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2016




Le 2e régiment étranger de génie et ses insignes

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A propos de l’ouvrage « Organisation hors père »

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Avril 2016

Entretien de l’éditeur Luc Vidal (Editions du petit Véhicule) avec l’auteur

Luc Vidal. Ce livre est bien différent de vos autres publications. Cette fois vous parlez exclusivement de votre mère. Pour quelle raison ?
Jean Amyot d’Inville. D’habitude ce sont surtout des hommes je présente, notamment ceux que j’ai rencontrés dans ma vie professionnelle de « communicant ». Et quand on évoque ma famille il s’agit toujours des « Quatre frères pour la France ». On avait oublié ma mère à qui je voulais rendre hommage.

LV. Sa qualité principale ?
JAI. L’organisation comme cela figure dans le titre. Pour assumer toutes ses tâches de mère de cinq enfants, de maitresse de maison, de professeur et parfois d’étudiante, de voyageuse et de bridgeuse, elle faisait souvent deux choses en même temps. Avec parfois le risque de ne pas vivre le temps présent, comme cette visite du Musée du Louvre au pas de course… Mais toujours l’obligation de résultat. Autre qualité, la confiance. En plus des voyages en famille, j’ai pu notamment faire des milliers de kilomètres en parcourant l’Europe en auto-stop. Accord immédiat.

LV. Et comme professeur ?
JAI. Elle a eu des milliers d’élèves – environ 400 chaque année – à L’Adoration et à La Providence à Rennes. Pour enseigner les sciences naturelles elle racontait des histoires, faisait beaucoup d’expériences, disséquait des souris et emmenait les élèves sur le terrain, par exemple voir les roches à Mortain. J’ai reçu des témoignages très émouvants d’anciennes élèves après son décès. Elle faisait vivre ce qu’elle disait et enseignait.

LV. Cette organisation venait-elle de ses origines ?
JAI. Sans doute. La solidité du granit armoricain, celui du Finistère et du Cotentin. Les circonstances aussi puisqu’elle a perdu sa mère quand elle avait quatre ans – son père s’est remarié huit ans plus tard à Nantes – et qu’elle s’est retrouvée veuve à 29 ans avec ses cinq enfants. C’était au Maroc, pendant la Guerre. Et elle est passée, sans problèmes, de la chaleur africaine au crachin breton qu’elle appréciait d’ailleurs beaucoup. Elle aimait les jeux de société et particulièrement les cartes. Elle a aussi tapissé quantité de fauteuils, chaises, tabourets et même un canapé tout en entretenant la conversation. Pendant un seul hiver elle a tricoté 50 lapins pour une œuvre caritative. Oral et écrit : elle a adressé des milliers de lettres, toujours réconfortantes et optimistes.

LV. Sans doute aidée par son « milieu » favorisé
JAI. Elle assumait totalement ses origines de vieilles familles dites « nobles » qui exigent d’abord le respect envers les autres, tous les autres, sans aucune condescendance. Les circonstances ont fait aussi que nous étions plutôt des « aristos fauchés », peu avides de mondanités – encore moins de superficialité – comme on peut le croire quand on évoque ce qu’on appelle parfois encore l’aristocratie. Je cite la phrase savoureuse d’Alphonse Allais sur les « re, de, de ». « Il est toujours avantageux de porter un titre nobiliaire. Etre « de quelque chose » ça vous pose un homme comme « être de garenne » ça vous pose un lapin ». D’ailleurs tout cela ne veut plus rien dire : la vraie noblesse est celle du cœur, et elle le montrait bien !

LV. Peu de place pour la fantaisie …
JAI. Mais si ! Elle riait beaucoup. Et son humour a rejailli sur nous, ses cinq enfants. Elle pratiquait aussi l’autodérision, préférable à la moquerie, souvent méchante, envers les autres qui est un sport fort pratiqué de nos jours. Je termine le livre par les fous rires qu’elle avait aux enterrements, pas seulement en raison de l’émotion. D’ailleurs, le jour de son enterrement, elle nous a adressé deux clins d’œil. Et, hasard, coïncidence, providence ? La dernière lettre que mon père lui a adressée en avril 1943 – et qu’elle a reçue après sa mort – faisait état de ses fous rires pendant une messe pendant la Campagne de Tunisie. Comme quoi « Foi et joie » ne sont pas incompatibles. Ces deux mots auraient pu aussi faire un bon titre ! Ou alors : « A bras le corps … et au pas de course ».


À Valence, un ancien légionnaire achète un appartement... spécialement pour héberger les SDF !

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Publié le 09/12/2016 Par Nathan Weber

Parfois, les véritables héros ne sont pas ceux que l’on voit le plus…

Éric Ondoua est un ancien légionnaire, fan de free-fight et garde du corps de profession. Et c’est également, malgré sa carrure imposante, un homme d’une douceur et d’une bonté incroyable : car le premier front sur lequel il combat, c’est la lutte contre le mal-logement et la précarité.

Le Dauphiné Libéré - Drôme

Ainsi, il vient tout juste d’acheter un appartement à Valence… spécialement pour y héberger des SDF !

À lui seul, il a déjà accueilli une quarantaine de personnes en quelques semaines. L’endroit est ouvert à tous les sans-abri ou autres « personnes en galère » qui ont la volonté de retomber sur leurs pattes, et pour les y aider, il leur offre à leur arrivée des kits avec de quoi s’habiller, des produits de toilette et de la literie.

Il procure cette aide de manière totalement bénévole à travers l’association qu’il a montée, TEAMBMONDE, mais attention cependant : il ne s’agit pas de rester les bras croisés, c’est la seule règle chez Éric ! « Ils peuvent rester plusieurs nuits, mais il y a des règles fixes ici : le lever matinal, et après je veux que la journée, ils cherchent à s’en sortir. Ils ont une aide administrative avec des bénévoles et deux séances de sport obligatoire,» explique-t-il au Dauphiné Libéré.

Plus qu’une aide temporaire, Éric Ondoua tient surtout à ce que ses protégés s’en sortent par leurs propres moyens, afin qu’ils puissent reconquérir leur dignité. Pour cela, il est bien sûr nécessaire d’avoir un point d’ancrage avec la possibilité de se laver et de se changer, ce qui peut les aider à trouver du travail plus facilement.

Éric-Love Ondoua / FACEBOOK


L’association TEAMBMONDE fonctionne aussi grâce aux dons sur des plateformes de financement participatif, et à travers Facebook. Elle reçoit également des dons en vêtements, en matériel de puériculture, mais aussi des meubles pour aménager l’espace.

Si vous êtes intéressé pour aider Éric, vous pouvez le suivre sur sa page Facebook Éric-Love Ondoua ou bien vous rendre sur la plate-forme de financement participatif Cotizup.


BAGNOLS Les élèves de la classe défense et citoyenneté formés aux gestes qui sauvent

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Objectif Gard

9 décembre 2016

Les jeunes de l'atelier défense et citoyenneté du lycée Sainte-Marie de Bagnols ont reçu un diplôme de formation aux gestes qui sauvent (Photo : Thierry Allard / Objectif Gard)

Les jeunes de l'atelier défense et citoyenneté du lycée Sainte-Marie de Bagnols ont reçu un diplôme de formation aux gestes qui sauvent (Photo : Thierry Allard / Objectif Gard)

 

La première promotion de l’atelier défense et citoyenneté du lycée professionnel privé bagnolais Sainte-Marie a reçu mercredi après-midi à la caserne des pompiers de Bagnols-Tresques une formation aux gestes qui sauvent.

Une nouvelle étape dans la formation qui leur est dispensée en partenariat avec le 1er REG de la Légion étrangère de Laudun-l’Ardoise et donc les sapeurs-pompiers bagnolais, sanctionnée d’un diplôme qui leur a été remis mercredi en fin d’après-midi par le président du conseil d’administration du SDIS du Gard Alexandre Pissas.

« En 90 secondes, on peut sauver une vie »

« En 90 secondes, on peut sauver sa propre vie, celle d’un membre de sa famille ou de son voisin », a d’abord rappelé l’élu, chirurgien dans le civil. Un élu qui en a profité pour rappeler que la culture du risque, et donc notamment l’appropriation par le plus grand nombre des gestes qui sauvent, étaient au coeur de la mission interministérielle qui lui avait été confiée en 2015 par l’alors ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve.

L’appropriation de ces techniques par les plus jeunes a été abordée par Alexandre Pissas : « je suis aussi allé au ministère de l’Education nationale, et ils sont d’accord pour à terme en faire une matière obligatoire au moment du brevet des collèges, et des collègues maires proposent d’essayer de donner une culture du risque dans le cadre des temps d’activités périscolaires. » Et l’élu d’appuyer son propos avec l’exemple des Alpes-Maritimes, où c’est « dès l’école maternelle. »

Les seize jeunes de l’atelier ont donc été formés par des sapeurs-pompiers professionnels et diplômés, contribuant à leur échelle à la grande cause nationale « adoptons les gestes qui sauvent » décrétée en septembre dernier suite aux attentats de Paris, Saint-Denis et Nice.

Thierry ALLARD


La Légion étrangère au combat 1914-1918

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Éditions La Simarre, éditeur, imprimeur à Joué-lès-Tours

Format 22 x 22

112 Pages

DESSINS DE MARCEL DURIEUX

TEXTE DU LIEUTENANT-COLONEL PHILIPPE PASTEAU

Préface Serge Babary et Jacques Chevtchenko

Avant Propos Général de division Jean Maurin

En collaboration avec la Ville de Tours

12 €


Décès de Madame Monique Lagarde

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Zadkine et la Première Guerre Mondiale : survivre grâce au dessin

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http://www.exponaute.com/magazine/2016/12/02/zadkine-et-la-premiere-guerre-mondiale-survivre-grace-au-dessin/

Agathe Lautréamont 2 décembre 2016

 

Des dessins, des esquisses, des gravures, autant de témoignages monochromes, parfois rehaussés de quelques rares touches de couleurs, d’un homme dont la foi en l’Humanité fut brisée par l’expérience de la Première Guerre Mondiale. Le Musée Zadkine de Paris dédie un petit parcours temporaire aux œuvres réalisées par l’artiste d’origine russe. Des œuvres de petit format, réalisées directement sur le front, avec les moyens du bord, comme on dit. Des feuilles qui sentent la terre, l’humidité, le froid, la peur, l’attente d’une nouvelle attaque imminente, d’une nouvelle charge pour un bout de terre qui sera perdu de lendemain face à l’ennemi. Visite.

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Ossipe Zadkine, Scène d’évacuation, 1916 © BDIC, musée d’Histoire contemporaine

Approche originale pour une exposition temporaire, les pièces présentées sont mélangées à la collection permanente. C’est donc dans une scénographie étonnante que le Musée Zadkine propose aux visiteurs l’événement « Des(T/s)in(s) de guerre », que les visiteurs peuvent découvrir jusqu’au 5 février prochain. Lorsque le Premier Conflit Mondial éclata, en 1914, Ossip Zadkine était âgé de vingt-six ans et ne vivait à Paris que depuis 1909. Désireux d’aider de son mieux au long du conflit, il devint engagé volontaire dans la Légion Étrangère, comme 45 000 autres hommes.

Sur le front, il fut brancardier, prenant soin des hommes, évacuant les blessés, sauvant des vies quand il le pouvait, recevant le dernier souffle lorsqu’il n’y avait pas d’autre issue. Au plus près des conflits, sur le front de la Champagne, il vit, horrifié, des corps d’hommes déchiquetés par les éclats d’obus. Il entendit les cris affreux des blessés fauchés par les balles lors d’une énième charge vaine pour arracher aux « Boches »  une parcelle de boue trouée de cratères qui dans une heure, un jour, une semaine, sera immanquablement reprise.

Ossip Zadkine (1890-1967). "Le repos de deux soldats". Eau-forte sur papier extraite de l'album "Vingt eaux-fortes de la guerre 1914-1918", édité en 1918 et imprimé par la Maison Wittmann. Paris, musée Zadkine. Dimensions: 27,9 x 36,5 cm

Ossip Zadkine, Le repos de deux soldats, 1918 ©  Paris, musée Zadkine

En 1916, Zadkine fut lui-même victime de ce conflit inhumain : il inhala un gaz, surnommé « l’étoile blanche ». Ce mélange de chlore et de phosgène  a la particularité d’être incolore et exhale une odeur faisant penser au foin fraîchement coupé. Ou quand la mort se déguise sous les oripeaux d’une senteur bucolique et rassurante… Il ne fut réaffecté qu’au mois de février 1917, après plusieurs mois de convalescence dont il sortit avec un poumon gravement atteint. Mais trop affaibli par le terrible gaz, il fut finalement réformé au mois d’octobre 1917.

De cette expérience effroyable, de cette observation au plus près des désastres de la guerre, des horreurs du premier conflit dit « moderne », Zadkine rapporta une trentaine de dessins. Des œuvres de petits formats que l’on peut découvrir aujourd’hui parmi les sculptures composant la collection permanente du Musée Zadkine. Elles sont émouvantes, éloquentes, parfois pathétiques et nous laissent le cœur serré. Que voyons-nous ? Des feuilles de papier brun à la surface grossière, couvertes de tracés noirs.

Les Blessés

Ossip Zadkine, Les Blessés, 1918 © Paris, musée Zadkine

Les bords de la feuille ont été rongés par l’humidité, tâchés (est-ce là du sang, que l’on devine, marron et craquelé ?), grignotés par un siècle d’existence. Mais l’évocation de la monstruosité de la guerre en ressort d’autant plus vivace. Dans un style direct, rectiligne, aux perspectives floues ou volontairement brouillées, Zadkine raconte silencieusement son quotidien de brancardier. L’atmosphère est étouffante. Nous sommes pris au piège en même temps que l’artiste dans les infirmeries de fortune aménagées à l’intérieur des tranchées.

Çà, un corps est allongé, une jambe ou un bras ont été déchiquetés par une explosion. Là, trois soldats semblent mourir d’épuisement, affalés sur une table sommaire où l’on devine, esquissés par quelques coups de crayon, un paquet de cartes à jouer ou une bouteille d’alcool. Sur un morceau de carton d’emballage maladroitement découpé, des ambulances s’éloignent du front tandis que deux infirmiers évacuent un corps inerte, dont on ne parvient pas à déceler les traits du visage.

La Popote

Ossip Zadkine, La Popote, 1918 © Paris, musée Zadkine

L’émotion est d’autant plus forte lorsque le parcours de l’exposition nous apprend que c’est là la toute première fois où ces dessins et gravures (lithographies qui furent réalisées au retour du front par Zadkine) sont réunis au sein d’une même exposition.

Est-ce là le sentiment de désespoir profondément ressenti par Zadkine ? Toujours est-il qu’il n’y a jamais d’horizon sur ces dessins. Nous évoluons en même temps que l’artiste dans un petit monde clos, sombre, terreux, oppressant, où il est impossible d’espérer une échappatoire, impensable de croire en un ailleurs meilleur. Nous sommes là, prisonniers de la crue réalité des conflits, malmenés par la folie humaine.

Il n’y a plus rien que les corps d’hommes broyés, au sens propre comme au figuré, des visages qui arborent des yeux aux orbites vides. Les mutilés sont omniprésents, l’impuissance ressentie par Ossip Zadkine est palpable. Une exposition puissante donc, pour se souvenir.


La Tribune de Diego

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consomation en pièces de rechange sur 12 mois entre 2014 et 2015 pour... un poste de travail
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Le 4e RE a baptisé sa 6e compagnie, héritière de la 6e compagnie portée

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Lignes de Défense

24.11.2016

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J'avais annoncé, il y a quelques mois (lire ici), le projet de création d'une compagnie de réserve au sein du 4e régiment étranger. C'est désormais chose faite. 40 réservistes ont déjà été recrutés et ils ont effectué leur FMIR (formation militaire initiale du réserviste) entre le 4 et le 19 novembre.

Le 19 novembre, lors de la cérémonie célébrant le quarantième anniversaire de l'implantation du 4e RE à Castelnaudary, la 6e compagnie a été officiellement "baptisée". Elle reprend les traditions de la 6e compagnie portée.

Le capitaine Toulouse a pris le fanion de la 6e compagnie qui est actuellement composé d'une section dirigée par l'ADC Martins (photo 4e RE).

Son fanion est de couleur blanc supérieur et rouge inférieur, dans un carré coupé en deux en diagonale.

Des réservistes de cette compagnie portent un képi "infanterie" noir, le képi blanc étant réservé aux seuls ex-légionnaires.

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"Légionnaire", comprendre de l’intérieur la Légion Étrangère et de ses hommes

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Corse Net Infos - Pure player corse

Rédigé par le Samedi 26 Novembre 2016

Pour la première fois, un ancien officier de la Légion et un Légionnaire donnent la parole à 64 de leurs camarades. Pendant 2 ans, Victor Ferreira a rencontré près d’une centaine de Légionnaires à travers le monde en leur posant toujours les mêmes questions. Ceux-ci se sont livrés en confiance parfois même en poésie. Bertrand, en transformant les entretiens et les questions en narration s’est attaché à préserver la sincérité et l’exactitude de leurs propos. Ce livre unique permet de comprendre de l’intérieur la Légion Étrangère et notamment ces hommes aux parcours si différents qui ont tous fait un jour le choix de s’engager pour un même idéal.

L’Extrait
« J'ai arrêté le lycée en 1re pour faire une carrière de footballeur professionnel. J'ai échoué, et comme il n'y a rien à faire d'intéressant dans mon pays, je suis venu en France. J'ai continué à jouer au foot en amateur, en DH, et j'ai encore arrêté, ça ne marchait toujours pas. Mon frère est Légionnaire au 2e REI à Nîmes. Il m'en parlait constamment. Il m'a raconté comment se passait la vie de Légionnaire, tout ce qu'il y avait d'extraordinaire à ses yeux. Et il dénigrait toujours le foot : pas assez ambitieux. Il m'a retourné la tête à force et j'ai fini par voir la Légion comme un défi. Je voulais montrer à mon frère que « j'en avais aussi » !
(Georges, 29 ans, du Sénégal»)

Le Livre
Légionnaire est un livre unique. Du plus jeune au plus ancien, du nouvel engagé volontaire à l’officier, du Français d’origine au lointain Kirghize, soixante quatre légionnaires se sont laissés photographier, malgré la tradition de l’anonymat, tout en mettant « leur cœur sur la table ».

Un jour, ils ont franchi la porte d’un centre de recrutement de la Légion Étrangère.;
Pourquoi ? Pour quelles raisons ont-ils choisi d’abandonner leur première vie et d’en conquérir une seconde ? Au nom de quoi ont-ils accepté de risquer la mort au service de la Légion, et donc au service de la France ?

Entre confessions et révélations, ce livre est une rencontre exceptionnelle avec ces soldats mythiques, partout admirés, craints sur tous les théâtres d’opération et que le monde entier nous envie. Chaque portrait, composé d’une photo et d’un monologue, propose au lecteur une expérience hors du commun : devenir Légionnaire à son tour. Au moins le temps d’une lecture…

Les auteurs

Né au Portugal en 1963, Victor Ferreira a quitté son pays en 1983 pour venir en France. Il s’est engagé à la Légion Étrangère en 1984. Il a servi au 4e RE (Castelnaudary), à la 13e DBLE (Djibouti), au 3e REI (Kourou) et au 2e REI (Nîmes), où il a fait la plus grande partie de sa carrière et a participé à de nombreuses opérations extérieures. Il a quitté la Légion fin 2007 en tant qu’adjudant-chef. Reporter-photographe, il se consacre à des projets artistiques : expositions photographiques, écriture de livres (La Légion dans la peau, La traversée des Pyrénées), films documentaires...

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Mareuil Editions – 46 rue Raffet – 75016 Paris

Saint-Cyrien, Bertrand Constant débute sa vie professionnelle comme officier parachutiste dans l’Armée de Terre. Pendant trois ans, il va commander une section de combat du 2e Régiment Étranger de Parachutistes, basé à Calvi. En 2000, il quitte la Légion et prend une année sabbatique au service d’une mission humanitaire installée au Brésil. À son retour, il choisit de réaliser un vieux rêve de jeunesse et se lance avec succès dans une carrière de comédien et de réalisateur.


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