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Légionnaire toujours...

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2012




Décès d’un légionnaire du 2° REG en montagne

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15-10-2012

Un légionnaire du 2e Régiment étranger de génie (REG) est décédé le vendredi 12 octobre 2012 au cours d’une séance d’escalade dans les environs de Briançon.

Le vendredi 12 octobre 2012, un caporal-chef qui effectuait une séance d’escalade dans le cadre du brevet d’alpiniste militaire (BAM) a fait une chute mortelle.

Titulaire du brevet de chef d’équipe haute montagne, le caporal-chef ZENGOTA totalisait 12 années de service à la Légion étrangère et servait comme auxiliaire sanitaire au centre médical du régiment.

Expérimenté dans le domaine de la montagne, il était particulièrement apprécié de ses chefs et de ses camarades.


Képi blanc, casque d'acier et croix gammée

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Au cours de l'entre-deux-guerres, la Légion étrangère mène un étrange combat contre l'Allemagne. De nombreux Allemands ayant été engagés au sein de ce corps, l’Allemagne y prend pied, non seulement pour tenter de le neutraliser, mais aussi pour étendre son influence dans l'Empire colonial français. Ainsi, la Légion étrangère est l'objet de véritables tentatives de subversion : campagnes de dénigrement, démoralisation, désertion, espionnage, envois d'agents… Pour se défendre, l'armée française réorganise les procédures d'engagement, développe l'esprit de corps, permet aux légionnaires de retourner à la vie civile dans de bonnes conditions, mais aussi crée un service de contre-espionnage. C’est une lutte sans merci. 
Dans cet ouvrage foisonnant, Alexis Neviaski relate des histoires d’hommes. Il suit la vie quotidienne des légionnaires et la terrible pression exercée sur et par les familles. Il dévoile comment des cérémonies, des rituels et finalement les « traditions » ont durablement façonné les hommes. Il montre aussi les rôles importants que jouent les polices allemandes et françaises, ainsi que les services de renseignements à l'intérieur de ce phalanstère. S'appuyant sur des fonds d’archives inédits, l’auteur reconstitue l’histoire méconnue qui, d'une guerre à l'autre, oppose en un combat non conventionnel, la Légion étrangère et l'Allemagne.

Docteur en histoire, Alexis Neviaski est conservateur du patrimoine à la Direction de la mémoire du patrimoine et des archives du ministère de la Défense. Ancien officier de la Légion étrangère, il a dirigé la Division histoire et patrimoine de la Légion étrangère et a été le conservateur du musée de la Légion.


Mais ou est passé le soldat Ghesquière ?

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10 octobre 2012 - Anne Moyat

Vous êtes très nombreux à vous interroger sur la disparition de ma dernière chronique et à vous en inquiéter.

Je vous rassure tout de suite, aucun syndicaliste de France Télévision n’a encore tenté de plastiquer mon appart’, tout va bien.

Je n’ai pas non plus reçu de pressions d’un coté ou de l’autre de la barrière.

Alors, quoi me direz vous ?

Rien de bien grave, les enfants.

Simplement les informations données dans l’article n’ont pas encore été officialisées par l’armée, pour des raisons que j’ignore moi même, et sur lesquelles je me refuse à pronostiquer (un défaut majeur de ma profession). Je me dois donc de protéger ma source : Ni lui ni moi ne pensions que mon papier allait créer le buzz.

Reste que buzz il y a eu, et je ne sais si je dois m’en réjouir: le succès de cette chronique ne doit rien à mon talent d’écriture, inutile de se raconter des histoires. Il est symptomatique d’un malaise profond, et pas seulement au cœur des troupes de l’armée française. Je reçois ici et là des mails de familles de militaires. En particulier des mères.

Pour ces femmes que jamais l’on entend, le livre de mon confrère est un crachat en pleine gueule. Toutes n’ont pas (et heureusement) un fils ou un époux à déplorer. Mais elles connaissent le quotidien fait d’attente, d’angoisse, de nuits blanches qui s’égrainent les une après les autres. Leurs vies sont des sabliers qu’on retourne à chaque départ en opération extérieure.

Que puis je vous dire mesdames ?

Que pourrais je vous dire qui vous consolerait de cette offense ? Vous-même, qui devriez être les premières à l’ouvrir, préférez observer le silence face au ramdam médiatique lié à la sortie du chef d’oeuvre. La dignité, comme le chagrin, ne fait pas de bruit.

Pour finir, et à ceux qui m’accusent d’être « Pro militariste » (Oui, j’ai reçu ça aussi) : Pro militariste c’est aussi con que pro coiffeur ou anti charcutier.

Militaire, c’est un métier, parfois une vocation (comme le journalisme tiens) et ce débat n’a pas de sens ici.

Toute la question (et c’est bien la seule chose qui m’intéresse, en tant que journaliste) toute la question est maintenant de savoir comment restaurer la confiance, largement égratignée…

http://www.leskeupines.com/2012/10/10/mais-ou-est-passe-le-soldat-ghesquiere/


Thierry Dorso a publié dans Parachutiste

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le 1er octobre 2012 - 23:59

Du lourd sur Hervè Ghesquière


Un coup de gueule aujourd'hui a propos de la sortie du livre de Hervè Ghesquière, ce fameux ex-otage d'Afghanistan qui a créé la polémique par son attitude outrancière et ses mensonges éhontés sur le fait qu'il n'avait jamais été prévenu de la dangerosité de l'endroit où il se sont aventurés avec leur caméraman. J'étais à la tête de la communication de l'armée de Terre à ce moment là, et j'avais un de mes sous-officiers féminins présent en Afghanistan. 
Elle avait justement réceptionné les deux journalistes à l'aéroport, de retour de leur première virée dans les zones françaises : dédaigneux, inciviles, orgueilleux, odieux, indisciplinés, jamais contents tels étaient les qualificatifs qui leur avaient été attribués à ce moment là, quelques jours avant leur capture. 
Aujourd'hui,ce soi-disant journaliste récidive en médisant et mentant dans le récit de ses aventures dont il cherche a faire commerce après que tant de soldats ont risqué leur vie pour les libérer... 
Mais ce qui nous donne un peu de baume au coeur aujourd'hui, c'est que c'est une autre journaliste qui lui dise ces 4 vérités et je vous invite à lire sa prose...

Les "Chroniquetamére" d’Anne Moyat  - 26 septembre 2012 -


Après une longue période de prise d’otage, on observe souvent deux types de comportement chez les victimes: 
- Il y a celles qui se suicident, incapables de se réadapter au quotidien.
- Et puis il y a celles qui font un bouquin.
 
Ghesquiére fait partie de la catégorie numéro 2.
A la veille de la sortie de « 547 jours », récit de sa captivité, il s’explique dans une parodie d’interview réalisée par « ELLE ».
J’ai toujours pensé que le journalisme était une grande chose. Dommage qu’il y ait les journalistes.
Et « ELLE » de leur dérouler le tapis rouge.
Que voulez vous, "Grand Reporter", c’est comme pompier ou médecin urgentiste …ça fait rêver la femelle en milieu urbain. 
A la seule évocation du gaillard taciturne, barbe de trois jours, veste militaire et appareil photo en bandoulière, tout ce petit monde de la presse féminine se ruine un string. 
En oubliant de poser les vraies questions. 
Après tout, on ne va pas se taper dessus entre confères.
« On a jamais voulu escalader l’Everest en tongs. » répète Ghesquiére à l’envie, parodiant au passage l’humoriste Thomas N’ Gijol.
« On a voulu prouver que toutes les routes n’étaient pas sous contrôle, contrairement à ce qu’affirmait l’armée française »
Ce qui revient à dire : on va faire du hors piste pour démontrer qu’il y a risque d’avalanche. Parce qu’on est des cow-boys de l’info, nous, des cow-boys sévèrement burnés, prêts à tout pour exercer notre noble métier…
Alors quoi ? T’es journaliste, mec ? 
Ta carte de presse est le prolongement logique de ta quéquette ?
Parfait. Tu es donc censé connaître le sens des mots mieux que la moyenne nationale.
« Tout est sous contrôle » ne signifie pas “Il n’y a aucun danger”. 
Ce n’est pas parce que l’incendie est circonscrit, que le périmètre est balisé et que les pompiers ont dégainé les lances qu’il faut pour autant se jeter dans les flammes. 
Quand l’état-major dit «Va pas là », c’est que la zone est risquée. 
Toi comprendre ou moi devoir traduire à toi ?
« Hervé Ghesquiére déteste être considéré comme une victime » susurre « ELLE », en ouverture du papier. Grand bien lui fasse parce qu’une victime, c’est quelqu’un qui n’a pas choisi.
Reste que mon confrère ne déteste pas passer pour un héros. Ce que j’aurai voulu, moi, c’est qu’« ELLE » demande à ce baroudeur d’opérette combien de militaires sont morts pour aller le chercher, lui et son caméraman.
Puisque la journaliste a cru bon de trapper la question, sachez le donc, mes lapins.
Ils sont 9. 
9 jeunes tombés sous les balles en essayant d’exfiltrer ces deux coyotes. Un détail. Un dommage collatéral.
Que les choses soient claires, une bonne fois pour toutes : un journaliste n’est pas supposé être autre chose qu’un journaliste. Ce n’est nullement un héros.
547 jours et un an plus tard, Superman est bien vivant, et il a, en plus, l’outrecuidance de traiter de lâche l’officier de presse en poste à l’époque de son enlèvement.
Donc je pose la question, moi. Je la pose à mon courageux confrère…
Etes vous allés serrer les mains des veuves à votre retour en France , toi et ton caméraman?
Les avez vous regardées bien droit dans les yeux, vous qui parlez de courage et de lâcheté ?
M’est avis que les bénéfices du bouquin n’iront pas aux familles des 9 soldats morts en silence.
En silence pour que Ghesquiére continue d’ouvrir sa gueule, quand il devrait, en plus  manger sa carte de presse, et observer la discrétion la plus élémentaire.


Le 2 septembre 1972...

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Le Conseil de Paris refuse de "dédier un espace public" aux militaires français tués en Afghanistan

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Secret défense

Jeudi 11 Octobre 2012 Jean-Dominique Merchet
 
Lors de la séance du Conseil de Paris, les 24 et 25 septembre dernier, la majorité municipale a repoussé une proposition des élus UMP de "dédier un espace public de la capitale" aux 88 militaires français morts en Afghanistan. Catherine Vieu-Charrier (PS), adjointe au maire en charge du monde combattant, a expliqué que la mairie de Paris était déjà "associée" au projet d'installer un monument en hommage aux soldats tombés en opérations extérieures, place de Fontenoy, derrière l'Ecole militaire - un projet "sous l'autorité du ministère de la Défense". L'argument peut s'entendre, même si l'on a connu l’Hôtel de Ville plus réceptif à d'autres demandes, par exemple l'inauguration d'une place Mohamed Bouazizi, dans le XIVe arrondissement, du nom du jeune tunisien dont le suicide a déclenché la révolution en décembre 2010 .

En revanche, l'explication de vote fournie par l'écologiste Sylvain Garel risque de faire grincer quelques dents : "Je rappelle qu'il y a effectivement eu 88 soldats français qui sont morts en Afghanistan. C'est bien triste pour eux et leur familles, mais qu'il y a eu aussi 120.000 civils afghans morts depuis que nous avons déclenché une guerre en Afghanistan. Je pense que si on devait construire des monuments, il faudrait aussi penser à ces 120.000 personnes, qui pour la plupart n'avaient rien demandé et qui ont été tuées à cause d'une guerre que nous avons déclarée à leur pays".

Voilà que nous aurions déclaré la guerre à l'Afghanistan... et que la mort des soldats n'est "bien triste" que pour "eux et leurs familles"... mais pas pour les élus écologistes manifestement.  Sylvain Garel, co-président du groupe Europe Ecologie Les Verts, n'en est pas à son premier coup d'essai en matière d'antimilitarisme, comme nous le racontions déjà sur ce blog en octobre 2011.

Military hero's exploits to be reproduced on screen

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12/10/2012

A TRIBUTE: At Levin’s Old Cemetery, Sam Waddell, 15, Horowhenua mayor Brendan Duffy and Emma Waddell,

12, acknowledge the life of war hero Lieutenant Colonel James Waddell.

The life of a French hero and New Zealand's most decorated soldier is set to be translated onto screen.

Independent film producer Jasmine Millet, notable for her work on Anzac documentaries for Maori Television, has told how she was approached by three unrelated people in one month asking whether she had considered looking into the life of one Lieutenant Colonel James Waddell.

She found he was buried in Levin's Old Cemetery, close to her home city of Palmerston North, and had the distinction of being a seven-time recipient of the Croix de Guerre, France's highest military honour.

She also found a connection with her own history.

"Some of the key moments of his story take place in colonial India and that's where my family is from." Her husband is also French and the coincidences struck a chord with Mrs Millet.

"It's a story somebody needed to tell," she said. "These stories have come to me and now I feel an obligation to tell them."

She has spent the past three years researching his life and has applied to the Film Commission for support to make a feature film to tell Lieutenant Colonel Waddell's story.

Lieutenant Colonel Waddell's links with France led to a comemmoration led by the French embassy yesterday.

The Dunedin-born soldier entered the British Army in 1895, not long after he met a French woman who became his first wife. He went on to serve on the Western Front where he was promoted to Officer of the Legion of Honour in 1917 for his actions on the Somme and he also commanded the second Battalion of the Regiment de Marche de la Legion etrangere during the Champagne attack in April of that year.

His service in the French Foreign Legion earned him a Croix de Guerre with seven palms - the equivalent of eight Victoria Crosses. He took part in the Boer War, the Boxer Rebellion and World War I, including the Gallipoli campaign, in which he commanded the 1st Regiment of the Legion. He was awarded Commander of the Legion d'Honneur, in 1920 and died in 1954 aged 82 from prostate cancer while visiting his son in Levin.

French ambassador Francis Etienne yesterday paid tribute to the soldier in a ceremony attended by Lieutenant Colonel Waddell's family, some of whom flew from Australia to mark the occasion, alongside Horowhenua mayor Brendan Duffy, returned servicemen, Mrs Millet and a few interested members of the public.

Mr Etienne told the gathering he had pored through records of Kiwis with French heritage and came across Lieutenant Colonel Waddell's story and felt compelled to make a visit to his grave.

He found that the French consulate had not officially honoured the soldier since a 1954 visit to attend his funeral. According to French records of that visit, the soldier's list of military achievements was so long it took 10 minutes to read aloud in full.

"Something has to be done in order to rejuvenate his memory," he told Lieutenant Colonel Waddell's descendants. "The intention is to say that he is an example of life, he is an example of courage."

Claudia Klein had travelled from Tauranga to mark the day and recalled her grandfather's stoicism.

"He never spoke much about the war. Reporters were there to meet him when he returned to New Zealand, but he wouldn't speak to them. People in the war did not want to talk about [it]," she said.

Mr Etienne used the occasion to announce his intention to mark February 18 every year with a ceremonial visit to the soldier's grave.

- © Fairfax NZ News


Quand la politesse veut...

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que l'on cite les sources exactes...

Ancien légionnaire
 
Avatar de Pascal-Jean OLIN
 
Date d'inscription: August 2012
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Bonjour bonsoir,

Ici PC, donnez votre position...



Radio, "collationnez"...

Ben Me... alors.

Amicalement Pascal.

__________________

"A nul autre pareil"
Pascal-Jean OLIN est déconnecté   Réponse avec citation

35° Semi marathon de Castelnaudary

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La lettre du Génie N° 31

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