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Légionnaire toujours...

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2011




Médecin sur la RC4

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  Réédition

 

 

En octobre 1950, alors jeune médecin-lieutenant des Troupes Coloniales en Indochine, Henri ESTÈVE participe dans la Haute région du Tonkin aux très durs combats de la RC 4. Affecté au II/3e REI, il est le médecin du « Groupement Rose » (7e et 8e Compagnies, CCB du II/3e REI et deux Goums du 11e Tabor Marocain) chargé de recueillir, jusqu’à la limite du possible, les survivants des Colonnes CHARTON et LE PAGE. Des cotes 608 et 703 jusqu’à l’évacuation de That Khé et le repli vers Na Cham, s’efforçant de soigner le plus grand nombre au mépris de ses propres blessures, il témoigne de ce que fut ce long calvaire. Écrit plus de 50 ans après cette tragique bataille où huit des meilleurs bataillons de l’Armée Française en Indochine furent disloqués et anéantis par les forces Vietminh, il raconte ses souvenirs, à tout jamais marqué par ceux-là…


Pour toi mon camarade...

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SAIGON ! REGARD D'ÉTERNITÉ...

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Un soir de juillet 1952, à l'hôpital militaire français de Saigon, le regard du légionnaire Johann Müller croise le regard de l'infirmière Xuân. Ces deux regards de vingt ans se pénètrent avec une telle fulgurance que, dès cet instant, l'existence de chacun se fera quête follement amoureuse de l'Autre. Quête hasardeuse et périlleuse sur les trois continents où les a menés la Vie, car l'un et l'autre toujours laisseront le Cœur courir plus vite et plus loin que la Raison. Quête merveilleusement romantique de toute une vie pour faire d'un regard de jeunesse un regard d'éternité...

Histoires de l'histoire de la Légion

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Du mythe à la réalité, il y a parfois un gouffre… Qui n’a jamais imaginé la vie au sein de la Légion étrangère ? Combien sont intimement convaincus de détenir la vérité sur la question ? Par-delà le fantasme et les idées reçues, les mystères sont ici levés et la Légion mise à nue.
De l’histoire du corps d’armée en anecdotes personnelles, ce témoignage authentique nous fait voyager au coeur d’un surprenant microcosme. A travers ce témoignage criant de vérité, Condado Madera nous ouvre grand la porte de la Légion étrangère et nous fait part de sa propre expérience au sein de l’Armée. L’auteur raconte, sans jamais porter de jugement, laissant ainsi au lecteur la possibilité d’apprécier les faits.
Un récit où les tabous et la langue de bois n’ont pas lieu d’être, un témoignage qui apporte de nombreuses réponses sur un univers éminemment fantasmé.

SAMLE

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Il y a 20 ans, Gainsbourg nous quittait : ses plus belles chansons

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02 Mars 2011

Le vingtième anniversaire de la mort de Serge Gainsbourg mercredi donne lieu à un foisonnement d'hommages, d'expositions et de rééditions, au premier rang desquelles l'intégrale de ses enregistrements agrémentée de versions "inédites".

Gainsbourg, génie musical... Gainsbarre, phénomène insolent. Il y a vingt ans, jour pour jour, Serge Gainsbourg tirait sa révérence, emporté par une 5ème crise cardiaque à l'âge de 62 ans. Ses chansons et son oeuvre n'ont pas pris une ride. Cet anniversaire donne lieu à un foisonnement d'hommages, d'expositions et de rééditions, au premier rang desquelles l'intégrale de ses enregistrements agrémentée de versions "inédites". Le coffret de 20 CD rassemble quelque 250 chansons, dont plus de 20 versions ou titres inédits.

Depuis fin décembre, le public peut déjà entendre sur les radios et internet une version chantée par Serge Gainsbourg de "Comme un boomerang", un titre qu'il avait écrit pour Dani. Dans l'intégrale, figurent également des versions instrumentales inédites de "Valse de Melody" et "Ah ! Melody", deux titres de l'album-culte "Histoire de Melody Nelson".

Mais les fans de Gainsbarre attendent surtout "L'Escroc", un titre qu'il avait enregistré pour servir d'interlude dans un film à sketchs. La chanson, qui avait été découpée en petits morceaux pour les besoins du film, a été remontée par Universal. La maison de disques publie également un double best-of, une double compilation de ses interprètes, de Juliette Gréco à Vanessa Paradis, la réédition vinyle de ses quatre premiers albums et de sa version de "Comme un boomerang", ainsi que le DVD "D'autres nouvelles des étoiles".


Ses plus belles chansons expliquées

Avec plus de 800 titres, Serge Gainsbourg, disparu le 2 mars 1991, a écrit sa vie en chansons, explique Gilles Verlant, auteur avec Loïc Picaud de "L'intégrale Gainsbourg" (ed FetJaine), qui raconte l'histoire de quelques unes de ses plus célèbres créations.
 
"La Javanaise" (1963)
 
"Devenu un des plus grands classiques du répertoire de Gainsbourg, La Javanaise aurait pu tomber dans l'oubli. La chanson est née un soir d'été que Serge Gainsbourg a passé au domicile de Gréco, à écouter de la musique classique et à déguster du bon vin. Mais la chanson n'a pas du tout marché à sa sortie, car Gréco remplissait les salles mais ne vendait pas de disques. A la suite du succès d'Aux armes et caetera, la maison de disques de Serge a ressorti son catalogue et un nouveau public a découvert son répertoire dans les années 80. Entre 1963 et le moment où la chanson redevient à la mode en 1988, il n'y en a eu que trois versions. Aujourd'hui, c'est la chanson qui rapporte le plus de droits à ses héritiers."
 

"Je t'aime moi non plus" (1967)
 
 "C'est Brigitte Bardot qui a réclamé à Serge une vraie chanson d'amour. Mais juste avant sa publication, elle le supplie de ne pas sortir ce duo sulfureux. Le disque est édité à dix exemplaires retenus dans le coffre-fort de la maison de disques. S'il faudra attendre 1986 pour entendre officiellement cette version, des fuites ont rapidement lieu et Serge lui-même la faisait écouter en cachette aux journalistes. En 1969, Gainsbourg enregistre une version avec Jane Birkin. Le Vatican appelle au boycott et parvient à faire stopper la production en Italie, en Espagne, au Portugal, au Brésil... En Angleterre, la BBC censure le titre qui devient quand même numéro un des ventes. Selon la légende, le reine des Pays-Bas serait une des instigatrices majeures de la censure du disque, Philips, la maison de disque de Gainsbourg étant une société néerlandaise."

"Aux armes et caetera" (1979)
 
 "L'adaptation reggae de +La Marseillaise+ relance la carrière de Serge après l'échec de L'homme à la tête de chou (1976) en même temps qu'elle crée un nouveau scandale. Comment est née l'idée de la chanson ? Gainsbourg s'attendait-il à de telles réactions ? On ne sait pas. La légende veut qu'il ait écrit toutes les paroles la veille d'enregistrer. Il expliquera dans la presse que le fameux refrain aux armes et caetera figure sur le manuscrit original de l'hymne où, dès le deuxième refrain, le texte est raccourci en cette formule. Mais ses détracteurs y voient une insulte à l'hymne national, il reçoit des menaces et l'éditorialiste du Figaro Magazine, Michel Droit, l'attaque dans un texte aux relents antisémites. Ca a été un vrai traumatisme pour lui et peut-être plus encore pour Jane Birkin. Elle a écrit une lettre à Michel Droit, tandis que Serge se contentait de lancer : on n'a pas le droit d'être aussi con".

"Mon Légionnaire" (1987)
 
 "Gainsbourg avait parfois des idées de chansons qui mettaient un certain temps à arriver à maturité. Il aimait cette chanson qu'il avait entendue quand il était gamin, interprétée par Marie Dubas et Edith Piaf. En 1984, quand il publie l'album +Love on the Beat+, c'est la première fois qu'un artiste d'une telle stature écrit et compose des chansons qui traitent de l'homosexualité. Il aurait été logique que Mon Légionnaire y figure. Mais Gainsbourg s'est entêté à chanter la chanson, car il voulait être fidèle à Piaf et Dubas. Il a passé des heures en studio en piquant des colères parce qu'il n'y arrivait pas. En 1987, quand il enregistre You're under arrest, il refait une tentative en talk-over (en parlant, ndlr), et cette fois, ça fonctionne".
 

Clin d'oeil Italo Canadien

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lors du tattoo militaire de Québec 2010


Carnet de guerre d'un jeune viêt-minh à diên biên phu

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Le 7 mai 1954, après de longs mois de siège, la garnison de Diên Biên Phu dépose les armes devant l’Armée populaire du Viêtnam.
La littérature sur le sujet est abondante mais les témoignages vietnamiens sont rares et méconnus. À quoi ressemblait la guerre du côté communiste? Ce carnet, découvert par la journaliste américaine Sherry Buchanan, apporte une réponse concrète. Son auteur, un jeune artiste de 22 ans, étudiant à l’École des Beaux-Arts d’Hanoi et déjà vétéran de sept ans d’engagement Viêt-minh, y a couché au jour le jour les faits et gestes de ses compagnons d’armes, mais aussi ses pensées et ses peurs.
Le ton est empreint de propagande, mais l’émotion qui transparaît notamment dans ses dessins révèle l’universalité des souffrances de guerre. Préfacé par Séphane Audoin-Rouzeau, accompagné d’un avant-propos de Sherry Buchanan et de Jessica Harrison- Hall, conservatrice d’art vietnamien au British Museum, ce témoignage exceptionnel apporte enfin un nouveau regard sur la guerre d’Indochine. Un livre salué à sa sortie par la presse anglo-saxonne : « Le livre de Pham Thanh Tâm est extraordinaire… Son histoire est incroyable, ses illustrations et son témoignage tout aussi mémorables » The Times.

Femme de Légionnaire

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Bambi

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