- Par Annie Vergnenegre
- Publié le 19/01/2015 | 14:57, mis à jour le 19/01/2015 | 15:30
2015
Cérémonie du 14/03/2015 à Béziers
La 13e DBLE en démo à Abu Dhabi
Ils sont partis - 21/02/15
Publié à 15h02, le 21 février 2015
Nicolas Carreau nous parle d'Adama, qui a dû partir du Mali à la demande de son frère. En France il finit par s'engager dans la légion étrangère, avant de trouver un travail.
VBCI à Nîmes : Premiers tirs
Feu de Carpiagne : le légionnaire condamné à du sursis
Provence-Alpes
Le légionnaire soupçonné d'avoir ordonné des tirs de balles traçantes à l'origine de l'incendie, qui a détruit 1 000 hectares dans les calanques en 2009, a été reconnu coupable et condamné à six mois de prison avec sursis.
Le feu avait démarré dans le camp militaire de Carpiagne, au-dessus des calanques de Marseille, le 22 juillet 2009, avant de franchir les crêtes des collines. Circonscrit au bout de trois jours, il avait dévoré 1.077 hectares aux portes de Marseille faisant également deux blessés et 67 victimes matérielles.
Voeux de François Hollande aux Armées
Le vol et le manque d'hygiène dans les centres d'hébergement dénoncés par un sans-abri
publié le 03/01/2015
Toute l'année en France, des sans-abri meurent. Pour leur venir en aide, de nombreuses solutions sont mises en place, pas toujours efficaces.
Une équipe de France 3 est allée à la rencontre de sans-abri à Paris. Elle s'est rendue sur une place où se retrouvent les sans domicile fixe, comme Thierry Morel. Dans la rue depuis 3 ans, il est ancien sergent de la Légion étrangère. C'est la guerre qui l'a abîmé. Il fait partie des SDF qui refusent de dormir dans les centres d'accueil. "Faut coucher tout habiller parce que le lendemain vous n'avez plus de pantalon", explique-t-il. "Vous couchez dans les centres où il y a 60 personnes qui ne se lavent pas. Même ceux qui ont envie d'uriner, ça va vous uriner sur le coin de la gueule", déplore-t-il. Le vol, la violence, le manque d'hygiène, tant de raisons qui le poussent à dormir sur le trottoir.
"Un rejet de la France"
Il fait partie des quelque 30 000 sans-abri qui peuplent les rues de Paris. Lui se présente comme "un rejet de la France". D'ici quelques jours, il rencontrera une association pour un poste d'agent de sécurité. S'il le décroche, il gagnera une centaine d'euros, insuffisants pour quitter la rue.
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