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Légionnaire toujours...

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2016




Au Mexique.

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Guerre du Mexique.

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Sortie le 21 novembre de "Légionnaire"

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Ainsi va le monde !

mardi 1 novembre 2016


"J'avais envie de donner par l'image un autre regard sur les légionnaires d'hier et d'aujourd'hui dans leur histoire (l'interview) et dans leur présent (la photo). Comme d'habitude dans mon travail, pas d'artifice seulement le légionnaire et moi" explique Victor Ferreira, ancien de la Légion, pour présenter son nouvel ouvrage, "Légionnaire" auquel est associé Bertrand Constant, officier ayant servi au 2ème Régiment étranger de parachutistes (REP) et auteur des textes. 64 photos réalisées par l'ancien sous-officier devenu reporteur-photographe, sont publiées dans cet ouvrage de 160 pages.

Victor Ferreira le passionné, auteur de son deuxième ouvrage sur les képis blancs dit encore : "Aller à la rencontre de ces hommes m'a permis de faire émerger des émotions parfois enfouies, mais surtout ceci m'a donné l'opportunité, sans fard ou dissimulation, de partager un quotidien simple, propice à des photos qui reflètent plus l'humanité de ces hommes qu'un quelconque rendez-vous avec le passé." Légionnaire sortira le 21 novembre (Mareuil éditions, 20 €).


La Légion étrangère honore ses morts lors d’une cérémonie

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Objectif Gard

4 novembre 2016

 

Mercredi, à Orange (DR)

Mercredi, à Orange (DR)

Une cérémonie d’hommage aux morts de la Légion étrangère se tenait mercredi au cimetière du Coudoulet, à Orange, qui comprend un carré Légion de 98 tombes de Légionnaires ayant choisi de reposer parmi leurs pairs.

Le commandant de la Légion étrangère le général Maurin, les autorités militaires, les représentants des anciens combattants et les familles étaient présents pour cette cérémonie.

Le dernier Légionnaire à avoir été inhumé au carré Légion est le major Nikolic, basé au 1er REG de Laudun-l’Ardoise, tué en mission au Mali le 14 juillet 2014. Par ailleurs, c’est au 1er REG que revient la tâche de l’entretien du carré Légion depuis le départ du 1er REC d’Orange.


Les Newsletters du CEACH.

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Les Newsletters du CEACH


Inauguration Rue Commandant Hélie de Saint Marc - Crest - 11 novembre 2016

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Chers Amis, Chères Amies,

Combien, parmi les 36 000 communes de France, ont une rue, avenue ou square au nom du Commandant Hélie Denoix de Saint Marc ?

100, 500, 1 000,... ?

NON ! Aujourd'hui, seules 3 communes ont nommé une avenue ou une rue du nom de cette personnalitéd'exception aux hautes valeurs morales et au sens de l'honneur indiscutable (Saint-Leu-La-Forêt, Béziers, Orange).

La quatrième ville sera CREST !

Nous devons nous mobiliser et apporter notre soutien au Député-Maire de Crest, par une présence nombreuse à ses côtés.

Je compte sur vous.

Vous trouverez ci-dessous et en pièce jointe, l'invitation d'Hervé MARITON, Député-Maire de Crest.

Amicalement

Bernard CINI

(président)

 


Prise d'arme au cimetière de l'URANIE a PAPEETE ( carré legion ) 02/11/2016

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LAUDUN-L’ARDOISE Soldats, Harkis, Légionnaires : un mémorial pour un triple hommage

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Objectif Gard

29 octobre 2016

Ce matin, à Laudun-l'Ardoise (Photo : Thierry Allard / Objectif Gard)

Ce matin, à Laudun-l'Ardoise (Photo : Thierry Allard / Objectif Gard)

« Ici, à Laudun-l’Ardoise, nous sommes directement plongés dans l’histoire contemporaine de France » : la phrase du député Patrice Prat résumait bien l’idée du nouvel espace commémoratif de la commune.

C’est qu’il s’agissait ce samedi matin d’inaugurer non pas un, mais trois monuments liant l’histoire de la commune à celle du pays : le monument aux morts des première et seconde guerres mondiales, une stèle en hommage aux Harkis passés par le château de Lascours et un monument en hommage aux 9 cadres ou légionnaires du 1er REG morts au combat.

« C’est un siècle d’histoire et une même idée de la France qui se retrouvent ici »

« Alors que la France célèbre le centenaire de la Grande Guerre, il était important d’honorer les héros de tous les combats du XXème siècle », explique le maire Philippe Pécout, qui, au delà de l’hommage, compte aussi « délivrer un message laïc et républicain. » Un lieu comme « un remarquable raccourci de notre histoire des cent dernières années, et un magnifique symbole », estime pour sa part le sous-préfet Carl Accettone pour qui « c’est un siècle d’histoire et une même idée de la France qui se retrouvent ici. » « Un lieu pour marquer notre attachement au devoir de mémoire », lancera Patrice Prat, avant de réaffirmer qu’il fallait « travailler sans cesse pour cimenter notre cohésion et gagner la paix. »

Ce matin, à Laudun-l'Ardoise (Photo : Thierry Allard / Objectif Gard)

Ce matin, à Laudun-l'Ardoise (Photo : Thierry Allard / Objectif Gard)

Dans son discours, Philippe Pécout a ensuite rappelé l’existence des « 52 poilus laudunois et l’ardoisiens, dont 11 ont été tués au front », puis la « terre de résistance » qu’a été le Gard rhodanien. Une terre qui reste aujourd’hui encore fortement militaire, avec la présence du 1er Régiment étranger de génie de la Légion étrangère à l’Ardoise depuis 32 ans. Un régiment qui a perdu 9 hommes au combat depuis, et au nom duquel son chef de corps le colonel Emmanuel Phelut a salué « un lieu de mémoire qui est à la fois un hommage à nos morts et un acte politique de résistance qui marque également l’ancrage fort du régiment. » « Ce monument rappelle la valeur et le courage de ces combattants qui luttent pour protéger les populations », a pour sa part salué Philippe Pécout.

Après l’hommage, une proposition de loi pour les Harkis

Concernant la stèle en hommage aux Harkis, la secrétaire de l’Association des rapatriés et anciens combattants Harkis Fatiha Gasmi a rappelé que « plusieurs milliers de familles ont vécu sur ce site à partir de 1962, dans le froid, la maladie et pire, l’abandon de l’Etat qui ne voulait pas de nous. » « C’étaient des conditions humanitaires dramatiques », note le maire Philippe Pécout, « épouvantables », selon les mots du sous-préfet, qui évoque « l’histoire tragique de ces Hommes restés fidèles à la France. » La secrétaire de l’Association des rapatriés et anciens combattants Harkis a également affirmé qu’« aujourd’hui encore, les Harkis sont victimes d’injures, et injurier un Harki, c’est injurier toute la France. » Une France qui doit aujourd’hui « regarder en face son histoire et voter enfin une loi de reconnaissance et de réparation », pour Fatiha Gasmi.

Le député Patrice Prat déposera « courant novembre une proposition de loi pour reconnaître officiellement l’abandon des Harkis par l’Etat français », nous a-t-il indiqué en marge de la cérémonie. « Ce lieu est important, c’est un symbole fort, estime pour sa part le militant Harki Hocine Louanchi. Mais que des hommes politiques s’intéressent à nous c’est aussi très important. Ça commence à bouger, nos actions commencent à porter leurs fruits. »

Thierry ALLARD


Boutons de manchettes (et pin's) Légion

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Madame, monsieur,

A l'approche de Noël, je me permet de vous présenter un aperçu de nos boutons de manchettes (déclinés également en pin's )  "Légion étrangère " qui peuvent être un cadeau apprécié. Nous avons l'équivalent pour d'autres armes et unités.

Pour information, nous sommes désormais le N°2 des boutons de manchettes en France; au travers du site http://www.autrepairedemanches.fr/

Je cherche actuellement à rentrer en relation avec des officiers tradition, communication, maître-tailleurs , boutiques susceptibles de trouver un intérêt pour ces boutons (cadeaux, boutiques, etc.)
AInsi, je serais ravi d'en discuter avec vous si vous y voyez un quelconque intérêt.

NB : les boutons sont proposés avec un élégant écrin, prêt à offrir.


Bien à vous

( CNE (er) ) C V
Dirigeant AQUILA - UAPDM


Un colloque à Reims sur l’Alliance franco-russe à l’épreuve de la Grande Guerre

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L'histoire en rafale

Posté le 26 octobre 2016

« L’Alliance franco-russe à l’épreuve de la Grande Guerre  » tel est le titre des journées d’études qui sont annoncées au palais du Tau à Reims dans le département de la Marne, le mercredi 16 et le jeudi 17 novembre 2016. Si l’on évoque Verdun et la Somme comme les deux temps forts du conflit en cette année 1916 en France métropolitaine, il faut pourtant tenir tout le front et en particulier les tranchées de Champagne dans la Marne. De nouveaux combattants venus de Russie arrivent dans le département et vont se distinguer en cette année-là puis en 1917 dans le secteur d’Auberive, de Saint-Hilaire-le-Grand puis de Courcy et de Sapigneul.  Le conseil départemental de la Marne et l’ambassade de Russie en France ont donc préparé un temps d’histoire autour du séjour et de l’action des soldats russes dans cette partie du front.

Le mercredi 16, après l’ouverture protocolaire par le sénateur René-Paul Savary, président du conseil départemental et Konstantin Pakhorukov, attaqué culturel à l’ambassade de Russie, le colonel Frérédirc Guelton fera une présentation générale puis Marie-Pierre Rey, professeur à l’université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne évoquera les relations franco-russes à la veille de la Premier Guerre mondiale. Frédéric Dessberg, maître de conférence aux Ecoles de Saint-Cyr-Coëtquidan parlera des Français en Russie puis Jean-Jacques Charpy, ancien conservateur du musée municipal d’Epernay fera une communication sur le Baron de Baye, anthropologue et archéologue marnais avant que le commandant Michaël Bourlet, historien  traite comme sujet les « Russes en France ». Véronique Gautherin, adjointe à la directrice du musée Zadkine retiendra l’attention sur « L’engagé volontire dans la Légion étrangère pour la durée de la guerre Ossip Zadkine? »

L’après-midi de cette première journée de travail verra se succéder le professeur Andrey Pavlov, de l’université de Saint-Petersbourg sur le thème :  » Le soldat et l’arme russe au début de la guerre », Konstantin Pakhalyuk, membre de la société russe d’histoire militaire sur ‘L’armée russe au combat 1914-1916″. Alexandre Sumpf, maître de conférence à l’université de Strabsourg parlera de l’offensive du 16 avril 1917 et de la prise de Courcy vue par le peintre Alexandre Zinoniev tandis que le colonel Frédéric Guelton évoquera :  » La fin du Corps expéditionnaire et la création de la Légion russe ». Claudine Cimatti, petite fille de Sergeï Ivanov, aura comme sujet :  » L’exemple du parcours de Sergeï Ivanov et le bouleversement d’une vie ».

Le jeudi 17 seront d’abord évoqués par le colonel Guelton, les destions des hommes du corps expéditionnaire puis Janina Konyaeva, doctorante à l’université de Strasbourg s’interessera à ce sujet :  » Les oubliés de l’histoire le sort des prisonniers russes utilisés sur le front ouest par les autorités allemandes : l’exemple de l’Alsace.  Alexandre Sumpf fera une seconde communication centrée cette fois sur la vision cinématographique stalinienne du Corps expéditionnaire russe. puis Andreï Korliakov, historien et iconographe de l’émigration russe traitera de l’Emigration russe en France et de sa construction mémorielle ».


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