POSADA VIENA HOTEL

HOMMAGE AUX COMMBATANTS DE CAMERONE

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Résumé du combat de Camerone 30 avril 1863 au Mexique Le 29 avril 1863, la 3e compagnie de la légion qui fait partie d'un corps expéditionnaire envoyée au Mexique par L'empereur Napoléon III, cette 3e compagnie composée du capitaine Danjou, des sous lieutenants Maudet, Vilain et de 60 légionnaires partent en mission pour protéger un convoi de ravitaillement en route vers Puebla. A la hauteur de l'auberge de Cameron ils sont attaqué par 2000 Mexicains, comprenant huit cents cavaliers et 1200 fantassins. Le 30 avril à 5 heures il ne reste que 12 hommes autour du sous-lieutenant Maudet, quelques heures après il ne sont plus que six, Maudet, le caporal Maine, les légionnaires Catteau, Wensel, Constantin, Léonhard. Leurs dernières cartouches tirées, il charge à la baïonnette, Maudet et deux légionnaires tombent, frappés a mort, il reste le caporal Maine et deux légionnaires face aux mexicains, un officier mexicain leur crie "rendez-vous !". Le caporal Maine leur répond " Nous nous rendront si vous soigner nos blessés et si vous nous laissez nos armes" et l'officier mexicain répond " On ne refuse rien a des hommes comme vous !"Les soixante légionnaires ont tenu pendant 11 heures à deux mille mexicains, en ont tué trois cents et blessé autant. L'empereur Napoléon III décida que le nom de Cameron serait inscrit sur le drapeau du régiment de la légion et que les noms de Danjou, Vilain, Maudet seraient gravés en lettres d'or sur les murs des Invalides a Paris. Un monument fut élevé en 1892 sur l'emplacement du combat, il porte l'inscription gravée ILS FURENT ICI MOINS DE SOIXANTE OPPOSES A TOUTE UNE ARMÉE SA MASSE LES ÉCRASA LA VIE PLUTÔT QUE LE COURAGE ABANDONNA CES SOLDATS FRANÇAIS LE 30 AVRIL 1863 A LEUR MÉMOIRE LA PATRIE ÉLEVA CE MONUMENT Depuis, les troupes mexicaines qui passent devant ce monument présentent les armes. Tous les ans le 30 avril les légionnaire fêtent Camerone
Gare de Camaron	Monument erigie aux legionnaries, heros de la guerre
Monument erigie aux legionnaries	Monument erigie aux legionnaries
En voisin de Camaron, Recoit les visiteurs du premier anniversarie de la bataille	Monument erigie aux legionnaries, heros de la guerre
Monument erigie aux legionnaries, heros de la guerre	La charge héroïque mais désespérée du sous-lieutenant Maudet et de ses hommes. Par Pierre Bénigni
Les légionnaires cherchent des munitions sur leurs morts pour continuer le combat	Retranchés dans l'hacienda, les légionnaires feront preuve d'une résistance extraordinaire. Composition d'Edouard Detaille
La main de bois du capitaine Danjou, conservée à la maison mère de la Légion étrangère, à Aubagne.	La vitrine consacrée à la campagne du Mexique du musée de l'Empéri de Salon-de-Provence. (photo Empéri Multimédi@)
	Une vision grandiose de la commémoration du centenaire par Pierre Bénigni. Avec le général Rollet (couvert de décorations), alors inspecteur de la Légion étrangère et en fond le monument au mort de la Légion, ramené de Siddi-Bèl-Abbès à Aubagne après l’indépendance de l’Algérie en 1962. Les légionnaires qui présentent les drapeaux au général portent des uniformes anciens. Par Pierre Bénigni. © 1997-2003 - SAS Strataegis - Tous droits réservés.

CHAQUE TOURISTE FRANCAIS, DE PASSAGE AU MEXIQUE DOIT CONNAITRE CAMERONE

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POSADA VIENA HOTEL ZONA ROSA - MÉXICO CITY

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Guillemette de Sairigné  a remporté le 4 mai 2011 le prix littéraire de l’armée de Terre-Erwan Bergot , pour son ouvrage « La Circassienne  », chez Robert Laffont.

Le jury, présidé par le général Irastorza , chef d’Etat-major de l’armée de Terre, a été conquis par cette biographie de Leïla du Luart, une femme au destin d’exception qui par son courage physique et moral hors norme, son engagement au service de la France est devenue une héroïne de la Seconde Guerre Mondiale. Fille d’un commandant en chef des forces impériales russes en Extrême-Orient, Gali Hagondokoff, future comtesse Leïla du Luart, trouve refuge en France en 1922. A partir de la guerre d’Espagne, Leïla invente et fait financer une formation chirurgicale mobile à la tête de laquelle elle s’engage sur tous les fronts des camps d’internement de Vichy en Algérie en 1941 aux campagnes de Tunisie, d’Italie, de France et d’Allemagne. Ce concept novateur de prise en compte des blessés et de leur soutien au plus près des combats sauvera, pendant la 2^e  guerre mondiale, des milliers de combattants et fera d’elle une légende de l’armée française  et une des femmes les plus décorées de France. Plus tard, pendant la guerre d’Algérie, elle crée un centre militaire de détente à Alger pour les soldats en permissions et devient la marraine du 1^er  régiment étranger de cavalerie , auquel elle restera fidèle jusqu’à sa mort. Clôturant un destin hors norme, ses funérailles, en 1985, seront célébrées dans la cour d’honneur des Invalides.

Les autres livres sélectionnés par le jury pour concourir étaient :

Deux livres écrits par des soldats ayant servi en Afghanistan  ont par ailleurs retenu l’attention du jury : «  Engagé  »  (Grasset), du lieutenant Barthe , avec la collaboration du journaliste Alexandre Kauffmann, et «  Journal d’un soldat français en Afghanistan  »  (Plon), du sergent-chef Tran Van Can et du journaliste Nicolas Mingasson. Le jury a tenu à attribuer une mention spéciale à ce « Journal d’un soldat français en Afghanistan »  pour le souffle authentique qu’il dégage.

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Lien vers le site du restaurant :

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Alias : Robert Goldbin

 

De nationalité suisse, Rudolf Eggs est né le 23 mars 1915 à Brebach-Saarbrücken en Allemagne dans une famille d'agriculteurs. Après le baccalauréat, il s'engage, le 12 juin 1936, dans la Légion étrangère. Affecté à Sidi-Bel-Abbès en 1937, il est promu au grade de caporal. L'année suivante il sert au Maroc, au 3^e REI. En avril 1940, nommé sergent, il est affecté à la 13^e Demi-brigade de Légion étrangère (13^e DBLE) avec laquelle il participe à la campagne de Norvège en mai 1940. Il se distingue alors par son courage à la tête d'une section de mortiers.

Ainsi, au combat du 29 mai 1940, une mitrailleuse ennemie empêchant la progression de la section, il réussit à s'infiltrer sous bois et à la réduire au silence. Rudolf Eggs embarque de Narvik pour Brest en juin 1940 puis, évacué sur l'Angleterre avec le corps expéditionnaire français, s'engage dans les Forces françaises libres le 1er juillet 1940, sous le nom de Robert Goldbin. Il prend part à l'opération de Dakar et est dirigé sur le Cameroun en octobre 1940. En novembre il prend part aux opérations du Gabon avant de partir pour la campagne d'Erythrée en mars 1941. En juin 1941, avec la 13^e DBLE, il combat en Syrie. Promu adjudant en octobre 1941, il commande la section de mortiers du 1^er Bataillon de Légion étrangère (1^er BLE). Il prend part aux campagnes de Libye, d'Egypte et de Tunisie et est promu adjudant-chef en juillet 1943. En avril 1944 il débarque en Italie avec la 1^ère Division française libre et est cité à l'ordre du corps d'armée pour avoir obtenu le meilleur rendement de ses hommes pendant les opérations. Le 16 août 1944, il débarque en France, à Cavalaire. Durant la campagne de France, il obtient de ses pièces des résultats magnifiques. Blessé par éclats d'obus à Autun le 10 septembre 1944, il se distingue notamment au Mont des Oiseaux, où ses tirs efficaces amènent la reddition d'un point d'appui ennemi tenu par plus de 300 hommes; il fait preuve en cette circonstance d'un très grand mépris du danger en assurant lui-même le réglage de ses tirs à partir d'un observatoire très exposé et repéré. Il s'illustre encore le 27 janvier 1945 en Alsace, au cours de l'attaque de Grussenheim où, malgré les bombardements violents et les tirs de chars ennemis, il se poste résolument à l'avant pour repérer les objectifs. Il y échappe de peu à la mort, ayant été blessé par une arme antichar. Bien que commotionné par le coup, il rejoint, après pansement, son poste. Rudolf Eggs termine la guerre avec le grade d'adjudant-chef et retourne en AFN avec son unité en août 1945. Promu sous-lieutenant à titre étranger en mars 1946, il part pour l'Indochine (1946-1954) où il commande toujours la section de mortiers du 1^er BLE de la 13^e DBLE et est cité à l'ordre du corps d'armée. Il reçoit ses galons de lieutenant en 1948 et est blessé par balle à Luong Phai au Tonkin en juin 1949 ; de nouveau cité en 1949 et en 1953. De 1954 à 1957, il sert au Maroc comme commandant de compagnie de combat au 4^e REI et reçoit une fois encore une citation. Promu capitaine en décembre 1956, il sert en Algérie de 1957 à avril 1959 et y reçoit une citation. Il est ensuite en poste à Strasbourg jusqu'en juin 1960 De juillet 1960 à juin 1962 il sert de nouveau en Algérie au 3^e REI et y reçoit deux nouvelles citations. D'août 1962 à 1964, le capitaine Eggs sert à Madagascar avant de prendre sa retraite comme commandant. Rudolf Eggs a reçu la nationalité française par décret du 2 novembre 2007.

• Grand Officier de la Légion d'Honneur
• Compagnon de la Libération - décret du 28 mai 1945
• Croix de Guerre 39/45 (3 citations)
• Croix des TOE (3 citations)
• Croix de la Valeur Militaire (4 citations)
• Médaille Coloniale avec agrafes "Erythrée", "Libye", "Tunisie", "E-O"
• Croix du Combattant
• Croix du Combattant Volontaire de la Résistance
• Croix du Combattant Volontaire 39/45
• Médaille des Blessés
• Médaille Commémorative des Services Volontaires dans la France Libre
• Médaille Commémorative 39/45
• Médaille Commémorative de la Campagne d'Italie
• Médaille Commémorative de la Campagne d'Indochine
• Médaille Commémorative des Opérations de Sécurité et de Maintien de l'Ordre en AFN
• Médaille de la Reconnaissance du Roi de Norvège.
• Chevalier du Nicham Iftikar
• Officier du Nicham El Anouar

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Published mai 5th, 2011

Une fois de plus, avec une incroyable constance et cohérence idéologique, la légion étrangère a fêté Camerone au camp Raffalli, comme tous les 30 avril.

Camerone ? Un simple fait d’armes digne d’une production hollywoodienne ou un symbole du colonialisme occulté ?

Revenons sur les faits, cette bataille s’inscrit dans le cadre de l’agression française contre le gouvernement légitime du Mexique. Camerone demeure donc une heureuse victoire des troupes mexicaines, non sans grandes difficultés militaires, certes, sur les troupes d’élites de l’expédition impérialiste française qui débuta en 1861 et échoua lamentablement en 1867. Le but de cette expédition était de mettre en place un roi conservateur et de défaire les autorités républicaines du Mexique.

La célébration de cette bataille dans l’enceinte même du Camp Raffali revêt donc un caractère encore plus symbolique. En effet, ces célébrations à répétitions s’effectuent là même où fut érigé le Camp de vaux à l’issue de la sanglante conquête militaire française de l’île au cours de laquelle des milliers de jeunes corses périrent. Célébrées non loin de la plaine de la Paratella où des centaines de corses furent spoliés de leur terres nourricières par les colons français, parmi lesquels des militaires ( cf. marquis de Sestrières ). Et aujourd’hui les pratiques se perpétuent, aux légionnaires les logements et terrains à tarifs préférentiels, aux jeunes corses le mal-logement et l’absence de terres agricoles.

Tous les 30 avril à Calvi, cela ne fait aucun doute, c’est bien le colonialisme que les troupes d’occupation célèbrent.

http://www.a-manca.org/

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les 6 et 13 mai France 4 est en immersion au sein de l'Armée

Le vendredi 6 mai, à 20h35 le premier épisode de cette série documentaire sera consacré à l'école de Saint Cyr qui forme à l'art de la guerre. Ici les élèves apprennent la discipline, le maniement des armes et la science du commandement afin de devenir des cadres de l'Armée de Terre. Le documentaire suit l'intégralité d'un stage commando qui a lieu dans la jungle guyanaise.

Le vendredi 13 mai, la série documentaire se plongera dans le quotidien des futurs légionnaires. Chaque année, ils sont plus de 7 000 candidats venus du monde entier à tenter leur chance au sein de la fameuse Légion étrangère. Seuls 1 000 d'entre eux auront la chance d'intégrer un des corps les plus prestigieux de l'Armée de Terre.

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3 mai 2011

Documentaire  de Robert Mugnerot, « Les régiments ficelles » fait référence à trois régiments de marche de volontaires étrangers, composés de jeunes issus de 50 nationalités différentes, et notamment de  réfugiés espagnols républicains, d’immigrés juifs d’Europe centrale et d’Arméniens qui se battirent dans la Somme, la Lorraine, les Ardennes et jusque près de Paris jusqu’à l’armistice de juin 1940.

Ils étaient surnommés régiments ficelles en raison de leur maigre équipement. Ce documentaire sera présenté par le Cercle communautaire de Nogent dimanche 8 mai à 18 heures au Royal Palace dans le cadre d’une séance dédiée au devoir de mémoire. La projection d’environ 1 heure sera suivie d’un débat.

Entrée gratuite. Invitations à retirer directement au Royal Palace dans la limite des places disponibles.
Dimanche 8 mai 2011 à 18 heures.
Cinéma Le Royal Palace 165 Grande rue Charles de Gaulle 94130 Nogent sur Marne.

C.Dubois

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3 mai 2011

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Journée festive au Fort de Nogent ce Week-End du 1er mai. Pour la Légion étrangère, l’heure était à la kermesse.  Une occasion de vendre le métier au détour d’animations bon enfant. Au programme : parcours du combattant gonflable, tir sur cibles, paintball, pêche aux canards plastiques, stand sécurité routière permettant de monter dans une voiture qui simule des tonneaux ou le choc d’un accident à 12 km/heure, stands expliquant le métier de légionnaire, exposition de mitraillettes, tombola, soirée disco avec l’élection d’une Miss Képi blanc, remise de décoration et encore commémoration de la bataille de Camerone (un épisode meurtrier de l’expédition française au Mexique, en 1863).

Retour en images (photos L. Bodin).

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