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Légionnaire toujours...

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2011




AG des DPLV 070411

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Honor y fidelidad

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En abril de 1882, en Chatigri, Marruecos, tres compañías de la Legión Extranjera fueron emboscadas, en medio de una tormenta de arena, por ocho mil jinetes bereberes. Los oficiales franceses mataron a sus caballos, formaron un perímetro defensivo y aguantaron a pie firme los ataques. De los 300 legionarios, murieron 42 y otros 31 fueron heridos. Los bereberes sufrieron dos mil bajas y se retiraron.
La batalla de Chatigri cubrió de gloria a la Légion Étrangère. Que para entonces ya tenía bien ganada su aura legendaria debido al combate de Camarón, en México, otro día de abril pero de 1863. Una patrulla de 62 soldados y tres oficiales fue sitiada en la hacienda Camarón por mil mexicanos. Resistieron por diez horas, y cuando quedaban apenas seis legionarios ya sin municiones, fijaron las bayonetas y atacaron. ¡Seis hombres cargaron contra tres batallones! Los seis legionarios fueron heridos, y el coronel mexicano Francisco de Paula Milán, impresionado por tamaña muestra de valor, les rindió honores militares y asignó una guardia especial para escoltarlos de regreso a Francia. El capitán de estos valientes se llamaba Jean Danjou, un veterano de las campañas de Crimea, Italia y Argelia, donde había perdido una mano en combate. Tenía 35 años cuando mató a su caballo en la hacienda Camarón, al grito de “honneur et fidelite”.  ¿Qué tienen que ver estos relatos con las elecciones de mañana? Mucho. Porque como hace decir John Steakley a uno de sus personajes, “a man is what he does when it counts”. Cuando las papas queman se mide realmente el carácter de un hombre. Bajo esos parámetros, por ejemplo, Castañeda mató a su caballo y se quedó en la trinchera, junto a los suyos, cuando el jueves rechazó el premierato y dos carteras ministeriales a cambio de retirarse de la contienda y pronunciarse a favor de PPK. En contraste, Toledo, al verse perdido, arrugó, al suplicarle ayuda al APRA –después de haber insultado a ese partido por meses. Subió metafóricamente al caballo para huir al galope, en lugar de matarlo y dar batalla. Castañeda no merece el puesto en el que va a quedar mañana. Toledo sí. Porque a un hombre se lo mide por lo que hace cuando cuenta.
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Prise d'armes du CEMAT et remise de décorations aux Invalides

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Opération «Daguet»(1991)

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Calvi : Le corps d'un homme repêché

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Publié le 05/04/2011

La victime serait tombée à l'eau lors d'une partie de pêche à la pointe de la Revellata.

L'homme seul était parti hier pour pêcher depuis le littoral. Son épouse ne le voyant pas normalement rentrer le soir à donner l’alerte. D'importants moyens ont été mobilisés dont les pompiers, la vedette SNSM de Calvi et l'hélicoptère Dragon 2B de la Sécurité Civile.  C'est ce dernier qui a fini par repérer le corps à 14h cet après-midi.

Un peu plus tôt dans la journée, les gendarmes de la brigade de recherche de Calvi avaient trouvé des affaires appartenant à la victime sur des rochers à la pointe de la Revellata. L'homme aurait été identifié comme étant un ancien légionnaire du 2e REP de Calvi. Si l'hypothèse de la noyade est la plus probable, une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances exactes de ce drame.

Ce nouveau décès intervient alors que le Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage de la Méditerranée (Crossmed) vient de transmettre le rapport des opérations de secours engagées en 2010. Soixante-dix personnes sont décédées et huit ont été portées disparues en 2010 en Méditerranée, où le nombre d'opérations a atteint un niveau jamais égalé depuis dix ans.

Grégoire Bezie


Bulletin N° 90 de l'AAAEAI

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El Medouly se découvre

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Caen et sa région

Lundi 04 avril 2011

Foulées de Bayeux. En remportant pour la 3e fois consécutive le 10km de Bayeux, Loïc Letellier a retrouvé de la confiance après sa grosse blessure. Sur le semi-marathon, El Medouly s'est découvert un nouveau talent.
Pour Loïc Letellier, le 10 km de Bayeux avait valeur de test. Victime, en début d'année, d'une fracture de fatigue qui l'a éloigné du macadam durant près de 8 semaines, l'homme fort de l'entente Mondeville-Hérouville voulait, non sans appréhension, savoir où il en était de sa condition physique. « Je suis content d'être au départ déjà, savourait Letellier. En venant à Bayeux, je ne savais vraiment pas où j'en étais par rapport à l'année dernière notamment puisque les conditions étaient bien différentes »

Quoi qu'il en soit, Letellier n'avait pas le temps de tergiverser car la course, comme à son habitude sur ce genre de distance, partait sur un rythme diabolique. Galon, coéquipier de Letellier au sein de l'entente, dictait le tempo. Seul le Sottevillais Oubassour parvenait à suivre la cadence. Le Caennais Leprovost et Barreau étaient déjà trop loin.

Au 5e km, Letellier accélérait. Galon, proche de l'asphyxie, tenait bon. Pas pour longtemps, car Letellier remettait ça au 8e km et filait vers le graal. « Loïc est plus à l'aise que moi et je sors d'une grosse semaine après Alençon-Médavy », expliquait Galon. « Je suis content de mes sensations et surtout je me suis énormément rassuré », concluait Letellier. L'essentiel est assuré.

El Medouly se découvre

Vainqueur l'année dernière du semi-marathon, Benoit Holzerny se voyait bien répéter la performance. Mais la concurrence était plus rude cette année. L'Ougandais Ruto était là pour jouer les perturbateurs. Tout comme le Burundais Manirakiza. « Je savais que la mission serait plus délicate mais je voulais absolument m'accrocher au bon wagon », expliquait Holzerny. Il n'en fut rien puisque dès la borne 5, Holzerny laissait filer Ruto, Manirakiza et le surprenant Franco-Marocain El Medouly, peu connu sur ce genre de distance.

« Je devais m'aligner sur le 10km mais j'ai voulu m'essayer au semi », rapportait El Medouly, militaire à la légion étrangère. Au 13e km, El Medouly était le seul à pouvoir suivre Ruto. Mieux, le légionnaire laissait sur place Ruto pour l'emporter à la surprise générale. « J'avais vraiment de bonnes jambes et j'ai bien géré ma course », analysait le vainqueur. Bref, un pari osé... mais gagnant.

10 km. Hommes : 1. Loïc Letellier (EA Mondeville Hérouville) 29'45''; 2. Galon (EAMH) 29'50''; 3. Oubassour (Sotteville Stade) 3'52''; 4. Leprovost (Caen AC) 31'20''; 5. Barreau (Free Run 72) 32'16''; 6. Morin (Pacé en Courant) ; 7. Lemière (Non licencié) ; 8. Salmi (Sotteville Stade) ; 9. Digeon (EAMH) ; 10. Théophile (Vendôme Athlétisme). Femmes : 1. Snejana Ivanova (RUS) 37'11''; 2. Hamel (NL) 38'31''; 3. Pichon (CAC) 39'03''; 4. Oelkers (PSA Peugeot); 5.Cottin (CL Colombelles).

Semi-marathon. Hommes : 1. Saïd El Medouly (Athleg Provence) 1h06'29''; 2. Ruto (OUG) 1h06'49''; 3. Holzerny (Free Run 72) 1h07'29''; 4. Marchuk (UKR) 1h08'13''; 5. Mehir (Sud Manche Athlé) 1h08'36''; 6. Bottereau (Bayard Argentan) ; 7. Porée (CL Colombelles) ; 8. Hubner (CLC) ; 9. Saoul (EAMH) ; 10. Gosselin (USM Vire). Femmes : 1. Daria Furkalo (RUS) 1h18'23''; 2. Serbouti (NL) 1h20'47''; 3. Olenieva (UKR) 1h26'11''; 4. Houitte (Pacé en Courant) ; 5. Vivien (NL).

Ouest-France

Afghanistan : six soldats français blessés dans une attaque suicide

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Secret défense

Six militaires français ont été légérement blessés hier peu après 14 heures (heure locale) par une attaque suicide des insurgés. Un 4x4 Toyata s'est précipité en direction d'un convoi et s'est fait détonner à proximité d'un VAB. Quatre chasseurs alpins du 7e BCA et deux légionnaires du 2e REG ont été blessés (éclats, contusions, traumas sonores). Quatre civils afghans dont trois enfants ont également été touchés, l'attaque ayant eu lieu à proximité d'une école... Cette attaque a eu lieu dans le village de Tatarkhel, dans la vallée d'Alassaï. De source militaire française, on pense que si les insurgés sont conduits à procéder à de telles attaques suicide, c'est que - soumis à une forte pression militaire - ils ne peuvent plus procéder autrement.


Héros, victime, judiciarisé

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Tigre en Afghanistan

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A ne pas rater le 3 avril sur M6, la diffusion du reportage de 52 minutes co-réalisé par Géraud Burin des Roziers et le photographe Thomas Goisque sur “les commandos de l’impossible”, documentaire totalement réel sur les hélicoptères de combat qui soutiennent les forces françaises déployées en Afghanistan.

Le film a été présenté mardi soir à Paris par Bernard de la Villardière, responsable de la rubrique “Enquête exclusive” de M6, avec les réalisateurs et plusieurs des acteurs du film, dont le colonel Goisque, frère du photographe et commandant le 126e RI de Brive déployé dans la vallée d’Uzbin, ainsi que le frère de l’infirmier major Thibaut Miloche, tué au combat pendant le tournage du reportage en octobre 2010, auquel le film est dédié.

Alors que dans le cinéma d’aujourd’hui c’est de plus en plus la course aux effets spéciaux, ici tout est réel, les paysages lunaires, les missions dangereuses, de jour comme de nuit, l’angoisse et l’émotion des hommes et des femmes, la performance des machines et des équupages.

Sont très vrais les deux pilotes de Caracal, Killian – champion de planeur qui part faire des loopings sur les Alpes avant son départ en Afghanistan – et Ulysse ; vrai le pilote de Tigre, Amaury ; vraie l’infirmière Alexandrine, de la BA d’Orléans, qui retourne à l’hôpital de Kaboul voir le grand brûlé qu’elle a évacué en hélico quelques jours plus tôt, un Afghan de 8 ans ; vrais les soldats qui font la fête pour dissiper le stress et les images de mort et de violence qu’ils portent en eux… Comme le dit Alexandrine, les yeux pleins des images de grands blessés qu’elle a évacués, “la traumatologie de guerre, c’est quelque chose de choquant”

 

AFGHANISTAN

La vedette est sans conteste le trio des hélicoptères français déployés là-bas, l’hélicoptère de combat Tigre (en haut), l’hélicoptère de transport et appui tactique Caracal (ci-dessus), et l’hélico léger de reconnaissance et antichar Gazelle. Par leur présence ils rassurent les hommes sur le terrain, ils escortent les convois, ils patrouillent même de nuit et, comme le dit un soldat: “ça fait bien de sentir les Tigre au-dessus de soi”. Surtout, ils représentent ce lien avec la base arrière et l’hôpital qui rassure les combattants inquiets en cas de blessure : quels que soient les problèmes mécaniques qui peuvent survenir à l’un ou l’autre appareil, le délai d’évacuation est de l’ordre de la demi-heure !

Non prévu dans le scénario, l’incident auquel a été associée l’équipe de tournage résume la densité et l’intensité des combats ainsi que le rôle essentiel des hélicoptères : deux sections d’infanterie sont héliportées de nuit sur les hauteurs dominant un village hostile de la vallée d’Uzbin, pendant qu’une troisième section s’apprête à l’aborder par la vallée. Des Talibans attaquent à la roquette l’une des deux patrouilles installée sur les hauteurs, blessant grièvement deux infirmiers. L’infanterie riposte en tirant de plusieurs positions à la fois. Les Tigre interviennent alors en pleine nuit pour sécuriser le piton attaqué et réduire les assaillants. Enfin un Caracal évacue les deux blessés pendant que deux autres terminent l’opération en évacuant tous les soldats retranchés sur les hauteurs.

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Du réel, pas de pathos, de la pudeur dans les images, une émotion tangible. Et juste ce qu’il faut de spontanéité, tel ce cortège qui, raconte le colonel Goisque, se forme spontanément à la sortie du camp pour raccompagner le corps de l’infirmier jusqu’à l’hélicoptère à l’issue des honneurs militaires…

Thomas Goisque avait déjà publié de superbes reportages photos, dans Paris-Match et sur son site personnel, sur le Tigre en opérations ; cette fois le film auquel il a participé nous donne la vision totale de ces machines sur-équipées en armements, canon et roquettes pour le Tigre, missiles pour la Gazelle, armes automatiques servies par des commandos des deux côtés des Caracal, etc.

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La France a engagé plus de 4.000 hommes en Afghanistan, et a déjà eu 54 morts, rappelait Bernard de La Villardière. Mais le bilan serait sans doute plus lourd sans la garantie supplémentaire qu’apporte à chaque instant le concours des hélicoptères.


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Traduction

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