do for veterans on the person-to-person level,” said Warmbier .

When Dauntless case production grows, they’d like to earmark each individual offering for a different charity and give back even more on a national level.

Dauntless also wants to be a clearing house, of sorts, for vineyards seeking veteran help, veterans hoping to start their own vineyards and everything in between in the Willamette Valley area. They’re already fielding local calls as well as inquiries from California. Their driving force is to help veterans and they recognize agriculture as the synergistic platform for their cause.

“We need farmers. Veterans need meaningful work,” Martin said. “They (military veterans) have attention to detail. They know hard work. They’re accustomed to long days. They don’t shirk responsibilities. It’s just a perfect fit, I think.”

For more information, go to www.dauntlesswine.com.

Viki Eierdam is the wine columnist for The Columbian and a freelance writer. She lives in Battle Ground, Washington.


Voeux du COL Duronsoy

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Voeux de l'AALE Bordeaux - Gironde

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