Mon Colonel,
Effectivement le nombre de sépultures militaires est impressionnant à Madagascar, plus de 70 cimetières recensés..Il y a encore du travail à très longue échéance, mais certaines associations (comme les enfants du soleil à Tana) n’hésitent plus à s’investir.
En attaché, un article qui vient d’être publié dans le dernier numéro de La Tribune de Diégo : le CID sous son appellation actuelle de Centre Commando, revit….doucement mais surement, puisque des élèves officiers passent pour compléter leur formation ; l’enseignement est un curieux mélange de données modernes (type de combat) et anciennes (CID), et le renouveau de la coopération balbutiante entre armée malagasy et française (DLEM Légion), y est pour beaucoup, puisque des DIO (det.interv.opérat.) se sont déroulés à Ramena et que le personnel formé sert immédiatement d’encadrement à Cap Diégo ; j’y ai vu des restitutions actualisées, et un certain cadre sous-officier sup. du DLEM doit être satisfait de la portée de sa formation.(mais le manque de moyens est problématique, quant à une bonne sécurité et efficacité).
Le Nord de l’ile bouge, et mon Colonel, vos encouragements motivent.
Une pensée pour nos Lieutenants CID de notre temps, VON SENGER , GOUACHON , SOUBIROU…et ceux qui ont suivi.
Respectueux salut Légionnaire, Y G
Effectivement le nombre de sépultures militaires est impressionnant à Madagascar, plus de 70 cimetières recensés..Il y a encore du travail à très longue échéance, mais certaines associations (comme les enfants du soleil à Tana) n’hésitent plus à s’investir.
En attaché, un article qui vient d’être publié dans le dernier numéro de La Tribune de Diégo : le CID sous son appellation actuelle de Centre Commando, revit….doucement mais surement, puisque des élèves officiers passent pour compléter leur formation ; l’enseignement est un curieux mélange de données modernes (type de combat) et anciennes (CID), et le renouveau de la coopération balbutiante entre armée malagasy et française (DLEM Légion), y est pour beaucoup, puisque des DIO (det.interv.opérat.) se sont déroulés à Ramena et que le personnel formé sert immédiatement d’encadrement à Cap Diégo ; j’y ai vu des restitutions actualisées, et un certain cadre sous-officier sup. du DLEM doit être satisfait de la portée de sa formation.(mais le manque de moyens est problématique, quant à une bonne sécurité et efficacité).
Le Nord de l’ile bouge, et mon Colonel, vos encouragements motivent.
Une pensée pour nos Lieutenants CID de notre temps, VON SENGER , GOUACHON , SOUBIROU…et ceux qui ont suivi.
Respectueux salut Légionnaire, Y G