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La Newsletter 16/29 de l'AALEME

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La Newsletter 16/29 de l'AALEME

Ils vont rouler pour les anciens de la Légion

Actualités

Publié le 13/06/2016

A l'assaut de cols mythiques./Photo DDM

 

«La Légion n'abandonne jamais les siens y compris lorsqu'ils ont quitté le service. Pour peu qu'ils aient servi correctement et obtenu le certificat de bonne conduite – c'est le cas de 98 % d'entre – eux, ils deviennent ayant droit à vie de la solidarité Légion», explique l'officier supérieur adjoint en charge de la communication au régiment. C'est à cette fin, qu'en 1954, avait été créé l'institut des invalides de Puyloubier qui accueillait alors quelque 700 personnes. On était à la fin des guerres de colonies, d'Indochine… Aujourd'hui, l'institut fonctionne sur le même principe mais avec une capacité d'accueil moindre : 100 pensionnaires puisque l'hémicycle, après une mise aux normes obligatoires, est passé de 200 à 100 chambres.

On lui proposera ici une activité selon ses capacités intellectuelles ou physiques, sur la base d'un volontariat : céramiques, relieur, travail de la vigne, à la boutique…», rassemblement le matin, cahier de rapport, autorisation de sortie… chaque pensionnaire est soumis à un règlement intérieur», poursuit l'officier. «En contrepartie, chaque pensionnaire, qu'il travaille ou non, reçoit une rétribution plus ou moins importante selon le travail qu'il fournit. L'objectif est de lui donner une nouvelle chance.

Le fonctionnement de Puyloubier, c'est un million d'euros par an. Une somme conséquente quand on sait que l'institution ne bénéficie d'aucune aide l'État. Le travail des anciens, la vente de vins – 200 000 bouteilles chaque année, céramiques, les abonnements à la revue «Képi blanc»… contribuent à hauteur de 800 000 € à sa bonne marche. Il en manque 200 000. La légion d'active contribue et dans les foyers des légionnaires d'active, un pourcentage des bénéfices est réservé au FELE, foyer d'entraide de la Légion étrangère. Le reste, ce sont les dons et legs faits à l'institution. Le tout permet l'équilibre mais pas les investissements.

«Ce sont des opérations comme la Solidaire qui le permettent. Les années précédentes, elle a permis l'installation de la climatisation, l'achat d'un lave-vaisselle, la réfection d'une partie des chambres ou celle du chauffage. C'est année, on espère récolter 120 000 €, assez pour la rénovation de la boucle d'eau chaude – 54 000 € seront nécessaires, et pourquoi pas, pouvoir rénover un hangar de stockage, il faut 66 000 €.

Pour participer à la cagnotte, on peut envoyer un chèque à l'ordre du F.E.L.E. à L'Officier supérieur adjoint du 4e RE, 2400 route de Pexiora, 11452 Castelnaudary, Cedex. ou sur https ://www.leetchi.com/c/solidarite-de-institution-des-invalides-de-la-legion-etrangere

Préparatifs pour le concert de la bataille de la Somme

Accueil Picardie

Par Camille Dicrescenzo Publié le 13 juin 2016

Un grand spectacle est prévu le 4 juillet prochain au Zénith d'Amiens avec la musique de la Légion étrangère, des choristes et musiciens picards. Ils vont rendre hommage aux centaines de légionnaires qui ont péri le 4 juillet 1916 pour libérer le village de Belloy-en-Santerre.

© France 3 Picardie

Il y a un siècle, une centaine de légionnaires ont péri sur les terres du Santerre en voulant libérer du joug allemand le village de Belloy-en-Santerre. Le 4 juillet prochain, date anniversaire, les élus de la communauté de commune de Haute Picardie, ont souhaité créer un spectacle pour rendre hommage à ces étrangers ayant versé leur sang.

Près de 500 personnes attendues sur la scène du Zénith d'Amiens

Dominique Leroy a eu la lourde tâche de créer un spectacle digne de cette commémoration. La musique de la Légion étrangère, l'orchestre de Barcelone, 400 choristes et des musiciens picards seront sur scène. Un spectacle empli de musique et de poésie.

Verdun: un cadeau du dernier poilu

Le Républicain Lorrain

13/06/2016

La famille de Lazare Ponticelli était hier, au Mémorial de Verdun, pour y déposer une copie originale du livret militaire du dernier des Poilus. Photo ER

 

«Surtout, ne nous oubliez pas. » Francis Lefort, président du comité national du Souvenir de la bataille de Verdun, qui gère le Mémorial, se souvient parfaitement des derniers mots qu’a prononcés Lazare Ponticelli en 2008, quelques semaines avant sa mort, à l’âge de 110 ans. « J’étais venu lui rendre visite. Il habitait alors chez sa fille. Il avait quelques problèmes d’ouïe mais conservait toute sa tête. » Non, personne n’a oublié les combattants de la Grande Guerre. La preuve, s’il en fallait une : l’affluence record des derniers mois au Mémorial de Verdun, inauguré le 29 mai dernier par le président de la République François Hollande et la chancelière allemande Angela Merkel.

Hier, la direction du musée accueillait des invités de marque : la famille Ponticelli, emmenée par la petite-fille du vétéran de la Grande Guerre, Nadine Desbaucheron-Ponticelli. Son grand-père, elle l’a très bien connu puisqu’elle vivait à côté de chez lui. Elle confie : « Il ne parlait jamais de la guerre. J’ai découvert qu’il avait été un poilu lorsqu’il a reçu la Légion d’honneur. » C’est-à-dire en 1996. Lorsqu’elle a visité le Mémorial de Verdun, Nadine a été très émue : « Quand je suis sortie, je suis restée 10 minutes sans pouvoir parler. » Si elle est revenue avec sa famille hier, c’est pour confier au Mémorial une copie originale du livret militaire de Lazare Ponticelli : « L’original, nous le donnerons à la Légion étrangère, dans laquelle il a combattu. »

Lazare Ponticelli, le dernier des poilus, les Français s’en souviennent, presque comme un membre de leur famille. Ce qu’ils savent moins de lui, c’est qu’après la guerre, cet immigré italien avait créé, avec ses deux frères, une société de montage et d’entretien de cheminées industrielles. Aujourd’hui, le groupe Ponticelli emploie 5 000 salariés en France et à l’étranger. Et est devenu un mécène du Mémorial de Verdun.

« L’important c’est le travail »

C’est aussi une phrase que Lazare Ponticelli a répétée souvent, tout au long de sa vie : « L’important, c’est le travail. »

Le dernier des poilus avait longtemps refusé que ses obsèques soient nationales. Il s’y était finalement résigné à une seule condition : qu’elles soient dédiées à tous les morts de la Première Guerre mondiale. Ce fut le cas, aux Invalides, le 17 mars 2008.

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Aniche : Patrick Duroyon décoré de la médaille de la Défense nationale

La Voix du Nord

Publié le 09/06/2016

Patrick Duroyon honoré lors de la cérémonie aux victimes d'Indochine.VDN

Patrick Duroyon honoré lors de la cérémonie aux victimes d'Indochine.

Mercredi, au cimetière du Sud, lors de la journée d’hommage aux victimes de la guerre d’Indochine, une cérémonie était organisée par la municipalité. Patrick Duroyon a reçu la médaille de la Défense nationale échelon argent des mains du doyen des anciens combattants, André Vasseur, lui-même ancien d’Indochine. Le récipiendaire a été honoré pour son engagement en tant que caporal dans la légion étrangère de 1981 à 1988, au 5e régiment étranger dont la devise était « Ne pas subir ». Durant ces années, Patrick Duroyon a participé aux campagnes nucléaires sur l’atoll de Mururoa en Polynésie française, mais également aux opérations militaires à Mayotte et Djibouti pour surveiller les frontières somaliennes.
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Larzac : le Département s’organise

Centre Presse Aveyron

Le 08 juin

Au total, 1300 légionnaires et personnels seront basés sur le Larzac d’ici 2018.

Au total, 1300 légionnaires et personnels seront basés sur le Larzac d’ici 2018. (AFP)

La commission permanente du conseil départemental réunie lundi a décidé de confier au Département le rôle de coordonnateur d’un groupement de commandes avec la communauté de communes Larzac et Vallées. Et ce en lien direct avec la mise en œuvre du programme d’accompagnement de l’arrivée de la Légion étrangère sur le Larzac. Rappelons que le conseil départemental a décidé de construire un nouveau collège à La Cavalerie.

De son côté, la communauté de communes Larzac et Vallées a acté la construction d’un gymnase qui servira aussi aux activités d’éducation physique et sportive au sein du collège. «Pour que la mutualisation de ces équipements soit efficiente, il faudra qu’ils soient construits à proximité et que leur conception soit pensée avec cet objectif, expliquent les conseillers départementaux. C’est la raison qui a poussé le Département et la communauté de communes à envisager la réalisation d’une seule et unique opération, pour laquelle ils se partageront la maîtrise d’ouvrage.»

Un marché de maîtrise d’œuvre unique sera conclu pour la construction du collège et du gymnase avec un prestataire qui aura la charge de la conception et du suivi de réalisation de l’ensemble des ouvrages. La même logique sera appliquée aux autres marchés (contrôles techniques, coordination sécurité et protection de la santé, études géotechniques, travaux…). Cette organisation nécessite ainsi un groupement de commandes

Paul de Chazelles - Le Général oublié

 


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