AALEME

Légionnaire toujours...

  • Plein écran
  • Ecran large
  • Ecran étroit
  • Increase font size
  • Default font size
  • Decrease font size

La Newsletter 17/22 de l'AALEME.

Envoyer

La Newsletter 17/22 de l'AALEME.

A REDIFFUSER SANS MODÉRATION

Discours de Monsieur Jean-Yves Le Drian : «La Nation compte plus que jamais sur vous.»

legion visuel.jpg

30-04-2017

 

"Je suis heureux et fier d’être à vos côtés. Continuez à servir avec honneur et fidélité, More majorum. La Nation compte plus que jamais sur vous.

Vive la Légion étrangère ! Vive la République ! Vive la France !"

Officiers, sous-officiers, caporaux-chefs, caporaux, clairons et légionnaires,

Aujourd’hui, à Aubagne et dans toutes les unités de la Légion étrangère, chez tous les anciens, et partout dans le monde où flotte son fanion vert et rouge, la grande famille des légionnaires célèbre le 154e anniversaire du combat de Camerone.

Plus d’un siècle et demi a passé, et la compagnie du capitaine Danjou est entrée dans la légende. Légionnaires, cette légende est la vôtre, celle que vous maintenez vivante en la célébrant aujourd’hui, en demeurant fidèle à la leçon de volonté et d’abnégation de vos anciens. C’est la leçon de courage de ces soldats devenus des héros ; la leçon d’énergie pour les chefs capables, par leur exemple, de faire que leurs hommes donnent le meilleur d’eux-mêmes.

La flamme de Camerone, je la retrouve dans vos regards. Je la rencontre dans la vie du sergent-chef Phong Nguyen Van et de ceux qui l’accompagneront lorsqu’il remontera la voie sacrée, portant la main du capitaine Danjou, cette relique qui inspire chaque légionnaire, du jour de son engagement au jour de son départ. Aujourd’hui, tous vos drapeaux portent dans leurs plis l’inscription glorieuse « Camerone 1863 ».

Cette année, nous rendons plus particulièrement hommage aux volontaires indochinois qui s’engagèrent comme supplétifs dans vos rangs lors de la guerre d’Indochine. Combattants extraordinaires de bravoure, à l’image des compagnies indochinoises parachutistes intégrées aux bataillons étrangers de parachutistes (BEP), ils ont marqué de manière indélébileotre histoire et celle de l’Indochine dont le destin tragique reste profondément inscrit dans la mémoire de la Légion étrangère. A jamais, les combattants de Cao Bang, Dong Khé et de la RC4, de Lang Son, Na San et de Diên Biên Phû ont pris place aux côtés des héros de Camerone.

Le combat de Camerone, s’il vous est propre, n’en incarne pas moins les vertus de nos armées, le respect de la parole donnée, la volonté indéfectible d’accomplir la mission jusqu’au bout, la solidarité entre frères d’armes, que la mort seule éteint, le courage, enfin, qui force l’admiration jusque dans les rangs ennemis. Camerone est la fête incontournable de la Légion étrangère. Le combat que menèrent ces 62 légionnaires est fondateur ; fondateur pour votre identité, fondateur pour tous ceux qui choisissent aujourd’hui de rejoindre vos rangs et d’avoir l’honneur de porter le célèbre képi blanc et pour qui « la mission est sacrée ».

En commémorant Camerone, nous rendons aussi hommage à ceux qui sont tombés cette année au service de la France, à ceux qui sont allés jusqu’au sacrifice suprême pour accomplir la mission qui leur avait été confiée. En cet instant solennel, mes pensées se tournent vers eux et vers leurs familles. Comme à Camerone, « la vie plutôt que le courage abandonna ces hommes ». Aujourd’hui au Sahel et au Levant, comme jadis au Mexique, hier en Afghanistan et demain, ailleurs encore, nos soldats portent haut les couleurs de la France dont ils sont à la fois l’honneur et la fierté. Mes pensées se tournent plus particulièrement aujourd’hui vers toutes les unités de la Légion étrangère déployées à travers le monde et qui célèbrent, en même temps que nous, cette date anniversaire.

En fêtant Camerone, nous saluons aussi tous ceux qui ont fait le choix de rejoindre vos rangs et, à travers elle, le choix d’un nouveau départ, au service de la France. Ce nouveau départ, cette chance donnée à qui veut la saisir, c’est l’un des plus beaux principes de la Légion étrangère, que chaque nouvelle génération de légionnaires incarne avec force. En lui, deux valeurs se conjuguent, deux valeurs qui sont la marque de la République : l’universalité d’abord, puisqu’à travers vous se rassemblent 150 nationalités, d’Europe, d’Afrique et d’Asie, des Amériques et de l’Océanie. Celle de la cohésion et de l’unité de l’intégration ensuite, puisque l’uniforme que vous revêtez, marqué de la grenade à sept flammes, c’est celui de la France, heureuse et fière de pouvoir compter sur vous pour la défendre, vous qui êtes fiers de la servir à titre étranger.

« Etranger devenus fils de France, non par le sang reçu mais par le sang versé », le légionnaire est ainsi cet homme qui, cherchant un nouveau départ, se voit accueilli dans la grande famille légionnaire qui lui ouvrira les portes d’une nouvelle patrie dont il deviendra bien souvent un enfant. Ainsi, les décrets de naturalisation que je remettrai dans un instant à deux légionnaires témoignent de la reconnaissance du pays à ceux qui ont tout donné pour lui.

La Légion étrangère est une force d’exception. Sous le fanion vert et rouge, vous répondez d’un engagement d’autant plus admirable que nombre d’entre vous se sont mis au service d’un pays qui n’était d’abord pas le leur, mais dont vous vous rendez dignes, par vos faits d’armes, et par le sens que reçoivent ici les mots de patrie, de dévouement et de courage, d’honneur et de fidélité.

C’est justement le thème de la cérémonie de cette année : « Légionnaire, tu es un volontaire servant la France avec honneur et fidélité ». Volontaire, vous l’êtes tous. Que vous soyez légionnaires, sous-officiers, officiers, vous êtes volontaires pour servir la France, partout où le chef des armées décide de vous envoyer. Tous, vous avez osé un jour - et il faut aussi avoir de l’audace pour l’oser ! - franchir le pas et vous présenter ici. Volontaires, vous venez d’horizons différents, mais tous, c’est un même idéal qui vous inspire, une même fraternité qui vous soude les uns aux autres ; c’est un même engagement qui vous rassemble, comme il vous lie à tous ceux qui vous ont précédé dans cette voie exigeante et dont l’exemple vous guide.

Vos missions, vous pouvez les accomplir grâce à la formidable solidarité qui vous lie les uns aux autres, à l’entraînement comme au combat. Je respecte la force de vos traditions que ce jour illustre avec éclat. J’admire votre esprit de corps et l’alchimie extraordinaire qui existe entre légionnaires. Ces valeurs sont le ciment de la famille que forme la Légion étrangère, comme en témoigne votre devise « Legio patria nostra ».

Vous accomplissez aussi ces missions avec les moyens renforcés dont vous avez été dotés. Je pense bien sûr au formidable défi du recrutement que tous les régiments de la Légion étrangère relèvent avec enthousiasme, depuis que le Président de la République a décidé de faire passer la force opérationnelle terrestre de 66 000 à 77 000 hommes. Dans la réalisation de cet effort de défense historique, la Légion se tient au premier rang.

En m’adressant à vous tous, légionnaires, qui allez et venez dans la légende d’un combat qui vous rassemble, et plus encore, qui vous ressemble, je veux vous exprimer toute la confiance que la Nation place dans la Légion étrangère, toute l’admiration aussi que lui inspire ceux qui, en venant de tous les horizons, ont fait le choix de la servir, les armes à la main.

Je suis heureux et fier d’être à vos côtés. Continuez à servir avec honneur et fidélité, More majorum. La Nation compte plus que jamais sur vous.

Vive la Légion étrangère ! Vive la République ! Vive la France !

 

Monsieur Jean-Yves le Drian, Ministre de la Défense
Discours prononcé lors de Camerone 2017, à Aubagne

Le CEMAT au «4» pour Camerone

legion visuel.jpg

30-04-2017

 

"Magnifique exception française, la Légion étrangère incarne à la fois l’intégration et la naturalisation dans leurs formes les plus abouties."

Cette année, une fois de plus, la grande famille légionnaire se regroupe et commémore avec respect, solennité et émotion, l’héroïque résistance du capitaine Danjou et de ses hommes. Sur tous les continents, des légionnaires, en activité ou en retraite, des familles, des amis, voire des admirateurs, vivent cette journée avec une intensité qui atteste du caractère fondateur de Camerone pour l’âme de la Légion étrangère.

La main du capitaine Danjou qui, au moment où je vous parle, remonte la Voie Sacrée de la maison Mère, fait figure de relique. Le récit du combat, que nous entendrons dans quelques instants, est d’essence liturgique. Les soixante-deux légionnaires tombés ce 30 avril 1863 sur le sol mexicain sont vénérés avec une inaltérable piété. L’hacienda dans laquelle résonnèrent leurs derniers souffles est un véritable lieu saint dans l’inconscient « vert et rouge ». Alors effectivement, Camerone est bien un acte fondateur, un acte qui structure toute la Légion étrangère et qui inspire tout légionnaire sa vie durant, un acte par lequel l’absolue diversité du recrutement se mue naturellement en absolue unicité de l’esprit de corps, illustrée de la plus belle manière lorsque le bloc insécable que vous formez descend les Champs-Elysée

Magnifique exception française, la Légion étrangère incarne à la fois l’intégration et la naturalisation dans leurs formes les plus abouties. L’engagé volontaire y devient légionnaire « quelles que soient sa nationalité, sa race ou sa religion » et parfois Français « non par le sang reçu, mais par le sang versé ».

Faire de ce « volontaire » un légionnaire est justement la mission principale de votre régiment. Cette étape sera symbolisée dans quelques instants par le rite de remise des képis blancs à la section du sergent-chef Sedlecklas. Messieurs les futurs légionnaires, souvenez-vous longtemps de cet instant que vous allez vivre en revêtant le képi blanc que vous méritez désormais de porter. Souvenez-vous de ces trois mots, « Legio Patria Nostra », que vous allez prononcer et qui vous engageront désormais. Souvenez-vous également des paroles de votre code d’honneur que vous allez réciter, ils devront guider vos pas dans la carrière mais également au cours de votre existence toute entière.

La force et la réputation de la Légion étrangère reposent pour beaucoup sur la qualité avec laquelle le « 4 » remplit sa mission d’instruction, une mission de l’ombre, mais une mission sans laquelle aucun régiment étranger des forces ne saurait survivre. Le message de Camerone nous rappelle justement qu’il n’y a pas de petite mission. Une simple escorte de convoi, qui ne semblait pas spécialement importante, est ainsi devenue l’illustre fait d’armes que nous commémorons aujourd’hui.

Messieurs les « fortes têtes », on peut dire que vous n’avez pas chômé depuis deux ans ! La remontée en puissance de la Légion étrangère, avant d’être une réalité fut un défi de taille, un défi face auquel vous étiez en première ligne, un défi que vous avez su relever avec le professionnalisme, l’enthousiasme et la sérénité qui caractérisent les troupes d’élite.

Le plan de charge de votre régiment à presque doublé. Le quartier « Capitaine Danjou » a été soumis à de redoutables contraintes d’effectifs. Vos permissions se sont raréfiées. Vos familles, que je tiens ici à remercier, ont payé leur écot à ce projet. 40 ans après sa création, 30 ans après son emménagement dans ce beau quartier, le « 4 », sous les ordres de son chef, le colonel Dufour, a démontré sa parfaite résilience.

L’armée de Terre vous félicite ; c’est le sens de ma présence parmi vous aujourd’hui. La France vous remercie ; c’est le sens de votre présence sur les Champs-Elysées le 14 juillet prochain.

Dans quelques instants, certains d’entre vous seront décorés. A travers les médailles qui orneront bientôt leur poitrine, chacun d’entre eux ajoutera – à sa façon – quelques lignes à l’histoire de la Légion. Recevez messieurs, mes sincères félicitations et celles de toute l’armée de Terre.

Je voudrais enfin souligner la présence de cadets de la Défense au milieu de nous aujourd’hui. Cela illustre à la fois la vivacité d’esprit de Défense en France et le parfait ancrage du régiment dans le Lauragais. Merci également aux nombreux Chauriens qui nous entourent à l’occasion de cette fête de famille. Merci enfin aux anciens du régiment, et notamment aux anciens chefs de corps, qui témoignent par leur présence de leur attachement à leur beau régiment.

A vous tous, légionnaires et amis de la Légion étrangère, la caporal d’honneur, que je suis, souhaite un « Joyeux Camerone » !

 


Général d’armée Jean-Pierre Bosser,
Chef d’état-major de l’armée de Terre
Ordre du jour N°43, du 30 avril 2017

Camerone, «l'acte fondateur de la Légion étrangère»

http://www.ladepeche.fr/

Publié le 02/05/2017

 

Un public nombreux pour assister à la cérémonie.

Un public nombreux pour assister à la cérémonie.

 

C'est nombreux que le public, presque 2 000 personnes, a rendu hommage à la Légion et ses légionnaires lors de la prise d'arme de ce samedi, en présence du général d'armée Jean-Pierre Bosser, chef d'état-major de l'armée de terre, venu présider la cérémonie. Une cérémonie émouvante au cours de laquelle le 4e régiment étranger a célébré ces héros français lors de la bataille de Camerone. Soixante soldats qui ont préféré combattre jusqu'à la mort plutôt que se rendre face à l'armée mexicaine, luttant vaillamment pendant huit heures. Cette bataille a fait 300 morts et autant de blessés.

Camerone est «l'acte fondateur de la Légion étrangère», précisa le général Jean-Pierre Bosser, qui a rendu un vibrant hommage à ces légionnaires, insistant sur le fait que Camerone rappelle «qu'il n'y a pas de petites missions». Pour avoir réussi avec la rigueur qui les caractérise la montée en effectifs, ils seront mis à l'honneur le 14-Juillet en défilant sur les Champs-Élysées. Une mission de formation qui s'est vue augmenter de 80 %. C'est ainsi que les dernières recrues formées ont reçu leur képi blanc devant le général. C'est avec la devise «Legio Patria Nostra» et le code d'honneur du légionnaire cité devant le général que les jeunes recrues deviennent véritablement légionnaires.

«Cette cérémonie de Camerone a un sens particulier, elle met en avant les valeurs de la Légion en s'appuyant sur un haut fait d'armes, qui donne du corps et de la cohésion au 4e RE. Une Légion qui fait la fierté de la population chaurienne, en témoigne ce nombreux public», précisait Patrick Maugard, maire de Castelnaudary.

La cérémonie terminée, place à la kermesse de Camerone, l'occasion pour le public de répondre à la gentillesse de leurs hôtes pour des journées «portes ouvertes» très attendues par les petits et les grands, avec en soirée le traditionnel bal gratuit et l'élection de Miss Képi blanc. Nous y reviendrons dans une édition ultérieure.

La Dépêche du Midi

Bagnols : Camerone a été célébré avec faste et solennité

http://www.midilibre.fr/

Publié le 03/05/2017

Bagnols : Camerone a été célébré avec faste et solennité
Les visiteurs très nombreux pour assister à la cérémonie. DR

Le 1er Reg de Laudun-l'Ardoise a célébré l'anniversaire de la bataille de Camerone.

Le 1er Régiment étranger de génie du quartier général Rollet de Laudun-l'Ardoise a célébré l'anniversaire de la bataille de Camerone, ce dimanche 30 avril. Un haut fait d'armes historique qui a opposé une compagnie de la Légion étrangère aux troupes mexicaines le 30 avril 1863 lors de l'expédition française au Mexique.

La soixantaine de soldats de la Légion, assiégée dans un bâtiment d'une hacienda du petit village de Camerone de Tejeda, résista plus d'une journée à l'assaut de 2 000 soldats mexicains. À la fin de la journée, les six légionnaires encore en état de combattre, à court de munitions, chargèrent les troupes mexicaines à la baïonnette.

La remise des décorations

Cette cérémonie était placée sous l'autorité du général Benoît Durieux, commandant la 6e Brigade légère blindée. Le chef de corps, le colonel Emmanuel Phelut, a présenté au général les unités du régiment présentes à cette commémoration. On notait la présence autour de la place d'Armes de la section des pionniers, ils portent traditionnellement la barbe, la hache et le tablier de cuir couleur buffle, ainsi que les différentes compagnies du régiment et les réservistes mais aussi avec la participation de la musique des sapeurs-pompiers de Paris dirigée par son chef de musique.

Après les honneurs au drapeau, ce fut l'arrivée des autorités civiles et militaires, le salut au drapeau et la revue des troupes. Le général de la 6e BLB a prononcé la lecture de son ordre du jour. Puis ce fut la remise des décorations : a été décernée la médaille militaire à l'adjudant-chef Cholaert, le major Phelut et l'adjudant-chef Kouch. La médaille de la Défense nationale avec étoile de bronze au sergent, Rémaly Pivot ; au caporal-chef Raveloson ; au caporal, Kaliniiazov ; au caporal, Mikkola ; au caporal, Vovtchyk ; au 1re classe, Andrianandraina ; au caporal, Bolormaa et au sergent, Miron.

Il y a eu ensuite le récit du combat de Camerone, (a capella), par un officier du régiment. Pour clore cette prise d'armes, le 1er Régiment étranger de génie a défilé au son du Boudin, marche traditionnelle de la Légion étrangère, devant le très nombreux public. En point d'orgue de cette commémoration, la traditionnelle kermesse du 1er mai avec l'élection de Miss Képi Blanc, s'est déroulée au quartier Général-Rollet.

CAMERONE EN POLYNESIE

comme d’habitude une belle prestation au cimetière de l’URANIE a PAPEETE
Suivie par un repas , du coté de PUNAUIA
Ambiance magnifique , chant légion a tue tête, et bien sur……………
pour les plus téméraires cela a finis dans la piscine du resto
de la haut nos anciens ont du bien se marrer, et voir que quand bien même nous somme éloigné de la mère patrie
les traditions son toujours respectés
VIVE LA LEGION qui a fait de moi l’homme que je suis
Adc (er) SCANZI

Un dur cu sensibilitate. Picturile unui român din Legiunea Străină, admirate de actori celebri

http://www.romanialibera.ro/

02 mai 2017

Jean-Paul Belmondo, Jean-Claude Van Damme, Alain Delon – sunt doar câțiva dintre marii actori invitați la o grandioasă expoziție ce a avut loc în Franța.

Evenimentul intitulat „Legiunea și cinematograful“ a fost organizat chiar de către această unitate de elită la Muzeul Legiunii Străine de la Aubagne, precum și în cinematografele din apropiere, între care și în cea mai veche sală de proiecție din lume situate în orășelul din apropiere - La Ciotat.

„M-am simțit onorat că importante lucrări de pictură de-ale mele au putut fi admirate de vizitatori, printre care și faimoșii invitați pe care i-ați pomenit. Acest lucru constituie o etapă importantă din cariera mea artistică, cu care mă mândresc“, a declarat Emil Bodi, românul care a participat la faimoasa expoziție a Legiunii Străine.

El s-a născut la Slatina în 1970. Talentul artistic și l-a descoperit încă de când avea patru ani, atunci când vecinul său, „pictorul Botez“ îl inițiază în tainele artelor frumoase. Mai târziu, Emil îl întâlnește pe maestul Ion Minoiu, un pictor ceramist de artă monumentală. “Maestrul Minoiu este unul dintre elevii marilor pictori Nicolae Dărăscu și Camil Ressu“, ne-a declarat Emil.

Legionarul român continuă să picteze în cadrul celei mai mari instituții militare din Europa - Legion Etrangere. Re­cent, a participat la o expoziție în orașul Cassis, din sudul Franței, “acolo unde a pictat și marele pictor român Luchian“, după cum explică chiar artistul. Una dintre lucrările sale a fost expusă în Muzeul Legiunii Străine si­tuat la Aubagne, cu ocazia evenimentului „Legion et cinema“.

Un refugiu în culori

Emil Bodi consideră că „tabloul este frontiera dintre talent și studii“. „În unele momente din viața asta efemeră, pictura rămâne un bun refugiu; pentru legiune pictez din dragoste, pentru că atunci când viața m-a pus la încercare, Legiunea a fost cam singura care mi-a deschis porțile! În semn de respect, de recunoștință, trebuie să lăsăm și ceva bun pe unde trecem! Pentru asta pictez pentru Legiune!“, a explicat românul, referindu-se la tablourile sale pe teme militare.

El a mai spus că este mândru că pictează cu la fel de mare pasiune și respect și „pentru lumea exterioară, pentru Oameni, cu O mare“. În cadrul evenimentului „Legiunea și cinematograful“, inaugurat recent în Franța și unde a expus Bodi, au fost programate proiecții cu principalele pelicule pe aceasta temă, în care au jucat actori de renume: „Under Two Flags“ (1912) de Lucius Henderson, „Morocco“ (1930), cu Gary Cooper și Marlene Dietrich, „Taxi pour Tobrouck“ (1961), cu Charles Aznavour și Lino Ventura și multe altele, până la „Legionarul“, cu Jean-Claude Van Damme.

Ils se sont battus jusqu'au dernier souffle

http://www.lanouvellerepublique.fr/

03/05/2017

Les officiers généraux et le maire ont reçu le récit de la bataille sous verre. - Les officiers généraux et le maire ont reçu le récit de la bataille sous verre.

Les officiers généraux et le maire ont reçu le récit de la bataille sous verre.

 

En mémoire du 30 avril 1863, où 62 valeureux soldats de la 3e compagnie du régiment étranger d'infanterie sous le commandement du capitaine Danjou se sont illustrés au cours de la célèbre bataille de Camérone au Mexique, ce samedi 29 avril 2017, c'est à Marcé-sur-Esves, ville natale de Jean-Baptiste Serreau, sergent du 1er Régiment de Marche de la Légion Étrangère (RMLE) mort en 1918, des suites d'une maladie contractée en service que le maire, Gérard Dubois, a accueilli pour cette commémoration, le général de Corps Aérien Jean-François Dischamps, le Général de division Jean-Claude Gautier et le Général-médecin Christian Maurice en présence des corps de la gendarmerie, des pompiers, des élus et d'un public venu en grand nombre.

Pour ce 154e anniversaire, une messe commémorative a été célébrée par le père Bernard Taudière en l'église Saint-Martin accompagné par les trente choristes des vocalises du Brignon de Betz-le-Château et de la formation Chanter en Cœur de Ligueil sous la direction de Franck Lespagnol. C'est ensuite accompagné par la musique départementale des sapeurs-pompiers de Touraine sous la baguette du capitaine Thierry Piedallu que le cortège s'est rendu au monument aux morts où en présence des trente-deux porte-drapeaux des associations d'anciens combattants, Jean-Jacques Marcucetti a fait lecture du récit poignant de cette épopée qui sera remis par Lorailler sous la forme d'un tableau au maire et officiers généraux.

Cameron de Tejeda est un village mexicain situé à l'ouest du port de Véracruz connu pour l'épisode dramatique de sa bataille. Un monument rappelle ce combat.

Ce qui est en ligne depuis la dernière Newsletter...

Laudun-l'Ardoise : le combat de Camerone, célébré avec faste et solennité

http://www.midilibre.fr/

Publié le 03/05/2017

Laudun-l'Ardoise : le combat de Camerone, célébré avec faste et solennité

L'arrivée du drapeau du régiment

Laudun-l'Ardoise : le combat de Camerone, célébré avec faste et solennité

La foule considérable des visiteurs

Laudun-l'Ardoise : le combat de Camerone, célébré avec faste et solennité

Les sapeurs pompiers de Paris

Laudun-l'Ardoise : le combat de Camerone, célébré avec faste et solennité

Les autorités civiles et militaires

Laudun-l'Ardoise : le combat de Camerone, célébré avec faste et solennité

Le général et le chef de corps

Laudun-l'Ardoise : le combat de Camerone, célébré avec faste et solennité

Les pionniers du régiment

Laudun-l'Ardoise : le combat de Camerone, célébré avec faste et solennité

Le chef de corps a ouvert le défilé

Le 1er Régiment Etranger de Génie du quartier général Rollet de Laudun-l'Ardoise a célébré l'anniversaire de la bataille de Camerone ce dimanche 30 avril 2017.

Ce haut fait d'armes historique a opposé une compagnie de la Légion étrangère aux troupes mexicaines le 30 avril 1863 lors de l'expédition française au Mexique. La soixantaine de soldats de la Légion, assiégée dans un bâtiment d'une hacienda du petit village de Camerone de Tejeda, résista plus d'une journée à l'assaut de 2 000 soldats mexicains. À la fin de la journée, les six légionnaires encore en état de combattre, à court de munitions, chargèrent les troupes mexicaines à la baïonnette.
Cette cérémonie était placée sous l'autorité du le général Benoit Durieux commandant la 6e brigade légère blindée. Le chef de corps le colonel Emmanuel Phelut a présenté au général les unités du régiment présentes à cette commémoration.

Avec la participation de la musique des sapeurs pompiers de Paris dirigée par son chef de musique ; On notait la présence autour de la place d'Armes : La section des pionniers, ils portent traditionnellement la barbe, la hache et le tablier de cuir couleur buffle ; ainsi que les différentes compagnies du régiment et les réservistes

Après les honneurs au drapeau, ce fut l'arrivée des autorités civiles et militaires, le salut au drapeau et la revue des troupes. Le général de la 6e BLB a prononcé la lecture de son ordre du jour puis la remise des décorations a été décernée :
La médaille militaire à l'adjudant chef Cholaert, le major Phelut et l'adjudant chef Kouch. La médaille de la Défense Nationale avec étoile de bronze au sergent Rémaly Pivot ; au caporal chef Raveloson ; au caporal Kaliniiazov ; au caporal Mikkola ; au caporal Vovtchyk ; au 1re classe Andrianandraina ; au caporal Bolormaa et au sergent Miron.
A suivi le récit du combat de Camerone, (a cappella), par un officier du régiment.

Pour clore cette prise d'armes, le 1er Régiment Etranger de Génie a défilé au son du Boudin, marche traditionnelle de la Légion Etrangère devant le très nombreux public venu au Quartier Général Rollet.
En point d'orgue de cette commémoration la traditionnelle la kermesse du 1er Mai avec l'élection de Miss Képi Blanc, s'est déroulée au quartier Général Rollet.

La DGA réceptionne les 400 premiers HK 416F

http://forcesoperations.com/

3 mai, 2017

 

Huit mois après la notification du marché AIF, la Direction générale de l’armement (DGA) a réceptionné aujourd’hui les 400 premiers fusils d’assaut HK 416F de l’allemand Heckler & Koch, appelés à remplacer un FAMAS en service au sein des trois forces armées françaises depuis près de 40 ans.

Quelques HK 416F sont déjà entre les mains de la 13e DBLE depuis début avril (Crédit photo: Légion étrangère)

Quelques HK 416F sont déjà entre les mains de la 13e DBLE depuis début avril (Crédit photo: Légion étrangère)

Petit rappel. Inscrit dans le cadre de la Loi de programmation militaire 2014-2019, le programme AIF prévoit notamment la livraison d’ici 2028 de 93 080 HK 416F de calibre OTAN 5.56 mm à l’armée de Terre. Le HK 416F sera décliné en deux versions : une version standard de 90 cm commandée à 38 500 exemplaires, dont 14 915 seront « félinisés », et une version courte de 80 cm pour équiper les fantassins embarqués, soit 55 000 soldats.

Destinés à l’armée de terre, ces premiers exemplaires devraient, d’ici le mois de juin, rejoindre le camp du Larzac, où ils seront distribués aux membres de la 13e demi-brigade de la Légion étrangère. Quelques heureux primo-formateurs de la 13e DBLE s’entraînent d’ailleurs depuis le début du mois d’avril au maniement de l’arme.

Parmi ce lot initial, 250 HK 416F seront confiés à la 4e compagnie et à la Section d’aide à l’engagement débarqué (SAED) de la 13e DBLE. En octobre prochain, 250 nouveaux HK 416F rejoindront les râteliers de la 1e compagnie, explique la Légion étrangère.

Au total, quelques 5 300 fusils d’assaut seront livrés à l’armée de Terre en 2017. La cadence de livraison doublera ensuite jusqu’en 2023, pour retomber à 5000 exemplaires par an entre 2024 et 2028.

« Legio Nostra : la Légion étrangère d’hier et d’aujourd’hui » par Benoit Blary et Hervé Loiselet

http://bdzoom.com/

4 mai 2017 Par Philippe Tomblaine

 

 

Sujet de tous les fantasmes depuis sa création en 1831, la Légion étrangère est aussi mythique que secrète. Au-delà des clichés qui sentent bon le sable chaud, Hervé Loiselet a mené une impressionnante enquête pour comprendre l’histoire et le quotidien des légionnaires, de l’époque coloniale jusqu’aux conflits contemporains, notamment dans le cadre de l’opération Serval au Mali en 2013. Superbement illustrées par les aquarelles de Benoit Blary, les 120 pages de ce one-shot BD-reportage dépoussièrent intelligemment l’image controversée des onze régiments de cette troupe singulière, vouée au sacrifice et à l’accomplissement exemplaire de sa mission.

La Légion saute sur... Tombouctou ; séquence d'ouverture de l'album

« Engagez-vous, qu’ils disaient ! » Derrière l’ironique image traditionnelle du troufion, devenu (depuis les légions romaines) un engagé plus ou moins volontaire au service de la patrie, se cache de plus nobles réalités ; dans le cas de la Légion étrangère, Hervé Loiselet (« 20 ans de guerre » en 2010 au Lombard) et Benoit Blary (« Virginia » chez Casterman) rappellent utilement les chiffres : totalisant, en 2016, 7 800 hommes répartis en 13 unités (métropole et territoires d’outre-mer), la Légion sélectionne chaque années 1 000 nouvelles recrues parmi les quelques 9 000 candidats qui viennent postuler. En s’engageant pour cinq ans, parfois sous un pseudonyme, le légionnaire d’origine étrangère pourra à terme être naturalisé français. Par la loi du sang versé ou par acceptation des valeurs républicaines, le soldat est ainsi reconnu officiellement dans sa défense de l’idéal national.

Recherches pour le visuel de couverture

À l’évidence, d’une époque à l’autre, ces grandes valeurs auront exacerbé l’intérêt ou la critique envers ce corps d’élite. Initiée par le maréchal Soult (l’un des vainqueurs d’Austerlitz) et Louis-Philippe en 1831, succédant à de nombreux régiments étrangers, la Légion « permettra » la conquête de l’Algérie ou l’indépendance italienne. Engagée dans des conditions difficiles sous le Second Empire contre le Mexique, la Légion vit un mémorable épisode héroïque le 28 avril 1863 lors de la bataille de Camerone (voir le récent album consacré au sujet par Thierry Gloris) : dès lors, fédérés chaque année autour du récit de la résistance des 60 hommes du capitaine Danjou contre leurs 2000 ennemis, les légionnaires entretiennent un rituel qui singularise la Légion. De l’image du guerrier romantique à celle du mercenaire sans foi ni loi, la fiction aura pendant plusieurs décennies délivrée une figuration ambigüe du légionnaire : de « Mickey in the Foreign Legion » (Floyd Gottfredson, 1937) à « La Légion saute sur Kolwezi » (Raoul Coutard, 1980) en passant par « La Main coupée » (Blaise Cendrars, 1946), « Les Morfalous » (Henri Verneuil, 1984) et le doublet « Mon légionnaire »/« Non, je ne regrette rien » chanté par Édith Piaf (1936 et 1956), il est effectivement difficile de se faire une idée simple du sujet… Remise en cause et suscitant la méfiance lors de la décolonisation, la Légion fait aujourd’hui l’objet de débats plus apaisés même si les vieux réflexes sont tenaces : chacun aura lu, ici ou là, la description d’un fait divers mettant en exergue la qualité de légionnaire du principal fauteur de troubles.

Camerone, la bataille symbole (pages 42 et 55)

Mickey (Abbeville Press, 1981) et Belmondo dans la Légion : deux images archétypales

 

Tel que représenté en couverture sur une suggestion de l’éditeur, le légionnaire se distingue pourtant fièrement avec son képi blanc (délavé et usé par le soleil) vissé sur la tête depuis juillet 1939. Autre image clé : celle du défilé du 14 juillet, où la Légion défile au pas lent et cadencé (88 pas par minute), précédée d’un groupe de 36 pionniers. En qualité de vétérans, ces derniers arborent la barbe, la hache et le tablier de buffle, trois éléments symbolisant leur expérience et leur qualité de bâtisseur, ouvrant comme jadis la route à leur régiment. Méticuleux, le légionnaire apprendra à combattre autant qu’à repasser ses uniformes en suivant des règles méticuleuses. Ne devant faire aucun pli ni à son code de l’honneur ni à son courage dans le feu de l’action, le légionnaire, paré d’une tenue de combat adéquate (casque optronique, gilet pare-balles, fusil famas, lunettes à vision nocturne) se retrouve sur tous les théâtres d’opérations extérieurs ou intérieurs. Après le Zaïre (1978), le Tchad (1979), le Golfe (1991), la Somalie (1992), la Yougoslavie (1993), et depuis l’Afghanistan (2001, 2008, 2012) ou le Mali (2013 – 2014), la Légion contre désormais les forces djihadistes, devant sécuriser de vastes territoires et permettre le recouvrement des intégrités territoriales.

Détails pour la couverture

L'uniforme fait le Légionnaire (page 68)

Divisé en huit chapitres successifs parfaitement complémentaires (« La Victoire », « L’Image », « L’Histoire », « Le Culte », « Le Quotidien », « La Bataille », « L’Hommage » et « Ensemble »), ce copieux album est accompagné de très riches interviews expliquant plus en détails l’importance des traditions, l’organisation des hommages rendus aux soldats morts pour la France (10 tués dont 3 légionnaires durant l’opération Serval), ainsi que le rôle significatif du mensuel Le Képi blanc, lequel atteindra son 800e numéro en juillet prochain. Comme l’écrit in fine le colonel Jean de Monicault, c’est avec brio que les auteurs font ici revivre les grandes valeurs de la Légion : rares sont en définitive les œuvres à rendre aussi accessible le mystère et la grandeur de ce militaire nommé Légionnaire. Une lecture qui satisfera sans doute même les plus farouches partisans à l’esprit « militaria », ce qui n’est pas peu dire…

Le 1er numéro du Képi blanc, imprimé à Oran en avril 1947.

Le 1er numéro du Képi blanc, imprimé à Oran en avril 1947.

Philippe TOMBLAINE

« Legio Nostra : la Légion étrangère d’hier et d’aujourd’hui » par Benoit Blary et Hervé Loiselet
Éditions Le Lombard (17,95 €) – ISBN : 978-2-803636655

Pérols : hommage aux combattants de Camerone

http://www.midilibre.fr/

Publié le 03/05/2017

Pérols : hommage aux combattants de Camerone

Au cimetière de Pérols DB

Pérols : hommage aux combattants de Camerone

Le défilé en direction du monument aux morts DB

La Légion et les autres corps d'armes réunis.

La Légion et les autres corps d'armes ont rendu hommage aux légionnaires, samedi matin 22 avril, au cimetière de Pérols. Le 30 avril 1863, 63 légionnaires tiennent tête à l'armée mexicaine dans le village de Camerone ; les huit survivants héroïques se rendront à l'ennemi à une seule condition, se rendre avec leurs armes et que les blessés soient soignés. Les Mexicains acceptent, en reconnaissance du courage et de la bravoure des légionnaires. Depuis, la Légion honore cette date. Dont le président de l'Amicale Aaleme (Amicale des anciens de la Légion Étrangère de Montpellier et environs).

Et de préciser : "Nous avons trois communes de cœur : Le Crès où est érigé le monument en souvenir de nos soldats, Castelnau-le-Lez, lieu de notre siège, et Pérols où reposent les anciens dans le caveau." Le maire, JeanPierre Rico, a déposé une gerbe, accompagné des autorités militaires. "C'est un honneur pour Pérols de renouer avec cette tradition oubliée depuis près de trente-cinq ans. Nous tissons des liens forts avec la Légion ; d'ailleurs ils sont présents à nos défilés." "Nous attendons une remise de képis blancs", a commenté Jean-Marc Leiendeckers, élu et correspondant Défense.

L'Illustration samedi 19 janvier 1918

La Légion.

L'Illustration samedi 19 janvier 1918


Traduction

aa
 

Visiteurs

mod_vvisit_countermod_vvisit_countermod_vvisit_countermod_vvisit_countermod_vvisit_countermod_vvisit_countermod_vvisit_countermod_vvisit_counter
mod_vvisit_counterAujourd'hui1587
mod_vvisit_counterHier2383
mod_vvisit_counterCette semaine3970
mod_vvisit_counterSemaine dernière21196
mod_vvisit_counterCe mois66232
mod_vvisit_counterMois dernier347580
mod_vvisit_counterDepuis le 11/11/0919805661

Qui est en ligne ?

Nous avons 2221 invités en ligne

Statistiques

Membres : 17
Contenu : 14344
Affiche le nombre de clics des articles : 42376704
You are here AALEME LES NEWSLETTERS DE L'AALEME 2017 La Newsletter 17/22 de l'AALEME.